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Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles

Chapitre 14

Une proposition surprenante

Divers
Il est pratiquement 10 h quand je me réveille. Trousse de toilette en main, je me dirige vers la salle de bain de la résidence. De loin, je constate que la véranda est déserte. En passant devant la chambre des filles, mon regard est accroché par Jana, complètement nue, assise sur le bord de son lit ; Éva est encore couchée. Vingt minutes plus tard, ma toilette faite, je m’apprête à regagner ma tente, quand Jana m’appelle :
— Les parents ne sont pas là. Le couple qui tient la résidence les a invités à visiter le marché d’Omis, qui se tient le dimanche matin. Et d’après le mot qu’ils nous ont laissé, ils déjeuneront sur place. Donc, nous avons carte blanche jusqu’en début d’après-midi.
J’observe Jana, toujours nue et nullement pressée de se vêtir. Elle se dirige vers la salle de bain, me laissant admirer au passage, sa belle croupe qui ondule à chaque pas. Bandant. Éva est maintenant levée et tout aussi nue que sa sœur. Nos regards se croisent ; elle me lance :
— Sois de retour dans vingt minutes, pas avant. Vu l’heure, le petit-déjeuner sera léger.
Quand je reviens, il est finalement presque 11 h. Quand j’entre dans la véranda, les deux sœurs disposent un en-cas sur la table : une grande tasse de thé accompagné d’un beignet. Jana m’interpelle :
— Ah, te voilà. Pour un petit-déjeuner à 11 h, ce sera suffisant, non ?
Elle me sourit. Mais mon regard est rivé sur ses seins fermes et bien tenus, qui bougent à chaque mouvement. Les bons gros seins de Jana. Impossible de rester indifférent : je bande. Éva n’est pas en reste, me faisant admirer son côté face et son fessier si attirant. Des allumeuses qui cherchent juste à me titiller. Aussi je me force à lever les yeux, ce qui permet de de remarquer une silhouette au balcon du deuxième étage de l’immeuble d’en face :
— Tiens, ce ne serait pas Sonja, par hasard ? Elle est sur le balcon et regarde dans notre direction. Je vais lui faire un signe, pour voir.
Et voilà Sonja qui répond avec empressement. On dirait qu’elle a quelque chose à nous dire. Mais elle est bien à une trentaine de mètres. Nous sortons dans la cour, pour nous rapprocher de l’entrée de la résidence. Aussitôt, Sonja nous fait comprendre qu’elle va descendre. Nous la voyons sortir de l’immeuble et nous rejoindre. Elle est d’humeur joyeuse :
— Alors, vous allez bien depuis la nuit dernière ?
Elle observe les deux sœurs nues, elle-même étant en maillot deux pièces. Et, avec un brin de malice :
— Vous avez si chaud que ça ? Heu, vous êtes libres, là, maintenant ?
Comme nous lui faisons savoir que nous sommes tous les trois seuls et que nous n’avons rien décidé pour la suite, elle saute sur l’occasion :

— Parfait, alors ! Venez déjeuner chez nous. Justement, mon père a quelque chose à vous proposer. Vous êtes nos invités.
Je vois Éva lever les yeux au ciel ; elle doit penser que, décidément, cet Alex ne nous lâche pas. La même, qui ajoute :
— On vient comme ça ? Pour sortir cela n’est vraiment pas indiqué.
Sonja en convient, bien que ce ne serait pas le genre de chose qui la gênerait. Les deux sœurs retournent à leur chambre et deux minutes plus tard, sont de retour. Chacune d’elles a simplement enfilé un t-shirt long, juste de quoi cacher les fesses quand elles sont debout. Nous fermons l’entrée et gagnons l’appartement de Sonja. Arrivés sur le palier du deuxième étage, nous trouvons Alex, un panier à provisions à la main, qui s’apprête à ouvrir la porte.
— Ah, vous voilà ! Merci d’avoir accepté l’invitation. Entrez donc !
