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Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles

Chapitre 17

Douze hommes en rut

Orgie / Partouze
Elle doit se pencher pour franchir la petite porte. Elle va vivre quelque chose de très spécial et bientôt ce sera mon cas. Alex s’adresse aux spectateurs pour savoir lesquels d’entre eux possèdent un carton avec les chiffres de un à six. Les six élus se lèvent. C’est donc le hasard qui désigne les partenaires de Jana. Puis, sans façon, ils se mettent nus et se dirigent vers l’aquarium. Quand ils sont tous à l’intérieur, Alex referme soigneusement la porte. Ils vont droit sur elle. Ils bandent déjà, rien qu’en matant son corps.
Un quinquagénaire bedonnant, à la bite épaisse, l’interpelle :
— Alors, c’est toi miss nue ? Tu as de sacrés nichons ! Je peux toucher ?
Il a un rire gras :
— Je plaisante. Tu sais que tu es là pour nous donner du plaisir. Et de savoir aussi que tu es une excitée qui aime jouir en se faisant prendre par tous les trous…
L’homme bedonnant se met à lui tripoter les seins et tous les autres s’y mettent. Un lui met deux doigts dans la chatte, et deux autres malaxent les fesses tout en explorant sa raie. Les deux derniers se placent à sa droite et à sa gauche pour se faire masturber.Je suis presque contre la paroi et, Jana me tournant le dos, je vois nettement les doigts de deux vicieux glisser entre ses fesses et Jana frémir :
— Salope ! Tu aimes te faire doigter le cul, hein ? Comme ça ?
Jana serre les dents. Ils lui ont fourré chacun un doigt dans le cul. Et l’autre cochon bedonnant qui lui triture les mamelles à lui faire mal. Au bout d’un moment, celui qui joue avec sa vulve exulte :
— Mmm ! Elle mouille, la salope ! Avoir six bites rien qu’à toi t’excite, hein ? Allons, mets- toi à genoux.
Elle s’agenouille et ils l’entourent, debout, la bite dressée, formant un cercle autour d’elle ; et les six compères lui font sucer leur bite à tour de rôle. Quand elle les a bien excités, ils la font mettre à quatre pattes. L’un d’eux se glisse sous elle, sur le dos, tandis qu’un autre accroupi derrière elle, dirige sa bite vers son anus. Deux autres jouent avec ses tétons, tandis le cinquième, glissant une main entre ses cuisses, cherche son clitoris. Quant au sixième, il lui rentre sa bite dans la bouche.
Quand les deux queues se mettent à ramoner ses orifices du bas, que deux doigts essaient d’emprisonner son gros bouton et que deux mains massent ses mamelles laiteuses tout en caressant ses tétons, Jana ne peut résister bien longtemps à ces affolantes excitations. D’abord des gémissements de plus en plus prononcés, puis des cris, des gloussements plus ou moins étouffés par la bite qui lui envahit la bouche. Son « emboucheur » lui fourre sa bite en bouche jusqu’aux couilles, puis la retire, pour le plaisir d’entendre ses cris et couinements.
Je regarde ce spectacle, fascinée de voir Jana excitée de toutes les façons possibles, au bord de l’orgasme. Une vague envie d’être à sa place. Alors, sans vraiment me rendre compte de ce que je fais, je glisse ma main droite entre mes cuisses et je me caresse la vulve, bercée par les gloussements de ma sœur.Trop occupée à m’offrir ce petit plaisir, je n’ai pas remarqué qu’on s’approchait de moi. Une main sur mes fesses, un souffle chaud dans mon cou, une voix familière :

— Alors, ça t’excite toujours autant de voir Jana se faire baiser devant toi ?
C’est Bob ! En plus, je sens sa queue entre mes fesses, dure, tendue. C’est qu’il est tout nu… et qu’il n’est pas le seul ! Les cinq autres qui attendaient leur tour sont là, m’entourant, nus, la pine dressée. Pas besoin d’entrer dans l’aquarium, tout va se passer là, dans l’improvisation. Bob veut me sodomiser, sans doute pout qu’on sache combien j’aime être prise par mon petit trou. Il me chuchote :
— Continue à te masturber.
