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Les surprises des vacances dans la famille

Chapitre 3

Hétéro
Elle se soulève et prend la bite avec sa main droite, et passe la gauche entre ses jambes pour caresser ses boules pendantes. Le contact soudain par la femme nue est de trop pour l’adolescent. En gémissant fort, il éjacule massivement, en lâchant son sperme sur les seins et le visage de sa tante, comme ses genoux ont tremblé. Rachel le pompe et caresse jusqu’à ce qu’il ait tout fini. Benjamin s’est effondré sur ses genoux à l’arrière le bateau, des larmes au coin des yeux. — Je suis désolé, je suis désolé. Se plaint-il. Rachel ricane et passe ses bras autour du garçon. — Jésus, Benjamin, ne dis pas cela. Je ne suis pas à mon premier gars à jouir sur ma poitrine. Avance maintenant, viens ici et mange-moi.Troublé, il la regarde tandis qu’elle nettoie son sein gauche et se lèche les doigts. — Quoi ?Rachel s’est appuyée contre le côté du bateau et lèche une autre grosse goutte de sperme. Elle écarte ses jambes et Benjamin fixe entre ses cuisses son con moite et gonflé. — J’ai dit que je veux que tu suces mon minet. Viens maintenant, pose-toi sur le pont et mets mon minet sur ta bouche. Nous allons beaucoup nous amuser !Elle place le gars ébahi entre ses jambes et, en le guidant par les oreilles, elle tire doucement son visage à sa fourche. Sa curiosité triomphe quand son parfum naturel submergé ses sensations. Il écoute vaguement quand elle lui décrit les principes fondamentaux de l’anatomie féminine et comment il doit se concentrer sur le petit bouton au sommet de la fente mouillée, son clitoris. Il ne peut décider si le goût salé et doux est propre ou l’effet de l’eau de mer. En tout cas, c’est sûr il aime le goût et ce n’est pas du tout comme un poisson mort, à la différence ce que ses copains ont dit à la maison ! Dès que son neveu a trouvé sa cible, Rachel se couche et se permet le plaisir de se nettoyer tout le sperme sur elle. Elle finit juste au moment où il commence à sucer son clitoris entre ses lèvres. Elle hurle quand elle est secouée par une vague de jouissance. Benjamin lève les yeux inquiets. — Dieu, que c’est bon ! Arrête maintenant et je vais te faire un peu de ce que François eu hier. Elle le place sur le côté, en lui faisant face, ensuite se retourne et passe une cuisse sur sa tête. Benjamin se couche en arrière dans et entame de bouffer sa tante de nouveau, pendant que Rachel s’est avancée et a pris sa bite de nouveau bandée dans sa bouche. Pendant qu’elle suce sa bite et pompe son noud, elle est étonnée par sa grosseur. Son pieu est de plus de vingt centimètres de long et de cinq de diamètre, deux à trois centimètres de plus que selle de François! En ouvrant sa bouche complètement elle inspire aussi fort possible et commence à se l’enfoncer au plus profond de la gorge. En gémissant, il récompense ses efforts. Elle sent qu’il est tendu quand sa bite se gonfle entre ses lèvres, ensuite sans l’avertir il commence à lâcher sa semence au fond de sa bouche. Rachel surprise par la quantité. Benjamin se sépare et s’effondre sur sa tante, en oubliant complètement les cuisses qui l’ont piégé auparavant. Il lui lance un regard dans les yeux émerveillé quand elle redresse le torse, en léchant ses lèvres et lui sourit. — Hou la ! C’est géant !S’est-il exclamé.— Tu as aimé, hein ? Demande-t-elle. Il sourit tristement et fait un signe de la tête. — Génial ! Avertit juste la fille quand tu balance ta purée la prochaine fois, d’accord ?— D’accord, je suis désolé, Tante Rachel.Répond le garçon décontenancé. Rachel s’est allongée à côté de lui et pose une main sur sa bite flétrie. Elle lui explique :— C’est bien, Benjamin, ce n’est pas un reproche. Ça permet juste à la fille de savoir quand tu es sur le point d’éjaculer. Certaines femmes n’aiment pas le goût du sperme, ça lui donnera une chance de se retirer. D’autres, beaucoup d’entre elles, comme moi, aiment faire entrer un gars dans leurs bouches, ça nous permet de savoir donc si nous pouvons nous préparer à avaler. Et ensuite, quelquefois, nous pouvons vouloir que tu t’arrêtes, donc nous pouvons vouloir ralentir des choses un peu avant de continuer. Ne t’inquiète pas. Tu as bien fait grand et tu as un délicieux gout. Je ne vais pas attendre bien longtemps, donc nous pouvons baiser. Elle recommence à caresser sa bite encore molle et il rebande rapidement et emplit sa main. — Ouais, c’est tout. Rachel s’allonge sur le dos et écarte ses jambes, en tenant ses genoux. Son vagin s’ouvre tout grand ouvert pour son neveu. Benjamin se jette à ses genoux et se coule entre ses jambes. Il arrive à un point où son gland se positionne devant sa cible, mais il s’arrête. Il peut avoir être fort sur la théorie, mais il est complètement innocent quant à la pratique. Rachel a résolu le problème en mettant sa main entre eux et en bourrant fermement son gland violacé dans son con. Benjamin glisse dans le tunnel céleste avec un gémissement de plaisir. Sa tante gémit de plaisir et entoure ses jambes autour de sa taille quand il commence à s’agiter lentement. Elle gémit.— Ohhh, c’est tout. ohhh, c’est ainsi boooon ! Les deux précédents orgasmes de Benjamin ont un peu calmé celui-ci et il s’enfonce avec de longues poussées bien appuyées.— Ho. Est-ce que je le fais bien Tante Rachel ?