Il est visiblement ravi. Pour lui, la tenue sexy, pour ne pas dire provocante, des deux sœurs est un gage de bonne volonté à son égard. Une fois à l’intérieur, il se dirige vers la cuisine, tandis que Sonja nous entraîne au séjour, tout en nous annonçant :
— En fait ce sera juste un petit repas sur le pouce : du jambon, des tomates, des œufs, du pain, du fromage, quelques pâtisseries… 
 Elle prépare la table, après quoi son père y dépose, des plats contenant ce que Sonja avait annoncé. Nous nous asseyons autour de la table. Je me retrouve entre Sonja et Jana, tandis qu’Alex est entre Jana et Éva. Jana étant à sa droite et son t-shirt joliment remonté offre une vue imprenable sur sa chatte, ce dont Alex profite sans retenue. Tandis que nous buvons une bière avant d’attaquer le repas, Alex s’adresse aux deux sœurs :
— Mesdemoiselles, j’ai apprécié votre exhibition du concours, sans même parler de celle qui a suivi…
Il s’interrompt quelques secondes, avant de poursuivre :
— Vous semblez être très douées pour l’improvisation. Aimeriez-vous faire un film ?
Éva paraît étonnée :
— Un film ? Tu nous as inscrites pour deux autres concours, je crois et, en plus, faire un film ? Notre séjour se termine dans une dizaine de jour et…
Alex relève le tu, qui est venu naturellement sur les lèvres d’Éva :
— Merci pour cette marque d’amitié ! Justement, ce n’est pas le genre de film qui demande beaucoup de temps, ni même de préparation. C’est l’affaire de deux ou trois heures.— Deux ou trois heures ? Il ne doit pas être d’un haut niveau, ton film.— Disons que c’est assez spécial : il n’y a pas de dialogue et pas de scénario non plus. On vous donne juste quelques directives au départ et durant le tournage. Pour tout le reste, vous improvisez.
Jana, qui semble s’amuser de la façon dont Alex mate sa chatte, ayant opportunément entrouvert ses cuisses :
— Dis donc, ce ne serait pas un film porno que tu nous proposes, là ?
Le visage d’Alex s’éclaire :
— Eh bien, c’est exactement ça. Je pense que vous êtes faites pour ce genre de film.— Faites pour le porno… Évidemment. Et j’espère qu’on ne le fera pas pour rien !
Éva trouve que sa sœur entame la négociation un peu vite. Mais Alex saisit la balle au bond :
— C’est prévu, bien sûr. La somme sera coquette, enfin pour vous. On paie en devise étrangère, des dollars ou des marks, ça dépend du moment.
Jana paraît intéressée. Elle veut des précisions :
— Et cela fait combien ? À peu près, c’est juste pour avoir une idée— Autour de mille marks ou trois cents dollars, pour chacune de vous. Et c’est un minimum, bien sûr. Suivant le genre, on peut offrir plus, et même beaucoup plus.— Ah, parce qu’il y a plusieurs genres dans le porno ?— Oui, mais vous verrez cela une fois sur place. Ce n’est pas moi qui s’occupe de ça. Vous êtes partantes toutes les deux ?
Jana, qui a écarté un peu plus ses cuisses, minaude :
— Pourquoi pas ? Si c’est juste pour deux ou trois heures. Tu es d’accord, Éva ?
Éva se tortille sur sa chaise. Elle se tourne vers moi, m’offrant la vue de ses cuisses nues et de son minou tout aussi visible que celui de Jana :
— Au fait, on parle de nous deux, là. Et Bob ?
Alex met les choses au point :
— Nous n’invitons que les actrices au tournage. Bob restera ici. Mais Sonja lui tiendra compagnie… N’est-ce-pas, Sonja ?
C’est clair. Elles seront « là-bas », tandis que je serai ici avec la fille. Sa réponse est convenue, ainsi qu’il doit en être dans ce genre de situation :
— Bien sûr, papa, tu peux compter sur moi.
