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Les soirées de Sophie.

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Dans les escaliers, j’ai à peine le temps de me pousser pour laisser monter Sophie accompagnée de Sylvain et Emmanuel. Elle me jette un coup d’oeil coquin. La connaissant pour l’avoir pratiquée souvent, cette salope va se faire démonter dans les chiottes et finira par les sucer en même temps, gourmande de sperme comme elle est.
— Salut tantine, dit Sophie de la-haut, tu te joins à nous?
“Il va falloir partager tout ce bon sperme avec Paule, Sophie. Je ne te savais pas si généreuse, me dis-je arrivé en bas.”La fête continue de plus belle, champagne et musique au maximum. L’ivresse de la danse m’entraine durant de longues minutes. Tout le monde tourne et se colle aux autres. Un sabbat érotique s’empare de nous, corps et mains se touchent puis se séparent. Des images d’orgies antiques m’envahissent, hommes et femmes perdent leurs toges, moites de sueur, se pressent les uns contre les autres pour s’accoupler entre eux, sans souci de genre. On voit des touffes de poils noirs entre des cuisses luisantes ou des fesses musclées se faire prendre par des chibres durs auxquels pendent des testicules valsant en rythme sous les coups de butoir de mâles en rut.
— C’est toi le papier toilette? M’interrompt une voix timide de femme.
Je redescends sur terre pour me trouver coller à une belle créature, plutôt grande. Des cheveux mi-longs, bouclés, un visage agréable de mère de famille fatiguée me regarde droit dans les yeux. Sa transpiration colle sur sa peau un haut à fines bretelles qui modèle de petits seins prometteurs. Ses hanches serrées dans une mini jupe en jean’s sont larges. En tournant autour de moi, elle me montre un postérieur de femme mûre qui donne envie de claquer avec le plat de la main ses formes fermes et toutes en rondeurs. Ses nus-pieds à talons mettent en valeur de fines chevilles surmontées de mollets musclés. Ses longues jambes nues disparaissent sous le morceau de toile bleue comme des promesses passionnées, susurrées à une oreille avide.
— Hmmm, Françoise, c’est ça? Lui demande-je avant de poursuivre. La femme de Michel, le cousin de Sylvain, il n’est pas là ce soir?— Non, me répond-elle, nous sommes séparés. J’ai besoin de quelque chose de nouveau.— Mais avec plaisir, Cousine. Comme la surnommait-on dans la petite bande.
Et pour la troisième fois de la soirée, je suis un cul courtement vêtue dans l’escalier de Sophie. Comme pour Paule, je vérifie d’un geste rapide la présence de la culotte. Cette fois çi, ma partenaire s’arrête et écarte les jambes dans l’attente d’une caresse plus appuyée. J’en profite pour remonter sa jupe et lui baisser son slip sur les chevilles:
— Continue jusqu’à la salle de bain dans cette tenue, ça m’excite!
Le cul à l’air, sa culotte bien sage de coton blanc, à peine teintée de sueur, entravant ses chevilles, je la regarde tituber pour finir la montée et entrer aux toilettes. Ses hanches larges portent un cul aux fesses pleines comme peintes par un Rubens moderne. Alors qu’elle se pose sur la cuvette, elle retire ses vêtements pour s’exhiber nue, affalée sur le siège de faïence. Elle me la lance sa culotte:
— Attrape! Me dit-elle.— On va jouer un peu, lui dis-je en me rapprochant. Je vais fermer les yeux et tu vas me faire renifler une des trois culottes que j’ai reçu ce soir, lui propose-je en retirant de ma poche les deux autres prises.— Oh,oh! Monsieur est un pervers. Donne les moi.
A genoux devant elle, les yeux clos, je lève le visage à la recherche des effluves féminines. Rapidement, Françoise pose sur mon nez une des énigmes. Respirant à pleins poumons, un parfum âcre de sueur mélangé à une forte odeur de cyprine inonde mes narines. Sophie et Paule, parfaite salope au demeurant, n’avaient pas mouillé leurs culotte tant que ça. Je me décide pour la mère de famille éméchée assise, les cuisses écartées, sur la cuvette des chiottes.
— Voilà un nectar que je ne connais pas, un mélange de chatte mûre et de transpiration anale inconnue. Je pense que c’est ta moule qui a parfumé ce vêtement.— Bingo! Tu veux vérifier à la source, me propose-t-elle.
Elle m’attrape la tête à deux mains et pousse mon visage au centre de son entrejambe que je hume avec délice.
— Oui, c’est bien la même odeur de chienne en chaleur.— Attends, me répond-elle, je vais marquer mon territoire.