— Pas si tu dois le demander, Benjamin !A-t-elle plaisanté. Il s’arrête et la regarde affolé. En l’agrippant par les fesses, elle continue :— Mon dieu, Benjamin, c’est une galéjade! Tu dois le reconnaître, tu sais ! Comme il se recule en rythme, elle poursuit : — Ne t’inquiète pas, Benjamin, ce que tu fais est parfait... Ooooohhhhh, Dieu, ne s’arrête pas... Oh, petit, tu es un grand baiseur... Tu as juste besoin de t’exercer... François était comme ça quand nous avons commencé, seulement je n’en savais pas assez pour pouvoir lui enseigner... Plus fort, vas-y plus fort... Je promets que je t’enseignerai chaque fois que nous pourrons... oh, j’aime baiser et me faire baiser... baise-moi bien... continue. Ouiiiiiiiiiiiii. Rachel continue à conseiller à son neveu tandis qu’elle halète ayant orgasme après orgasme. Finalement, l’orgasme arrive et Benjamin explose dans l’entaille serrée et grasse de sa tante. Ils se séparent l’un de l’autre, la sueur coule goutte à goutte sous le soleil chaud et ils paressent tendrement enlacés. Rachel jette un coup d’oil à sa montre et jure :— Oh, merde. nous devons rentrer ! Benjamin la regarde fixement incrédule quand elle saute à l’eau pour un bain rapide, elle remonte ensuite à bord.— Allez, tu dois te laver.Elle le pousse sur le côté et il se nettoie. En revenant à bord, elle lui rend son maillot et il les met. — Tu conduis ! Ordonne-t-elle. Quand ils arrivent sur le ponton, Benjamin aperçoit le T-shirt de son oncle sur le dock et le lui fait passer. François est beaucoup plus grand que sa femme l’absence d’un maillot de bain ne se voit pas. Ils remontent vers la maison pour trouver les trois autres assis autour de la piscine. François toujours en maillot de bain et T-shirt, il bouquine un magazine en buvant une bière. Sophie est allongée sur un transat en lisant un roman. Béatrice a changé de bikini pour un qui lui permet un meilleur bronzage. Son oncle est impressionné. Il est plus indécent que le plus petit que sa femme possède et c’est beaucoup. Celui-ci est composé d’une ficelle qui entre dans son sillon fessier. Elle est allongée sur le ventre les yeux fermés, les globes fessiers et le dos luisant d’huile solaire et son haut de bikini est défait sous elle. François demande quand sa femme s’est approchée :— Vous êtes vous bien amusés ? — Nous avons eu une panne ! Répond-t-elle, en lui faisant un clin d’oil lui seul puisse le voir. — J’ai besoin d’une douche.Surpris, François la suit à intérieur. Il lève le pan de sa chemise dès qu’ils sont entrés, pour la trouver nue et il flatte son cul avec la paume de sa main. — Est-ce que c’est ce que je pense ?Demande-t-il. Elle se retourné et l’a embrassé promptement. — Ouais, il faut en profiter quand l’occasion se présente, c’est ma devise. Ce fut intense, François, vraiment géant !En entrant dans le bain, elle attire son mari contre elle et se colle contre son torse. Il bande à son contact. — Je peux le faire encore quand même.Elle ôte sa chemise et le tire dans la douche avec elle. En bas à la piscine, Benjamin raconte un assez grand mensonge à sa mère comment sur leur après-midi. Alors, il aperçoit sa sour bien tranquille étalée là, il met un doigt sur ses lèvres et demande à sa mère de ne rien dire. En courant, il fait un saut dans la piscine qui arrose sa sour avec les éclaboussures. Béatrice se réveille en pétard, elle s’assied et invective son frère, en oubliant complètement sa poitrine nue. — Salaud ! Petit con !Sophie rigole, Benjamin se montre pour regarder l’indignation de sa sour, il nage sur le côté, en la regardant fixement quand elle hurle les seins à l’air. Il n’a jamais vu sa poitrine nue auparavant et elle est surprenante tout simplement. Une fois il avait fouillé dans ses tiroirs et avait vu l’étiquette sur un de ses soutien-gorge. Il n’avait pas cru vraiment la taille jusqu’à ce moment. Elle fini sa colère, il allume un autre feu. — Tes seins sont agréables, Béatrice ! Il a à peine le temps de finir sa phrase qu’une bouteille de soda vide vole vers sa tête, puis elle plonge sur la serviette et recouvre sa poitrine. Sophie rit jusqu’à ce que des larmes coulent sur ses joues.