Elle m’adresse un sourire aguicheur. Décidément, Il s’en passe de belles dans cette famille. Alex se lève :
— Bien… alors je vais téléphoner pour votre rendez-vous. Toujours d’accord ?
Les deux sœurs se regardent, sans rien dire. Alex en déduit qu’elles acceptent et se dirige vers le téléphone, dans l’entrée. Quand il revient s’asseoir, dix minutes plus tard, il est satisfait :
— Voyons, nous sommes dimanche le 21 juillet. Le rendez-vous est pour le mercredi 24 à 14 h. Vous vous rendrez à pied au chalet et de là, on vous conduira à l’endroit prévu. Vous pouvez venir habillées comme vous voulez.
Alors que notre repas s’achève, Alex regarde les deux sœurs, d’un air coquin. Sans doute qu’ une idée vient de lui passer par la tête. Et c’est bien ça :
— Sonja m’a dit qu’elle vous a trouvé nues toutes les deux dans la résidence. Vous aimez ça, on dirait. Et si vous enleviez votre t-shirt ? Ne me dites pas que vous allez refuser. Votre attitude montre le contraire.
Éva feint de minauder :
— Cela fait même pas dix heures qu’on en a pris dans tous les orifices et tu veux remettre ça ? Ton appartement doit être un baisodrome. Toutes celles qui viennent ici pour faire un film ont droit à un bout d’essai ? Bon, de toute façon Jana te montre son minou depuis qu’on est ici et toi, tu te dis : «  Si elle montre sa chatte, c’est qu’elle a envie de baiser ».Alors…
Et elle se lève et enlève son t-shirt, qu’elle balance, négligemment, sur le parquet :
— Ça te va, comme ça ? Tu aimes quoi, chez moi ? Mes seins ? Mon ventre ? Ma chatte ? Mes fesses ?
Alex est surpris. Sans doute ne s’attendait-il pas à ce genre de réaction. Ces filles sont parfois imprévisibles. En attendant, il se repaît, sans retenue de la nudité d’Éva. Cette dernière poursuit :
— Tu ne demandes pas à ma sœur d’en faire autant ? Tu sais que Bob est fou de ses seins… et toi aussi, bien sûr ! — Pas la peine, Éva, je vais lui faire ce plaisir sans qu’il le demande.
L’air coquin, Jana se lève et retire son t-shirt. Imitant sa sœur, elle le jette sur le sol. Le regard d’Alex va de l’une à l’autre :
— Vous voulez jouer à un jeu ? Très simple, mais très original : écrire sur votre corps. J’ai pu avoir quelques crayons, genre feutre, dont l’écriture s’efface assez facilement avec un peu d’eau. On essaie ?
Sans attendre la réponse, il se lève pour chercher ces fameux crayons dans un tiroir. Il en revient avec deux : un couleur noir et l’autre rouge. Il décapuchonne le noir et se tourne vers Éva, la plus proche :
— Approches donc !
Et, sans attendre, il dessine un cœur juste sous les seins d’Éva. Satisfait, il ajoute :
— En fait le jeu est très coquin, il s’agit de dessiner ou écrire des choses osées sur ton corps ou celui de Jana, et aucun endroit n’est interdit, bien sûr.— Des choses cochonnes, quoi… On ne m’a jamais proposé ça. Donne un exemple, pour voir.— Eh, bien, toi tu ne perds pas de temps. Voilà !
Il dessine une flèche sur le bas ventre d’Éva, pointe dirigée sur sa chatte. Puis, la regardant droit dans les yeux :
— T’es une sacrée coquine, toi. Tu veux que j’écrive un petit mot ? Attention ça va te faire rougir !
Il rit. Éva hausse les épaules. Elle se sent entraînée par le piquant de la situation. Alors, elle lâche :
— Eh bien vas-y. Je suis curieuse de voir ça.