Alors, je titille mon clitoris avec deux doigts. En même temps, j’essaie de voir ce qui se passe dans l’aquarium : Jana couine de plaisir, avec ces deux belles queues qui lui ramonent le bas sans ménagement. Je me raidis : Bob a placé son gland sur ma rosette et il pousse. Je me mords les lèvres quand je sens sa queue s’engager dans le conduit anal. À ce moment, un mec d’âge mur, doté d’un beau membre épais, se colle contre moi sur mon côté gauche et vient frotter sa pine contre ma hanche. Un autre vient se placer face à moi, me cachant, du coup, la vue sur ma sœur.
Il bande dur et il est si près que son gland effleure ma vulve. Son regard respire le vice :
— Tu aimes te faire prendre par tes trous du bas ? Je sais que tu vas dire oui, car ici tu dois toujours dire oui.
— Je le sais et pour être arrivée jusque- là. Mais tu te retires avant, je ne prends pas la pilule…
Pourquoi j’ai précisé cela ? Nous sommes deux filles au milieu d’une douzaine de types nus et excités comme des fous. Je le vois sourire, puis il me saisit en haut des cuisses. Gêné, l’homme cesse de se branler contre ma hanche et saisit un téton entre ses doigts. Deux autres se placent à ma droite et à ma gauche, puis me saisissent une main pour que je les branle. Le dernier joue avec le téton encore libre. Mes seins occupés, mes mains occupées et ma rosette occupée. Le mec que j’ai en face, engage sans difficulté sa queue dure dans ma chatte, humide depuis un bon bout de temps.
Mes orifices remplis, mes deux hommes se mettent à les ramoner. J’ai leur souffle chaud dans le cou et sur mon visage. Mes mains s’activent sur les bites chaudes et bien raides d’excitation. Et ces coquins qui me triturent les tétons… L’excitation s’empare de moi. Je halète, je gémis sous ces coups de bite qui pistonnent mes orifices. Dans un brouillard, j’entends les cris, les râles de Jana. Puis des gloussements bestiaux. Ils l’ont faite jouir comme une folle. Bob me crie :
— Toi aussi, tu veux jouir comme ta salope de sœur ? Parce que pour jouir, elle a joui ! Jusqu’à en pisser, la chienne !
Et les voilà repartis à pistonner mes trous, comme des excités. Et comme ils me baisent debout, ils se cramponnent à moi pour maintenir leur bite en place. J’ai chaud, je suis en sueur. Autour de moi, ça gémit, ça crie, ça insulte aussi :
— Alors, ma belle pute, tu n’imaginais pas qu’il était possible de se faire démonter par six bonhommes en même temps ?
En fait, je ne distingue plus ce qu’ils disent. Mon ventre est en ébullition, mes fesses en feu. Dans un brouillard, je couine, je gémis, je halète, la bouche tordue par le plaisir. Ils doivent sentir que l’explosion est proche, alors, ils accélèrent comme des damnés, s’encourageant mutuellement :
— Encore, encore, la salope va jouir, elle va jouir !
Un hoquet, un râle. Je sens Bob qui décharge dans mon anus… et l’autre devant qui est toujours dans mon vagin ! Il se retire pile au dernier moment et une belle décharge de sperme éclabousse mon ventre. En même temps, je lâche un jet de cyprine, à la grande joie de mes admirateurs, qui s’exclament :
— Sacrée petite pute ! Elle a joui comme une chienne !
Celui qui se branlait contre ma hanche se plante devant moi et sa main droite se pose sur ma vulve toute gluante de plaisir.
— Ce soir, tu vas jouir jusqu’à l’épuisement.
Il me titille le clitoris. D’abord lentement, puis de plus en plus vite. Il le regarde grossir, durcir.
— Elle a un gros clito, la salope, elle aime se le faire masturber… comme ça !
