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les tourterelles

Chapitre 5

Lesbienne
Comme prévu, Clotilde arriva chez moi vers 19h, elle avait eu la bonne idée de venir seule et en vélo, j’aurais été bien embêtée de présenter ma fille Sarah à sa mère …Je portais ce soir-là une robe en cuir noire, sans manche, mi-cuisses, sur une magnifique paire de cuissardes vernies en latex. Sous cette tenue que je trouvais déjà sexy et sans équivoque, je portais un harnais de cuir terriblement obscène. Des lanières de cuir parcouraient mon buste, encerclant mes seins nus, passant entre mes fesses et mes cuisses, caressant délicieusement toutes ces zones si sensibles et dénudées. Chacun de mes mouvements me procuraient des frottements excitants. Maquillée, les ongles vernis je l’attendais sur le pas de la porte. Depuis nos échanges nocturnes, je savais qu’elle avait lu et vu certaine de mes recommandations et je guettais sa réaction confrontée à ma tenue. Je fus la première surprise. Elle avait noué ses cheveux dans un joli chignon, et portait un discret maquillage, mais une bouche très rouge et brillante. Un top gris moulant, qu’elle avait le bon goût de porter sans soutif,  dévoilait sa poitrine menue aux tétons effrontément dressés. Une mini-jupe noire, découvrait ses cuisses gainées de résilles. Son gros sac laissait deviner, ce qu’elle m’avoua plus tard, qu’elle s’était changée après avoir quitté ses parents. Un ange passa lorsqu’elle eut fini de détailler ma tenue.  Un timide « bonsoir Jane », plus murmuré que dit, sorti de sa bouche. Silencieusement, je la guidais dans le salon, après l’avoir débarrassée de son sac. Sans que je le lui demande, elle resta debout. Assise dans mon canapé, j’allumais une cigarette, en la détaillant, lui demandant, narquoise, si s’était une tenue pour une pyjama-party. Ma retenue et ma froideur la déstabilisaient. Je m’amusais de son malaise. Je la questionnais à cet instant si, commencer une relation par un mensonge ne serait pas sans effets … Elle rougit.Je continuais mes questions sur ce qu’elle avait retenu de mes conseils de lecture, si son habillement avait vocation à me séduire, à mettre en valeur son corps. Son trouble devenait palpable. Je lui ordonnais alors de retirer sa jupe. Elle me regarda surprise par cette injonction imprévue. Jouant à nouveau avec son hésitation je lâchais sur un ton sec « qu’est-ce que tu ne comprends pas dans retires ta jupe ? ». Emue, je la vis passer ses mains dans son dos pour baisser le zip et laisser glisser le vêtement au sol. Son top se révéla être un body joliment échancré et, je sus que j’étais sur la bonne voie en voyant la petite auréole qui souillait la pointe de tissu cachant sa vulve.« Je vois que mademoiselle Clotilde apprécie de se faire doucement humilier … Dis-moi jolie trainée, as-tu peur ou es-tu excitée ? As-tu vu que ton body était taché ? ». Elle était cramoisie, sa honte faisait plaisir à voir et ses yeux commençaient à briller des premières larmes. Elle était à point. « Nous savons l’une et l’autre pourquoi tu es venue, mais moi je sais ce qui va se passer. Alors écoute-moi bien car je ne me répèterais pas. Quand j’aurais fini ce monologue tu auras deux options, soit remettre la tenue qui est dans ton sac et rentrer chez toi, il n’est pas tard, tu diras que Sarah était malade et que la soirée est annulée ; soit rester, me faire confiance et continuer d’obéir.Dans cette option, quand je reviendrai tu seras à genoux, les mains derrière la tête et je commencerais ton éducation, car c’est ce pourquoi tu es venue ! Autrement, tu seras libre de partir ou d’arrêter à n’importe quel moment, mais comme il est écrit dans les salles de concerts, toute sortie est définitive ».  