Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 81 J'aime
  • 6 Commentaires

les tourterelles

Chapitre 6

Lesbienne
Après une fin  de matinée durant laquelle nous avons beaucoup parlé, de la soumission, de la domination, des pratiques, des risques, des droits, des devoirs, de l’attitude, de l’une et de l’autre … Nous nous sommes baignées. Se baigner nue avec une autre femme est un moment incroyable, sur l’eau, sous l’eau, les corps réagissent différemment et les lois de la physique offrent des vues toutes aussi troublantes qu’excitantes.Alanguie sur un grand matelas, mi ombre mi soleil, couchée sur le ventre, je demande à Clotilde de me passer du monoï dans le dos. Prenant son rôle très à cœur, je n’en n’attendais pas moins de ma petite soumise déclarée, elle vient s’assoir à cheval sur mes cuisses. Elle est si fine, si légère, si douce. Je sens son exquise chaleur et peut-être une pointe d’humidité que le bain seul n’a pas pu causer.  L’huile grasse et tiède se repend sur mes épaules que ses mains, d’abord timides, étalent en me massant. Je devine son plaisir, je suis plus en chair que ses copines et mes formes offrent une textures plus réceptives à ses doigts de moins en moins hésitants. Elle glisse le long de mes jambes pour se reculer et s’attaquer à mes reins, je profite de sa reptation pour discrètement m’ouvrir.  J’ai perçu, à plusieurs reprises, un troublant penchant de Clotilde pour le plaisir anal et le douloureux bonheur qu’elle a pris cette nuit doit être encore présent dans son corps et son esprit. Sans le lui dire explicitement, je veux tester sa sensualité, tandis que je laisse accès à mes fesses pour ses mains couvertes d’un délicieux lubrifiant exotique et parfumé. Le monoï coule sur mes reins et j’entends Clotilde glousser lorsqu’une goute  glisse entre mes deux masses laiteuses. Elle poursuit son massage, mes reins doivent briller tant elle s’applique. Mon absence de réaction l’encourage quand ses mains, d’abord hésitantes, s’aventurent sur mon postérieur. Elle joue avec, les repousse, passe bien dessous pour qu’aucun millimètre de ma peau ne soit oublié par le voile d’huile tahitienne. Je devine son regard quand elle ose écarter mes fesses. Comparer son derrière entre amies, se moquer ou admirer un joli cul est assez naturel, mais cette première proximité visuelle, charnelle, si intime est une révélation pour Clotilde. Elle veut découvrir mon anus avec la même avidité qu’elle m’a offert le sien.   Ses mains se posent et repoussent mes chairs pour laisser la place à son visage. Je frémis à son souffle dans ma raie et au frôlement de sa langue. Je suis à nouveau bluffée par la sensualité de cette jeune fille qui, si peu expérimentée, pose sa langue sur un trou du cul quasi inconnu. Sans pudeur ni dégout, elle explore tous les plis de ma cavité m’arrachant des gloussements de surprise et de plaisir. Cette petite salope a un sens inné du plaisir. Pratiquante régulière de ces plaisirs interdits (interdits par qui, des ignorants !!), Clotilde enfonce aisément le petit muscle de sa bouche pour découvrir mon conduit secret. A mon tour d’apprécier sa langue, sa salive et sa chaleur dans mon petit trou accueillant. Frustrée par sa langue trop courte qui ne peut m’explorer plus profond, elle enfonce son index gluant. Ses mouvements délicats me font lentement grimper. Mue par une incroyable effronterie, elle tente de glisser en plus l’index de son autre main. Ses deux doigts écartèlent mon orifice pour qu’elle essaye d’y glisser sa langue. Le bruit de ses doigts qui me dilatent et de sa langue qui me fouille font monter notre excitation. En me doigtant, je sens la bougresse frotter sa vulve sur mon mollet, qui coulisse tant elle mouille. A ses mouvements recherchés, je sais qu’elle teste la souplesse et la dilatation de mon anus. Je repense aux vidéos que je lui ai envoyées et, je comprends ou j’espère qu’elle va oser … Entre la chaleur et l’extrême tension érotique du moment, je reçois ses gouttes de sueur qui rejoignent les miennes, mais c’est surtout une nouvelle coulée de monoï qui me met en émoi. Je soulève mon bassin pour la recevoir, ce faisant, je m’offre et je lui montre que cette caresse impensable est possible. Je suis tellement lubrifiée, excitée et détendue qu’un, puis deux et enfin trois doigts coulissent rapidement dans mon anus. « Oh mon dieu,  je ne vous fais pas mal ? », dit Clotilde en réalisant que, ce qui s’est lentement et douloureusement enfoncé en elle cette nuit,  glisse en moi avec bonheur. Pour seule réponse, je feule comme un animal blessé. Notre connexion intime prend une nouvelle dimension lorsque je sens son auriculaire se joindre aux trois autres pour fouiller mon rectum. J’accuse le coup. Ce n’est pas vraiment douloureux et ses doigts sont fins, mais je laisse le temps à mon muscle rond de de compresser, de se comprimer. Elle comprend et ajoute une nouvelle giclée d’huile magique et continue son œuvre d’élargissement.  