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Les p’tits boulots d’Haru

Chapitre 1

Un dog sitting pas comme les autres

Zoophilie
Je m’appelle Haru et je viens d’avoir dix-neuf ans. Je suis tellement contente, j’ai pu enfin sortir de ma petite campagne pour rejoindre la grande ville. Vous voyez, ce n’est pas où je vivais que j’allais pouvoir faire des grandes études ! Alors j’ai dû quitter ma famille, mes amis pour me retrouver à plusieurs centaines de kilomètres de chez moi. Bien entendu, c’était dur, très dur, mais c’est la vie ! La vie est une succession d’expériences diverses allant de l’attendu à l’inattendu. Et ce que j’ai vécu, lors de mes petits boulots... Étaient des expériences exceptionnelles... Mais, laissez-moi vous raconter.
Je venais à peine d’emménager dans ce petit appartement et il fallait que je trouve un boulot, quelque chose qui me permettrait de vivre plus aisément. J’avais commencé à chercher des petits boulots, après tout, c’était assez courant pour un élève d’université de travailler à côté. Mon petit-ami m’avait quittée quand j’avais décidé de suivre mes études, il n’avait pas supporté ma décision et je l’avais quitté en mauvais terme. Enfin, c’est une autre histoire, pour l’instant, il fallait que je trouve un boulot. Après quelques jours de recherche, j’avais trouvé un couple qui avait besoin d’un pet sitter. Vous savez, des personnes qui gardent les animaux de compagnie contre de l’argent. C’est du baby-sitting pour animal.
Un couple m’avait contactée pour garder leur chien, un dogue allemand âgé de quatre ans. Bien entendu, j’avais accepté avec joie. Après quelques informations échangées, nous avions conclu le jour ainsi que le prix du travail. Ils avaient besoin de l’aide d’un pet sitter pendant quelques heures afin de passer un petit moment entre eux, chose qu’ils n’avaient pas faite depuis longtemps. Et je vous avoue que moi, cela m’arrangeait bien !
On était arrivé rapidement au vendredi, jour où j’allais travailler. Ma routine s’était rapidement faite, une routine très basique pour une étudiante. École, étude, dodo et rebelote le lendemain. Mais, cette fois-ci, je ne rentrais pas chez moi, je me dirigeais vers les quartiers aisés de la ville. J’avais dû prendre au moins trois bus pour arriver à destination.
Habillée d’un minishort qui s’arrêtait à mes cuisses et d’un débardeur. Une question m’assaillit, j’espérais faire bonne impression. Un long soupir et voilà que je sonnais à la porte. Je ne vais pas vous raconter tout ce qui s’est passé entre ma venue et le couple qui me laissa leur chien. C’était littéralement l’enfant adoptif du couple, appelé Helmut. En parlant de ce dernier, il était très gentil et joueur. De couleur noir, il faisait bien quatre-vingts centimètres et devait peser dans les soixante ou soixante-dix kilos. Et vous pensez que c’est fini ? Genre, je le garde et je gagne mon argent et puis au revoir ? Eh bien, oui, cela aurait pu être cela, mais non... Laissez-moi vous expliquer.
Je jouais à la balle avec Helmut quand cette dernière se coinça sous un meuble, devant le regard attristé de ce dernier. Je le regardais pendant quelques instants avant de me laisser amadouer et me voilà à quatre pattes, une main en dessous de l’armoire à la recherche de la baballe. J’allais la trouver quand je sentis quelque chose d’humide contre mon entrejambe venant sursauter et crier un petit coup. Je me retournai d’un coup venant regarder le chien. Il ne me laissa pas bouger, plongeant son museau contre mon intimité. Il me renifla fortement, sa queue commençant à se balancer de droite à gauche, un air joyeux se lisait sur sa gueule.
— Et mon grand, qu’est-ce que tu fais ? C’est intime, cette zone. Dis-je, venant pousser la tête de ce dernier.