A ces mots, je me lève et la laisse seule dans le salon. Je vais dans ma cuisine me servir un petit remontant, car je sais que j’y suis allée fort, elle est si jeune. Je reste un moment, je savoure mon rhum et l’instant. Je la laisse mariner, je devine ses réflexions, le désir, la honte, l’envie, le plaisir, la peur, la peur d’aimer ce qui l’attend … Je patiente encore. Je n’ai pas entendu de bruit, ni de porte qui claque. Je retire ma robe et je remets en place le harnais de cuir qui m’exhibe. Je fais bien passer mes lèvres intimes entre les lanières, je recale mes seins et je fais claquer mes ongles sur mes tétons pour les dresser. Puis je me lance, mes talons claquent sur le parquet. Je joue mon rôle a fond. J’entre dans le salon. J’ai gagné !Je me plante devant elle, les mains sur les hanches et contemple ma victoire. Clotilde est bien là, à genoux. La tête baissée. L’auréole qui tache son entre-jambe a doublé de surface. Les pointes de ses seins sont si tendues qu’elles pourraient percer le body. Des larmes ont glissé sur ses joues, ses lèvres tremblent, ses aisselles brillent. Elle me regarde. Je ne sais pas si c’est de la peur, de l’excitation mais elle se fige en voyant ma tenue de cuir, provocante, indécente, totalement sexuelle. Comme un vampire, je me délecte de cette tension. J’absorbe ses émotions. Son regard est un mélange de tout cela auquel s’ajoute une lueur de folie qui me dit je me donne corps et âme, ne me décevez pas … Puis, baissant les yeux, elle murmure « apprenez moi s’il vous plait, faites de moi une femme – puis encore plus doucement - faites de moi une lesbienne … Jane … Madame … ».C’était au-delà de mes espérances. Je m’approchais d’elle, face à elle. Mes doigts attirés par ses tétons turgescents les attrapent. « Je suis très fière de toi Clotilde » dis-je en pinçant ses pointes, les étirant. Elle gémit, elle miaule ce petit cri félin qu’elle produit quand elle jouit. Je tire sur ses bouts pour la faire se relever, cette douleur ne cesse de la faire couiner, son plaisir l’enflamme. Elle sent le sexe, la tâche remonte sur son ventre ; son visage est si proche du mien, je vois dans mon champ de vision, ses aisselles brillantes et parfumées qui saturent mes narines. A mon tour de me faire carnassière, et je commence à lécher son visage, son nez, sa bouche, ses yeux. Ses oreilles vibrent sous ma langue, les premières gouttes de sueur coulent  dans son cou, je finis par déguster ses aisselles. Ce goût acide envahit ma bouche et fait monter mon désir. Presque à regret, mes lèvres remontent pour fusionner avec les siennes. C’est un baiser torride, fougueux, baveux, je fouille sa bouche, je la viole de ma langue. Elle garde les mains derrière la tête, obéissante, tandis que je pose les miennes sur sa taille pour la coller à moi, elle se rend, s’abandonne. Quand nos bouches se séparent, un filet de salive nous lie encore un instant. En silence, je la prends par la main pour la guider vers la salle de bain. Déshabille-toi !Craintive mais obéissante, elle fait rouler son body sur ses épaules, il glisse sur ses hanches pour tomber au sol. Son corps nu me trouble toujours autant, plus enfant mais pas encore femme, elle dégage un sex-appeal terrible que je veux lui apprendre à contrôler. Mais pour cela, il faut qu’elle s’abandonne, qu’elle devienne ma chose, pour renaître en divinité de l’amour.  Je la fais assoir au bord de la baignoire, je pose mes mains sur ses genoux pour les écarter et dévoiler son intimité. Intriguée puis terrorisée elle me regarde aiguiser un vieux rasoir coupe-chou. Le crissement de la lame sur la bande de cuir la fait frissonner. Sa peau se couvre de chaire-de-poule mais ses tétons restent tendus … Un bol d’eau tiède et un blaireau posés au sol, je m’agenouille entre ses cuisses. Elle sait ce qui va se passer et murmure « Que vais-je dire à ma mère ? ». « Tu es douée pour le mensonge petite femelle … » dis-je ne la regardant dans les yeux. Elle rougit de mon reproche, de l’humiliation de la situation, mais cette attitude est trahie par la rosée qui couvre ses lèvres fines … Je passe le savon sur son sexe et son pubis, massant sa peau avec le blaireau, la recouvrant d’une mousse douce. D’un