Qu’il soit anal ou vaginal, se sentir agrandie, farcie, dilatée et en même temps étroite, remplie, pleine tant les espaces en soi sont compressés, le fist est une expérience incroyable. Clotilde n’a pas besoin de mot pour savoir que je suis prête. Comme elle a dû le voir sur internet, elle retire un peu ses doigts pour glisser son pouce au milieu.Je fais le vide en moi et me cambre. Le moment le plus délicat arrive, je suis prête, je le veux, j’en ai envie. Je veux sentir mon corps résister puis accepter cette pénétration hors-norme qui va ravager mes reins et me procurer une jouissance aussi démesurée. Une nouvelle fois je sens le monoï m’engluer l’anus et les doigts de Clotilde qui sont à moitié enfoncés. Elle commence à les pousser, en vissant dans un mouvement lent et alternatif. Elle a la main fine mais assez anguleuse pour que je la sente passer. J’encaisse, le souffle rauque, ça fait mal, mais je domine mon corps. Chaque millimètre gagné me rapproche de cette possession ultime, quand la chair pénètre la chair. Je ne contrôle plus mes hanches qui oscillent au rythme de cette main qui me contraint. Je tourne la tête pour regarder Clotilde, bouche ouverte, concentrée, mais une expression de terreur et de jouissance dans les yeux. Les cheveux collés par la sueur et l’effort. Je vois ses tétons allongés, tendus, que je devine durs et sans doute douloureux. Elle ne faiblit pas et, nous crions ensemble quand sa main passe. Elle s’enfonce, comme aspirée par mon ventre. Mon anus se resserre autour de son poignet. La douleur est presque partie, je suis remplie, comblée par cette main fouille mes entrailles. Timidement, entrecoupé de gloussements, le bout des doigts de Clotilde me découvre de l’intérieur. Avec une infini délicatesse,  elle commence à bouger sa main en lents va et vient, qui compriment un peu plus mes tripes, entrecoupés de « oh Jane ». Je suis proche de la jouissance. Je jouis au moment où mon esprit perd tout contrôle sur mon corps, déclenché par le constat que ce qui m’arrive n’est pas l’hommage d’une vielle amie SM mais d’une lycéenne tout aussi vicieuse. Je m’avachi sur le matelas, comme une poupée de chiffon. Lorsque je rouvre les yeux, je suis terrassée par une image aussi sublime qu’immorale. En lolita perverse avec son ice-cream, Clotilde lèche avec application la main qui sort de mon fondement. Merci Maîtresse minaude-t-elle. Je ne résiste à l’embrasser à pleine bouche, profitant au passage du troublant gout acre qui couvre ses doigts. L’après-midi touche à sa fin, comme le week-end, une dernière douche et nous sous séparons après un baiser tendre. Avant son départ, j’ai pris un bracelet en argent dans ma boite à bijoux, que j’ai attaché à sa cheville. Elle m’a souri en silence. Il s’est passé tant de choses en 24h que les mots viendront plus tard. Je la regarde partir sur son vélo, encore troublée par l’évidence et la rapidité avec laquelle se construit notre relation.  Les voyages en train ont repris et, sans me rejoindre à leurs anciennes places, il me semble qu’elles s’en rapprochent. Les regards avec Clotilde sont francs et complices, elle trouve toujours la pose pour me montrer son bracelet de cheville. Stéphanie parait moins fuyante. Avec ma jeune soumise, bien que ce nom me fasse sourire, nous continuons d’entretenir nos rencontres nocturnes assistées par la vidéo. Clotilde me relate par le menu l’évolution de sa relation avec Stéphanie en se touchant devant moi. Elle aime à m’envoyer des regards salaces en disant, tout en le faisant, comment elle aimerait glisser ses doigts dans la fente de son amie ou entre ses fesses. Cette petite diablesse joue de son pouvoir de fascination qu’elle exerce sur moi.  Plus complices, plus tactiles, j’avais surpris quelques caresses entre elles, jusqu’à les apercevoir main dans la main. Notre liaison aidait visiblement ma tourterelle blonde à conquérir la brune. Fière d’elle, Clotilde m’avoua un soir avoir échangé un premier vrai baiser. Elle ne sa lassa pas de ma parler de la douceur de sa langue, du goût de la salive de Fanie. Elle attendait le week-end  à venir pour trouver le moment de se retrouver seules et mettre ainsi en pratique les premiers enseignements qu’elle disait avoir reçu de moi.  