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Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles

Chapitre 11

Les rêveries (érotiques) d'un voyeur solitaire

Voyeur / Exhibition
Jeudi 19 juillet. Je me réveille vers 7 h 30. J’ai donc dormi, d’un trait, près de neuf heures. Rien d’étonnant après une journée si délicieusement épuisante, si l’on peut dire. Je paresse encore quelques minutes au lit avant de me lever. Direction le cabinet de toilette collectif situé dans la résidence. Puis, une fois habillé, je me rends dans la véranda où le petit-déjeuner est, d’ordinaire, pris en commun. Je retrouve la mère, qui s’empresse de me servir une bonne collation. Les deux sœurs se présentent peu après 8 heures et demie. Toutes les deux ont une tenue identique : un short en coton et un tee-shirt et de même couleur, de surcroît. Elles s’assoient en face de moi, se lançant, de temps à autre, des regards complices qui m’intriguent.
Mon petit-déjeuner terminé, je m’apprête à me lever, quand Jana me retient :
— Aujourd’hui, nous allons nous reposer. La journée d’hier a été bien remplie, n’est-ce-pas ? Aussi, nous te demandons de nous laisser seules durant cette journée. Cela ne veut pas dire que nous devons aller chacun de notre côté, mais plus simplement que tu peux nous suivre partout, mais sans nous approcher. Tu comprends ?
Éva renchérit :
— Tu te contentes de nous observer. En fait, il faut voir ça comme un jeu, où tu tiendras le rôle de voyeur.
Je lève les yeux au ciel. Voilà une chose que j’ai bien du mal à imaginer. Cependant, cela me paraît intéressant, pour ne pas dire plus :
— Il y aura des choses à voir, bien sûr...C’est Jana qui répond, sourire coquin, en prime :
— Ça, il y en aura. Ah, un détail important : nous devons ignorer la présence de l’autre, faire comme si nous étions étrangers.
Je leur souris :
— Et pour quelle raison vous portez une tenue identique ?
En se levant, Éva m’en donne la raison :
— Oh, c’est juste pour l’ouverture du jeu. Après, tout changera.
Elles s’éloignent en direction de leur chambre. Il est 9 h 15. J’en profite pour retourner à la tente, y mettre un peu d’ordre. Sachant qu’on ne se rend à la plage que vers 10 h 30, je décide d’attendre un peu.
À l’heure dite, je viens me poster à l’entrée de la cour de la résidence. Je me sens un peu idiot avec ma serviette de bain sous le bras. Me voici nanti d’un statut de voyeur « officiel », pourrait-on dire. Et mes yeux ne verront qu’elles puisque, à leurs dires, c’est le but du jeu. Justement, les voilà qui sortent de leur chambre ! Hum, elles portent le même maillot qu’hier : slip taille basse et soutien-gorge corbeille pour Jana, mini-short et soutien-gorge enveloppant pour Éva. Chacune d’elles, tient en main un sac de toile qui doit contenir une serviette de plage et un flacon d’huile solaire : avec leur peau claire c’est une précaution indispensable.
Elles passent devant moi, feignant d’ignorer ma présence, comme la règle du jeu le stipule ; alors j’en fais autant et, leur laissant une dizaine de mètres d’avance, je les suis. Une fois arrivées sur la plage elles se dirigent sur la droite, là où les touristes sont peu nombreux. Elles décident de s’installer sur le haut de la plage, à proximité d’une barque retournée sur le sable. Suivant le mouvement, je déploie ma serviette à environ trois mètres d’elles, jugeant la distance convenable. Puis, à plat ventre, dressé sur mes coudes, j’entame mon rôle de voyeur.
Éva m’intrigue. La voilà qui retire son maillot de bain. Va-t-elle se mettre à poil ? Sur une plage comme celle-ci, c’est risqué. C’est à peine si j’ai pu apercevoir quelques seins nus, la chose étant tout juste tolérée. À ma grande surprise, je vois apparaître un autre maillot, un bikini bleu, qui s’avère être le cadeau de Mirek. Le slip très réduit dévoile le bas-ventre et la moitié des fesses, et tient par des liens noués sur les hanches. Le soutien-gorge, bonnets en forme de triangles allongés, dévoile le dessus des seins presque à la limite des tétons.« Après une telle entrée en matière, Jana devra faire quelque chose… » me dis-je, et justement la voilà qui détache les bretelles de son soutien-gorge, laissant ses épaules nues, tout en faisant glisser les bonnets vers le bas, dévoilant la moitié de ses seins affolants.