Il saisit le bouton entre le pouce et l’index et entame une sorte de masturbation. Ça ne tarde pas et une excitation folle me vrille le bas ventre. Du coup, les autres, qui se contentaient de regarder, se rapprochent. Cette fois-ci, c’est un festival de doigts dans le vagin, dans l’anus. Et ce cochon qui me branle littéralement… Je ne pensais pas que ça m’exciterait à ce point. Je suis incapable de me maîtriser : je couine, je râle. Quelqu’un me maintient les mains dans le dos, pour que mon masturbateur ne soit pas gêné. Puis je sens une langue chaude titiller ma rosette. C’est trop pour moi et la jouissance explose, tandis que je sens un liquide tiède couler sur ma cuisse : c’est donc ça, pisser de plaisir.
Dans un brouillard j’entends :
— Putain, elles en pissent de plaisir ! De belles petites cochonnes, ces filles-là.
Dans l’aquarium, Jana se fait sodomiser en levrette à la chaîne. Chacun y va de quelques coups puis cède sa place au suivant. On voit ses mamelles qui se balancent à chaque coup de rein. Ses partenaires semblent inépuisables… tout autant qu’elle. Bouche entrouverte, yeux mi-clos, elle semble tout à son plaisir. Je me rends compte que ce qu’il faut bien appeler une baise brutale procure une jouissance dévastatrice et, quelque part, cela m’inquiète.
Une fois que j’ai récupéré, un de mes partenaires va au bar. Je remarque que c’est Alex qui officie comme barman, aidé de sa fille. Il ne doit pas avoir beaucoup de travail. Il est là pour nous mater et aussi pour sa fille, sûrement.
Il en revient avec des bouteilles de bière. J’hésite, mais il n’y a rien d’autre à ce qu’on me dit. Alors, va pour une bière. La chaleur ambiante, l’amour physique ou plutôt la baise, voilà de quoi assécher le palais ; je bois presque la moitié de la bouteille, d’un trait. En attendant la suite, nous nous sommes assis sur un banc placé contre un mur et je suis au milieu de mes gaillards.
C’est alors que je vois les partenaires de Jana sortir de l’aquarium et, en l’encadrant, l’amène devant moi. Elle est en sueur, le corps parsemé de giclées de sperme, tout comme son visage. Elle me paraît dégoûtante et, en même temps, excitante… Ce corps délicieux, qui a provoqué une telle orgie de sexe et de sperme, suscite en moi des pensées qui devraient me faire honte : voir ainsi ma soeur, m’excite. Aussi, quand elle s’agenouille devant moi, j’ouvre mes cuisses, spontanément.
Tous les mâles présents autour de nous, approuvent bruyamment. Alors, Jana plaque ses lèvres sur ma vulve et entame un cunnilingus d’enfer. En dépit de tout ce que ma chatte a déjà subi, sa langue habile finit par provoquer un délicieux émoi. Je lui caresse les cheveux, tandis que nos partenaires se masturbent en nous voyant faire. Un autre, plus vicieux, s’est agenouillé derrière Jana, sans doute pour lui doigter son petit trou. Et, à la voir ainsi tortiller ses fesses, c’est bien ce qu’il doit faire. Mais voilà que, tout en gémissant de plaisir sous les lapements de Jana sur mon clitoris, je sens deux mains se plaquer sur mes fesses. Mes deux voisins immédiats sont à l’œuvre aussi. Et leur unique but, c’est d’enfoncer un doigt dans mon anus, pour tester ma réaction. Ils sont insatiables, tout comme moi, puisque je les laisse faire. Cette ambiance autorise tous les excès.
L’atmosphère empeste la fumée de cigarette, la sueur, le sperme… La langue qui s’agite sur mon sexe… Jana va me rendre folle. Mais voilà que deux d’entre eux la font mettre debout, les mains sur la nuque. Ses beaux seins laiteux n’en sont que plus avantageux encore et c’est bien ce qu’ils cherchent : jouer avec ses seins. Deux par deux, ils viennent sucer ses tétons déjà bien érigés. Chacun y va de son commentaire graveleux :
— Elle a de sacrés nichons, Jana ! J’ai rarement vu d’aussi belles mamelles !
Puis, ils passent derrière elle, glissant leur queue entre ses fesses pour se masturber !
— Joli cul aussi. Quel plaisir de se branler entre ces collines de chair.