geste assuré je commence à passer sur son mont de venus, le savon et les poils disparaissent au passage de la lame, immobile, elle me regarde sacrifier le seul signe de son passage de fille à femme. Elle se laisse faire, s’offrant à ma lame écartant ses cuisses pour que sa peau apparaisse, glabre, claire dévoilant sa vulve délicatement ourlée et suintante de désir. Sans un mot, guidée par mes mains, elle se positionne à quatre pattes, les épaules posées sur la baignoire, elle écarte ses fesses roses avec ses mains pour que j’ôte à la pince les rares poils subsistants. Je lui fais garder la pose et passe une crème apaisante sur les zones que le rasoir a dénudées. Ses doigts laissent des marques rouges sur ses fesses blanches mais, ce faisant, Clotilde s’offre et je prends mon trophée. Sans hésiter, je pose ma bouche sur ce délicat cratère plissé et rose foncé. Cette texture est un délice sous la langue et l’excitation me fait saliver. Rapidement, son anus brille de bave, que j’aspire et je recrache dans sa raie. Sa peau frémit, ses ronronnements reprennent. Ses murmures sont une litanie de hummmm, de ohhh, de ouiiiii qui augmente chaque fois que ma langue essaye de forcer son étoile assouplie et lubrifiée par le jus qui suinte de ma bouche et de son cul. Ses doigts tirent plus fort, je sais qu’elle veut s’ouvrir elle-même, qu’elle réclame cette sodomie découverte il y a peu. Je le veux aussi, mais surtout, je veux qu’elle m’implore, je veux que ma tourterelle s’avilisse un peu plus, que malgré sa honte elle m’offre son antre serrée et vierge. Clotilde devine mes intentions car je prends mon temps en léchant et aspirant son anus qui se dilate et se détend sous mes lèvres. A ses timides « s’il vous plait » je réponds par des fessées sèches et sonores. Sans cesser de jouer avec ma bouche dans son sillon, j’écoute ses plaintes plus précises, mais encore trop timides à mon goût. « Prenez-moi » une claque, « Prenez-moi s’il vous plait » une autre claque. Ses fesses rougissent, chauffent, mais je résiste à mon envie de la fouiller sans vergogne … Il faut attendre un « enculez-moi Jane, s’il vous plait» pour que je plante mon pouce d’un seul coup dans son anus gluant de salive. Après un cri de surprise et sans doute un peu de douleur, je la laisse s’habituer au doigt qui la transperce. Et je commence de lents mouvements dans son fondement. Elle n’écarte plus ses fesses avec ses mains car elle en a glissé une entre ses cuisses, pour caresser son clito. Je l’ai bien lubrifiée car mon pouce glisse bien et ses ronronnements reprennent, plus forts, plus naturels, plus libres. A chaque passage, je sens son muscle résister puis s’assouplir. Elle feule, se crispe mais se tend vers moi. Je retire mon pouce, laissant son petit trou rond ouvert un bref instant. Profitant de sa bouche ouverte, je l’enfonce dedans. Après une infime hésitation,  sa langue passe sur mon doigt pour un nettoyage appliqué. Je suce mon index et mon majeur. Elle a demandé, alors elle va recevoir ! Je pose mes deux doigts serrés contre sa rondelle encore luisante et assouplie. Je la masse en appuyant doucement. Plus mes doigts s’enfoncent, plus je sens sa langue et sa bouche autour de mon pouce. Elle le suce, elle le tète, elle l’aspire, étouffant ses gémissements provoqués par mes doigts qui s’enfoncent et qui la prennent. « Tu voulais te faire enculer Clotilde chérie … ». J’adore sentir la souplesse et la douceur de son tube anal qui s’ouvre sous mes doigts. Elle se cambre, une délicate ondulation de son bassin vient à la rencontre de mes doigts. Sa bouche se fait caresse autour de mon pouce, au rythme de mes index et majeur qui la pénètrent et la dilatent. A nouveau, je vide son rectum dans lequel j’enfonce ma langue. Mes deux doigts remplacent mon pouce dans sa bouche, et cette fois, plus d’hésitation, elle accepte goulument ce qui sort de son anus. Sa langue passe et repasse, partout, aspirant, nettoyant mon index et mon majeur avec la même fougue que je la lèche, que je l’encule avec ma bouche. Que j’aime le goût de son cul. Ses bruits, son attitude trahissent son avidité pour la sodomie. Ses caresses sur con clitoris et ses lèvres sont hystériques, elle est déchainée. La lycéenne du train, en tailleur et ballerine, se transforme en femelle en chaleur, elle geint, elle sue, elle gémit, elle mouille en tortillant son croupion.  