Éva s’est allongée sur le dos, et dans une position bien précise : orientée de façon à m’offrir une vue directe sur son entrejambe. Tout cela en écartant généreusement les jambes et en tirant sur son string. Juste ce qu’il faut pour que la forme de son abricot bombé se dessine sur le tissu tendu. Adorable ! Jana, elle, s’est mise à plat ventre, le visage tourné vers moi. Elle semble - ou plutôt feint de - ne pas me voir, mais son soutien-gorge bâille tellement que j’ai un large aperçu de ses grosses poires juteuses. Un régal ! Très encourageant, comme début !
Je frétille de plaisir, pour ne pas dire que je bande. Eh oui, elles me font bander, l’une en laissant entrevoir la forme de sa vulve, l’autre en exhibant la moitié de ses adorables nichons laiteux. Pourtant je les ai déjà baisées plusieurs fois, ramoné consciencieusement leurs « trous du bas », glissé ma bite dans leurs bouches gourmandes, entendus leurs cris, leurs gémissements de plaisir que ma queue leur procurait. Cette sorte de retour aux préliminaires me donne un plaisir particulier. Cependant, une question se pose : comment des filles peuvent impunément exhiber leurs trésors intimes sans attirer la convoitise d’autres voyeurs ? Qui, eux, ne resteraient sans doute pas passifs. Prendraient-elles la fuite ?
Pendant que je m’interroge, Jana s’est mise à genoux, assise sur ses talons. Son soutien-gorge se cramponne désespérément à la pointe de ses seins et menace de dégringoler jusqu’à sa taille. Elle saisit un flacon d’huile solaire et se met en devoir d’oindre le corps de sa sœur. Ses deux mains étalent l’huile avec dextérité. Des mains qui virevoltent, n’omettant aucune parcelle de son corps : du cou aux épaules, des épaules aux seins, des seins aux hanches, puis au ventre, puis à la lisière du string, puis entre les cuisses et jusqu’aux talons. Elle a dû inviter sa sœur à se retourner car Éva m’offre son côté face. Les mains de Jana vont des épaules aux hanches avant de s’approcher des fesses que le string dévoile à moitié. Ah ! Ce derrière d’Éva, ces fesses joufflues, cette raie qui dissimule le trésor qu’est son petit trou… cet anus que ma queue a tant de fois visité. Rien que d’y penser, je trique. Elles ont eu une riche idée d’avoir inventé, pour moi, cette « journée du voyeurisme ». C’est tout aussi excitant qu’une partie de jambes en l’air…
Voilà, Jana en a fini avec ce qui ressemble fort à une séance de massage. Elle repose le flacon et s’allonge paresseusement, à plat ventre, son visage tourné dans ma direction. Son soutien-gorge, malmené durant le massage, a fini par décrocher. Ses bonnets vides pendouillent sous ses seins désormais nus. Et les seins de Jana… leur seule vue ferait bander un eunuque. De bons gros seins, tenant bien en place, et des tétons telles des petites fraises, qui vous narguent et vous font bander. Oui, je sais, je ne fais que ça : bander. Mais c’est leur trouvaille du jour, non ? Et quelle trouvaille !