Un jet puissant d’urine jaillit d’entre ses lèvres et m’asperge le visage, arrosant ma chemise et mon pantalon. Elle éclate de rire:
— Toi qui voulais de la pisse, te voila servi !— Merde, quoi! T’assures pas, je lui réponds mi-figue mi-raisin. Je vais être obligé de finir la soirée à poil.— Mais non, je vais aller voir Sophie pour te trouver des vêtements secs. Mais, avant tu vas me faire la toilette.
Et me revoilà parti à lécher, dans les moindres recoins, le corps d’une femme pour la troisième fois de la soirée. Chapitre IVFrançoise me plante là, seul et nu dans les chiottes. Trempé par sa pisse, mes vêtements gisent au sol. Excité comme un diable, je lèche et renifle les culottes souillées des trois salopes de la soirée. A genoux sur le sol, le torse sur le carrelage et les deux mains écartant mes fesses, je lèche les traces d’urine de ma dernière maîtresse. je ne vois pas le temps passé à me frotter par terre en me branlant et me sodomisant de plusieurs doigts.
— Mais, c’est pas vrai! Regarde ça, Sophie. Un véritable porc, ce mec. Crie Françoise dans un éclat de rire.— Incroyable. Attends, je vais lui pisser dessus pour voir.
Sophie s’avance, la robe remontée sur le ventre, écarte les jambes et m’inonde d’un puissant jet d’urine sur le dos et les cheveux.
— Prend ça, sale porc. Françoise, va chercher Sylvain et Emmanuel ainsi que Paule, je suis sûr qu’elle va adorer cette grosse salope.
Alors que je fais mine de m’approcher de Sophie pour lui nettoyer la chatte, elle me repousse violemment de son pied en s’enfonçant un talon aiguisé dans l’épaule.
— T’es trop crade, là. Attend...Tu veux de la pisse...Tu va être servi...Tu te prend pour un chien...On va s’occuper de toi….
Comme elle finissait sa phrase, la petite troupe entre dans la salle de bain.
— Regardez moi ça, les gars, commence Sophie, ce petit cochon demande à être arrosé...Allez, tous en coeur!
Les deux garçons sortent leurs queues à moitiés dures et les dirigent sur moi. Paule qui a quittée sa robe, les suis. Françoise à nouveau nue, attrape la vieille bimbo par les hanches et se rapproche de moi. Sophie en chef d’orchestre dirige le quatuor de main de maître. Elle me fait allonger sur le dos et demande à Paule de m’uriner sur la bite que je branle avec entrain. Elle pousse Françoise qui à la vessie vide à me donner à lécher ses pieds souillés de pisse. Enfin, les deux garçons qui bandent maintenant comme des chevaux, me déversent dessus le contenu des boissons ingurgitées pendant la soirée. Plus ils pissent, plus ils approchent leurs pines de mon visage et finissent par forcer ma bouche. Pendant de longues secondes, ils m’obligent à les sucer alors que leurs bites suintent de l’urine. N’y tenant plus, cette truie de Paule se jette sur ma queue et me suce. Françoise qui a les jambes trempées par les jets des garçons demande à Sophie de la nettoyer. Cette dernière ne se fait pas prier et se met à genoux pour s’occuper de la toilette.
Accroupie, la chatte grande ouverte, elle lèche et suce le con de la mère de famille dévergondée. Alors que Sylvain se presse derrière la vieille pour la prendre à quatre patte, Emmanuel me fourre ses couilles dans la bouche avant de me demander de lui manger la rondelle. Reprenant les choses en main, Sophie ordonne:
— Toi, le porc, à quatre patte et tu attends. Paule, glisse toi sous lui qu’il te bouffe la chatte. Voilà trés bien. Maintenant, Sylvain, tu le sodomise pendant que la vieille s’occupe de tes couilles.
Je sens la queue me pénétrer avec délice et mes couilles aspirées par la bouche goulue de la tante en rut.
— Françoise, donne donc ton minou à nettoyer. Sylvain aime bien l’urine. Emmanuel, vient donc me piner un coup.
Elle se place debout, les mains sur mon dos et attend son coup de bite, la langue profondément enfoncées dans le cul de Françoise.Tous à nos ébats, nous arrivons au bord de l’explosion. Sophie, maîtresse scabreuse, ordonne que Paule aspire et garde le sperme qui sort de mon cul, que Françoise recueille au fond de sa chatte celui d’Emmanuel pour que toute les deux me le donnent à avaler. Allongé à nouveau sur le dos, les deux chiennes me crachent les spermes au visage. Paule que rien ne dégoutte, m’embrasse à pleine bouche pendant que je déglutis. Pour finir, Sophie me branle en me plaçant de telle façon que je reçoive ma semence en plein visage et doive la boire comme dernière humiliation de la soirée.Vidés et couverts des pisses mélangées aux spermes de ses convives, Sophie nous entraînent tous sous la douche où sous une eau salvatrice nous entamons une nouvelle partie de baise, plus classique mais tout aussi agréable.
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