Je m’étais mise à genoux, prête à me relever quand ce dernier me grogna dessus. Je le regardais, ne comprenant pas sa réaction, lui qui avait été si gentil. Je retombais sur mes fesses en regardant le chien, cherchant à comprendre son changement de comportement. Helmut n’attendait pas et vint mordre au niveau de mon short et le tira fortement, je rougissais sur le coup. Je venais de remarquer que son sexe était déjà droit, sorti à moitié de son fourreau tandis qu’il avait une partie de mon bas entre ses dents.
— Attends, je... Enfin... Non, n’y pense même pas...

Pourquoi j’avais l’esprit si tordu ? Était-ce réellement de ma faute ? Le sexe droit, il veut retirer mon short et plus tôt, il avait enfoui sa truffe contre mon intimité. Est-ce qu’il me voyait vraiment comme une femelle ? Je rougissais à cette pensée et surtout aux prochaines qui étaient plus érotiques. Je m’imaginais me faire prendre par cet animal, et ce...
Cette bite. Qu’est-ce que tu penses Haru, arrête cela ! Ce n’est pas convenable ! Dans mes pensées, je retenais plus mon attention sur l’animal et voilà qu’il tira plus fortement, me faisant tomber sur le dos, en culotte. Il ne me laissa pas réfléchir et voilà qu’il commença à lécher ma culotte. Je tremblais de plaisir venant gémir à cet acte. Je ne savais pas comment réagir, est-ce que c’était une bonne chose, non...
Pas du tout et pourtant, je me laissais faire, écartant mes cuisses pour lui laisser toute la place. J’étais réellement honteuse de la situation et pourtant, j’aimais ça. Est-ce que cela faisait de moi quelqu’un de mauvaise ? Sur le coup, je ne voulais pas réfléchir et laisser faire Helmut.

Après quelques minutes, j’étais complètement mouillée. La salive du chien se mélangeant à ma cyprine et bientôt ma culotte ne servait plus à rien. J’avais décidé de retirer ma culotte dans la plus grande joie d’Helmut qui continua son œuvre, rentrant plusieurs fois sa longue et grosse langue en moi.
— Helmut... Oooh, c’est si... C’est si bon, vas-y, mon loulou.

Je le pris par la tête venant l’amener contre ma vulve qui crachait ma mouille, je voulais qu’il aille plus profondément... Je voulais qu’il aille plus loin, rhoo merde... Qu’est-ce que je dis, qu’est-ce que je pense... Je savais que c’était mal et pourtant, je LA voulais. Je voulais cette chose en moi, je voulais ressentir le bonheur d’une partie de jambe en l’air sauvage. Et Helmut semblait ne pas être contre... Je le regardais, faire, détournant le regard vers ce sexe rouge, tellement rouge... Cette forme bien singulière... Helmut continuait de s’appliquer dans son nouveau rôle, cherchant à nettoyer tout liquide qui sortait de ma chatte. Et cela me faisait couiner, je tremblais de plaisir tellement que c’était bon... Ma tête tournait, j’allais jouir s’il continuait, j’allais tout déverser mais je l’arrêtai d’un coup, venant le repousser plus violemment devant le regard surpris de la bête.
— T... Tu as envie de moi ? Avais-je réussi à lui dire tandis que ce dernier aboyait pour me répondre.

J’avais commencé, autant terminer, non ? Je n’étais plus certaine, mon corps bougeait tout seul et mon esprit se faisait corrompre par cette envie puissante. Je vins lui ordonner de s’asseoir et il avait obéi tandis que je me remis à quatre pattes, mon fessier vers le chien tandis que j’abaissais mon torse contre le sol, mes mains venaient écarter mes lèvres intimes. La cyprine dégoulinait, tombant sur le sol tandis que je vins tapoter mon entrejambe pour attirer l’attention d’Helmut.
— Allez, mon beau, elle est à toi pour ce soir.

