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Les supplices de Jade

Chapitre 2

SM / Fétichisme
C’était un vieux bâtiment isolé de la ville. Il était grand, entouré de lierres et abîmé par les intempéries. Il était parcouru de fenêtres décrépies, rongées par l’humidité. De chaque côté, deux tours dominaient le terrain. Celui-ci était armé d’un grand grillage noir surmonté d’une grande pancarte courbée dont l’inscription avait été effacée par le temps. On ne discernait que des bouts de lettres, le reste était rouillé et illisible. Le grand portail, pourtant vieux, s’ouvrit automatiquement quand le chauffeur appuya sur un interphone. Le cœur de Jade se souleva et elle eu presque la nausée quand la voiture pénétra dans le lieu, en rebondissant sur le terre plein de l’entrée. L’entrée était précédée d’une grande allée de graviers, fleuries et gazonnée où pénétra la voiture qui emmenait Jade. Elle eu voulu que ce trajet en voiture ne finisse jamais, qu’elle puisse rester dans la chaleur de l’habitacle, à contempler les minuscules gouttes de pluie sur le gris de la vitre arrière. Mais il n’en fut rien. La voiture s’arrêta devant les grandes marches jaunes du bâtiment. Elles allaient de manière décroissantes jusqu’à une porte-fenêtre aux montures blanches écaillées. Elle fut emmenée dans le hall par le chauffeur, qui arborait un costume cravate et une courte casquette de cuir. Après avoir déposé le sac à côté de Jade, il retourna rapidement à son véhicule sans dire un mot. L’incompréhension avait saisie et paralysée Jade, qui n’avait pas cherché à se débattre. Elle avait seulement hésité à descendre, mais le chauffeur la pressa. Elle se retourna discrètement pour voir la voiture sortir et s’en aller au loin. La pluie s’intensifie, ce qui décida à Jade à frapper à la fenêtre. Elle tenta d’ouvrir pour se couvrir et finit par entrer.
Le hall était d’un silence abyssal, mais on pouvait y deviner les échos d’une terreur malsaine. Le sol était en lino, parcouru de motifs carrés blanc et bleu ciel, à la manière d’un carrelage. Le plafond était haut, et une grande serre surplombait le hall. La lumière pénétrait peu, du fait des branchages et des feuillages qui avaient rongé la verrière. A la droite de Jade, un escalier en colimaçon menait à un étage. A sa gauche, le vestibule d’accueil était fermé par un rideau vénitien. Il n’y avait aucune inscription nulle part, mais Jade repéra alors une petite caméra de surveillance dans un coin en hauteur. La petite machine semblait l’observer. Jade avait les traits tirés par la fatigue et le chagrin. Curieusement, ses pulsions sexuelles s’étaient apaisées. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, c’était comme un cauchemar. Où était-elle ? Saisi par la curiosité, elle n’eu même pas la pensée de rebroussé chemin. Et d’abord, où aurait elle pu bien aller, elle ne savait pas dans quel endroit elle se trouvait. Elle entendit alors des bruits de pas. Des talons claquaient en rythme rapide et croissant. La porte en face d’elle s’ouvrit alors et Jade fut accueillie par une infirmière brune, petite et ronde, qui arborait une coiffe et des chaussures plates. Son visage disgracieux la vieillissait, Jade ne pu identifier son âge. Aucun badge n’indiquait son nom. La femme ne prit pas la peine de saluer Jade. L’accueil fut austère.
« Puis-je savoir où suis-je ? demanda finalement Jade
L’infirmière ne répondait pas. Elle prit l’identité de Jade et rempli des cases sur un papier à l’aide d’un crayon de bois.
« S’il vous plait où suis-je ? implora t-elle
— Nous allons vous expliquer si vous vous tenez tranquille pour le moment
Jade se résigna. Au moins, elle n’était pas dans une cellule. L’infirmière fit l’inventaire de ses affaires. L’infirmière les sortit du sac. Après avoir sorti deux tee-shirt et un pantalon, elle commençait à étaler sur l’établit de l’accueil les petites culottes. Si il y’avait des slips assez basiques, Jade avait pris d’autre dessous plus raffinées, dont certains qu’elle avait amplement souillé lors de ses plaisirs solitaires ou bien lors de certaines préliminaires avec ses amants. Un en particulier aimait la caresser en lui laissant sa culotte afin qu’elle la mouille de plus possible. C’était très humiliant. Face à cette exposition de son intimité, que l’infirmière semblait faire de manière délibérée, Jade rougit mais tenta de garder la face. L’infirmière regarda Jade de bas en haut en fronçant les sourcils, comme si elle regardait par-dessus des lunettes. Cela semblait être un tic chez elle.
