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Les Souffles

Chapitre 1

Hétéro
3 Juin 2004.
J’avais décidé de faire une randonnée dans le massif des Ecrins, de la vallée du Valgaudemar à celle du Valsenestre, en deux jours, en passant par le pas de l’Olan, avec une nuit au refuge des Souffles. Comme il se doit, j’avais préparé ma sortie : condition météo et hébergement avaient été étudiés. Le refuge des Souffles est géré par le Club Alpin Français. Il offre en temps normal, en plus du gîte, le couvert, ce qui permet de randonner plus léger. Toutefois, à cette époque, pour des raisons de mise aux normes du logement du gardien, il n’était plus gardé et n’offrait que le minimum : des matelas, des couvertures et de la vaisselle, ce qui, à presque 2000 m d’altitude et 3 h 00 de marche de la première maison est déjà beaucoup. J’étais parti tôt le matin, commençant mon ascension vers l’Olan dès 5 h00, pour parvenir après 20 km de marche et 2000 m de dénivelé au refuge, vers 18 h 00. J’avais rencontré peu de personnes sur le chemin, les grandes vacances étaient encore dans le futur et le week-end ne commençait que le lendemain soir, moment où j’avais prévu d’avoir terminé mon périple. Cette solitude n’était pas pour me déplaire, je l’avais même recherchée.Le corps envahi d’une saine fatigue, je me re-hydratais doucement, en buvant l’eau de source fraîche qui s’écoulait dans deux auges de pierre, près de la terrasse du refuge, sous les mélèzes, tout en écoutant les bruits de la montagne et en contemplant le paysage. Je me suis assoupi quelques instants. Lorsque j’ai rouvert les yeux, les ombres s’étaient considérablement allongées, annonçant l’arrivée de la nuit, et je me suis préoccupé de m’y préparer. Comme je l’avais espéré, je me trouvais seul dans ce refuge. Je pris possession de la grande chambrée, et nettoyais la vaisselle qui me servirait à préparer mon repas. Je n’envisageais pas de me glisser dans mon duvet sans avoir procédé à une toilette la plus complète possible et disposant de l’eau « courante », bien qu’elle ne fût pas très chaude, j’entrepris de me laver soigneusement, afin de retirer de ma peau la sueur et la poussière qui s’y étaient déposées tout au long de cette journée. Je la terminais revigoré par la fraîcheur de l’eau et revêtais des vêtements propres. Il était un peu plus de vingt heures.Du chemin qui montait vers le refuge, j’entendis crisser des pierres, au rythme lent d’un pas humain. La végétation me cachait celui qui en était à l’origine mais je sus qu’il en était fait de ma nuit de solitude : à cette heure, ce promeneur tardif ne poursuivrait pas plus loin son périple et viendrait sans doute me ravir ma tranquillité.Elle apparut enfin, vision incongrue en ce lieu. Des baskets, un mini short moulant, un bustier qui contenait avec peine une poitrine que les sangles du sac à dos ne réussissaient pas à mettre entre parenthèses et sous une casquette blanche à longue visière une chevelure noire comme la plume du corbeau. Ses socquettes blanches avaient souffert de la poussière du chemin. En fait de sac à dos, il s’agissait plutôt d’une pochette tant celui-ci me semblait petit et je la pensais partie en éclaireuse devant un chevalier servant chargé comme un mulet, qui finirait lui aussi par la rejoindre. Mais non, elle était seule. Elle me rejoignit sur la terrasse, me dit bonsoir, je lui répondis. Elle retira la pochette de son dos, la posa sur une table en bois et descendant à la source, elle alla boire en guidant des ses paumes l’onde fraîche vers ses lèvres, puis se rafraîchit le visage. J’avais eu l’intention de commencer à préparer mon repas mais je préférais attendre quelques instants, je souhaitais savoir comment elle envisageait sa nuit dans ce refuge. Il m’était d’avis que son sac ne devait pas contenir le minimum pour lui assurer une nuitée à peu près confortable. Elle avait terminé ses ablutions et se mit à inspecter les lieux avec attention. Son regard fit le tour des abords du refuge, puis elle rejoignis la terrasse et pénétra sous l’abri. Son inspection fût courte et elle ressorti, la perplexité se reflétant