Et au- dessus de la flèche, il ajoute  Entrée de bite. Puis il trouve amusant de demander à Jana de venir lire ce qu’il a écrit sur le ventre de sa sœur. Jana s’exécute, trouvant la chose pour le moins osée, mais originale. Encouragé, Alex convainc Jana de recevoir son « graffiti corporel ». Il écrit sous ses seins : Mamelles de Jana en assez grosses lettres avant d’utiliser le rouge pour colorer les tétons.
Elle cherche à comprendre où il veut en venir :
— C’est simple ; j’arrêterai quand votre corps sera couvert de graffitis de la tête aux pieds. Et ils seront de plus en plus crus, vous pouvez me croire !— Et une fois qu’on sera couvertes de graffitis ?— Vous rentrerez chez vous comme ça, si ça vous plait. Sinon, une bonne douche et il n’y paraîtra plus… Bob, je te passe le rouge, amuse-toi aussi !
À ce moment-là nous constatons que Sonja n’est plus là. Elle s’est éclipsée discrètement, nous laissant à notre jeu érotique. Et c’est vite le grand déballage, d’autant plus que les deux sœurs jouent le jeu sans réticence. Et leur corps devient une ardoise où nous exprimons nos fantasmes les plus crus. Florilège :
Sur Éva : Entrée de bite (près de sa chatte), J’aime les grosse queues (sur son ventre), Tète mes nichons (sous ses seins) Mon trou est ici (juste au-dessus des fesses, avec une flèche), J’aime baiser (en travers, sur le haut de ses cuisses), J’aime être enculée (au bas du dos)…
Sur Jana : Mamelles de Jana (sous ses seins), Mon con pour ta bite (près de sa chatte), Mon trou du cul (au-dessus de ses fesses avec flèche), J’aime les grosses bites (sur le haut de ses cuisses, en travers), Fais-moi jouir (sur son dos) Mes trous pour ta bite (son dos)…
Tout cela complété de mots très crus, autant dictés par l’excitation que par la bonne volonté de ces dévergondées qui nous permettent ainsi de nous défouler :Pute- Salope- Chienne- Cochonne- Suceuse- Branleuse- Perverse- Putain- Pétasse- Baiseuse-Excitée- Chaude…
Il est 13 h 20. Elles sont recouvertes d’inscriptions plus ou moins ordurières. On leur en a même ajouté sur la plante des pieds. Et ce barbouillage les rend plus excitantes encore. Je sens ma queue toute dure après avoir écrit de telles obscénités sur le corps de Jana. Alex mate le corps d’Éva, le regard lubrique :
— Alors, Éva, tu aimes baiser, être enculée aussi ? Viens t’asseoir sur ma bite !
Il a baissé son bermuda et sa queue se dresse comme un obélisque :
— Empale-toi dessus. Je veux sentir ton vagin l’engloutir. Ne t’inquiète pas, je ne juterai pas dedans.
Éva se mord les lèvres puis s’avance. Elle regarde le sexe décalotté d’Alex avant d’enjamber ses cuisses. Alex tient son sexe en main pour qu’elle puisse bien s’empaler dessus. Alex, un brin moqueur :
— Tu disais que nous étions insatiables, mais toi, tu es bien gourmande. Ce n’est pas pour rien que j’ai écrit : J’aime les grosses queues sur ton ventre !
Éva se trémousse, comme pour mieux sentir la bite dans son vagin. Quant à moi, je saisis Jana par le poignet et la retourne :
— Mmmm ! Je lis Mon trou du cul… Je vais te prendre par là et tu vas jouir comme une salope, une cochonne.