Hé ! Pendant que je rêvassais, Éva s’est mise à genoux. De son corps luisant de produit solaire se dégage un érotisme envoûtant. Flacon en main, la voilà en train d’oindre le corps de sa sœur. Et c’est reparti ! Les épaules, le dos, les hanches, les cuisses, les mollets, les pieds… Un temps de pause, puis c’est l’autre face. Le soutien-gorge qui traîne sous la poitrine de Jana la gêne visiblement. Elle a tôt fait de faire sauter l’agrafe. Exit le soutien-gorge. Du coup, elle a tout le loisir de masser généreusement les deux dômes que sont les seins de Jana. Elle a l’air d’y prendre plaisir, et sans doute sa sœur doit discrètement l’encourager à s’attarder sur ses collines mammaires. On dirait bien qu’elle lui pince les tétons. Ce que j’aimerais être à sa place ! En attendant, ces deux sœurs sont devenues fusionnelles jusque dans le sexe. Ce qui ne me lasse pas de me troubler, chez elles, c’est cette intimité sexuelle qui confine à ce que certains appellent l’inceste…
Mes rêveries m’entraînent… En attendant, Éva masse les hanches et le bas-ventre de Jana, glissant ses doigts sous le slip. Enfin, c’est ce que j’imagine, parce qu’il faudrait que je me redresse encore pour le voir vraiment. Puis elle achève d’enduire les jambes de Jana, laquelle a maintenant le corps aussi luisant que celui de sa sœur. C’est sûr que ce matin elles ne se baigneront pas, trop heureuses de soigner leur bronzage qui, de toute façon, restera modeste. Avec une peau naturellement claire, la prudence s’impose.
Un quart d’heure passe, durant lequel elles restent allongées sur leur serviette. Et aucun voyeur en vue. Un miracle. Puis les  voilà qui se lèvent. Jana remet son soutien- gorge tandis qu’Éva rajuste son string trop remonté à son goût. Chacune ayant remis son matériel dans le sac de toile, les voilà qui s’éloignent en direction de la maison. Il n’est pas encore 11 h 30. Je les suis, toujours à distance, ce qui me permet de repérer des voyeurs flashant sur le postérieur d’Éva. Bon, il faut dire qu’elle marche en ondulant des hanches. Je ne serais plus le seul à participer ce jeu, ou quoi ?
Une fois sorties de la plage, elles traversent la route. Vont-elles déjà rentrer à la résidence ? Non, les voilà qui en longent le mur d’enceinte et se dirigent vers le petit terrain adjacent où j’ai installé ma tente. Elles passent devant puis empruntent un sentier qui monte je ne sais où. Elles doivent connaître un petit coin tranquille où elles pourront donner libre cours à leurs fantaisies. Un centaine de mètres plus loin, une masure en ruine : seulement les quatre murs et une ouverture, sans doute ce qui fut la porte d’entrée. Elles s’y dirigent et je les vois entrer. Le jeu se complique car vu la petitesse de la bicoque, impossible pour moi d’y entrer : je serais trop près d’elles. Alors je contourne la bâtisse et… chouette ! Là, sur ce mur, à hauteur d’homme, une brèche, une sorte de grosse fissure, longue comme le bras et de la largeur d’une main. Un truc idéal pour voyeur : j’ai vue sur quasiment tout l’intérieur, sans que les filles aient l’impression de se faire mater.
Et ça démarre vite : à peine suis-je à mon poste qu’elles entreprennent de se dévêtir. Ce qui n’est pas tout à fait exact. En fait, l’une déshabille l’autre : elles doivent trouver ça plus coquin. Jana fait sauter l’agrafe du soutien-gorge d’Éva et le lui subtilise prestement ; quant au string, pas de manières : elle défait les nœuds gansés de chaque côté et Éva, ayant opportunément écarté les jambes, il choit à ses pieds. Il faut à peine plus de temps pour que Jana se retrouve, elle aussi, à poil. Elles étalent leurs serviettes sur l’herbe, contre le mur qui, à cette heure du jour, procure un peu d’ombre et elles s’allongent, sur le dos cette fois. Imaginant bien que je les observe depuis la fissure du mur, à moins de deux mètres, elles écartent bien leurs cuisses pour que je puisse reluquer leurs chattes luisantes. Un régal pour les yeux.
Puis elles se mettent à plat ventre et, cette fois, ce sont leurs fesses que les sœurs me donnent à admirer. Et ces vicieuses veillent à garder leurs cuisses bien écartées. Ça devient obscène. Mater ces abricots gorgés de désir ou ces globes serrés de leur postérieur est un supplice bien agréable. Le reste l’est tout autant, comme les deux jolies paires de nichons, ces petits ventres surmontés d’un nombril charmeur… « Être à poil tout le temps » comme disait Jana, pas plus tard qu’hier… Oh oui, mes chéries, vous voir toutes nues vingt-quatre heures sur vingt-quatre, ou presque… De la viande sur pied… Hé, mais c’est que je deviens vulgaire !