Son anus est rempli de salive, il en suinte un jus exquis. Mon annulaire rejoint ses deux compères dans sa bouche. En le suçant avec les autres, je suis sûre qu’elle comprend ce qui va se passer et, en le léchant, elle l’accepte. Quand je retire mes doigts, Clotilde se cambre, s’immobilise, bouche ouverte … Elle tourne la tête vers moi, elle me fait un timide sourire que je lui rends en posant les trois sur au cœur de sa raie. Elle suinte de ma bave, ce qui m’aide à enfoncer lentement les premières phalanges qui disparaissent. J’écoute sa respiration, elle tente de se calmer tandis que je pousse forçant et en tournant mes doigts dans son antre si serrée, si étroite. Elle murmure des mots incompréhensibles, le visage tourné vers moi. Ses yeux se remplissent de larmes, je lis sa douleur sur ses lèvres et pourtant, elle tend ses reins dans ma direction. « Putain que ça fait mal avoue-telle …. Mais surtout n’arrêtez pas … ». Mon sourire la rassure sur mon intention et mes doigts continuent de dilater son rectum vierge qu’elle m’offre avec obstination …  Je commence à les bouger en elle, ils trouvent leur place, compressés par les parois de son anus, mais l’ouvrant millimètre après millimètre.  Clotilde les accepte. Le va-et-vient commence, d’abord lent, l’intensité augmente. Elle n’a plus peur de se laisser aller, ses cris augmentent à chaque fois que je les plante au plus profond de son cul. Elle pose ses mains sur le rebord de la baignoire pour se stabiliser, tourner ses épaules et me regarder pendant que je la sodomise. Ses larmes coulent toujours mais elle sourit « Prenez-mon cul, baisez-le, baisez-moi, faites de moi votre salope, apprenez-moi … que ça fait mal mais putain que c’est bon de se faire enculer… » Entre chaque cri et gémissement elle hurle ces mots de jouissance. Elle finit par s’écrouler après avoir lâché un nouveau jet d’urine sur mes cuisses. A demi inconsciente, le la prends dans mes bras pour la porter dans mon lit et la laisser récupérer de ce moment intense.  Après une bonne nuit de sommeil, Clotilde me rejoint sur la terrasse. Elle me gratifie d’un timide sourire et, me voyant nue, elle laisse glisser sur ses frêles épaules le peignoir qu’elle m’a emprunté.
-       Bonjour Jane. (Rougissante, elle me regarde dans les yeux, ses petits tétons sont tendus, alors qu’il ne fait pas froid et qu’il n’y a pas de vent). Vous êtes le diable. Je ne sais pas ce qui s’est passé. J’ai eu mal. J’ai joui si fort. J’ai perdu connaissance. Et je me retrouve là, nue, sur votre terrasse … -       Le diable, je ne sais pas … mais, si je me souviens bien, tu ne t’exprimais pas comme un ange. Nous avons passé un pacte hier soir, tu ne l’as pas oublié … (je la vois acquiescer). Tu es différente des jeunes filles de ton âge. D’une part tu aimes les filles, même si ce n’est pas exclusif, c’est déjà rare et, d’autre part, tu perçois que le sexe peut aller bien plus loin que la jouissance physique.
Je tends le bras et lui fais signe de s’approcher. Sans que le lui indique quoi que ce soit, obéit, et se place jambes suffisamment écartées, mains derrière le dos. Elle frémit lorsque je glisse ma main entre ses cuisses mais se laisse faire quand mon index s’enfonce dans sa vulve. Elle est brulante, trempée, gluante. Je viens d’enfoncer mon doigt dans une délicieuse mangue mure et parfumée. Un peu théâtrale, mais ayant bien retenue des lectures que je lui avais conseillées, elle lance « Oui Jane, apprenez-moi, éduquez-moi, je me soumets à vous ….. Maitresse ».
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