Elle se tient par les mains à la table, tandis que bermuda et slip glissent sur mes chevilles. Après un doigtage préparatoire, ma queue force la margelle de son anus et s’enfonce dans son intestin. Puis je la ramone, la pistonne, malaxant à pleine main ses mamelles laiteuses. Elle commence à gémir. Un coup d’œil sur les autres qui ont maintenant adopté la même posture ; Alex baise Éva en levrette et celle-ci nous offre un concert de râles et de gémissements bruyants. Je suis tellement excité que je ne tarde pas à jouir dans le cul de Jana, qui a eu quand même sa part de plaisir. Je vois Éva, le corps secoué par les coups de bite d’Alex et qui gémit, couine à qui mieux mieux. Enfin Alex se retire à temps et balance sa semence entre les fesses d’Éva. Elle reste un moment penchée en avant, puis se redresse :
— Ça fait deux fois que je baise en une demi-journée… Ou que tu me baises.
Alex s’en amuse :
— En tout cas tu as bien voulu de ma bite et tu as joui. Tu vas passer pour une nymphomane. Comme ta sœur, d’ailleurs. Bon, allez prendre une douche, Sonja a tout préparé.
Quand elles reviennent dans le séjour, un quart d’heure plus tard, elles sont toutes fraîches et le corps net de tout graffiti. Elles enfilent leur t-shirt. Il est maintenant 14 h. Le temps de rentrer, ce qu’Alex admet volontiers. Mais il tient à leur offrir quelque chose :
— Un petit souvenir de ces crayons magiques ! Tournez-vous et relevez votre t-shirt.
Elles acceptent, puisqu’on peut facilement l’effacer. Et Alex trace une lettre sur chacune de leur fesse : P et U pour Jana ; T et E pour Éva. Il s’adresse à cette dernière :
— Tu dois rester à la droite de Jana, pour que le mot garde son sens. Gardez-le un moment quand même. Bon, alors, pour le reste, rendez-vous mercredi 24 à 14 h au chalet !
Nous prenons congé. Durant le court trajet qui mène à la résidence, Éva me demande, tout en remontant son t-shirt jusqu’à la taille :
— Bob, ça donne quoi, ce qu’il a écrit sur nos fesses ?— Un mot de quatre lettres, si vous vous placez comme il l’a dit.— Et du genre vulgaire, sans doute. Ça donne quoi ?— P.U.T.E. Ce qui donne PUTE…— Oh le cochon. Nous désigner comme putes. Heureusement que ça s’enlève.— Le cochon ? Jana ne s’est pas gênée pour lui faire admirer sa chatte, une fois qu’elle s’était assise. Et toi tu as fait la même chose avec moi. Vous nous avez offert un joli spectacle.
Quand nous arrivons à l’entrée, Éva doit l’ouvrir, signe que les parents ne sont toujours pas revenus. Nous entrons tous les trois dans la chambre et là, elles enlèvent leur t-shirt et tournent leurs fesses vers moi. Elles ont l’air de bien s’amuser :
— Oh, ça n’a pas changé ! C’est toujours PUTE à vous deux. Et quand on vous voit faire…
Jana, feignant d’être outrée :
— Ça veut dire qu’on se comporte comme des putes ?— Pour accepter si facilement d’être recouvertes de graffitis obscènes, faut l’être un peu, non ? Mais vous faites ça si naturellement… Je ne vous juge pas. Je dirais même que votre comportement a tout pour m’exciter.— Tu entends, Éva, nous voilà classées dans la catégorie « putes » et pour la bonne cause.
Cela nous fait rire. Puis, elles vont se nettoyer dans la salle de bain avant de s’offrir un petit somme réparateur, tandis que je regagne ma tente. Les parents ne rentrent, finalement, que vers 15 h 30. À 17 h, petit passage à la plage. Le soir, nous nous couchons plus tôt, histoire de récupérer le sommeil manquant. Ainsi se termine la journée du dimanche 21 juillet.
Le lundi 22 se passe dans le calme et nous renouons avec les habitudes familiales. Les deux sœurs ne se font pas remarquer.
Le mardi 23, vers 10 h 30, je quitte ma tente pour les rejoindre dans la cour de la résidence, avant de se rendre à la plage. Je suis étonné de ne voir qu’Éva. Elle précède ma question :
— Jana est un peu souffrante. Un problème de digestion, je crois. Elle se repose. On va à la plage ? Je suis déjà en tenue… à moins que tu aies une autre idée.
