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les tourterelles

Chapitre 4

Lesbienne
Nous avons longuement échangé avec Clotilde après ce délicieux intermède aquatique. Nues toutes les deux, allongées sur la banquette, nous nous sommes confiées. Entre deux baisers, et quelques caresses intimes, elle m’avoua ne jamais avoir connu un tel plaisir, ceci dit avec une telle candeur qui me toucha. Elle n’en revenait pas du plaisir qu’elle avait éprouvé lorsque mon doigt s’était égaré entre ses fesses. Je lui racontais des moments de ma vie, comment adolescente j’avais fortuitement découvert l’univers du bdsm dans les bd et les livres de mon père et que j’avais été initiée plus tard. (Ce sera sans doute une autre série de récits.).Elle m’écoutait avec attention, posant des questions naïves et pertinentes. Rougissant parfois lorsque j’évoquais la douleur, l’humiliation mais aussi la confiance, la responsabilité nécessaires à ces relations parfois baroques. Elle m’avoua ses lectures et les vidéos pornographiques qu’elle aimait, je fus surprise et amusée par sa connaissance de certains objets, pratiques et autres jeux qu’elle avait découverts sur internet. A cet instant, nos regards se sont croisés … Son expression, son sourire et sa moue étaient une invitation timide … Durant cette discussion, nos mains n’avaient cessé de caresser un sein, une fesse, pinçant un téton ou recueillant une goutte de sueur perlante. Elle finit par m’avouer, rougissante jusqu’aux oreilles que, malgré sa gêne et ses regrets, elle avait adoré faire pipi en jouissant. Deuxième invitation …Je lui ai caressé la joue, et ma main a guidé sa tête entre mes cuisses. Acquiesçant à ce qui allait suivre, elle s’agenouilla par terre entre mes cuises que je lui ouvrais sans détour. Ce fut mon tour de rougir quand elle décrivit, avec ses mots, la beauté de mon sexe, qu’elle détaillait avec une précision scientifique et poétique. Le rose de mes lèvres gonflées qui tranchait avec le blanc de ma peau. Appuyée sur mes coudes pour mieux la voir prendre le temps de découvrir un autre sexe que le sien, évoquer le parfum et l’abondance de ma mouille, passer son doigt pour dégager mon clitoris qui bandait fièrement. Avec une dextérité insoupçonnée, je la sentis ouvrir ma vulve en saisissant mes lèvres entre ses pouces et index. Rougissante de ses propres mots, en disant voilà le petit trou qui va m’abreuver … Sans hésiter elle posa à nouveau sa bouche contre ma fente que ses doigts maintenaient béante. Sa langue a immédiatement trouvé mon urètre et, bien à plat, commença à la lécher. Du bout de la langue elle appuyait dessus pour aller à la découverte de ce que je savais être un de ses premiers fantasmes qu’elle allait réaliser. Son excitation était communicative, mais je me retenais au maximum. Je la sentais s’agacer, je jouais avec ses nerfs, son désir. Je voulais la pousser à quémander, à s’humilier pour implorer ma miction. Mon ventre était en ébullition car, intuitivement, elle m’offrait un délicieux cunni … Elle commença par un petit « s’il vous plait » qui me fit sourire, auquel je ne répondis pas. Sa langue insistait, je lutais pour ne pas me lâcher. « S’il vous plait, s’il vous plait, s’il vous plait ». Ses demandes devenaient presque nerveuses jusqu’au fatidique cri porche de l’hystérie  « Pissez-moi dessus, je veux votre pisse ! Souillez-moi !».Surprise et satisfaite par cette exhortation, je me libérais enfin. Un jet puissant, chaud et doré aspergea son visage. Elle ferma les yeux mais resta collée à mon ventre. Elle bougeait la tête pour être entièrement éclaboussée de mon urine parfumée. Son cou, ses cheveux, ses seins dégoulinaient.  Ses mains étalaient ma miction sur son corps. Avant que le jet ne se tarisse, elle ouvrit la bouche pour recueillir et avaler quelques gorgées de ma fontaine intime.  Épanouie et fière Clotilde vint se coller à moi pour m’embrasser à nouveau. La coquine avait gardé de mon précieux liquide qu’elle me partagea avec tendresse.  Après un nouveau bain pour nous laver de ce dernier instant magique, elle me demanda de pouvoir revenir. Il y avait tant d’émotion et de crainte dans sa supplique que je ne pus refuser, d’ailleurs, je ne voulais pas refuser. Timidement, elle me demanda de garder le secret vis-à-vis de Fanie, ce qui était pour moi une évidence, j’avais bien d’autres intentions.Nous nous sommes séparées après un denier baiser. Nue, je la raccompagnais à son vélo. Je gardais sa culotte qu’elle m’offrit en rougissant, elle repartit cul nu sous son petit short en jean. Je gambergeais tout le week-end après un tel moment. Il faut dire qu’avec ses mots, Clotilde, avait exprimer son souhait de s’engager dans une voie qui oscillait entre l’apprentissage et la soumission. Je