sur son visage. Je la sentais contrariée et j’en devinais la cause. Il était vraisemblable qu’elle était montée jusqu’ici en espérant trouver ce qu’un refuge gardé offre habituellement comme confort en plus de l’abri: un repas chaud, des draps propres. Elle avait du voir mon sac à dos et en déduire que je n’étais pas le gardien. Elle se rapprocha de moi, les mains glissées dans les poches arrières de son short, et me demanda, avec un sourire contrit et en m’effleurant de son regard si je savais où se trouvait le gardien. — il est dans la vallée, lui répondis-je, son lit n’est plus aux normes.Elle redressa la tête et pour la première fois son regard s’accrocha au mien, évaluant le sérieux de ma réponse, ses yeux étaient d’un beau vert. Je lui précisais alors mon propos, lui racontant l’histoire des normes européennes, et de la nécessité pour le CAF d’entreprendre des travaux afin d’offrir au gardien un confort règlementaire. Je vis qu’elle acceptait l’information, mais que cela ne réglait pas son problème.— Vous aviez prévu de passer la nuit ici ? lui demandais-je.— Oui, je suis partie tardivement, mon guide touristique disait que ce refuge était gardé. Je me sens idiote, je n’ai que quelques affaires de toilette et des vêtements de rechange. Je n’avais emmené qu’une gourde et quelques biscuits. Il va me falloir redescendre.— Je crains au contraire qu’il ne vous faille rester ici, la nuit va tomber, il y a trois heures de marche pour rejoindre votre point de départ, il n’est pas prudent de repartir. En tout cas, je ne vous le conseille pas. Pour le repas, vous serrez mon invitée. Pour le couchage, il y a la place suffisante et de nombreuse couvertures, je vous prêterai mon sac à viande, je me contenterai de mon duvet. Demain matin vous pourrez repartir.
Elle ne fût pas longue à réfléchir : — C’est gentil de votre part, j’accepte. Que puis-je faire pour vous remercier ?— Rien du tout, votre compagnie me sera agréable, cela paiera largement votre écot. Et puis la solidarité de la montagne se passe de dettes. J’allais justement préparer mon repas, vous m’accompagnez ?Elle me suivit dans le refuge en me demandant où j’avais commencé ma rando. Je lui décrivis mon itinéraire tout en retirant de mon sac ce qui composerait notre « dîner » : des tomates, des pâtes, une sauce « carbonara » faite maison que j’avais stérilisée, du fromage et une crème dessert au chocolat qui étaient restés frais dans un sac isotherme garni d’un glaçon. Cerise sur le gâteau, une bouteille de Bandol, elle aussi encore fraîche. Je n’ai pas l’habitude des repas « déshydratés » et je préfère me charger un peu plus pour apprécier un bon casse croûte. Le pain acheté le matin avant le départ était encore suffisamment frais.— C’est un festin, me dit-elle, je meurs de faim en fait— Juste le temps de faire cuire les pâtes et nous pourrons passer à table.— Avant cela, je voudrais me rafraîchir un peu— Eh bien il n’y a pas de douche n’y d’eau chaude. mais si vous utiliser la source, je vous promets de ne pas regarder par la fenêtre ! Laissez-moi d’abord prendre de l’eau et je vous laisse tranquille.Nous sortîmes tous les deux, moi pour m’approvisionner en eau, elle pour faire sa toilette. Je remplis ma gamelle puis rentrais continuer la préparation de notre repas, la laissant seule près de l’auge de pierre. Mon esprit toutefois restait près d’elle. Je me demandais comment allait se dérouler cette soirée et pourquoi il avait fallu que le hasard mette sur mon chemin une fille dont l’archétype habitait depuis de longues années mes fantasmes.
L’eau commençait à peine de frémir sur le petit réchaud posé à l’extrémité de la table lorsqu’elle revint à mes cotés. Elle avait abandonné son short et son bustier pour revêtir un fin jogging assez ajusté qui pouvait passer pour un pyjama, et ses pieds étaient chaussés d’une paire de mules. Elle avait l’air parfaitement à l’aise ainsi vêtue et dégageait l’odeur fruitée de son savon. Sous sa veste, ses seins étaient libres et leurs mamelons tendus indiquaient que l’eau était décidément très fraîche. Il était difficile de la regarder dans les yeux !