Ah… les voilà qui se redressent et se lèvent. Jana consulte sa montre qu’elle avait placée dans une petite boîte en plastique. Visiblement, l’heure du déjeuner se précise. Mais avant de se rhabiller, elles se font un petit plaisir en s’embrassant à pleine bouche : une partie de langues fourrées, est-il besoin de préciser ? Jana remet son maillot tandis qu’Éva délaisse le bikini pour reprendre le mini-short/brassière, plus sage. Puis elles sortent de la masure et prennent le sentier qui descend vers la résidence. Maintenant, c’est Jana qui se déhanche. Ce cul qui ondule... obscène ! Je me répète, mais aucun autre mot ne convient.
Je m’arrête à ma tente pour m’habiller. Quand j’entre dans la cour de la résidence, je vois les deux sœurs sortir de leur chambre : Jana a simplement enfilé une robe de plage sur son maillot, tandis qu’Éva a mis la provocante robe de tennis : vous savez, celle qui est quasiment ras-des-fesses. Quoique celle de Jana n’est pas plus longue. Montrer leurs jambes, leurs cuisses… elles aiment ça. Folles de leur corps, je vous dis !
La véranda, plus aérée, est transformée en salle à manger, avec ce temps toujours chaud, du moins depuis que nous sommes arrivés. Je suis en bout de table, les parents étant à ma gauche, les deux sœurs à ma droite, Éva étant ma voisine immédiate. J’imagine que le jeu est interrompu, et la confirmation vient quand Éva m’adresse la parole. Mais la conversation se limite au repas et au temps qu’il fait. Nous nous levons de table vers 13 h. Je les vois se diriger vers leur chambre. Peu de temps après, Éva en sort seule et vient s’installer sur l’espèce de transat en osier qui trône sur la petite terrasse bordant la chambre. Ses jambes en position allongée sont légèrement écartées, faisant apparaître une petite culotte bleue. Elle tient un livre dans ses mains, mais son regard tourné vers moi m’interpelle silencieusement. Alors je m’approche. C’est pour m’entendre signifier que le jeu s’arrête pour le reste de la journée… mais qu’il reprendra demain matin. Voilà qui change la donne. En quittant Éva, un œil distrait vers l’intérieur de la chambre (la porte est grande ouverte) me permet de découvrir Jana, complètement nue, en train de ranger du linge dans une armoire. Mais comme elle me tourne le dos… « vivre à poil »… eh bien, elle s’y essaie.
Sachant comment se passera l’après-midi, je retourne donc à ma tente pour me reposer. Je reviens peu après 15 h. Et c’est toute la famille qui se dirige vers la plage où nous restons jusque vers 17 h 30. Au retour, Éva et sa mère préparent un petit repas, toujours pris dans la véranda. Puis nous passons le temps à jouer aux cartes jusque vers 22 h, avant de nous coucher. Ainsi se termine cette première journée.
Vendredi 20 juillet. Encore debout vers 7 h 30. À force de se coucher tôt… Mais cette fois, quand je me présente pour le petit-déjeuner, elles sont déjà là, en short coton et débardeur. Plutôt sage, cette tenue. Éva me fait savoir que je dois retourner à la tente et les attendre, car elles passeront par là.
Je guette donc leur arrivée, et vers 9 h 30, les voilà. Elles sont toujours en short et débardeur, et Jana tient un sac dans sa main droite. Nous attaquons le sentier qui monte, avant d’arriver à la fameuse bicoque en ruine. Comme la veille, je les suis à quelques mètres en arrière. Elles me font signe d’attendre là, avant de pénétrer dans la masure. Elles en ressortent quelques minutes plus tard, arborant toutes deux un bikini bleu. Et nous reprenons la montée du sentier. Le voyeurisme reprend ses droits, maintenant que j’ai deux belles croupes qui se tortillent devant moi.