Trois autres gaillards s’approchent de moi et me font lever. Ils ont tous la bite dressée. L’un d’eux s’allonge sur le sol et je me retrouve sur lui, sa queue plantée dans ma chatte. Un autre se place derrière ma croupe et repère l’anus. Le troisième s’agenouille devant mon visage et met sa queue sur mes lèvres. Tous mes orifices sont occupés et ils me besognent. Comme dans un brouillard, j’entends les gémissements de Jana. Visiblement, elle se laisse aller et prend son pied sans retenue. Après tout, un gang bang consiste bien à exciter plusieurs hommes à la fois… Et j’en ai trois qui s’excitent en me ramonant la chatte, le cul et la bouche. Et moi, ces queues en moi provoquent un mélange de douleur et d’excitation sauvage. Ce que je ne vois pas, ce sont trois autres qui s’essaient à se branler sur mon cou et mon visage, seules parties de mon corps qui leur soient accessibles.
Ces messieurs sont endurants. Ils parviennent à me faire jouir une fois de plus, tandis que les trois autres parviennent à envoyer une petite giclée dans mes cheveux et sur mes joues. Je suis épuisée d’avoir joui si fort. Et Jana l’est tout autant. Un doute me taraude l’esprit: je ne sais plus si celui qui a pris mon vagin s’est retiré avant ou pas. Mais penser à ça dans un tel environnement... En attendant, un moment de repos s’impose et Jana et moi allons nous assoir au bar, face à Alex. Il nous sert un jus de fruit, preuve qu’il n’y a donc pas que de la bière. Un coup d’œil à l’horloge placée derrière le bar, nous fait savoir qu’il est presque 23 h. Allons-nous tenir le coup ? C’est que nos partenaires semblent inépuisables ! Comme s’ils avaient pris quelque drogue… Cette simple pensée m’ennuie un peu, mais pourquoi se faire du souci pour ça ?
Sonja vient déposer une cuvette d’eau avec un gant, devant nous. C’est agréable de pouvoir se rafraîchir et se nettoyer un peu. Elle s’est rhabillée, pour faire savoir qu’elle est en dehors du jeu. Décidément, il y a toujours une part de mystère chez elle.
— Alors, les poupées, on se repose ?
Je me retourne. C’est Bob, suivi par toute la bande. Ils veulent déjà remettre ça ? Jana et moi nous retrouvons coincées contre le comptoir du bar. Tour à tour, ils viennent nous prendre par derrière. Enfin, ce n’est pas le cas de tous : certains sont à bout d’avoir autant bandé, ramoné et juté, qu’ils utilisent leurs doigts pour nous pénétrer. C’est donc un défilé de doigts et de bites dans la chatte et dans l’anus. Certains nous prennent avec une certaine douceur, mais la plupart sont si excités qu’ils en deviennent brutaux. Nous leur servons de jouets sexuels tout en prenant notre plaisir au passage. De l’autre côté du bar, Sonja regarde tout cela, entendant nos cris, nos gémissements, et les mots crus que ces messieurs nous adressent. Sûr que ça doit lui faire quelque chose.
Après qu’ils aient tous « visité » nos orifices, ils viennent se branler et éjaculer, enfin ce qui le peuvent encore, sur nos fesses et nos cuisses. Nous voilà souillées un peu plus. Je les entends se marrer :
— De vrais aérodromes à foutre, ces jolies salopes !
Eh oui, des aérodromes à foutre… mais nous étions là pour tenir ce rôle. Et c‘était une expérience qui nous manquait.
Il n’est pas loin de minuit. Nous sommes épuisées, toutes les deux. Nous avons tout donné, c’est sûr. Alex refait son apparition derrière le comptoir du bar. Il nous regarde, qui sommes nues et souillées de sperme, de cyprine…
— Alors, mes chéries, ce gang-bang vous a plu, n’est-ce-pas ? Il n’y avait qu’à vous voir faire. C’était mon rêve et vous l’avez réalisé ! Je saurai être généreux.
Il nous sourit. Alors je lui parle de notre état, qu’il doit bien voir, d’ailleurs.
— On aimerait bien se laver. On ne va pas sortir comme ça, tout de même…
Il me coupe :
— Il n’y a rien pour se laver ici, mais je connais un endroit pour cela. En attendant, vous pourrez prendre un bain à la plage ; c’est tout près d’ici.
