Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 53 J'aime
  • 8 Commentaires

Les toilettes de l'aéroport

Chapitre 1

Trash
Je m’appelle Agathe, j’ai dix-neuf ans, et je sors avec Pierre, qui a vingt-et-un ans, depuis plus d’un an. Nous nous sommes rencontrés à la faculté alors que j’étais en première année et lui en troisième. Notre sexualité est assez déviante : lui aime beaucoup la pornographie, et moi, je me suis laissée corrompre par ses propositions saugrenues. Je ne m’en plains pas : je n’ai jamais pris autant de plaisir dans ma vie que depuis le début de cette relation. Il apporte sans cesse de la nouveauté au lit (et dans tous les autres endroits où nous nous adonnons à cette dépravation). Quoi qu’il en soit, en cette fin de quatrième année, il avait fait un stage à l’étranger pendant que je travaillais mes examens, et je n’avais pas pu le voir pendant deux mois. Nous avions beaucoup échangé par messagerie, il m’avait promis qu’il me ferait beaucoup de cochonneries en rentrant (notre obsession du moment était l’urophilie) et je n’en pouvais plus de l’attendre.
Le jour de son retour, il était prévu que j’aille le chercher à l’aéroport et que nous allions chez lui juste après. Je mis une jolie robe bleue et des escarpins appropriés à ce début de mois de juillet. Je ne l’attendis pas trop longtemps, son avion était à l’heure. Quand je le vis, je me jetai immédiatement dans ses bras. Nous nous embrassâmes et il me dit : "Je vais passer aux toilettes de l’aéroport avant de rentrer, j’ai la vessie pleine." Naturellement, ses mots me rappelèrent quelques récentes discussions érotiques et m’excitèrent. Je souris, le pris par la main et je conduis aux toilettes pour hommes (moins saturées que celles des femmes et ma foi étonnamment propres), direction le cabinet du fond, pour handicapés, plus spacieux. Personne ne nous avait vu entrer à deux mais il y avait quelques autres voyageurs dans le coin.
La porte fermée à clef, je chuchotai : "Laisse-moi boire ta pisse." Je m’assis sur le siège et défis sa braguette pour sortir son sexe demi-mou. Il se rapprocha de moi pour me permettre de l’insérer dans ma bouche et, après quelques secondes d’hésitation, réussit à y déverser son liquide. Je commençai immédiatement à avaler aussi vite que possible, ce qui m’excita grandement, mais il y en eut bientôt trop et ma bouche déborda d’urine, qui se déversa sur ma robe. Effrayée à l’idée de salir tous mes vêtements, je suppliai "Stop, stop !" Il s’arrêta à temps après avoir fait une seule petite tache sur ma poitrine, qui serait facile à dissimuler ou à faire sécher sur le chemin du retour. Rassurée, j’eus alors une idée : je me déshabillai entièrement en mettant ma robe et mes sous-vêtements sur le lavabo. Tout excitée à l’idée d’être intégralement nue dans les toilettes d’un aéroport, je me mis à mouiller et mon cœur battit plus fort qu’auparavant.
"C’est bon, tu peu me souiller maintenant" murmurai-je avec mon sourire le plus lascif. Il recommença alors à me pisser dans la bouche, mais pas seulement : sur le visage, dans les cheveux, et partout sur mon corps. Le sol du cabinet était tout sale par notre faute, mais nous étions surexcités. Une fois sa vessie vidée sur moi, il me contempla, dégoulinante comme au sortir d’une douche, la légère odeur et la flaque au sol en plus. Son pénis était maintenant tout à fait érigé et je le remis dans ma bouche, pour le sucer cette fois-ci. Je caressais en même temps mon corps, toujours nu et trempé, notamment mes seins et ma vulve où la mouille se mélangeait à l’urine de Pierre.
Pour augmenter son excitation, ce pervers me dit de m’arrêter et de me mettre à quatre pattes pour nettoyer le sol. Je m’exécutai malgré la saleté de son ordre, ce qui redoubla mon excitation. J’étais donc nue, couverte de pisse, à quatre pattes dans les chiottes d’un aéroport, en train de lécher et d’aspirer la pisse qui se trouvait sur le carrelage. J’eus le temps de voir sous la porte des dizaines de pieds : les toilettes étaient à présent bondées, quelqu’un se doutait peut-être même qu’un cabinet était occupé par un couple lubrique. Ils ne se doutaient sûrement pas de l’étendue de notre dépravation...
Ma tâche grossièrement accomplie, je continuai ma fellation en me masturbant, jusqu’à ce que nous jouissons tous les deux. Après avoir avalé son foutre, je m’essuyai comme je le pus avec du papier et remis ma robe. Nous rentrâmes alors jusque chez lui en croisant des dizaines de personnes dont certaines ont dû se rendre compte que mon allure était louche ou même que je sentais l’urine. Cette idée m’excita de nouveau et, en arrivant chez lui, je ne pus résister au désir de sauter à nouveau sur sa bite avant de prendre enfin une douche.
Diffuse en direct !
Regarder son live