Ainsi, un dimanche soir, lors de nos échanges endiablés et pornographiques elle me fait le point sur ses progrès. Elles ont pu se voir, pas assez longtemps à son gout. Prétextant une envie de courir, les deux amies sont parties dans la garrigue et ont trouvé un coin tranquille pour se découvrir et laisser s’exprimer leurs désirs. Encore excitée, elle me comte en détail la douceur de la peau, son parfum, son pubis touffu, ses petites cicatrices sur les cuisses et l’orgasme qu’elle a offert à sa conquête. Elle me dit la surprise de Fanie découvrant son abricot lisse (qu’elle avoue entretenir souvent en pensant à moi) et les premières caresses hésitantes échangées. Tout en plaisantant, elle suggère que je devrais prendre Fanie comme apprentie. Nous rions en parlant de cours particuliers et de cours collectif et, elle me révèle, que son amie est aussi informée qu’elle sur les aspects théoriques car elle lui a montré toutes ses lectures,  toutes les vidéos que je lui avais données. Je fais mine d’être courroucée car elle a divulgué notre secret. Elle devine que cette trahison ne sera pas sans conséquence. Mais, sans le savoir, ma tourterelle blonde me donne la possibilité de séduire Stéphanie.    Tandis que je commence à échafauder des stratagèmes pour amener la brunette à mes pieds, la dominatrice reprend le dessus. Je dis à Clotilde de caler son téléphone sur une chaise pour qu’elle ait les mains libres, de prendre une de ses ceintures et de se mettre à genoux face à la caméra. A cet instant je sais que je joue gros, mais elle m’a déjà prouvé son implication. Je la vois hésiter, réfléchir et obéir. Derrière mon écran, je la vois se lever chercher une ceinture et revenir sur le lit. « Tu prends ta ceinture la boucle dans la main, et tu laisses pendre au moins 50 cm de long … ». Au bord du lit, les genoux suffisamment écartés pour que je vois sa fente bien lisse et brillante, la ceinture au bout de la main, elle fixe la caméra. Méfiance, défi, fierté, angoisse, elle me regarde. « Tu vas frapper, 2 coups par-dessus chaque épaule, je veux entendre claquer dans ton dos ». Elle temporise, ses mouvements comme au ralenti, puis, sans trembler, je vois et entends la ceinture frapper ses épaules. Elle mord sa lèvre inférieure, ses yeux brillent, le souffle court elle murmure un « Pardon Jane ». Si elle savait comme je suis fière d’elle à cet instant. Mais je ne dois pas me laisser attendrir. « Tu raccourcis la sangle, 30 cm suffiront ». Elle enroule le cuir dans sa main, me montre. « Prends ton temps, deux coups sur chaque sein ». Après une longue inspiration elle enchaine. Le cuir claque les seins, écrase les tétons pourtant dressés, elle gémit. « Pardon Madame »  à peine audible sort de ses lèvres, des premières larmes coulent sur ses joues. Des traces rouges sont apparues sur sa poitrine. « Tu raccourcis encore de 10 cm ». En le faisant, Clotilde comprend ce qu’elle va faire, ce qu’elle va se faire. Elle fixe son téléphone, elle me fixe. Je vois ses petits seins se soulever rapidement. Je la laisse gamberger, je lui laisse la possibilité de fuir. Cette tension est délicieuse, pour elle comme pour moi. Sans avoir besoin de préciser, je sais qu’elle sait, je dis « 2 ». Sa main se lève, elle ferme les yeux et fait calquer sa ceinture deux fois de suite sur ses jolies lèvres ourlées. Deux coups francs, secs et précis. « Pardon Maîtresse ». Elle ne bouge plus, elle pleure la ceinture à la main, les cuisses écartées. Sa vulve est rouge et incroyablement brillante, des gouttes de rosées apparaissent. « Caresse-toi ! ».D’abord hésitante, elle grimace en posant ses doigts sur ses lèvres. Le feu de la douleur irradie sa vulve, mais cette chaleur se propage jusqu’au plus profond de son vagin.  Elle découvre cette incroyable sensation qui sature ses sens, il n’y a plus ni douleur ni plaisir mais des vagues d’émotions puissantes qui se déversent en elle. Ses doigts s’agitent sur elle et en elle, l’urgence de jouir la prend, brutale, irrationnelle, incontrôlable. Elle ne se caresse pas, elle se branle, avec urgence, ses halètements sont gutturaux, animaux. C’est sublime de la voir jouir en sanglotant. Je coupe brutalement la caméra en entendant sa mère cogner à la porte inquiète d’entendre autant de bruit dans sa chambre.
Diffuse en direct !
Regarder son live