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Les soldes

Chapitre 1

Hétéro
Ce sont les soldes. Je n’aime pas beaucoup les soldes, mais je consacre quand même quelques heures à la recherche des bonnes affaires. Je flâne dans les rayons d’un magasin de vêtement, je regarde sans regarder.
Peu importe comment je m’appelle, j’ai 30 ans, marié, un enfant. Ma femme me dit que je suis un beau gosse, je ne suis pas convaincu. Je profite de ma pause déjeuner pour faire quelque magasin, les bureaux de mon entreprise étant situés près d’une grande rue commerciale.
Mon regard se dirige vers la caisse, afin de vérifier l’état de la file. Il s’arrête sur une jeune fille. Elle doit avoir 19, 20 ans, elle est grande mince. C’est son visage qui m’attire, légèrement typé asiatique, un léger teint hâlé, de longs cheveux noirs. Ses yeux, noirs, sont légèrement bridés. Ses lèvres ne sont ni trop grosses, ni trop fines. Son regard croise le mien. Je le soutiens puis le détourne. Je regarde à nouveau, elle détourne ses yeux, elle me regardait.
Je continue mon chemin, cela n’a aucun sens. J’entre dans le magasin d’en face, un magasin de chaussure. Je trouve un modèle qui me plaît, et demande à un vendeur si je peux essayer, un 45. En attendant, je vois la fille entrer à son tour dans le magasin. Elle me fait un grand sourire. Elle porte un long manteau rouge, un pantalon noir, et est chaussée de bottines à talon. Je la trouve très élégante. Je lui rends son sourire, songeur, vite interrompu par le vendeur qui arrive avec mes chaussures. J’essaie, elles me plaisent, j’achète. Pendant que le vendeur encode sa vente dans sa caisse enregistreuse, je jette un regard en direction de la fille au manteau rouge, qui semble intéressée par un modèle particulier.Je paie, et sors de la boutique. Je me dirige 50 mètres plus loin dans un autre magasin de vêtements. Dans la partie homme, je flâne à nouveau entre les rayons. Un bruit de talon s’approche de moi. Une voix suave m’interpelle :
— Bonjour !
Je bondis. C’est la fille au manteau rouge, qui se tient à 30 centimètres de moi, avec un sourire magnifique, et qui me salue. Elle a un parfum légèrement sucré qui lui correspond parfaitement.
— Je suis Lisa. Je vais être directe. Je sais que je te plais, tu me plais aussi. C’est ton jour de chance, je suis un peu nympho, et j’aime les situations particulières, les lieux singuliers.— Enchanté. Oui, je vous trouve jolie... Mais je ne vous connais pas...
Elle fit semblant de ne pas avoir entendu ma réponse, me fait un clin d’œil et s’en va en direction du rayon femme. Je la suis du regard. Elle tourne sa tête dans ma direction, me fait un clin d’œil. Sa phrase pleine de sens ne m’a pas laissé indifférent. Mon cerveau bouillonne, elle est canon. Mais je suis marié. Et même si au lit ce n’est pas top en ce moment, ce n’est pas une raison. Mais bon, qui saura ? Je la regarde à nouveau, de loin. Elle est au niveau de la lingerie.Je me dis que je verrai bien ce qui va se passer, je m’approche, une chemise en main. Lisa me voit arriver, prend quelques soutiens-gorge, et se dirige vers les cabines d’essayage. Je la suis de loin, la laisse choisir une cabine. Il n’y a pas de vendeuse, une chance. Les cabines ont des portes solides dans ce magasin, c’est parfait aussi.J’éteins mon cerveau, la tension est forte, je me dirige vers sa cabine. Je toque légèrement ouvre la porte. Elle est appuyée contre une des parois, le manteau ouvert, avec un grand sourire. Elle me chuchote :
— Je t’attendais ! Entre !
J’entre, ferme la porte derrière moi, la verrouille. Je reste figé. Elle enlève ton vêtement, le pend au crochet. Elle porte un pull gris, qu’elle enlève et pose sur la chaise. Je n’avais toujours aucune réaction. Pourtant elle ne me laisse pas indifférent. Elle porte un soutien-gorge en dentelle noir, légèrement transparent. Sa poitrine doit être un B, j’entrevois ses mamelons légèrement foncés. Elle se tourne vers moi, sans mots, ouvre ma veste, m’aide à l’enlever. Elle déboutonne ma chemise, bouton par bouton, avec des gestes délicats. Je suis buste nu, elle approche son visage du mien, pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue vient chercher la mienne, son haleine est fraîche, mentholée. Nous nous embrassons. Ses mains sont déjà descendues au niveau de ma taille, elles desserrent ma ceinture, déboutonnent mon pantalon qui glisse sur mes jambes. Nos lèvres se séparent, elle me fixe du regard, me fait un clin d’œil, puis s’agenouille, sa tête arrivant au niveau de mon boxer, laissant apparaître une bosse proéminente. Elle caresse cette bosse à travers le tissu, puis descend lentement mon boxer, libérant mon sexe déjà bien dur. Lisa me fait un sourire, le prend en main, et l’entre dans sa bouche.
Je suis aux anges, toujours silencieux dans cette cabine d’essayage. Des gens circulent autour de nous. Nous ne faisons aucun bruit, à part un ou l’autre bruit de succion. Elle fait ça bien, sa langue tournoie, elle va-et-vient avec sa bouche, jouant de ses mains. Le plaisir augmente, la pression monte. Alors que j’approche de l’apogée, elle arrête, et se lève pour m’embrasser goulûment. Enfin, je réagis et dégrafe son soutien-gorge. Elle se colle contre moi, je sens sa poitrine chaude contre la mienne. Elle déboutonne et descend son pantalon. Je glisse ma main entre ses jambes, elle porte un string, il est trempé. Je caresse sa vulve imberbe, un doigt glissant entre ses lèvres mouillées, j’excite son clitoris, j’explore l’entrée de sa grotte dégoulinante. Elle soupire.
A mon tour, je m’abaisse. Je m’attaque à sa poitrine, j’agace ses mamelons tendus. Je descends encore, j’arrive au niveau de sa fente. Elle appuie une jambe sur la chaise, me laissant la porte ouverte pour une exploration buccale. Ma langue s’invite au niveau de son clitoris, continue plus loin, le long de ses petites lèvres. Son goût est un peu sucré, ce qui me surprend et m’invite à sucer son petit bouton. Lisa soupire, caresse tantôt sa poitrine, tantôt mes cheveux. Au bout de quelques minutes, je me relève, l’embrasse goulûment pour qu’elle puisse goûter à son propre jus.