Me tendrait-elle une perche ? À voir son maillot – un deux-pièces relativement petit- on le penserait. Alors je me lance :
— Si on allait faire un tour à la plage naturiste ? Celle où nous sommes inscrits, d’ailleurs.
Je vois Éva faire la moue :
— Oui, mais il faut y aller en voiture. Tu n’aimes pas mon maillot ?— Si, bien sûr, mais j’ai envie de te voir sans rien et c’est sans doute l’occasion.— Toi, alors… Bon, je vais dire à mes parents que nous allons faite une balade à Omis.
Elle revient quelques minutes plus tard. Elle a mis un t-shirt en coton jaune, celui qu’elle portait dimanche. Elle me susurre :
— Je n’ai rien dessous… Ça va te plaire, non ? Bon, allons-y. On devra être de retour vers midi et demie. Ça nous laisse deux heures.
Un petit quart d’heure plus tard, on se gare sur le parking de la plage naturiste. Passage par le bureau d’entrée, puis les casiers pour nos affaires. Au moment d’entrer sur la plage, je saisis Éva par la main. Elle feint l’étonnement :
— Nous devons jouer les amoureux ? En tout cas, j’espère qu’on ne rencontrera ni Alex, ni Sonja. Nous les voyons assez en ce moment.
Une fois sur la plage, nous constatons qu’il y a peu de monde ; mais c’est le matin et nous savons que les habitués viennent plutôt l’après-midi. Nous nous installons près de la barrière, à quelques mètres d’un homme seul, assis sur un siège de plage. Éva s’enduit consciencieusement d’huile solaire, demandant mon aide pour le dos et les fesses. Justement, c’est quand je masse les fesses d’Éva, que l’homme déplace son siège pour se mettre quasiment face à elle. Elle me fait cette remarque :
— Ah, il a trouvé un spectacle intéressant. Hem, Bob, tu vois ça ? Un drôle de naturiste, celui-là : il bande ! Je dois lui fais de l’effet.
Tandis que je masse les fesses d’Éva, celle-ci a redressé son torse en s’appuyant sur ses coudes, libérant du même coup la vue de ses seins au regard de l’inconnu. Ce dernier esquisse un sourire ; sans doute imagine- t-il cette belle inconnue réceptive à ses signaux. Et impossible de ne pas remarquer son membre dressé, comme un hommage au corps d’Éva, vu qu’elle est la seule femme dans le coin où nous sommes. Puis elle se met à genoux, face à l’homme tout en me tournant le dos. Alors, je glisse une main entre ses cuisses et caresse la vulve du bout de mes doigts. Elle me laisse faire. Je l’entends juste dire :
— Bob, il va arriver un moment où il va s’approcher de nous, et…— Ça t’excite ? Tu as vu, il est bien pourvu de ce côté-là.— Hum, s’il te demande de le branler… Sa bite masturbée par tes mains expertes !— Cochon. Depuis qu’Alex a écrit ces quatre lettres sur nos fesses, tu vas me proposer à des inconnus bien montés au motif que je suis désignée, ainsi que ma sœur, comme pute ?— Oui, mais toi tu le fais juste pour le plaisir sexuel que ça te procure. Pour jouir comme une folle. Alors, s’il veut baiser avec toi, vas-y. Moi, je me branlerai en te regardant.- Eh bien, quel programme ! Oooh, le voilà qui approche !
L’homme, la cinquantaine, un peu bedonnant, le torse poilu, la bite dressée se balançant à chaque pas. Il commence par tâter le terrain :
— Vous formez un beau couple, mais je suppose que vous n’êtes pas ici seulement pour le bronzage et la baignade. C’est votre femme ?
