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Les souvenirs surgissent

Chapitre 3

Gay
Rappel : Je n’ai plus de nouvelle du concierge qui a quitté son emploi ...N’ayant plus la possibilité de retrouver ma relation avec cet homme, je reste frustré, pendant de longues années, je me contente de me masturber en ajoutant toujours l’élément pénétration, j’ai fabriqué un gode avec un manche d’ustensile de cuisine en plastique, parfois j’enveloppe un légume plus ou moins gros dans un préservatif, j’arrive à retrouver un semblant de jouissance comme avec Claude.
Mon travail me prend beaucoup de temps, je reçois des promotions qui améliorent beaucoup mon aisance financière, mais je me sépare de ma femme avec laquelle j’ai eu deux enfants, j’ai une compagne avec laquelle très vite nous cessons d’avoir des relations sexuelles par manque d’attirance ... Et puis arrive internet ...
Pour mon boulot, j’utilise un ordinateur (c’est encore une tour) à la maison. Rapidement, je trouve des sites de rencontres discrètes et je m’inscris sur plusieurs d’entre eux.D’échange en échange et sans tenir compte des fantasmes de tout poil, je tombe sur un homme poli et cultivé, un peu plus âgé que moi. Il se présente comme pilote d’avion, son épouse est hôtesse et ils voyagent chacun de leur côté ... professionnellement.
Il s’ennuie et avoue avoir des penchants bis. Nous discutons quelques semaines par messagerie, puis décidons de nous rencontrer chez lui. C’est une maison cossue, entourée de haies assez hautes pour la discrétion. Je n’ai pas besoin de sonner, il ouvre la porte, vêtu d’un pantalon en toile clair et d’un polo manches courtes. Nous n’avions pas échangé de photo, je le trouve petit et trop mince à mon goût, mais néanmoins bien de sa personne. Il semble surpris de ma taille et, disons, de mon "volume".Il me guide vers son salon, il y a un divan, assis côte à côte, nous discutons de tout et de rien, mais aussi de nos relations extérieures à nos couples respectifs ... tout en répondant à mes questions, il pose la main sur ma cuisse, pressant légèrement.
— Tu dois avoir un peu chaud, non ? Mets-toi à l’aise.
J’ôte ma chemise, c’est vrai qu’il fait bon dans cette pièce, et puis je suis là pour cela aussi ... il semble en admiration devant ma poitrine, il avance la main et englobe un sein tout en le malaxant
— Tu as une superbe poitrine et un petit ventre avec ça, j’adore !!! Laisse-moi faire !
Je lui avais expliqué que j’aime quand mon partenaire décide et dirige, je fais donc ce qu’il me dit, il est très doux, sa voix est suave ..., je me pose sur le dossier, et ferme les yeux, ses mains se baladent sur mon torse, passant du ventre à la poitrine, mais très vite ma ceinture le gêne.
— Lève-toi !
J’obtempère, je suis debout face à lui, il défait ma boucle, je veux l’aider
— Non, laisse, c’est moi ! Mais d’abord, enlève chaussures et chaussettes.
J’obéis, me redresse et suis quasiment au garde-à-vous, je laisse pendre les bras le long du corps, il a vite ouvert la fermeture, descend mon pantalon, le poussant sur mes chevilles, puis abaisse prestement mon slip ... ensuite, il se recule en s’appuyant au dossier comme pour me contempler; mon pénis pend mollement.
— Tourne-toi, stp !
Difficile avec les chevilles entravées; mais à petits pas, je m’exécute, je suis de profil par rapport à lui.
— Stop !
Il s’approche de nouveau et une main sur mon derrière et l’autre qui me caresse la verge, il évalue la "marchandise", dirait-on. Son manège commence à me faire de l’effet et je me retrouve très vite en érection.
— Holà ! Petit, mais réactif ... j’aime ça ...
Je n’attendais pas à cela, mais une claque s’abat sur mes fesses
— Je n’ai pas pu résister, pas eu trop mal ?— Non, ce n’était pas si fort, ma mère frappait plus fort !!
Oupsss ! C’est sorti tout seul, je me sens en confiance avec lui, je n’aurais peut-être pas dû, mais trop tard.
— Retire tout !