Elle m’ordonne de m’asseoir sur la chaise. Je m’exécute. Elle s’agenouille brièvement entre mes jambes, prend mon sexe en bouche, se relève. Il est à présent prêt, dur comme fer, baveux. Lisa m’enjambe, prend mon pieu dans sa main droite et le guide tout en me fixant dans les yeux et en descendant son bassin. Sa vulve entre en contact avec mon gland, qui s’engouffre sans aucune résistance dans ses chairs intimes. Son vagin est trempé, je suis comme aspiré en elle. Elle se laisse descendre le plus loin possible, nous soupirons, nos bouches se rejoignent.Son bassin entre en mouvement, les sensations sont fortes. De par sa jeunesse et son allure sportives, son vagin est serré et chaque mouvement me procure un plaisir fou. Très vite, nous nous déboîtons, elle s’appuie sur une paroi de la cabine, se cambre, m’offrant une vision de rêve sur son sexe ouvert, luisant de mouille, n’attendant que le retour de mon pieu.Je le présente à l’entrée, et je m’enfonce en elle en un coup de reins, au plus profond d’elle. Elle ne peut retenir un petit cri, qui ne perturbe en rien les clients du magasin se changeant dans les cabines avoisinantes. J’accélère le mouvement, lui malaxe la poitrine. Je lui attrape les cheveux que je tire gentiment pour qu’elle se cambre davantage. A chaque butée, je sens que je suis au plus profond d’elle, je sens sa vulve toucher mes couilles, mon sexe est dans un carcan chaud, serré.Vient le moment de la jouissance. Je ne me pose pas de question et explose au fond d’elle. Ma queue palpite en elle, je me vide littéralement. Je sens son vagin pulser autour de mon membre, comme pour m’encourager à sortir toute la sauce.
Lentement, je me dégage, un mélange de cyprine et de sperme coule le long de sa jambe. Elle sort un paquet de mouchoirs de la poche de son manteau rouge afin d’éponger les traces de notre échange.Elle s’habille, je fais de même. Elle m’embrasse une dernière fois et me dit avant d’ouvrir la porte de la cabine :
— Cette séance de shopping était un plaisir. J’espère te recroiser un jour !
Elle ferme la porte derrière elle après avoir fait un clin d’œil.Je sors à mon tour, la fille au manteau rouge a disparu.
Je ne vous cache pas que j’ai fait les magasins les jours qui ont suivi, sans ne plus jamais la revoir.
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