Où allons-nous ? Je ne sais, vu que c’est la première fois que j’emprunte ce chemin. Encore quelques minutes de marche et j’aperçois une petite maison en bordure du sentier. Vue de plus près, c’est plutôt une sorte de chalet, blotti là au milieu d’un bouquet d’arbres. Les deux sœurs s’y dirigent et frappent à la porte. Ainsi, elles rendraient visite à quelqu’un en ce lieu isolé ? Je me planque derrière un arbre situé à quelques mètres de l’entrée, sur un côté de la maison. On ouvre, et qui vois-je sortir ? « Monsieur » Stribec et sa fille ! Je fais immédiatement le lien entre cette rencontre et le concours de Miss Seins nus demain soir, à Omis. Sonja, la fille, porte le même bikini que lors de notre précédente rencontre. Le père, lui, est en short, offrant son torse velu à l’admiration des filles. Quant à savoir ce qu’elles en pensent… Ah ! Ils entrent tous dans le chalet. Rien d’autre à faire qu’attendre. J’imagine les deux sœurs signalant ma présence, faisant savoir qu’il ne faudrait pas que ce pauvre Bob prenne racine en le faisant lanterner.
Un bon quart d’heure s’écoule ainsi avant que la porte ne s’ouvre à nouveau. Et je vois tout ce beau monde sortir. « Monsieur » Stribec est maintenant en slip de bain, et de là où je suis, impossible de ne pas remarquer la bosse qui en déforme le devant. En regardant bien, on voit même la forme du pénis déjà bien raidi par l’excitation. Résultat de petites coquineries à l’intérieur, ou simple fait d’être entouré de demoiselles en bikini ?
Que va-t-il se passer ? Le devant du chalet possède une terrasse en bois faisant toute la longueur de celui-ci. Je vois le père de Sonja tracer à la craie sur le plancher une sorte de petit chemin, puis les filles sont invitées à le parcourir à petits pas en adoptant une attitude « artistique ». Enfin, c’est ainsi que je nomme ce déhanchement lascif auquel elles s’essaient toutes les trois. S’y ajoutent de petits gestes coquins, comme utiliser ses doigts pour jouer à baisser et remonter le string. « Certainement, il les entraîne pour demain… et place sûrement ses espoirs en elles, on dirait ! » me dis-je. Ah ! Sans doute un essai dans des conditions proches du réel. Toutes les trois retirent leur soutien-gorge et miment leur passage. Le déhanchement imposé provoque des mouvements de balancier de leurs seins, surtout ceux de Jana et Sonja, un peu plus volumineux que ceux d’Éva. Je comprends que le sieur Stribec leur apprend des trucs susceptibles de leur faire atteindre le podium. Voir les filles prendre leur apprentissage au sérieux doit le rassurer.
En fait, c’est un véritable cours de près d’une heure, que sont venues suivre les deux sœurs. Vers 11 h, il se termine. Je les vois tous rentrer à nouveau dans le bungalow. Quelques minutes passent, puis « Monsieur » Stribec sort, suivi des trois filles, toujours les seins à l’air. Il les emmène derrière le bungalow vers ce qui ressemble à un enclos ceint d’une barrière en bois. Me voilà tenu de trouver un nouveau poste d’observation. Et c’est derrière une baraque en bois adossée à la barrière que je trouve mon bonheur. Là, je découvre que la scène est un peu plus éloignée, peut-être sept ou huit mètres, mais ça va. Je suis tout de suite happé par ce que je vois : il y a un nouveau protagoniste, qui se montrait discret jusque là… et quel protagoniste : un âne ! Parfaitement, un âne ! Et le présenter ainsi à des filles presque nues interroge : quelle idée scabreuse a pu germer dans le cerveau du père ?