« Vous avez conscience que ces sous-vêtements vous seront parfaitement inutiles ici ? » dit l’infirmière d’un air sévère.
Jade ne comprit pas de quoi l’infirmière voulait parler. Comble de l’impudeur, elle examina le fond de l’une d’elle. Une légère tâche jaune clair y figurait, reste de cyprine bien incrusté malgré les lavages réguliés. Elle jeta alors un regard suspicieux sur la jeune femme qui se tenait devant elle. Finalement, elle les consigna dans le sac. Ensuite, elle demanda à Jade de la suivre. L’infirmière marchait d’un pas énergique, mais ces petites jambes ne lui permettait pas d’aller beaucoup plus vite que Jade, qui faisait bien une tête de plus et avait de plus longues jambes. Elles quittèrent le hall d’accueil et pénétrèrent dans un long couloir aux reflets de vert. L’ambiance était métallique. Des portes étaient numérotées de chaque côté du couloir. Derrière la minuscule fenêtre de chaque porte, Jade put discerner des visages de femme, au regard vide et hanté. Elle pu rapidement distingué l’une d’elle qui avait le crâne rasée. Elle frémit à cette vision. L’atmosphère était glaciale. Elles s’arrêtèrent devant une des entrées, la numéro 39. C’était en fin de couloir.
«  C’est votre chambre »  dit l’infirmière
Elle ouvrit la porte, qui grinça et Jade découvrit sa chambre. Ce n’était pas à proprement parlé une chambre mais plutôt une cellule, composée de toilettes, d’un lit et d’une petite fenêtre. Finalement, elle était bien en prison songea t-elle. Mais ce n’est pas ce qu’elle c’était imaginé. Elle avait plutôt l’impression d’être dans un asile. Les murs étaient verts pâles, c’était sombre. Tout était très propre, immaculé. Sur le lit, une blouse et un nécessaire de toilette y était aligné de manière stricte.
« Déshabillez vous et enfilez cette blouse, ça sera votre vêtement principal. Elle sera changée régulièrement. »
Jade mis un pied dans la chambre, elle avait peur. Elle mit la blouse en suspend sur le petit porte manteau, seul fantaisie du lieu exiguë. L’infirmière resta sur le pas de la porte et Jade hésita à se déshabiller.

« Dépêchez-vous, le docteur en chef vous attend »
Jade s’assit sur le lit et ôta doucement ses vêtements, avec timidité. Une fois de plus, l’infirmière n’avait que faire de la pudeur et de l’intimité. Si Jade cassait ses barrières facilement dans le cadre d’un adultère sauvage, elle avait ici regagné la décence de se montrer pudique. Et surtout, cette infirmière la terrifiait, n’était même pas belle et elle n’avait aucune envie de se dévoiler à elle. Pourtant, elle comprit rapidement qu’on ne lui laissait pas le choix et qu’obtempérer était la meilleur solution, afin d’échapper à des choses qui lui échappaient. Elle portait alors un pantalon en lin et un pull qu’elle enfilait le dimanche. Elle les enleva, ainsi que son débardeur et son soutient gorge. Ses seins étaient parcouru de frisson. Au moment de prendre la blouse pour l’enfiler, l’infirmière l’interrompit :
« Votre culotte mademoiselle, enlevez là avant d’enfiler votre blouse »
Jade regarda l’infirmière et se rassit sur le lit dans un soupir, pour enlever sa culotte, ou plutôt un simple slip en coton, en le faisant glisser le long de ses jambes. Elle enfila la blouse médicale.
« Bien suivez moi maintenant »
Jade sortit de la cellule et l’infirmière ferma la porte à clé. Elles franchirent la grande porte vitrée pour sortir du couloir et s’arrêtèrent dans un petit bureau où l’infirmière enferma le petit sac de Jade dans un casier. Elle emporta cependant le dossier de Jade, là où elle avait indiqué son identité à l’accueil. Les deux femmes se rendirent ensuite dans une succursale sans fenêtre aux murs de béton où étaient entremis une douche et une table d’examen d’un cuir noir épais avec des sangles en cuir marron au niveau des mains et des pieds. A côté, un charriot comportait des instruments en métal que Jade eu peine à reconnaître. Au fond, une deuxième infirmière vêtue de la même manière que la première, nettoyait des instruments dans un des deux lavabos installés. Jade n’eu pu voir son visage, elle était de dos. Au plafond, quelques néons éclairaient péniblement la pièce.
