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Les supplices de Jade

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Elle fut réveillée par une vibration intense et bruyante au niveau de son poignet. C’était le bracelet que l’infirmière lui avait mis en arrivant. Elle le regarda, le manipula mais ne sut comment l’arrêter. C’est lorsque la porte de la cellule s’ouvrit qu’enfin le bourdonnement ininterrompu du bracelet stoppa. C’était une infirmière, différente des deux autres qui l’avaient accueillie. Elle n’arriva pas à déterminer combien de temps elle avait dormi. Mais elle se sentait mieux, ses jambes n’étaient plus engourdies, son ventre n’était plus douloureux. Elle avait même faim. Elle s’assit et respira tandis que l’infirmière s’avançait vers elle avec un plateau. Justement, à manger.
— 511, Mangez, buvez et je reviens vous chercher. Dit platoniquement l’infirmière.
Du riz, du jambon, une pomme, de l’eau. Après être allée uriner, Jade avala le tout à un rythme lent. Une fois terminé, elle posa le plateau par terre et se rallongea sur le lit. Elle se sentit seule soudainement et prit conscience que cette chambre exiguë était désormais son seul refuge. Elle se leva, regarda autour d’elle et tout lui parut vertigineux. A la vue des quatre murs qui l’enfermaient, des toilettes, du plateau vide, de sa blouse blanche, elle eut un vertige puis des nausées. Elle eut des haut-le-cœur plusieurs fois. Elle commença à suffoquer, s’assit par terre et réussit à boire le reste du verre d’eau. L’infirmière arriva au même moment.
— 511, veuillez me suivre.
Jade fit non de la tête, son malaise allait grandissant. Elle transpirait et ses membres s’engourdissaient. L’incompréhension qui l’avait abattue et rendue amorphe à son arrivée s’était atténuée. Elle était maintenant révoltée, ne voulait plus suivre quiconque et surtout ne pas être manipulée comme elle l’avait été à son arrivée. Qu’allait-il donc lui arriver cette fois-ci ? Elle fit non de la tête en tendant sa paume ouverte vers l’infirmière.
— 511, reprenez vos esprits et suivez-moi, vous êtes attendue.— Non… laissez-moi seule supplia péniblement Jade.— 511, ne m’obligez pas… dit la femme en s’avançant.
Jade alla se poster contre un mur. Le béton qui se dressait dans son dos était son seul horizon. C’est à ce moment qu’elle sentit une décharge électrique soudaine de son bracelet qui l’assomma et la plongea dans une torpeur profonde. L’infirmière la regarda convulser quelques secondes et la laissa s’endormir pour de bon, presque à contrecœur. Elle prit le combiné du téléphone de service du couloir et composa un numéro :
— La 511 est prête.Jade se réveilla péniblement, et vit d’abord la lueur éblouissante d’un néon. Elle ferma les yeux à nouveau, pour habituer ses pupilles à la lumière. Elle entendait que ça s’agitait autour d’elle. Jade comprit alors qu’elle n’était pas seule, puis ensuite qu’elle n’était plus dans sa cellule. On l’avait emmenée dans un autre endroit.
« Jade ? Jade ? »
Les échos d’une voix qu’elle avait entendue l’appelaient. Dans un halo de lumière floue, elle reconnut les traits de la doctoresse rousse. Puis elle reprit ses esprits. Elle ne pouvait pas bouger, ni parler. Sa bouche était sèche, elle n’arriva pas de suite à distinguer pourquoi. Puis elle souleva légèrement la tête et comprit. Elle était attachée par les mains le long du corps, puis par les pieds et les cuisses, accrochés le long de deux grands étriers. Sa bouche était grande ouverte par un objet qui semblait métallique et lui empêchait de refermer les mâchoires. Elle ne pouvait que gémir et émettre ainsi de larges sons gutturaux. Ainsi, elle lui était impossible d’avaler sa salive, qui s’écoulait le long de son menton. Le docteur s’approcha et enroula un tensiomètre autour du bras de Jade, avant de presser sur la pompe. Jade sentit légèrement le brassard enserrer son biceps.« Vous êtes tendue, Jade ; détendez vous. Il semble que vous n’avez pas été coopérative. Ce genre de comportement ne va pas vous aider. Dit le docteur en retirant le tensiomètre.