Il sort de la pièce, je me retrouve nu au milieu d’un endroit inconnu. D’un regard d’ensemble, j’admire la décoration, les meubles sont de prix, je m’y sens bien. Mon érection s’est affaissée...Il revient en robe de chambre, à chaque pas, j’aperçois sa cuisse, je suppose qu’il est nu dessous. Il s’approche, de face, il a une tête de moins que moi, ses mains se plaquent sur mon derrière, il m’attire à lui pour commencer à me sucer les tétons, qu’il mordille au passage; ses mains me triturent, poignant dans ma chair...Cela dure quelques minutes, je ne sais quelle attitude à adopter, mais c’est lui qui dirige, peu à peu il me fait tourner.
— Mets les mains sur la tête.
De cette façon, je suis à sa merci, mais je l’étais déjà avant, je ne sais pourquoi cet homme me subjugue, son regard sans doute, sa façon de me manipuler aussi, l’ensemble des deux sans doute, la situation me plaît au point que je suis à nouveau en érection.
— Tes grosses fesses m’inspirent, tu as l’air d’aimer mes caresses et ça tu aimes aussi ?
D’un geste, il me fait pivoter de profil et m’envoie une tape si forte que je bascule en avant.
— Essaie de ne pas bouger !
Il me place alors les mains contre un mur pour que je reste debout.
— Tu aimes ça on dirait ...
Dans mon enfance, en plus de ma mère, j’ai été fessé plusieurs fois par un ami de mes parents, il me faisait venir chez lui sous n’importe quel prétexte, puis m’accusait d’une bêtise quelconque et m’expliquait que je devais être puni. La première fois, j’avais protesté, mais sa force opposée à la mienne a fait que c’est lui qui avait eu le dessus, il m’avait déculotté facilement et ses claques avaient fait rosir puis rougir mes fesses. J’avais ensuite été mis au coin, cul nu ... Je ne sais toujours pas quelle situation m’avait émoustillé; la fessée ou l’exposition...l’ensemble sans doute. Cela s’est reproduit plusieurs fois. J’ai mis longtemps avant d’accepter d’y retourner la deuxième fois, mais par la suite, c’était au moins une fois par semaine.
Je reviens à ma position du moment, avec dans la tête les souvenirs que j’ai évoqués, les coups tombent, réguliers, une fesse puis l’autre, de temps en temps il vérifie si mon érection tient, c’est le cas. Il s’arrête soudain, me fait pencher en prenant appui, la tête sur le divan.
— Tu aimes te laisser faire, il me semble...Ecarte tes fesses...plus fort, je veux voir ton trou !
J’écarte au maximum, son doigt se pose alors sur mon œillet, testant la souplesse, tentant d’y entrer ...
— Tiens, suce et mouille bien.
Ainsi lubrifié, il peut entrer sans difficulté et, constatant rapidement mes dispositions, entre un deuxième doigt près du premier en faisant des va-et-vient lentement. Quelques gouttes s’échappent de ma verge tendue, il s’en rend compte.
— Tu aimes ça, ma petite cochonne !
Il change alors de position, s’assoit sur le divan, cuisses ouvertes.
— Approche-toi, à genoux ...
Je m’exécute et commence à le sucer sans qu’il n’ait rien demandé, de son côté, il s’empare de mes seins qui pendouillent, tire sur les tétons, les fait rouler entre ses doigts ...Sa bite est dure, courte et plutôt fine, je la prends tout au fond, me retire, la lèche, passe sur les testicules, dommage, car tout sent le savon, la propreté ... Il lève les jambes, m’offrant sa rondelle, j’y entre la langue d’emblée, titillant son muscle.
— Mumm c’est bon, continue...
J’essaie de la caresser avec mes doigts, mais
— Non, que ta langue !
Après quelques minutes de fellation, caresse anale et autres, il me fait pivoter, s’allonge, s’empare de mon anus, deux ou trois doigts, je ne sais pas, mais il me prend ...
— Je vais te faire jouir du cul ...