Nous nous sommes mis à table et avons fait honneur au repas. Elle n’a pas laissé sa part et a dévoré à belles dents ce dîner que le hasard me faisait lui offrir. Nous avons fait plus ample connaissance : elle s’appelait Fabienne, avait 22 ans, poursuivait des études en master de chimie à Lyon et était venue passer quelques jours dans un chalet que des amis de ses parents possédaient à Villars-Loubière, le plus proche village dans la vallée. Elle y attendait depuis trois jours son petit ami, qui aurait du la rejoindre mais qui était semble-t-il bloqué à Lyon par un travail urgent à finir pour son employeur. Elle avait tourné en rond pendant ces trois jours avant de décider sur un coup de tête de partir en rando, ce qui l’avait amenée devant moi. Je l’écoutais me parler et j’étais totalement sous le charme. La nuit étant maintenant tombée et l’éclairage minuté du néon à énergie solaire manquant de romantisme à mon goût, j’avais éclairé quelques bougies qui allumaient dans son regard des étincelles d’or. Nous avons fini la bouteille de rosé et je lui ai proposé, après le dessert, de boire un thé, ce qu’elle a accepté en proposant d’aller le boire dehors. Tandis que chauffait l’eau, nous sommes sortis regarder le ciel. La pleine lune éclairait la montagne, tout dehors était gris sur noir.
Elle a trébuché et s’est rattrapée à mon bras, pivotant contre moi en s’affaissant. J’ai glissé ma main sous son aisselle pour la rattraper, elle s’est redressée et s’est retrouvée contre moi. Dans sa presque chute, elle n’avait pas poussé un cri, elle a redressé la tête vers moi sans doute pour me remercier mais je ne lui ai pas laissé le temps de parler : j’ai plaqué ma bouche contre ses lèvres entrouvertes tandis que mes mains se rejoignaient dans son dos pour la hausser vers moi. Elle a hoqueté de surprise mais n’a pas refusé mon baiser, ma langue trouvant facilement la sienne. Ses bras se sont posés autour de mon cou et pendant quelques instants nous nous sommes ainsi embrassés avant qu’elle ne mette fin à notre étreinte, en me repoussant sans violence en me disant « ce n’est pas possible, j’ai un copain. »
Elle a fait quelques pas en direction du refuge, je l’ai rattrapé et l’ai saisie par la taille, en plaquant son dos contre mon torse et en glissant mes mains sur son ventre ferme. J’ai posé mes lèvres dans son cou, elle a réitéré son refus en murmurant, sans toutefois tenter de se dégager. Ses mains se sont posées sur les miennes, comme pour leur interdire tout mouvement mais je les sentais attentistes et sans volonté. Elle a penché sa tête, facilitant mes semailles de baisers le long de son cou, continuant de murmurer quelques « non », puis, dans un grand soupir, ses mains ont quitté des miennes. Elle en posa une sur ma joue, l’autre venant appuyer sur ma cuisse. J’accentuais la pression de mon corps contre le sien et glissais mes mains sous sa veste, les posant contre son ventre. J’en appréciais la douceur et la fermeté et de cette place stratégique, décidais de conquérir les alentours. Tandis que ma main droite remontait vers ses seins, la gauche franchi la mince ceinture de son pantalon pour venir découvrir une courte pilosité que ne protégeait nulle autre étoffe. Je parcourus d’un doigt curieux les limites de sa toison, qui me semblait représenter un mince trait vertical désignant la direction à suivre. Je suspendis ma progression vers le bas pour me préoccuper plus attentivement de ce que ma main droite venait d’atteindre, un globe aux dimensions parfaites, dont la masse me semblait l’étalon du plaisir et le grain de sa peau celui de la douceur. Je m’empressais de vérifier la symétrie de mes sensations à deux mains, mes dix doigts venant circonvenir cette perfection, et tandis que je mordillais maintenant le cou de ma compagne, je jouissais d’une randonnée sur des bosses enchanteresses.
