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Les surprises de la vie

Chapitre 1

Inceste
Les surprises de la vie____
En général la vie ne fait pas de cadeau, j’ai eu mon lot de mauvaises surprises, mais contre toute attente, un jour la vie se décida à me faire une belle et inattendue surprise. C’est ce que vous allez découvrir tout au long de cette histoire.
Je suis Pierre, un fringant quinquagénaire, dessinateur industriel de son état. Veuf depuis cinq ans, la vie m’a fait la plus grosse des vacheries en me prenant ma femme. Nos deux enfants sont grands, et vivent loin de moi. Je suis installé dans l’arrière-pays Varois, dans ce grand mas que nous avions retapé au fil des années avec mon épouse. Après le décès de ma femme, une personne m’a beaucoup soutenu et aidé à surmonter ce deuil. Éloïse, ma sœur, de trois ans ma cadette, une très jolie blonde, avec de grands cheveux, élancée, avec des formes généreuses, le parfait clone de notre mère. Il est vrai que, pendant notre jeunesse, j’ai quelquefois fantasmé sur elle, surtout l’été en la voyant en maillot sur la plage, elle attirait les regards. Malgré une très grande complicité entre nous deux, rien ne s’est passé. Nous nous sommes mariés tous les deux chacun de notre côté. A son grand regret, Éloïse n’a pas eu d’enfant.
Quatre ans après le décès de ma femme, ma sœur m’annonça son divorce, son couple battait de l’aile depuis un moment, c’est Eloïse qui décida de stopper les frais. Et c’est moi qui lui apportai mon soutien dans cette épreuve. Seul problème, nous habitions à huit cents kilomètres l’un de l’autre, nous passions des heures au téléphone. Elle pleurait beaucoup, m’affirmant qu’elle avait gâché sa vie avec un connard, il est vrai que mon beauf était spécial. Je faisais tout pour la réconforter, mais rien n’y faisait, elle s’enfonçait dans une profonde déprime. Je pris le taureau par les cornes, en lui proposant de venir passer ses trois semaines de vacances chez moi, comme cela nous serions ensemble, elle ne serait plus seule. Éloïse accepta mon invitation sans grand enthousiasme.
Elle arriva un jeudi soir de début août. Le moment venu, j’entends la voiture dans l’allée. J’accueille ma sœur avec un grand plaisir.Après avoir déchargé ses affaires, et les avoir déposées dans la chambre, nous prenons la direction de la terrasse, pour y savourer un rafraîchissement. Nous échangeons d’abord des banalités. Puis, sans que je m’y attende, Éloïse part dans de profonds sanglots, je me doutais bien du pourquoi de cette tristesse, en gentleman, je me rapproche d’elle pour la réconforter. Je ne parle pas, la serrant seulement dans mes bras, elle fiche sa tête dans le creux mon épaule. Après un long moment de silence, Éloïse part dans des explications confuses.
— J’ai gâché ma vie avec ce connard, je vais finir mes jours toute seule, en plus je suis moche ! — Arrête de dire n’importe quoi, tu es magnifique, et tu finiras par rencontrer un homme qui te rendra heureuse !
Après un gros reniflement, Éloïse soulève sa tête de mon épaule, me regardant droit dans les yeux, et avec un sérieux que je ne lui connaissais pas :
— C’est un homme comme toi qu’il me faudrait !
Intérieurement, je suis flatté par cette affirmation, je ne réponds pas, et coupe court en lui proposant d’aller nous coucher. J’étais loin de me douter, des événements qui allaient suivre, suite à cette courte phrase prononcée par ma sœur.Depuis de longues années, je dors nu, ne dérogeant pas mes habitudes, malgré la présence de ma sœur dans la maison. Allongé sur le lit, je suis plongé dans la lecture de mon livre, un certain temps s’est écoulé depuis que nous avons regagné nos chambres. Deux petits « toc, toc » se font entendre.
— Entre !
Dans la pénombre, Éloïse pénètre dans la chambre.