De là où je me trouve, Sonja, reconnaissable à son bronzage « pain d’épice », me semble nerveuse. Serait-ce à l’idée de découvrir le projet de son père? Les deux sœurs n’ont pas l’air d’être sur leurs gardes. Peut-être sont-elles même prêtes à lui avouer avoir déjà fait « ça » avec un chien. Ce qui l’autoriserait à sauter sur l’occasion. Pour le moment, on en est juste à flatter le cou et le dos de l’âne. Les choses évoluent quand je vois le père s’adresser à sa fille. Et la voilà qui se défait de son string ! Puis tout s’enchaîne quand les deux sœurs en font autant, et même « Monsieur » Stribec. Tout le monde à poil devant l’âne. Je peux voir le sexe épais du père, quasi dressé à l’horizontale, excité à la perspective de ce qu’il a, certainement, imaginé.
L’animal paraît calme. J’imagine « Monsieur » Stribec, assurant à ces demoiselles que l’âne est déjà habitué à ce que des mains féminines lui tripotent son imposant sexe. Et, voire même, qu’il apprécie la chose. Pour le moment, ça reste au niveau d’une attraction. Sonja monte à califourchon sur l’âne, à cru, et en route pour une petite promenade dans l’enclos. Le fait qu’elle soit nue stimule mon imagination : son abricot doit frotter contre le poil de l’animal. Et je ressens la même chose quand Éva et Jana ont droit au même petit tour. Les deux sœurs sont visiblement ravies. Elles ont certainement connu le délicieux titillement que doit procurer le contact de leur chatte avec la toison de l’animal.
J’espère maintenant des choses plus scabreuses, mais les minutes passent et rien ne vient, même si je vois la main de Sonja palper le ventre de l’âne. En jetant un coup d’œil à ma montre, j’en comprends la raison : il est 11 h 30, et il faut près d’un quart d’heure de marche pour rejoindre la résidence. Donc, pas le temps de se lancer dans une telle aventure. Mais les deux sœurs tiennent, sans doute, à offrir une compensation à leur hôte : devant sa fille, elles le branlent de concert. Debout, face à lui, Éva joue du poignet pour astiquer sa belle queue tandis que Jana, sur le côté, malaxe ses couilles. Et il ne tarde pas à juter. J’imagine un épais jet de foutre s’écrasant sur le bas-ventre d’Éva avant de dégouliner sur sa vulve. Et ma queue devient dure comme du bois.
Puis elles revêtent leur string. Visiblement, Éva a remis le sien sans même essuyer le sperme. J’imagine la grosse giclée de foutre imbibant littéralement le devant de son string. Elles reprennent le chemin du bungalow où elles récupèrent leur soutien-gorge. Et c’est la descente jusqu’à la masure. Éva retire avec précaution le string couvert d’une couche de sperme, devenu collant. Et voici que Jana utilise son propre string pour essuyer le foutre poisseux sur le ventre de sa sœur ! Puis elles remettent short et débardeur, leur tenue de départ. En arrivant à hauteur de ma tente, les deux sœurs m’attendent. Visiblement le jeu est bien terminé car Éva me demande tout de go :
— Comme tu as vu, j’ai proposé une séance de masturbation à monsieur Stribec. Ce cochon aurait aimé qu’on… s’amuse avec l’âne. Tu vois ce que je veux dire ? Et comme on n’avait pas le temps, il a accepté. Et lui, tellement excité que son engin a craché un gros jet de sperme que j’ai reçu sur le bas-ventre, car j’étais tout près de lui. Il m’a dit que ce serait bien si je le gardais comme ça, sans m’essuyer. Et pour lui faire plaisir…
Elle écarte son short. L’odeur du foutre est bien présente. Mon imagination ne m’avait pas trompé. En souriant, Jana sort du sac le string d’Éva, tout poisseux de sperme, et le sien qui a servi à l’essuyage du ventre. Toujours cette odeur… Édifiant !
Nous entrons dans la cour. Elles se précipitent dans leur chambre pour se changer et faire un brin de toilette, et c’est en short et débardeur qu’elles se présentent pour déjeuner. Puis elles vont se reposer. En passant devant leur chambre, la porte est grande ouverte : elles sont là, toutes les deux, nues, allongées sur leur lit. Un bref instant j’admire ce joli spectacle avant de regagner ma tente.
L’après-midi, baignade en famille, suivie du dîner. La soirée se passe à lire et à bavarder. Vers 22 h, chacun regagne ses pénates.Demain, sera le grand jour...

À suivre…
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