Fabienne appréciait ces attentions et ses fesses entamaient contre mon pubis un mouvement qui finalisait l’état dans lequel ce qui précède m’avait mis, et s’enhardissant, elle glissa entre elle et moi sa main qui n’avait jusque là pas quitté ma cuisse, pour l’introduire dans mon short et venir y découvrir l’objet de son désir. Elle l’empauma fermement et entrepris de le branler légèrement, ce qui fini de lui donner sa dimension majeure. Je n’avais cessé de lui mordiller le cou tout en lui caressant les seins, je décidais de redescendre vers la source de toute vie. Devançant mon désir, Fabienne m’ouvrit le triangle de ses cuisses en posant un pied sur le rebord de la terrasse. Je suivis le même chemin que tout à l’heure, et ne m’arrêtant pas cette fois ci sur les courtes broussailles qui l’habillait je glissais ma main sur le fruit lisse et charnu dont mon majeur au passage vint cueillir un peu du nectar. Je m’attardais quelques instants sur ces lèvres muettes, les pressant pour en absorber la chaleur et commencer d’en extraire le jus. Je fis lâcher prise à Fabienne, tout en me promettant de lui laisser le plein usage plus tard de ce dont elle s’était emparée et la faisant pivoter, je retrouvais sa bouche pour m’y désaltérer. Dans son mouvement, elle vint glisser sa jambe derrière la mienne, permettant à ma main de continuer ses caresses. Du majeur, je recueillais le doux liquide qui s’écoulait d’elle et venait avec lui adoucir les replis de son trésor, titillant au passage l’anneau de l’urètre et le léger renflement de son clitoris que je prenais soin d’éviter, pour redescendre ensuite au bord de sa grotte ou mon doigt de moins en moins timide pénétrait à chaque fois plus avant. Les mains glissées contre mes fesses, sa langue se liant à la mienne, Fabienne ouvrait bien haut le compas de ses cuisses en posant contre ma hanche le creux de son genou. De faibles gémissements saluaient avec régularité le passage réussi entres ses nymphes et j’eus bientôt une idée précise des points qui les déclenchaient. Les mouvements de son bassin s’accentuant, je me concentrais sur les quelques centimètres les plus sensibles, en faisant des allez-retours entre son urètre et le capuchon de son clitoris que je finis par mettre à nu : ce petit bouton tendrement pressé déclencha une série de plaintes et de tremblements chez ma partenaire qui prenait ainsi une avance sur mon plaisir. Je laissais passer la houle de son orgasme en lui mordillant les lèvres et en décrivant de petits cercles à l’entrée de son vagin. Elle décida alors de prendre l’initiative et s’accroupit devant moi en tirant vers le sol mon short et mon boxer et ayant ainsi libéré la barre de chair qu’elle avait solidifiée y posa les lèvres avant de la saisir des deux mains. Un « oh » de surprise me fit comprendre qu’elle venait de prendre la mesure de la situation. Ses deux mains agrippées à mes attributs en laissaient encore dépasser un peu mais ses doigts n’en faisaient pas tout à fait le tour. Cela ne la découragea pas et elle emboucha résolument tout ce qu’elle put pour me prodiguer la plus tendre des caresses. Sa langue s’enroulait autour de mon gland circoncit et venait cueillir les quelques gouttes de suc qui y perlaient tandis que ses mains me branlaient habillement. Quelques minutes de ce traitement de déesse eurent raison de moi et je la prévins de l’arrivée imminente de la lame de fond qu’elle avait provoqué mais elle ne me permit pas de l’inonder. Elle trouva à la base de ma hampe le renflement de mon uretère et le pressant fermement elle me fit jouir à sec, le gland collé à son palais. Les contractions de mon orgasme terminées, je la relevais et l’entraînant dans le refuge ou continuait de briller quelques bougie et j’entrepris de la dévêtir entièrement. Elle m’apparue dans la faible lumière des tiges de cire que j’avais disposé sur les tables et les étagères. La taille mince, les seins lourds mais parfaitement dessinés aux aréoles sombres et aux tétons érigés, les fesses pleines et fermes avec entre les jambes l’espace large d’une paume de main et les lèvres de son sexe proéminentes comme une virgule de chair. Je retirais mon tee-shirt et aussi nu qu’elle je la poussais contre la table. Ses fesses vinrent s’y écraser et m’inclinant face à elle je lui saisis les jambes et les relevaient. Déséquilibrée, elle tomba en arrière, se rattrapant sur la table les bras en arrière. Je glissais mes mains derrière ses genoux et lui ouvrit les jambes, libérant totalement l’accès à sa vulve et à son anus. Elle n’avait pas prononcé un mot depuis sa découverte du calibre de mon sexe et ne le quittait pas des yeux depuis que nous étions revenus