Donc il faut sortir. La cuvette et le gant ont disparu et Alex nous tend quelques serviettes en papier, pour un essuyage sommaire, mais nous sommes toutes collantes. Et en plus, cette odeur qui nous entoure… Jana enfile sa minirobe, moi de même et nous voilà dans la rue. Nos partenaires qui ont dû avoir recours au même mode de nettoyage, sortent aussi et disparaissent dans la nuit. Le temps est encore tiède. Alex marche devant, nous le suivons, tandis que derrière nous, Bob et deux autres excités, qui ne doivent pas savoir où aller, nous suivent. Je suis un peu gênée, car le foutre sur mon ventre, même séché, est une vraie colle et la robe remonte parfois, jusqu’à découvrir mes fesses. C’est que je n’ai pas de culotte. Les trois cochons qui me suivent doivent se régaler…
Il est pratiquement minuit quand nous arrivons sur la plage. Alex nous entraîne vers la jetée.
— Venez par là, vous serez plus tranquilles.
Nous arrivons au bout de la jetée. Vite, nous retirons nos robes, puis Jana retire sa culotte et moi mon soutien-gorge et nous nous jetons à l’eau. À cet endroit, on n’a pas pied et nous devons nager. Mais l’eau est si agréable. Nous y restons un bon quart d’heure. Quand nous décidons de regagner la jetée, Bob qui nous aide à remonter. Et là, nous découvrons que nos vêtements ont disparu ! Encore un caprice d’Alex ?
Certainement, à voir son petit sourire en coin :
— Vous resterez à poil ici, pour un moment. Ça vous va ?
Nous sommes ébahies. Il plaisante, sans doute. Si jamais quelqu’un aurait l’idée de venir par ici. Alex devine notre scepticisme.
— Ne vous inquiétez pas nous allons chercher les voitures, Bob et moi. Nous reviendrons le plus tôt possible.
Nous restons donc avec les deux types qui nous ont suivis. Ils ont l’air de nous surveiller et ça nous amuse un peu. C’est vingt minutes plus tard qu’une voiture stoppe à l’entrée de la jetée : c’est Alex ! Ayant ouvert la portière, il nous invite à le rejoindre : plus de cent mètres à pied, nues, suivies par nos « gardiens ». Une fois arrivées, c’est pour constater que Bob est sur le siège passager. Alex s’en explique :
— On a trouvé plus simple de ne prendre qu’une voiture.
Il nous montre un sac en plastique. À l’intérieur, nos deux robes, ainsi que les deux sous –vêtements.
— Vous les remettrez plus tard. On va donc à ce fameux endroit où vous pourrez prendre une douche, ça vous va ?
Et comment, si ça nous va ! Puis il ouvre alors la portière et nous montons. Au moment de démarrer, il lance aux deux quidams :
— Salut les gars, et merci pour votre prestation. À plus !
Nous rions de la tête qu’ils font, tandis que la voiture regagne la route.
— Nous allons à la sortie de Split ; un de mes amis y a un studio avec tout le confort. Comme il est absent, sa sœur, qui a les clés, nous a proposé de l’utiliser si nous le désirions.
Mentalement, je ne trouve rien à redire, et je suppose que ma sœur non plus. Dix minutes plus tard, nous stoppons devant un petit immeuble d’un étage. Il doit être une heure du matin et l’endroit est désert. Nous attendons qu’Alex ouvre la porte du studio au rez-de-chaussée, pour sortir de la voiture et entrer en trombe dans l’appartement : c’est que nous sommes toujours nues.
Une surprise, encore une, nous attend : Sonja est là. C’est la sœur qui l’a amené jusque- là, en voiture. Elle nous attendait en fait depuis un quart d’heure et c’est elle qui a les clés.
Elle nous entraîne vers la salle de bain, équipée d’une baignoire avec douche. D’un placard, elle en sort des serviettes, des gants et un flacon de savon liquide. Puis, sans façon, elle se met nue elle aussi et nous invite toutes deux à entrer dans la baignoire. Puis nous la voyons mettre nos vêtements dans une petite machine à laver et lancer le programme.