— Bien, messieurs, nous allons pouvoir commencer dans quelques instants, quelques réglages et nous y sommes. Soyez attentifs, la patiente 511 présente des troubles aigus, cela risque de compléter vos recherches. N’hésitez pas à vous approcher et à examiner le sujet à votre guise. Jade, je compte sur vous, vous êtes une actrice de votre rémission. »

Elle venait de s’exprimer à deux hommes en blouses blanches, assis côte à côte, avec un stylo et des crayons. Jade eut peine à définir leurs contours. Son attention fut détournée quand le médecin commença à lui palper le sexe, en lui écartant les grandes lèvres de manière brutale. L’infirmière, que Jade reconnut malgré le choc de la décharge, commença à disposer des électrodes sur l’ensemble de son corps. Deux sur chaque sein, une sur chaque tempe, puis enfin quatre sur l’abdomen, deux sur la base du pubis (voilà pourquoi elle était épilée autant) et deux plus grandes à l’intérieur des cuisses, enserrées par des lanières élastiques. L’ensemble était branché à des boîtiers de tailles différentes, disposés sur un chariot métallique. Elle eu à peine le temps de comprendre ou de se demander à quoi cela pouvait-il bien servir qu’elle sentit une intrusion dans son intimité. Après l’avoir longuement examiné à l’extérieur, le docteur était en train de s’attaquer à l’intérieur. Elle avait enfoncé un doigt ganté de latex dans le sexe de Jade et le tournait puis le retournait contre les parois. Jade retint son souffle et se courba lorsque le doigt atteignit brutalement le fond de son utérus.
« Il va vraiment falloir vous détendre Jade, ce n’est pas la bonne tenue pour ce genre d’examen. Les électrodes devraient bien faire leur travail. C’est le début de votre thérapie Jade ! Nous allons tester votre réactivité, votre sensibilité et l’intensité de vos orgasmes. Soyez-en certaine, nous allons bien vous soigner. »
Jade gémissait, redoutant ce qu’elle allait bien pouvoir subir installée ainsi. Alors que le médecin avait un doigt à présent dans son rectum contracté, elle voulut lâcher une larme, sursaut d’humanité dans ce cauchemar. Mais le docteur ne lui laissa aucun répit. Après avoir retiré son doigt du cul de Jade, dont les sphincters étaient crispés, elle plaça dans le sexe de Jade un spéculum métallique qu’elle écarta largement. Jade sentit un léger tiraillement de ses muqueuses. Puis la doc y vissa un petit embout rouge, relié par un fil à un nouveau boîtier. Cela n’allait-il jamais s’arrêter ? Le corps de Jade, sa peau, ses orifices étaient branchés de partout. Elle se sentait comme un cobaye.
« Jade, nous allons bientôt commencer, respirez bien, laissez-vous aller à vos sensations, il n’y a plus rien ni à retenir ni à contrôler désormais. Nous allons faire des tests avant de débuter »
Jade essayait de se débattre, comme une souris sous l’emprise d’un python, sans issu. L’infirmière appuya sur les interrupteurs de chaque boîtier et commença à tourner les boutons tout en inspectant le corps de Jade. C’est alors qu’elle sentit ses muscles se contracter légèrement, ce qui causa des crampes abdominales. Elle leva la tête difficilement dans un gémissement pour constater que son abdomen était animé de léger sursaut, tout comme l’intérieur de ses cuisses et le haut de son pubis. Puis l’infirmière activa un nouveau boîtier et Jade compris l’utilité de l’embout branché au spéculum. Elle sentit son sexe pris de spasme, ce qui la partagea entre douleur et plaisir. L’électricité semblait parcourir les lames de métal de l’ustensile et la faisait sursauter. Puis la nurse la libéra de cette emprise électrique. Elle alluma un autre boîtier et fit de même. C’est alors que Jade sentit ses seins se contracter avec de légers picotements, ce qui fut douloureux et elle émit un fort son de sa bouche écarté. Comme un cri étouffé mais sonore. Ni l’infirmière, ni le docteur ne prêtaient attention à la douleur Jade. Tout cela semblait normal.
« Tout fonctionne parfaitement, on peut y aller. »
Le médecin prit une tablette avec un papier et un crayon et donna des indications à l’infirmière qui se mit à manipuler les boutons. Jade sentit les électrodes répondre aux signaux qu’on leur envoyait via les boîtiers. Des impulsions électriques parcouraient son corps, jusqu’au plus profond de son ventre. Elle ne pouvait s’empêcher d’émettre des petits cris. Elle ne pouvait rien faire d’autre. Passée la douleur des premières impulsions, elle se laissait aller aux contractions que lui imposaient les électrodes. Elle sentit les impulsions augmenter au fur et à mesure des indications du médecin. Elles n’étaient pas les mêmes sur tous le corps. Le docteur semblait émettre ses modifications en observant les réactions de Jade, mais également en contrôlant des écrans qui semblaient retranscrire les signes vitaux de Jade, comme la tension et le rythme cardiaque. Une sensation de chaleur l’envahissait petit à petit. Ces seins restaient douloureux toutefois, le docteur donnant parfois des impulsions très fortes, ce qui lui faisait se contracter sa poitrine et la brûlait presque. Cependant, ces deux tétons étaient frissonnants et tendus, pointant vers le haut.