Je n’avais pas à le dire deux fois, que le chien s’était redressé, venant se positionner derrière moi, me chevauchant. Il se redressa, faisant atterrir ses pattes avant contre ma taille, de façon pour que ces dernières soient bloquées avec mes hanches. Ses pattes s’étaient resserrées. Je me sentais prise au piège ainsi et pourtant, j’aimais clairement ça. Je sentais son membre donner quelques coups à la recherche de mon entrée. Il était maladroit, n’arrivant pas à me pénétrer, je l’aidais comme je le pouvais, prenant le membre en main. Qu’est-ce que c’était chaud ! Je le sentais pulser dans mes mains tandis que je le dirigeais vers l’entrée de mon antre intime. D’un puissant coup de reins, il me pénétra sauvagement, je lâchais un cri de plaisir tellement que c’était BON ! C’était tellement gros, il était tellement gros...
Je sentais le membre, déformant ma vulve. Il y avait un mélange de douleur et de plaisir qui m’envahissait. Alors qu’un homme aurait attendu quelques secondes, Helmut, lui, il me pilonna frénétiquement, violemment. Je gémissais fortement, soufflant plusieurs fois tandis qu’il me prenait comme jamais un homme m’avait pris.
— Prends-moi ! PRENDS-MOI comme la femelle que je suis ! Vas-y !!! C’est bon ! CONTINUE ! Ne t’arrête pas ! Jouis en moi ! criais-je en haletant.

Et Helmut continua pendant plusieurs minutes, me bombardant son membre dans mon bas-ventre, je le sentais aller et venir. Je dirais même que mon ventre était meurtri et pourtant, je n’avais jamais connu autant de plaisir. On dit que la taille n’est pas importante, je peux vous assurer qu’un membre canin est tellement bon ! Je regrettais même de ne pas avoir essayé avant ! Il me pilonnait encore jusqu’à ce qu’il ralentisse et que je sente quelque chose de plus gros me pénétrer alors que je jouissais, je grimaçais doucement, mais je compris rapidement ce que c’était...
Il venait de me nouer, ce con ! Et ça continuait de gonfler, formant un véritable bouchon dans ma chatte. Je m’effondrais, fesse en l’air, contre le sol tandis que le chien était toujours là, me bavant sur mon débardeur tandis que je reprenais mes esprits. Son sperme était tellement chaud...
Je le sentais bouillonner en moi, je clignais des yeux comme si j’allais m’évanouir. Et ce nœud, il faisait pression contre les parois internes, comme s’il était à l’intérieur de mon clitoris, il me rend tellement folle...
Cette expérience sera inoubliable...Oui...
Je comptais attendre qu’il dégonfle, mais Helmut n’était pas de cet avis, je le sentais bouger, tentant de se reculer. Tirant pour déloger son membre hors de ma chatte, j’ai dû l’attraper par la queue puis par une des pattes afin qu’il ne s’extirpe pas. C’était comme un bouchon.
— Doucement ! Attends mon beau, là, calme-toi.

J’avais dû le calmer, le caresser pour qu’il reste près de moi. Il tentait plusieurs fois de tirer et je devais redoubler d’efforts pour qu’il ne me fasse pas mal. Après une vingtaine de minutes, il se retira, laissant dégouliner copieusement un mélange de sperme et de mouille sur le sol. Je laissais mes fesses retomber contre le sol, tombant dans ce mélange de jouissance tandis que je me reposais un peu ainsi. Helmut me laissa tranquille, venant parfois me lécher les fesses, me faisant lâcher quelques rires, car ça me chatouillait.
Je venais de me reposer pendant une demi-heure quand j’entendis une voiture dans l’allée. J’ai compris rapidement que c’était le couple qui revenait. J’avais peut-être dormi plus qu’une demi-heure. Je me hâtais de me rhabiller et de rapidement nettoyer le sol, jetant tout le papier dans les toilettes. Je cherchais Helmut qui était allongé dans son panier quand la porte s’ouvrit. Je les accueillais avec un grand sourire, expliquant qu’Helmut était incroyablement gentil et généreux. Une dizaine de minutes après, je quittais la maison, l’argent en poche et une partie de jambe en l’air bien exotique !
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