— Et maintenant, je vais aussi vous laver. Vous êtes les reines de la soirée.
Elle sourit et, sans attendre notre réponse, ouvre le robinet et le jet d’eau bienfaisant du pommeau de douche se répand sur nos corps. L’eau est juste tiède, mais bonne. Jana et moi comprenons vite que Sonja n’est pas là que pour nous laver, quand, réglant le jet bien dru, elle le dirige sur nos sexes, éloignant et rapprochant la pomme au gré de ses envies. Puis elle s’attarde sur les seins de Jana, puis sur mes fesses… Nous nous laissons faire : ces caresses liquides nous font un bien fou, en plus de titiller nos sens. Puis elle s’empare du flacon de savon et, en ayant mis dans le creux de ses mains, elle nous savonne ainsi, négligeant les gants. Ses mains douces font des caresses agréables sur nos corps.
Une fois que nous sommes recouvertes de mousse onctueuse de la tête aux pieds, Sonja, utilisant ses deux mains, se met à masser nos vulves, avant d’y glisser un doigt. Nous comprenons que ça fait partie d’un jeu, que je trouve fort agréable. Comme j’imagine qu’Alex et Bob sont dans l’appartement et peuvent nous mater par la porte entrouverte, je demande à Sonja :
— Au fait, nos deux hommes sont ici ?— Ah, non, ils sont sortis ; nous ne sommes que toutes les trois. Ils reviendront, ne te tracasse pas pour cela.
Et comme elle voit nos visages épanouis par la douceur de ses caresses sur notre corps :
— Alors, ça vous plait, n’est-ce-pas ? — Oh, oui, alors !
Nous avons répondu en chœur. Sonja nous sourit. Après ce monde de brutes nous voici dans un univers de douceur ou elle nous montre l’étendue de son savoir érotique : caresses manuelles, caresses buccales, coquines intrusions de ses doigts dans nos orifices. Et comme il faut bien terminer, elle tend à chacune de nous, une serviette éponge bien épaisse. Nous nous essuyons avec application. Sonja nous annonce la suite :
— Vos vêtements seront bientôt propres. Je les sécherai puis les repasserai et vous pourrez les remettre à ce moment-là. En attendant, vous resterez nues. Vous devez avoir faim ; on vous a préparé une collation dans la cuisine. Allez-y.
Nous ne nous faisons pas prier et mangeons de bon appétit, le fromage, le jambon, les tomates et le pain. Une fois terminé, Sonja revient nous voir, avec nos vêtements propres et repassés. Elle ne nous tend que nos robes :
— Rien d’autre. Vos sous-vêtements, je vous les remettrai plus tard.
J’imagine qu’Alex a prévu une dernière représentation. Nous allons certainement faire un petit tour en ville. Et qu’il va nous remettre le solde de l’argent du film…Un peu plus de trois heures du matin. Toujours dans la cuisine, nous entendons des voix : Bob et Alex sont de retour. Ce dernier vient nous voir : il tient deux enveloppes dans sa main.
— Voilà le solde pour votre participation au film. Nous avons développé, monté et visionné la pellicule : tout est parfait !
Il tend une enveloppe à chacune de nous : à l’intérieur six billets de cinquante dollars plus cinq de vingt : quatre cents chacune, donc. Pas mal… Il nous sourit :
— Alors, ça vous va ? Six cents chacune au total. Chez vous cela doit faire une coquette somme, non ?— Presqu’un an de salaire…
C’est moi qui lui ai répondu. Il semble satisfait. Puis, tout en nous enveloppant du regard :
— Maintenant, je vous invite à faire un petit tour en ville. Pour terminer en beauté, quoi.
Une balade en ville… sans rien dessous ! Ça ne cacherait pas une dernière fantaisie ? En attendant, Sonja refait son apparition, tout aussi légèrement vêtue que nous : une sorte de robe t-shirt ; elle ne doit rien avoir dessous : les tétons pointent à travers le tissu. Tout comme Jana et moi d’ailleurs. Vers trois heures et demie, Alex nous invite à monter en voiture. Jana se retrouve à côté du chauffeur, tandis que nous sommes trois sur la banquette arrière : Bob encadré par Sonja et moi. Nous lui offrons la vue de nos cuisses jusqu’à la chatte ou presque. Le coquin doit se régaler.