Il me "baise" de ses doigts, je sens arriver cette fameuse jouissance douce, diffuse, mais qui fait couler du liquide de ma verge, cela dure un moment ... tout à coup, il se retire, se lève, me redresse, glissant sa queue entre mes lèvres, A peine est-il entré qu’une frénésie s’empare de lui, il m’attrape la nuque et me "baise" la bouche, cela dure quelques minutes, il s’en sert comme d’une chatte ... sans prévenir, éjacule au fond de ma gorge, c’est peu abondant et je n’ai aucun mal à avaler...Il s’écroule assis, soufflant, haletant; je me penche pour le nettoyer et lui rendre la vigueur...il me repousse ...
— Laisse-moi maintenant.
Il a refermé son vêtement me laissant comme un idiot à genoux, nu au milieu de la pièce.
— Va dans la pièce voisine, tu m’apportes à boire, il y a du vin sur l’étagère, puis dans le tiroir de droite, il y a un jouet, prends-le.
J’obéis sans hésiter, je reviens quelques instants plus tard avec le verre et un gode d’assez belle taille, plus gros que son pénis ...
— Dans nos messages, tu m’as dit te branler en t’enfonçant un objet dans le cul, allonge-toi et montre-moi ...
Je suis ses directives, m’allonge, mouille abondamment le gode, commence à me frotter l’anus, provoquant quasiment, immédiatement, mon érection que je caresse tout en poussant l’engin un peu plus loin; cela résiste un peu, je souffle et me détends; voilà, cela y est ... j’ai fermé les yeux, c’est à ce moment qu’un flash crépite, il est occupé à me mitrailler avec un appareil assez sophistiqué...
— Tu ne t’attendais pas à cela, n’est-ce pas ? Je suis photographe amateur, j’ai quelques amis qui sont friands des vues que je prends...Continue.
Je recommence mes manœuvres sous l’œil de l’objectif qui prend aussi de gros plans.
— Lève les jambes que je voie bien ton trou; mumm ! Quel spectacle, un si beau gros cul qui se fait baiser par mon gode.
Il se place à ma tête et se met à genoux, les pans de sa robe de chambre sont ouverts, et je happe son sexe, je suce ce petit bout de chair flasque qui ne grossit plus, qu’à cela ne tienne, il se déplace et s’accroupit sur mon nez et ma bouche, je lance ma langue dans son orifice, aussi loin que je peux, il est presque assis sur moi, mais il est si mince que je peux encore respirer par le nez ... Le gode dans mon fondement, je le fais bouger tout en me caressant, il a posé son appareil, et ne voulant rien rater du spectacle, maintient mes jambes levées et ouvertes, au maximum. Comme cela semble lui convenir, je ne pense plus qu’à ma jouissance qui ne tarde plus, mon ventre est soudain inondé, le liquide poisseux se répand dans mes poils, je sursaute plusieurs fois ...
Il se passe alors une chose étonnante, il s’allonge sur moi tête-bêche, et lape tout ce qu’il trouve avec avidité en poussant des grognements... Je reste coi jusqu’à ce qu’il se calme...il se relève, les yeux rougis; de la bave mêlée à mon sperme lui coule sur le menton. Il me prend la main.
— Viens, je vais te laver.
Je le suis dans une salle d’eau, il m’installe sous la douche, se dévêt...fait couler l’eau, il s’enduit les mains de savon, commence à me frotter partout sur le corps, pour finalement insister sur ma poitrine, mon ventre, ma verge, mes fesses qu’il malaxe furieusement, puis enfin ma rondelle encore un peu ouverte et qu’il visite facilement grâce au savon ensuite, il me pousse en dehors pour que je me sèche et se lave rapidement.Nous reprenons nos esprits et nos vêtements tout en sirotant un verre de vin.
— On se reverra si tu en as envie ... — Oui, je veux bien, il faudra ajuster nos dates. Mais que comptes-tu faire des photos ?— Je te les montrerai et si tu acceptes, j’en ferai profiter quelques proches.— Je préfère les voir d’abord ...— Tu sais, ce que je préfère chez toi, c’est en premier ton derrière si large, si grassouillet ... et ensuite tes jolis petits seins charnus ... tes tétons sont très réactifs.
Il a repris un langage plus correct; rien à voir avec l’homme déchaîné qu’il était quelques minutes auparavant...Je suis parti.Quelques semaines plus tard, je suis revenu chez lui à sa demande.
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