lui fis donc une petite liste de lecture et d’adresses web sur lesquelles elle trouverait des textes, des récits, des images pour qu’elle s’imprègne du monde dans lequel j’allai l’emmener. Les voyages suivants furent tout aussi délicieux et complices. Mes deux tourterelles aussi pétillantes qu’à leur habitude me comptaient par le menu leurs vies de lycéennes. Nos échanges de revues donnaient lieu à des commentaires, des questionnements à voix basses sur la sexualité féminine. Je ne leur cachais rien, prenant même un certain plaisir dans des détails très explicites. Forte de sa nouvelle expérience, Clotilde, m’interrogeait sur mes expériences, Fanie faisant mine de ne pas trop s’intéresser, mais ne ratait rien de nos dialogues, cachée derrière ses lunettes de soleil. Je sentais chez elle un peu d’agacement devant l’emballement de son amie. Devinait-elle quelque chose ? Nous restions pourtant très discrètes avec Clotilde, mais, même dissimulés, nos contacts étaient sans doute plus longs, plus tactiles.  Nous avions des échanges nocturnes avec Clotilde. L’internet et les portables offrent de bien belles techniques pour échanger, se voir. Nues, nous parlions, nous caressions, je ne me lassais pas des gémissements de Clotilde, ses petits miaulements m’excitaient au plus haut point. Elle réfléchissait aux manières de positionner son ordinateur ou de son téléphone pour prendre des poses de plus en plus obscènes, s’initiant à l’exhibitionnisme, allant même jusqu’à doigter son anus rose et tendre au prix d’agiles contorsions.    Le vendredi suivant, elle nous annonça qu’elle n’avait pas pu échapper à la corvée du mariage d’une lointaine cousine. Ce message m’était bien sûr adressé, repoussant un possible rendez-vous. Cela fit rire Fanie, se moquant gentiment d’elle, lui disant qu’elle trouverait un fiancé aussi bourge qu’elle. Ce qui me troubla c’est le regard de la brunette à mon égard. Aussi furtif fut-il, cette lueur dans laquelle je lisais moquerie et vengeance, comme un commentaire à ma moue probablement trop déçue.  Me sachant seule, sans visiteuse, j’allais faire mon marché le samedi suivant. Entre deux étales de maraichers, je tombais nez-à-nez avec Fanie et une femme qui ne pouvait être que sa mère, tant la ressemblance, malgré les 20 ans de différence qui les séparaient, était flagrante. « Bonjour Fanie … » dis-je d’un ton primesautier. Son regard allait de sa mère à moi, ne sachant pas comment me présenter elle hasarda un « Maman, je te présente Jane … la mère de Sarah qui est dans notre classe. » Je serais la main de la mère de Fanie, interloquée cette affirmation saugrenue. Enchantée fut le seul mot que je trouvais à ce moment. J’essayais de garder contenance, hésitant entre surprise, agacement et amusement face à ce rôle imprévu que je devais endosser. Heureusement la conversation fut polie et brève. J’inventais une histoire sur les passions communes de ma fille improvisée et de la sienne, qui aimaient courir dans la garrigue près de chez moi. Révélant inopinément mon lieu de résidence. Somnolente, nue sur la terrasse, j’entendis des pas dans le jardin. A moitié endormie, je vis débarquer Fanie en tenue de joggeuse de compétition. Un cycliste moulait ses cuisses et son fessier musclé. Une brassière plaquait sa jolie poitrine ferme et dégageait ses abdos superbement dessinés. Fière d’elle, en en sueur, (décidément, ces tourterelles avaient le chic pour réveiller mes capteurs à parfums sensuels) Fanie me demanda un verre d’eau, heureuse de découvrir cette piscine qu’elle voyait souvent lors de ses joggings, car, elle courait vraiment dans les collines. Pas gênée par ma nudité, elle me confia qu’elle pratiquait le naturisme avec sa mère, je lui proposais donc de profiter de la piscine pour se rafraîchir et, par la même, me faire découvrir son corps. Un grand sourire répondit à mon invitation et elle retira sa brassière, dévoilant une très jolie poitrine, plus ronde que celle de mon autre tourterelle, aux petits tétons d’un brun foncé. Assise sur le rebord de la piscine, je l’observais derrière mes lunettes de soleil, sans vouloir passer pour une affreuse mateuse. De dos, je la voyais rouler son cycliste pour découvrir de jolies fesses musclées ornées de jolies fossettes appelant aux baisers ; ce dont je m’abstins. Je fus surprise quand elle se retourna. Un large triangle sauvage de poils noirs couvrait son pubis et descendait un peu sur ses cuisses. Elle répondit à mon étonnement par un nouveau sourire mystérieux et complice. Elle plongea  rapidement dans l’eau avec la grâce d’une athlète. J’eu le temps d’apercevoir une série de petites cicatrices régulières, comme des scarifications, à l’intérieure de ses cuisses … Elle sorti de l’eau après quelques longueurs, sur le ventre et sut le dos, comme si elle voulait être sûre que je ne rate rien de son anatomie. Je fus à nouveau fascinée par sa toison ; de ses longs poils coulaient de fins filets d’eau, vision d’un érotisme juvénile troublant.  