Je rectifie :
— Nous ne sommes pas mariés. C’est une bonne amie à moi et nous aimons les aventures imprévues. Et comme vous n’arrêtiez pas de la regarder…
Je vois une lueur dans son regard. Il a compris :
— Hum ! C’est donc ça. Mademoiselle se fait sauter par un inconnu, pendant que monsieur regarde. C’est tentant mais un peu compliqué, car ma femme va bientôt rentrer. Sinon, j’ai un endroit tranquille pour ça.
Il a l’air indécis, mais je vois bien qu’il dévore des yeux le corps d’Éva. Alors, je propose :
— On fait ça vite… et ici. C’est bien plus excitant, non ? Et puis Éva vous fait envie, ça se voit.— Ah, elle s’appelle Éva ? Joli prénom. Et elle est mignonne, en plus. Mais si ma femme nous surprend ici…
-Justement, c’est ça qui est excitant ! Vous baisez Éva, je vous regarde. En prime, cette crainte d’être surpris.
Il semble pris entre deux choses : son cerveau réfléchit, mais sa bite est impatiente d’agir en voyant le corps nu d’Éva. D’autant plus que je la caresse tout en parlant. Il jette un coup d’œil derrière lui, puis nous lance :
— D’accord. Au fait, vous êtes d’où ? J’aime bien savoir, juste pour le plaisir.— Je suis Français et mon amie est Tchèque.— Hum, les Tchèques sont chaudes et de bonnes baiseuses. Mais ne perdons pas de temps. Ma femme, vous comprenez ? Bon, on se tutoie pour le…truc. Je préfère. Une manie.— Pas de problème. La mienne c’est de la voir se faire tripoter par un autre. Ça m’excite.
Éva est debout. Elle mate la queue de notre « invité ». Nous sommes tout près de la barrière et assez isolés des autres. Puis elle prend le sexe dans sa main droite et le branle doucement. Le gland est déjà décalotté. Notre homme est aux anges, mais ce corps offert… Il tripote les seins d’Éva, puis caresse son ventre. Les doigts glissent sur sa chatte. Il murmure :
— Éva je peux te parler, comment dire… crûment, oui, crûment. Tout en te baisant. J’aime ça, en fait ça me stimule. Tu veux bien ?— Vous êtes tous les mêmes (elle sourit), les mots crus, les insultes… Bon vas-y, lâche-toi puisque tu aimes ça.-Mmmm ! Merci. Quand je t’ai vu tout à l’heure, j’ai pensé : « Une salope qui a envie d’essayer une bite… ». Et j’ai très envie de t’enculer. Ton ami va être excité en voyant ma bite s’enfoncer dans ton cul et en t’entendant jouir de plaisir. Je suis sûr que tu as l’habitude de te faire prendre par derrière…
Il semble attendre sa réponse. Et elle, tout en tripotant sa bite :
— Ça oui, j’aime être prise par derrière. J’aime sentir une grosse bite me fourrer mon petit trou. Une grosse bite comme la tienne.
Éva me regarde. Je trique comme un fou de l’entendre dire ça. Et l’autre est littéralement excité. Il ordonne :
— Tourne-toi, salope, que je t’encule !
Elle obéit et se penche en avant, offrant ses fesses. Il enfourne sa queue dans la raie, décidé à la prendre sans préparation :
— Les salopes dans ton genre, je les encule direct. Ton trou doit être bien souple. Tiens, comme ça !
Cramponné à ses hanches, il pousse comme un forcené, arrachant à Éva un cri de douleur quand le foret de chair force le passage et s’enfonce dans le conduit anal. Son ventre bedonnant n’a pas l’air de le gêner dans sa manœuvre. Il éructe :
— Tu es une bonne petite putain. Regarde ton ami : il se branle parce que je t’ai explosé le cul avec ma grosse pine.
C’est vrai, je me branle et elle me voit faire. Alors, j’approche ma bite de son visage et sa bouche s’ouvrant, en enfourne une partie. Et elle me suce, comme elle peut, car l’autre lui ramone le cul comme un possédé, tout en débitant un chapelet d’insultes choisies :
— Chienne, grosse pute, enculée, putain du cul, bouffeuse de bites !