« Nous allons vous nettoyez avant votre entrevue avec le médecin de l’établissement. Enlevez votre blouse et entrez dans la douche »
Jade obtempéra timidement. Elle se mit nu puis mit la blouse sur le dos de la petite chaise en bois à disposition. Elle serrait le bas de ses jambes et tenait le haut de sa poitrine afin de préserver au maximum son intimité. Elle s’était pourtant déjà mise à nu devant des médecins, mais là, c’était différent, plus intrusif, et surtout inattendu. Elle ignorait ce qu’on attendait d’elle. Elle avait peine à cacher la totalité de ses seins. Mais l’infirmière la pressa dans la douche. Jade monta la petite marche en gardant l’avant bras sur sa poitrine et se mit face au mur. Ses fesses blanches et rebondies étaient à la vu de l’infirmière, qui alluma le jet et le dirigea vers le corps de Jade.
« Ah ! C’est froid ! » cria longuement Jade
L’infirmière ne prit pas compte de la remarque et continua à parcourir le corps de Jade avec le jet. L’eau, propulsée puissamment, faisait soulevait les fesses de la captive, mais surtout la déséquilibrait. Jade devait lutter pour ne pas s’effondrer. L’infirmière demanda à Jade de se retourner, de se frotter avec le savon disponible puis elle baissa la puissance du jet et éteignit. Elle passa du talc sur le corps frais de Jade puis elle put s’essuyer avec une serviette éponge. Lorsqu’elle fut sèche, l’infirmière l’invita à s’asseoir sur la table d’examen. La peau de Jade était parcourue de frisson, le cuir du divan était froid et dur. L’infirmière prit la tension de Jade, lui fit une prise de sang puis lui enfila un bracelet au poignet.
« C’est votre numéro d’identification. Vous êtes désormais n°511. Ce bracelet contient une puce qui enregistre vos traitements, mais qui vous passera également toute tentative d’évasion. »
Tout cela prenait une allure de plus en plus folle, insensée. Était-elle le cobaye d’une expérience malsaine ? Elle se laissait glisser le long des enchaînements et dans les doigts intrusifs des deux femmes. L’infirmière poussa Jade à s’allonger sur le dos, qui fut alors ébloui en jetant son regard dans la lumière blanche du néon. L’infirmière lui plia les jambes et les écarta légèrement. L’infirmière ne fit pas l’usage des sangles, ce qui soulagea Jade. Elle en conclu que ce qu’on allait lui faire subir n’allait pas être douloureux. Les yeux de l’infirmière se dirigèrent rapidement sur le pubis de Jade, qui n’avait pas été épilé depuis son arrestation, faute de temps et de volonté. L’infirmière posa ses doigts sur la toison brune et clairsemée pour l’explorer rapidement. Son majeur et son index longèrent les petites et grandes lèvres. Elle enfila alors des gants et entrepris de raser la belle, à l’aide d’un rasoir et d’une mousse. Elle installa une petite bassine métallique emplie d’eau, afin de rincer régulièrement le rasoir. Elle secoua la bombe et arrosa les poils. Elle fit ça bien, délicatement, ce qui étonna Jade. Mais elle fut rasée complètement, pas un seul poil ne subsistait après le passage du rasoir. Jade n’avait jamais fait cela auparavant, elle s’épilait de manière à laisser une bande de poils au niveau des petites lèvres. Les petits points noirs sur le pubis et le bas ventre laissaient penser que des poils avaient bien existé. L’infirmière tamponna l’ensemble du sexe avec une compresse et passa un spray rafraîchissant. Puis la deuxième infirmière intervint pour soulever un peu plus haut les jambes de Jade au niveau du bas ventre. Jade ne comprit pas tout de suite ce qu’il se passait, elle jeta un regard d’incompréhension aux deux infirmières puis elle sentit les mains de l’une d’elle lui écarter les fesses. Elle les laissa ainsi ouverte quelques instant en faisant bailler les orifices de Jade avant de les relâcher. Elle reprit son rasoir, le rinça soigneusement et étala de la mousse tout autour de l’anus, là où les poils étaient long et noirs. Elle entreprit de raser les bords de l’orifice anal de Jade, de manière à le laisser saillant et rosé. Curieusement, Jade ne ressentit aucune douleur, l’infirmière semblait faire en sorte de ne pas la blesser. Elle avait pensé à s’épiler à cet endroit, du fait de son goût pour les relations anales, mais elle ne franchit jamais le pas, malgré les recommandations de certains de ses amants. Puis l’infirmière reposa les jambes de Jade sur la table tandis que l’autre alla vider à l’évier la petite bassine en métal remplie de l’eau et des poils sombres de Jade.