Nous papotâmes assises sur la banquette sur laquelle j’avais aimé Clotilde. Naturellement, la conversation glissa sur elle. « Vous croyez qu’elle est lesbienne ? » lâcha Fanie inopinément. Prenant le temps de ma réponse, ne voulant rien révéler, je répondis « Ce ne serait pas un défaut, vous êtes à une période de votre vie riche en questionnement et la problématique de l’orientation est moins taboue aujourd’hui ». Ma réponse était valable pour les deux. Malgré ses lunettes de soleil, je devinais son regard glisser de mes seins à mon sexe. J’essayais de changer de sujet, lui demandant pourquoi elle avait inventé cette histoire de ma fille Sarah. Elle m’expliqua, hilare et railleuse, qu’elle ne savait pas comment raconter à sa mère que j’étais « la dame du train qui nous raconte des trucs de lesbiennes à Clotilde et à moi ». Je crois qu’elle comprit à cet instant qu’elle était allée trop loin, en voyant mon visage changer d’expression. Surtout quand ma main s’abattit sur sa joue laissant une marque rouge que je jugeais méritée.D’une voix blanche, je me levais et lui dit « la dame qui raconte des trucs de lesbiennes te demande de quitter sa maison ». Elle tenta de balbutier quelques excuses et rouge de honte  en se rhabillant prestement et repartit en courant les larmes aux yeux. Je ne savais plus quoi penser. J’étais autant en colère contre elle que contre moi. Je m’inquiétais de m’être trop aventurée à jouer avec les tourterelles. Tout en essayant de me rassurer sur la différence de caractère en les deux.
Je fus surprise de ne pas les retrouver dans le train le lundi, ni les jours suivants. Et pourtant je les aperçues à l’arrivée, sortant de la gare sans se retourner. Deux jours après Clotilde m’appela pour me raconter leurs évitements matinaux. Sans rentrer dans les détails, Fanie lui avait expliqué qu’elle était passée me voir et que je l’avais choquée par mon attitude. Une fois ma version relatée, je demandais à Clotilde de ne pas tenir rigueur à son amie, qu’elle se doutait peut-être de quelques choses et que ces distances matinales rendraient plus discrètes notre relation. Trop ravie de poursuivre notre liaison, Clotilde approuva ma sagesse, m’expliquant qu’elle en profitait pour être plus proche de Fanie, plus complice, plus tendre et que son amie s’ouvrait un peu plus. Je n’avais pas oublié ses sentiments pour son copine brune et imprévisible.  Elle me raconta le mariage auquel elle avait participé et comment elle avait trompé l’ennui en observant les femmes mures. Pour chacune de ces femmes, elle inventait des noms, des vies, des péchés tout en les mélangeant aux souvenirs qu’elle avait de moi. J’adorais l’imagination de Clotilde à la fois naïve et sensuelle. Lors de cette conversation sur skype, nous papotions nues, riant en nous dévorant des yeux. Je vis son visage s’illuminer lorsqu’elle m’expliqua avoir eu une idée de génie … Comme sa mère connaissait la mère de Fanie et que la mère de Fanie me connaissait en tant que maman de Sarah, j’étais devenue une mère de famille respectable et connue.Lles parents de Clotilde étant vieux-jeux et un peu collet monté, il serait bien vu et plus convenable que ce soit la maman de Sarah qui l’invite en prévenant ses parents. Pour conclure en rougissant et un peu inquiète « Bien sûr, si vous voulez m’inviter … ».Je luis dis que j’allais réfléchir à sa proposition, n’étant pas sûre d’accepte endosser un tel mensonge. En réalité, j’étais bluffée par son ingéniosité et par le stratagème qu’elle avait déployé pour me revoir. C’est avec une moue triste que Clotilde me quitta ce soir là en éteignant son téléphone.  La bouderie de Fanie s’éternisant, je ne revis pas les tourterelles le lendemain. Le soir même j’appelais la mère de Clotilde pour l’informer que ma fille Sarah serait heureuse de la présence de son amie Clotilde pour une Pyjama party le vendredi suivant.  Avec tact et politesse, sur un ton mi-complice, mi-concerné, je rassurais la maman sur le fait que, bien sûr, Clotilde dormirait à la maison, et que, bien entendu, il n’y aurait ni alcool, ni garçons. Rassurée, elle autorisa sa fille à venir, fille que j’entends crier de joie.
J’évitais tout contact avec Clotilde les jours précédents la pyjama party car je ne voulais pas révéler ce que j’envisageais pour nos retrouvailles. M’avoir demandé de mentir ne serait pas sans conséquences pour elle. Elle devrait apprendre le prix de son engagement.
Je priais silencieusement pour qu’elle aime ça …
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