Un quart d’heure plus tard, nous voici en ville, sur le boulevard longeant la mer. Alex rejoint le petit parking ou Bob a garé sa voiture et parvient à trouver une place sans trop de difficulté. Après quoi, nous rejoignons le boulevard à pied. Où va-t-il nous amener, cette fois ?
En attendant, il faut ruser avec le vent venu de la mer et qui prend un malin plaisir à s’engouffrer sous nos minirobes, surtout celle de Sonja et la mienne, les soulevant sans prévenir jusqu’à dévoiler notre intimité. Un régal pour ces noctambules masculins, nombreux en ce lieu. Après tout, si ça leur plait… Et par jeu, nous décidons de ne pas nous opposer aux facéties de ces coups de vent imprévisibles. Alex nous emmène chez un glacier bien connu de Split. À cette heure-là, quatre heures du matin, pas trop de monde, mais Alex choisit de nous faire installer en terrasse. Nous devons nous assoir sur une banquette en moleskine adossée à la façade devant une longue table en faux marbre. Et c’est vite mission impossible : même en tirant dessus, difficile de masquer notre intimité… Alors, toutes les trois, sans se concerter, laissons les règles de la physique agir. Alex a bien calculé son coup.
Le serveur arrive. Nous commandons des coupes de glace à différents parfums, tous en nous amusant des regards furtifs qu’il porte sur nos jambes et même plus haut bien sûr. Quant à Alex et Bob ils sont assis sur une chaise placée sur chaque côté de la table. De quoi laisser la vue libre.
Pendant que nous dégustons nos glaces, nous bavardons de tout et de rien et bien sûr des passants qui ne manquent pas de jeter un œil dans notre direction et de se le rincer par la même occasion. Jana, assise entre Sonja et moi, doit retenir un peu plus l’attention avec sa minirobe débardeur qui, non seulement laisse bien voir sa chatte, mais offre à la vue un décolleté ravageur. Tous ces mateurs lui suggèrent un commentaire :
— Quand on partira d’ici, on va sûrement être suivies par des mecs qui se diront qu’ils ont une chance avec ces filles qui s’exhibent de cette manière. Après tout ce qu’on a eu…
Alex tempère :
— On va faire en sorte que le retour se passe bien. Croyez-moi.
On veut bien le croire. Vers quatre heures et demie, nous quittons le glacier. Et il faut bien se rendre à l’évidence, ils sont bien trois à nous suivre. Alex les a repérés aussi. Son regard ou l’on devine une lueur coquine, nous interpelle, mais lorsqu’ il ajoute :
— Peut-être qu’ils espèrent en voir plus… Ce serait chic de votre part.
J’essaie de sonder sa pensée :
— Tu veux qu’on se mette à poil dans la rue, juste pour qu’ils se régalent ?— Hum, je n’osais pas vous le demander si directement, mais c’est exactement ça. Il y a une petite rue tranquille sur la droite.
Nous nous regardons toutes les trois, et notre petit groupe s’engage dans la ruelle déserte. Jana donne le ton en retirant sa robe débardeur en la passant par le cou, suivie par Sonja. Quant à moi, je défais les bretelles et fais glisser ma robe jusqu’au sol. Le spectacle doit être magnifique : trois filles nues dans la rue. Les gars s’approchent, tandis qu’Alex veille au grain : on ne sait jamais. La « séance » dure quelques minutes, le temps pour eux de loucher sur nos seins, nos fesses et toutes les parties de nos corps propres à exciter un mâle. Puis, l’un d’eux sort un appareil photo. Si ça leur fait plaisir… Il prend ainsi une demi-douzaine de clichés avec un flash. Pourvu que ces éclairs n’attirent pas d’autres curieux ! Après quoi nous nous rhabillons, tandis qu’ils s’éloignent. Ça n’ira donc pas plus loin.
— Ça leur fera de beaux souvenirs !