Éva est toute secouée tant il la défonce. Ses seins ballottent dans tous les sens. Je regarde autour de moi. De loin, je ne sais pas si on peut imaginer ce que nous faisons. J’ai retiré ma pine de la bouche d’Éva pour le plaisir de l’entendre couiner, gémir, crier, sans retenue. Puis, dans un râle puissant, c’est lui qui jouit, larguant son foutre à gros jets dans l’anus de ma chérie. Puis il se redresse, repu de plaisir. Il affiche sa satisfaction :
— Tu es une bonne petite pute. J’espère qu’on se reverra !
Le spectacle est des plus excitants : l’anus d’Éva n’est qu’un trou béant, d’où s’écoule un filet de sperme… Et ce trou est un appel à ma bite. L’autre le comprend très vite car il me lance :
— Vas-y, encules-là, elle n’attend que ça, ton amie, se faire remplir le cul par une autre bite ! Ah, ces Tchèques, de vraies salopes.
Ma queue raide s’enfonce sans peine dans son orifice encore ouvert et c’est reparti pour un tour. En plus de sentir le foutre de mon prédécesseur sur ma bite. Lequel en profite pour tripoter les nichons d’Éva, avant de frotter son sexe sur son visage. Puis je jouis à mon tour, tapissant de foutre l’antre anale d’Éva, qui a éructé son lot de cris et de couinements en tout genre, avant d’exprimer son contentement en jouissant bruyamment. Je me retire d’elle et il ne faut pas longtemps pour voir le trop-plein de foutre dégouliner entre ses cuisses. Notre homme a un sourire de satisfaction :
-Une bonne petite pute, vraiment. Bien, je vous remercie pour ce moment. Je crois apercevoir ma femme là-bas.
Nous le voyons s’éloigner rapidement en direction d’une silhouette féminine qui vient d’apparaître. Je me tourne vers Éva qui semble repue de plaisir et qui minaude :
— Quel truc ! C’est fou ce que j’ai pu prendre mon pied : baiser en risquant de se faire surprendre, c’est terriblement excitant.— Et moi, ça m’a plu de te voir ainsi sodomisée, ma chérie !— Humm… En plus d’avoir fait l’amour comme des animaux…
Elle ne termine pas sa phrase. Son regard se pose sur ma bite qui se redresse. Elle esquisse un sourire :
— C’est incroyable, je te fais tant envie que ça ? Je suis si bandante que ça ?Bandante, ça tu peux le dire ! Si tu rentrais à poil ? Tu veux bien ?— Toute nue dans la voiture... Avec cette circulation, ce serait risqué. Mais je vais mettre mon t-shirt en le remontant sous les seins tandis que tu ne gardes que le haut. Tu te souviens du petit jeu qu’on a fait une fois déjà ?— Tu me masturbes pendant que je conduis. C’est ça ?— Tout juste, mon chéri ! Mais si on prenait un bain avant ? Je me sens toute poisseuse.
Quelques minutes dans l’eau, avant de regagner le vestiaire, Éva passe le t-shirt, tandis que j’enfile le débardeur et le bermuda. Et, une fois en voiture, je retire ce dernier. Je regarde Éva, ses cuisses nues, sa chatte offerte : elle a remonté son t-shirt sous ses seins. À peine sommes-nous sur la route que sa main droite se pose sur ma bite déjà toute frétillante. Heureusement, la circulation n’est pas trop importante à cette heure. Elle me masturbe, tripote mes couilles. Deux feux rouges successifs me permettent de lui caresser les cuisses et la chatte. Et quand nous nous garons, vers 12h 20, à côté de ma tente, sa main s’active, me faisant jouir une seconde fois. Mais quand je veux lui rendre la pareille, elle me fait comprendre que ce sera pour plus tard.
Après le déjeuner, où il faut noter l’absence de Jana, le reste de la journée se passe comme à l’accoutumé.
À suivre...

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