« Jade, vous sentez les contractions ? Vous sentez les contractions de vos muscles pelviens ? Vous ne vous en rendez peut-être pas compte, mais vous sécrétez énormément de cyprine. »
En effet, Jade sentait le liquide couler entre ses cuisses. Comment était-ce possible qu’elle puisse mouiller à ce point. Elle ne se touchait pas et personne ne le faisait. Seules les impulsions électriques envoyées depuis les boîtiers stimulaient ses muscles et ses muqueuses, ce qui provoquait contre son gré une forte émanation de cyprine. Ses seins pointaient à n’en plus finir, elle avait l’impression que ses tétons allaient s’arracher. L’infirmière en rajouta en lui disposant des petits aspirateurs à tétons. Jade sentait les taux d’impulsion augmenter dès qu’elle s’y habituait. L’infirmière et le docteur s’agitaient autour d’elle, attentifs à ses réactions et aux changements sur les écrans de contrôle.
« Vous avez une résistance à la jouissance assez forte, mais nous allons vous aider à briser vos barrières, ajouta le docteur.
Elle éteignit alors le spéculum et le retira doucement. La paroi rose et bosselée se referma et recouvrit le fond de l’utérus. Les lames en acier chirurgical étaient couvertes de liquide blanchâtre et transparent.
« Jade, le plaisir anal a l’air de vous plaire, vous n’êtes pas une novice. Peut être une stimulation à ce niveau vous aiderait-elle à aller plus loin dans notre analyse. L’infirmière va soulager votre bouche un moment ».
Constata le docteur, posté entre les cuisses haletantes de Jade. L’infirmière retira l’étire bouche que Jade avec et qui l’avait fait baver allégrement sur le menton. Elle referma la mâchoire dans un soupir de soulagement. Jade eu un petit temps de répit, le temps de voir que les deux hommes ne notaient plus grand-chose, mais avaient vraisemblablement l’air de se masturber. Les électrodes continuaient leur stimulation au niveau de l’abdomen et des seins. Le docteur pris des plugs en verres, de tailles différentes. Elle en introduit un, le plus gros, dans le vagin humide et ouvert de Jade. Elle s’y reprit à plusieurs fois pour l’enfoncer jusqu’au bout, sous les soubresauts de Jade, afin qu’on ne puisse voir que le socle à la base, armée de deux branchements bipolaire. Après l’avoir lubrifié avec un produit conducteur, elle glissa un tube de métal de taille plus restreinte dans l’anus de Jade, qui était dilaté avec la stimulation intensive que l’on avait imposé à sa sphère vaginale. Jade hoqueta puis se calma. Le docteur actionna les boîtiers et Jade se sentit animée de contractions fortes dans le bassin. La liaison entre le vagin et l’anus était mise à rude épreuve. La peau plus fine à l’intérieur de ses cuisses tremblait, comme si on secouait un gâteau de gélatine. Elle ne pouvait s’empêcher de laisser échapper des gloussements de plaisir. Parfois, l’intensité des efforts que les impulsions électriques lui faisaient faire la faisaient presque convulser. Son corps débordait de plaisir, elle ne savait plus quoi en faire et perdait totalement pied. D’autant plus qu’elle n’avait aucun contrôle, elle ne pouvait que subir ce que le doc lui imposait. Ses sphincters anaux se serraient et se desserraient à un rythme saccadé et soutenu. Ses muscles étaient complètement détendus, ce qui, paradoxalement, pouvait être douloureux à certains moments.
« Vos muscles sont puissants et toniques Jade, vous les avez bien travaillés dans vos ébats passés, ça se sent. Vous êtes une athlète du sexe Jade n’est ce pas ? Mais malheureusement, cela vous fait perdre la tête… » Dit le médecin d’abord en souriant, puis en faisant une moue de dépit à la fin.
« Madame, vous avez vu, elle est très haute dans la tension, son rythme cardiaque est très soutenu, je pense qu’elle est proche de l’orgasme. Constata l’infirmière
— Je vois ça. Jade, laissez vous aller, cela ne sert à rien de faire durer, vous y êtes. Vous avez bien travaillé pour ce premier test. Allez Jade, un petit effort ! Je vais vous aider »
Le doc s’empara d’une petite pompe et la déposa par à-coup sur le clitoris protubérant de Jade. Le petit morceau de chair rose fut aspiré, étiré comme jamais. C’en était trop, malgré la violence de toute cette mascarade, Jade eu un orgasme puissant, qui la fit crier entre douleur et plaisir, qui la fit mouiller plus que de raison. Pour la première fois, Jade sentit la cyprine sortir violemment de son vagin. Elle expulsa le plug de son cul qui pendouilla au fil auquel il était branché. Le plug branché à son sexe était trempé, et la cyprine débordait de toute part sur ses grandes lèvres et le haut de ses cuisses. Ses muscles pelviens étaient crispés. Son clitoris hyper sensible. Elle poussa un dernier soupir, révulsa une nouvelle fois les yeux puis après une fraction de seconde repris doucement ses esprits. Les hommes étaient partis, l’infirmière la débarrassait des électrodes, le doc du plug vaginal.
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