à la lumière. Lui maintenant toujours les cuisses bien écartées, je m’agenouillais devant elle et entrepris de goûter à sa chatte inondée Elle positionna ses pieds sur la table, totalement offerte et se redressant légèrement vint me caresser les cheveux en me murmurant des encouragements explicites : « Suce moi, vas-y, suce moi bien. Comme ça oui, bouffe-moi la chatte, bouffe, bouffe tout, suce, oh oui suce. » Sa main contre ma nuque écrasait mon visage contre son sexe et elle devenait à peu près folle de plaisir : elle frottait maintenant ses nymphes contre mon visage, mon nez était rempli de son odeur, mes joues luisantes de sa cyprine. Je caressais ses seins dont je faisais rouler les tétons entres mes doigts, je pétrissais ses fesses entre lesquelles ruisselaient son jus et ma salive. De plus en plus fougueuse, elle cherchait à mettre ma langue sur son clitoris gonflé dont le capuchon avait depuis longtemps disparu. Je m’ingéniais à lui refuser cela de longs instants puis ses mouvements devenant de plus en plus insistants et sa main brutale dans mes cheveux, je finis par accéder à son désir. Dans le même temps que je glissais dans son cul le majeur de ma main droite, je lui bouffais le bouton. Elle hurla de plaisir et s’écroula sur la table, le corps parcouru de spasmes, pendant tout le temps que ma langue et mes lèvres suçaient et aspiraient son clito et que mon doigt coulissait dans son anneau froncé. Je me redressai alors et dans le compas de ses cuisses, dans le sillon brun de sa chatte épilée je posais ma bite distendue et les mains sur le haut de ses cuisses je l’empalais sur mon dard. Elle hoqueta et se redressa sur ses coudes, les yeux rivés sur ma bite qui progressait centimètre par centimètre dans les profondeurs de son corps. Elle s’affaissa de nouveau et s’empara de ses seins qu’elle pétrit consciencieusement. La progression de ma bite devenait plus difficile mais je ne voulais pas revenir en arrière avant de lui avoir tout mis. Je posais mes mains le long de sa chatte et j’écartais son orifice puis d’un coup sec je terminais de me loger dans sa fontaine. Alors seulement, après l’avoir bien remplie, d’être sûr d’occuper tout l’espace disponible, je commençais de la besogner. Je sortais presque entièrement mon chibre de son vagin à chaque fois, ne laissant que mon gland, puis je la forais de nouveau. Ses cuisses sur mes bras, je contrôlais mes mouvements sans perdre de vue son visage rayonnant de plaisir. Tantôt elle se mordait les lèvres, tantôt elle criait « oui, oui », et vraiment, je n’avais aucune envie de lui dire non ! Notre accouplement dura longtemps, je cherchais à me retenir le plus possible, ce qui n’était pas le cas de ma partenaire, qui dut jouir trois fois en peu de temps. Quand au final je senti que l’explosion était proche, et que j’accélérais ma cadence, Fabienne me dit « attend, attend, dans ma bouche, je te veux dans ma bouche » et me repoussant rapidement elle s’agenouilla devant moi et enfourna ma bite entre ses lèvres tout en me branlant : elle m’acheva et je lui inondais la gorge d’une semence doublement contenue en longue giclée. Je sentais sa langue s’enrouler autour de mon gland et titiller mon méat. Elle continua ainsi jusqu’à ce qu’elle soit sûre d’avoir soutiré mon jus. Elle rejeta alors sa tête en arrière et ouvrant la bouche, elle me tira la langue, me montrant la joie dans les yeux sa bouche remplie de mon sperme puis, en deux gorgées, l’avala. Continuant à me branler, elle se redressa et vint m’embrasser. Je lui rendit goulument son baiser en l’enlaçant. Mon sexe qui avait commencé de se détendre retrouvait sa forme sous le double effet de ses caresses et de notre baiser. Elle me fit remarquer que j’étais toujours en forme, et qu’il serait dommage de s’arrêter là..
Elle se mit cette fois-ci à quatre pattes sur le sol et posant sa tête contre ses bras repliés, elle dressa sa croupe vers le plafond. Bien qu’elle n’eut pas besoin de préciser se qu’elle attendait de moi, elle cru bon d’ajouter « viens, et défonce moi ! » ce qui commença dans la seconde. Cette fois ci, il nous fallut un peu plus longtemps pour jouir et je ne me retins pas de la secouer, ma bite jouant de les pilons dans sa baratte. Une fois, presque par inadvertance, un mouvement plus brusque qu’un autre m’éjecta de son fourreau et mon gland se retrouva écrasé contre sa rondelle. Elle coupa toute velléité de sodomie en me criant « non, pas par là, t’es trop gros » et me fit réinvestir prestement la voie humide en ajoutant « un doigt, tu peux », et oui en effet, je pouvais et même si facilement que j’en mis un deuxième, ce qui la fit hurler et m’épancher contre sa matrice.