« Vous allez vous mettre sur le flanc et plier la jambe du dessus jusqu’au niveau de votre nombril, nous allons vous faire un lavement pour l’examen avec le docteur » dit l’infirmière en enfilant à son tour des gants en latex poudré.
Jade s’étonna une fois de plus mais se mit dans la position, aidée par l’infirmière. Elle connaissait les sensations que pouvait procurer un lavement, puisqu’elle s’en administrait avant d’aller voir son amant. Elle utilisait une poire avec une bassine et faisait ça dans les toilettes. Mais elle n’en avait jamais reçu d’une tiers personne. Le matériel présent était différent. Un sac à perfusions était suspendu, accompagné d’un long tuyeau avec une canule en plastique au bout. Une infirmière rempli le sac d’eau tendis que l’autre injecta une solution saline dans le rectum de Jade, à l’aide d’une seringue lubrifiée. Jade émit un gloussement en sentant la seringue pénétrer en elle. Elle ne s’y attendait pas et l’infirmière avait effectué le geste sans la prévenir.
« C’est une solution saline pour faciliter l’expulsion et favoriser la purification »
Le produit en question s’immisça dans l’intestin de Jade, qui ressentit une crampe assez désagréable. Cependant, ce fut rapide et la douleur se dissipa assez vite. L’infirmière qui était au lavabo suspendit le sac empli d’eau et lubrifia la canule. En insérant un doigt dans le rectum de Jade, elle guida la canule aussi loin qu’elle pouvait. Jade gémissait. Puis elle retira son doigt tout en maintenant la canule en position avant de libérer le liquide retenu dans le tuyau. Jade sentit alors l’eau tiède envahir son rectum puis ses intestins. Elle sentait une lègère pression à l’intérieur. L’infirmière la rempli allègrement avant de bloquer l’eau à nouveau dans le tuyau. Elle retira doucement la canule, que Jade sentit ressortir. Son anus se contracta puis se referma lorsque la canule fut sortie complètement. L’infirmière aida Jade à s’allonger et lui ramena les jambes vers le bassin. En superposant ses deux mains, elle lui appuya sur le ventre, qui était bombé sous le poids de l’eau. Elle même ne s’était jamais rempli autant.Jade se contracta et inspira soudainement, prise par surprise.
« Retenez-vous encore un peu » dit l’infirmière d’un air ferme
L’autre infirmière installa une bassine de métal en l’accrochant au bout de la table. Jade commençait à avoir du mal à garder l’eau à l’entrée de son anus et sentait des crampes au niveau des intestins. Elle serrait les fesses, tandis que l’infirmière pressait son abdomen. Cela devenait insoutenable.
« Bien, vous pouvez libérer »
Jade relâcha ses sphincters avec soulagement et l’eau coula d’abord en un long flot dans la bassine en acier, qui émit au contact de l’eau un son métallique. Puis l’anus et l’abdomen émirent des contractions afin d’expulser le reste d’eau qu’il restait. Jade n’avait rien mangé depuis des heures ; ainsi, seul le premier jet fut souillé de matière fécale. Jade pu se remettre sur le dos, les genoux pliés, les cuisses ouvertes. Quelle était la suite des réjouissances pour Jade ? L’infirmière qui se trouvait au bout de la table pris une petite poire sur le charriot et alla la remplir d’eau. Elle revint et l’inséra dans le vagin de Jade, qui ressentit un frisson lui parcourir le corps. Jade sentait que son sexe était chaud et moite. Elle fut surprise et se dégouta presque de mouillé dans un moment pareil. L’infirmière pressa sur la poire et l’eau se propulsa dans l’orifice avant de ruisseler le long des cuisses pour venir perler dans la bassine en acier. Puis la femme tout de blanc vêtu essuya le sexe et l’anus de Jade avec une petite serviette en papier.
«  Maintenant, dit elle, vous allez urinez dans ce petite bocal puis vous serez fin prête pour votre rencontre avec le médecin chef. »
Jade se releva péniblement, marqué par le lavement. Elle fut surprise de laisser sur le divan d’examen une micro flaque de liquide. Elle alla urinez devant l’une des infirmières tandis que l’autre vidait la bassine de l’eau souillée. Lorsqu’elle eu terminé d’uriner, Jade remis aux infirmières, la tête baissée, le petit bocal en plastique empli du liquide jaune. Elle enfila sa blouse et une des deux infirmières l’invita à la suivre.
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