— Tu es sûre de vouloir faire ça, Poussin ? Demande François à sa femme quand ils se préparent pour aller au lit. Il a ouvert le lit, il a une érection qui se dresse de son boxer. Rachel brosse ses cheveux dans la salle de bains. Elle porte une courte chemise de nuit en soie. — Tu crois que c’est bonne façon ?Rachel est revenue et s’est assise à côté de son mari sur le lit. — Nerveux, François ? Toi ? Elle tire sur son boxer et a caresse tendrement son homme. — Tu l’as vu toi-même. Elle s’est cloitrée dans le souvenir de son mari décédé, elle ne voit pas le monde autour d’elle. Dieu, elle a seulement trente-cinq ans Sophie! C’est trop jeune pour se flétrir et expirer. Nous devons faire quelque chose pour la sortir de cette ornière dans laquelle elle est. Tu devras commencer sur elle demain, la charmer par une dialogue tendre et affectueux pour elle. Cela peut être dur, mais je vais la préparer le mieux que je peux, alors tu la baises et prouves qu’il y a encore quelque chose là dedans ! Pourquoi crois-tu que j’ai laissé ces vidéos de nos débauches là-bas, au lieu d’ici, où nous les regardons ?— Et ce soir ? Demande-t-il avec un sourire.— Jaloux ? Rachel soulève le pieu de son mari.— Envieux. Raconte-moi. Allez, vite, et puis moi d’abord ce soir.En souriant, Rachel tire le drap au-dessous de la taille de son mari et serre fermement son érection. Elle commence à la branler, en se préparant à se pencher et avaler sa bite, mais comme elle aperçoit la perle au bout, elle a une autre idée. Elle explique à François comment elle a branlé Benjamin, comment il a léché son clitoris et ils ont fait un soixante-neuf, comment elle a écarté ses jambes et lui a permis de la baiser à fond. Avec chaque étape du récit, François devient de plus en plus excité, jusqu’à, les hanches remuantes, il balance une charge massive dans l’air qui retombe sur sa poitrine. Rachel se penche et lèche le sperme, elle remonte le drap. Elle va à la salle de bains, repeigne et remonte sa robe. Elle se glisse par la porte de chambre à coucher et descend dans le hall. Elle s’arrête devant les portes des autres, Rachel passe la tête par la porte de Béatrice, mais n’entend que la douce respiration de sa nièce. Satisfaite, elle pousse l’autre porte et l’entrouvre, elle se glisse et la ferme silencieusement derrière elle. Elle s’avance immédiatement vers le lit. Benjamin la fixe, les yeux comme deux ronds de flan et bafouille. Ça ressemble à un rêve éveillé. Il est allongé nu sur les couvertures, son poing est encore sur sa bite. il s’arrête, en pensant la chose qu’il va certainement faire ! Rachel ôte sa chemise de nuit et grimpe sur le lit à côté de lui. — Tu n’as pas déjà éjaculé, n’est-ce pas ? Demande-t-elle d’une voix basse. Il lui répond gêné :— Humm mm. non. — Bien. il y en aura plus pour moi. Souviens-toi, nous devons éviter de faire trop de bruit.— Es-tu folle, tante Rachel ? Et l’oncle François ?Chuchote-t-il. Elle fait un geste de la main. — Oublie François. Je l’ai branlé et il s’est endormi de suite, heureux comme Ulysse. Veux-tu une pipe ?
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