— Je n’arrive pas à dormir, je peux venir me coucher avec toi, comme quand nous étions petits ?
Sans faire attention a ma tenue, et sans arrière-pensée, je lui réponds.
— Avec plaisir, viens ! — Super, mais tu pourrais te couvrir un peu en présence de ta sœur !
Réalisant que je suis nu, je pose mon livre sur mon sexe, pour le cacher. En regardant ma sœur, je distingue un petit sourire coquin au coin de ses lèvres. Je réalise surtout, qu’elle est vêtue d’une nuisette, qui ne cache rien de son anatomie, étant complètement transparente. Wahoo !!! ma sœur est quand même bien foutue, il y en a un qui se réveille sous le livre.
— C’est l’hôpital qui se moque de l’infirmerie, tu serais à poil, ce serait pareil !
J’ai à peine fini ma phrase que ma chère sœur enlève sa nuisette en un clin d’œil !...
— Comme cela, nous sommes à égalité !
Je reste bouche bée devant l’audace de ma sœur. Elle pousse la provocation, en se compressant les deux seins avec ses mains, et avec un regard malicieux à mon égard.
— 95 D, pour ton information ! — Ravi de le savoir !
Éloïse vient se coller contre moi, en posant sa tête dans le creux de mon épaule, elle me regarde avec ses grands yeux bleus pleins de malice.
— Alors frangin, on dort à poil ? — ça fait des années !
Et sans m’en rendre compte, la main de ma très chère sœur retire le livre, je ne peux plus me cacher, ma sœur nue contre moi me fait de l’effet, ma virilité atteint son paroxysme.
— Belle bête, dit donc ! — Merci, mais elle est tout à fait normale !
Avant de répondre, elle l’attrape à pleine main.
— Tu rigoles, elle est d’un bon calibre !
J’ai à ce moment-là, un moment de lucidité malgré le désir qui monte en moi.
— Arrête Éloïse ! On va trop loin, tu es ma sœur quand même ! — Ne me dis pas que ça ne te plaît pas, vu ton état !
Effectivement je bande, et je suis plus que dur, je ne sais quoi lui répondre, tout se bouscule dans ma tête. Tout arrêter ? Ou bien me laisser faire ? Voilà le véritable dilemme.
— Combien de femmes t’ont touché depuis le décès de ta femme ?
D’une toute petite voie je réponds :
— Zéro ! — Alors frangin, profite et laisse-toi aller, on ne fait de mal à personne. — On est quand même frère et sœur ! — Ah, je comprends ! — Tu comprends quoi ? — Je ne te plais pas ! Je sais, je suis moche ! — Arrête de dire n’importe quoi, tu es magnifique ! — Alors, où est le problème ? — Le problème !... — Tu ne sais pas quoi me répondre, tu as envie, oui ou non ? — Oui j’ai envie, mais tu es ma sœur pour ta gouverne, on appelle cela de l’inceste ! — Tout de suite les grands mots, on est deux adultes, nous sommes seuls tous les deux, pourquoi ne pas en profiter ! — Quand même ! Et puis merde !...
Le cadenas de l’interdit vient de s’ouvrir dans ma tête. Tel un fauve qui se jette sur sa proie, je bondis sur Éloïse, et tout de suite je cherche les lèvres de ma sœur. Instantanément notre baiser est intense, comme si nos vies en dépendaient, nos langues fouillent profondément nos bouches, c’est un ballet ininterrompu, qui dure plusieurs minutes. Dans un gros bruit de succion, Éloïse met fin à notre union buccale, et après avoir repris son souffle, me dit :
— Il te faut du temps pour démarrer, mais une fois que tu es parti, il faut te suivre ! — Et tu n’as pas tout vu ! — Alors fais-moi l’amour ! — Tu le veux vraiment ? — Arrête de te poser des questions et faisons l’amour !
Je n’ai pas le temps de réfléchir, Éloïse m’attire vers elle pour unir nos lèvres. Mes mains partent à la découverte de son merveilleux corps, je caresse ses seins, comme ils sont énormes ! Ma main ne parvient pas en faire le tour. J’agace ses tétons, qui durcissent et pointent fièrement, de doux gémissements sortent de sa bouche, étouffés par notre baiser. Ma chère sœur ne reste pas inactive, elle faufile sa main entre nos deux corps, empoignant mon sexe à pleine main, et entame un lent va-et-vient, et me voici qui commence à gémir. Nous sommes toujours dans cet instant de caresses. Rompant notre baiser, les yeux dans les yeux, nous restons silencieux, mais nous pouvons lire dans chacun de nos regards l’envie, le désir de l’autre, et ce petit plus qui unit un couple !... Nos yeux brillent de mille feux.
Cette fois c’est moi qui romps notre baiser, je descends lentement en la couvrant de baisers. Arrivé sur les seins, je tête, mordille, aspire les tétons un à un, Éloïse se cambre de plaisir, mon sexe me fait mal, en érection totale.
Je continue ma descente, arrivé sur son ventre presque plat mes baisers lui provoquent des chatouilles, je poursuis l’exploration de son corps. Parvenu à l’endroit fatidique, je rencontre son buisson finement taillé. Mon excitation grimpe d’un cran, ma langue se pose sur sa vulve, je constate que ma frangine est dans un état avancé d’excitation. Les grandes lèvres se gonflent d’un désir certain, et pour couronner le tout, elle est trempée.
Au premier coup de langue sur sa vulve, Éloïse pousse un gros soupir et soulève son bassin. Sous l’effet de la surprise ? Ou tout simplement du plaisir, je vais avoir la réponse, Éloïse plaque ses deux mains sur ma tête,
— Oh Pierre, continue, c’est un délice de se faire lécher la chatte !
Il ne faut pas me le dire deux fois, je fouille en profondeur son minou, il dégouline sur ma langue, je commence à jouer avec son petit bouton.
— Attends ! — Pourquoi ? — Je vais m’occuper de toi !
Eloïse va me pomper comme une vorace, une vraie reine de la pipe. Je ne suis pas en reste, léchant en profondeur son intimité, qui coule sans discontinuer, je m’abreuve avec délectation de ce fabuleux nectar. Je sens poindre les prémices de son orgasme, le mien approche également. Je m’active comme un mort de faim sur sa merveille minette. Eloïse lâche prise, son corps se tend au maximum, elle hurle son plaisir, son bonheur en m’inondant la bouche de son nectar. Après quelques instants de répit, elle vient se blottir contre moi.
— Wahoo frangin, je n’ai jamais pris un pied pareil en me faisant bouffer la chatte ! — C’est sûrement l’interdit de notre acte ! — Rien à voir avec l’interdit, on ne m’avait jamais fait un cunni aussi délicieux, tu es magique Pierre ! — Merci du compliment ma belle ! — Alors viens faire l’amour à ta belle, je veux te sentir en moi !
A suivre...
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