Il était maintenant tard dans la nuit, presque deux heures du matin et cette journée qui avait pour moi commencée vingt-deux heures plus tôt se rappelait à mon souvenir. Nous avons trouvé le temps de faire chacun une rapide toilette, j’ai disposé mon sac à viande sur des matelas de la chambre puis Fabienne et moi nous sommes allongés sous mon duvet et des couvertures, dans la position de la cuillère. Elle avait juste passé sur ses épaules sa veste et moi remis mon tee-shirt, de telle sorte que mon sexe reposait dans le sillon de ses fesses. Le nez dans les cheveux, ma main sous son sein, je m’endormis aussitôt.
Le jour pointait à peine dehors lorsqu’elle me réveilla. Toujours dans la position ou nous nous étions endormis, elle avait glissé entre ses cuisses ma pine qu’une érection nocturne avait remis en pleine forme et s’astiquait dessus, la faisant se promener dans le sillon de sa vulve, de l’orifice du vagin au clitoris. Ce manège devait durer depuis un bon moment, eu égard aux petits couinements qu’elle émettait qui révélaient son état d’excitation. Je ne lui montrais pas tout de suite que j’étais réveillé, mais lorsque je voulus à l’instant où son vagin s’abutait contre mon gland profiter de cette position pour la forcée, elle se retourna et me dit, la vois enrouée « non, attends, je veux que tu m’encules.»
Cette demande me surpris, elle qui quelques courtes heures auparavant refusait cette pénétration semblait maintenant l’appeler de ses voux. Je ne dis rien et lui laissais prendre l’initiative. Elle quitta brièvement notre couche et revint avec un tube de lait après soleil qu’elle avait amené. S’agenouillant près de moi, elle entrepris d’en enduire généreusement ma bite, puis, m’enjambant en prenant soin de ne pas se cogner la tête aux planches constituant le sommier du lit du dessus, elle positionna son cul contre ma bite et les mains sur mon torse, commença lentement de s’empaler sur mon vit.
Dans un premier temps, rien ne se passa, son anneau ne semblait pas vouloir se prêter à cette intromission. Elle fit quelques mouvement du bassin et accentua sa pression sur ma bite que je maintenais en position. Lentement, je sentis l’anus de Fabienne céder sous sa volonté et s’ouvrir pour emprisonner mon sexe, la sensation était extraordinaire. Lorsque mon gland eu franchit la barrière et que je ne craignis plus de le voir glisser ailleurs que dans ce cul, je lâchais ma bite pour venir caresser le sexe de ma compagne, mais elle me l’interdit. Entre deux gémissements, elle me dit « non, arrête, ne me touche pas, attends, attends » et ondulant du cul elle fit coulisser son anneau sacré jusqu’à la base de mon chibre. Alors seulement là, elle se redressa complètement, s’assit carrément sur moi et entrepris une chevauchée qui nous fit elle et moi pousser des cris de possédés durant de longues minutes. Elle fut foudroyée en même temps que moi par un orgasme incroyable et elle s’écroula contre moi, éjectant de son cul mon vit lessivé.
Nous nous sommes réveillés très tard au regard de la journée d’un randonneur, il était plus de dix heures du matin. Elle s’est blottie contre moi et nous nous sommes fait de petits câlins, je commençais ma journée en visitant les rondeurs de son corps. Nous avons ensuite pris le petit déjeuner, elle m’a demandé ce que j’allais faire. Je lui ais dit que je souhaitais passer le week-end avec elle, voir plus... Elle a accepté en me sautant au cou. Nous avons rassemblé nos affaires, puis avons quitté le refuge des Souffles par le chemin qu’elle avait pris pour y monter. Je pensais à ce copain dont elle m’avait parlé et qui devait la rejoindre. Nous sommes arrivés à Villard-Loubière vers 18h00, nous avons mis plus de temps à descendre que prévu parce-que Fabienne serait les fesses et que je suis plusieurs fois tombé dans un trou. généreusement offert !
Arrivé à son chalet, il y avait un message sur son répondeur : il ne viendrait pas. Il n’est jamais revenu !
Chaque année, nous refaisons Fabienne et moi cette jolie randonnée, dans ce refuge ou dans un autre.
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