Alex est heureux de notre initiative. Nous continuons à remonter la ruelle et quelques minutes plus tard, nous retrouvons le parking et la voiture. Il est presque cinq heures et nous avons trente kilomètres à faire pour rejoindre la résidence. Nous suivons la voiture d’Alex, qui nous amène jusqu’à destination. Et, tandis qu’il tourne dans la rue où se trouve son appartement, Bob gare la voiture sur le petit parking proche de sa tente. Là, nous nous séparons : tandis qu’il rejoint sa tente, nous marchons jusqu’au portail de la résidence. Tout à coup, j’ai un doute : le portail ne sera-t-il pas fermé à cette heure ? Je sais que les parents étaient avertis que nous ne rentrerions qu’au petit jour, mais…
Ouf ! C’est ouvert. Mais de là, nous apercevons une silhouette derrière la verrière de la véranda. Qui peut être si matinal ? Le jour se lève, certes, mais il doit être à peine plus de 5 h 30.
— Mais c’est monsieur Begovic !
Jana l’a vite reconnu. Nous a-t-il vues arriver ? En plus sa tenue laisse à désirer : il est en caleçon. Le souvenir de la séance sous la douche me revient d’un coup ; ce petit cochon espère que nous allons remettre ça pour son plaisir ? Après tout ce que nous avons fait… Jana me tire de mes pensées :
— Alors, c’est lui que j’ai tant excité et sans le savoir, en plus.— Ben, oui… Et même que j’ai accepté qu’il se masturbe en nous regardant… Qu’est-ce que tu fais ?
Jana est tout simplement en train de retirer sa robe débardeur et la voilà nue. Elle me regarde avec ce petit air qu’elle prend quand elle m’entraîne dans un jeu vicieux :
— Fais comme moi, de toute façon, monsieur Begovic n’attend que ça.
Nous voilà à poil face à lui. Manquerait plus que les parents rappliquent à ce moment- là. C’est peut-être cette éventualité qui rend la situation si excitante. Abandonnant toute prudence, nous nous approchons de la verrière. Monsieur Begovic est de l’autre côté, certes, mais tout près, un mètre, pas plus. Il nous sourit. Jana se colle contre la verrière. À la vue de ses seins, de son ventre et de son sexe, monsieur Begovic en est congestionné. Et quand je me colle à mon tour, il baisse son caleçon, exhibant un sexe de bonne taille, raide d’excitation. Puis, il se dirige vers la porte de la véranda. Nous faisons de même. Ses yeux expriment un désir fou. Il tend la main pour toucher nos seins. Sans prévenir, Jana saisit sa queue dressée à pleine main et commence à le masturber. Quant à moi, je lui prends les couilles : il veut du sexe, il va en avoir, mais c’est nous qui décidons.
Au début, tout en le masturbant, nous sentons ses mains se promener sur notre corps. Jana qui a emprisonné sa queue dans sa main droite et l’agite de manière désordonnée, lui lance, d’une manière provocante :
— Vous avez une belle queue, monsieur Begovic et vous rêviez qu’on vous branle à pleine main, comme ça. Et, justement on aime les grosses bites comme la vôtre.
Monsieur Begovic est ravi. Il doit penser que les filles de son hôte sont de vraies putes, pour oser lui faire cela. Mais nous imaginons bien qu’il garde son idée pour lui. En attendant, il nous tripote la vulve, celle de Jana surtout. Comme c’est elle qui le branle…
Puis Jana, pressée par le temps, accélère le mouvement, et il perd vite le contrôle. Il finit par jouir assez vite, sur la main et le poignet de Jana. À peine a-t-il le temps de se reprendre, que c’est moi qui m’empare de sa bite déjà ramollie et me remet à le branler. Ce cochon finit par rebander et cette fois la masturbation dure, malgré les va-et-vient énergiques sur sa bite et il faut quelques minutes pour le faire jouir à nouveau. Pendant ce temps, ma sœur lui a glissé un doigt entre ses jambes et il s’est laissé faire. À la façon dont il a joui, il a certainement adoré ce genre de toucher. Puis, monsieur Begovic s’éclipse, craignant sans doute une présence inopportune, et nous faisons de même.
Une fois dans la chambre, nous tombons sur nos lits et le sommeil nous prend assez vite.

À suivre...

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