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Les tribulations d'une salope en string

Chapitre unique

Histoire médaillée
Trash
Les tribulations d’une salope en string

« Les racistes sont des gens qui se trompent de colère » Léopold Sédar Senghor.
Marie-Liesse raccroche son téléphone. Des larmes coulent de ses jolis yeux bleus, courent le long de ses joues pâles. Elle se lève, vêtue de sa serviette éponge. Elle ouvre les tiroirs de sa commode, sort un string blanc en dentelle, le passe, choisit ensuite une robe en coton blanc. Pas de soutien-gorge : ses seins menus n’en ont pas besoin. Ses longs cheveux blonds qui tombent en cascade sur son corps svelte renforcent son air virginal. Pieds nus, son sac Céline à l’épaule, elle quitte sa chambre, passe devant sa mère inquiète sans répondre à ses questions. Avant de sortir, elle chausse une paire de Repetto, dédaigne les clefs de la Ferrari que son grand-père lui a offerte une semaine plus tôt pour ses dix-huit ans, et sort de l’appartement. Une fois dans les rues de Neuilly, elle se dirige vers son lycée. C’est mercredi, elle n’a que deux cours ; elle espère éviter son salaud d’ex-petit ami qui s’est tapé Marie-Joséphine, que ses parents auraient dû appeler Marie-Salope. Seul le train ne lui est pas passé dessus ; enfin, pas encore. Enfin merde ! Ils étaient ensemble depuis la seconde, elle lui a fait cadeau de sa virginité, et c’est comme ça qu’il la remercie ?
Devant le lycée, la jeune fille retrouve ses deux copines : Anne-Sophie et Amandine. Elles bavardent un peu tandis que François-Xavier entre sans les saluer. La lycéenne sent une boule se former dans sa gorge.
— Tu as vu ? Il ne t’a pas calculée ! s’exclame Anne-Sophie, choquée.— Ma pauvre... compatit Amandine.
La sonnerie retentit, c’est l’heure d’entrer en cours. Celui de philosophie est toujours aussi intéressant. Marie-Liesse aime ce prof, la petite trentaine, mignon, craquant, et avide de débats d’idées. Il trouve celles de la lycéenne un peu passées de mode, mais leurs discussions enflammées empêchent la classe de s’endormir. Elle aimerait bien être un peu seule avec lui, et pour tout dire, elle s’est déjà caressée en pensant à lui. Mais elle aime trop ce prof pour coucher avec lui désormais. En cours de maths, elle est assise à coté d’Ahmed. De l’acné, des cheveux gras, ne sait pas parler aux filles, joue à des jeux vidéo et consomme beaucoup de porno ukrainien : l’archétype du mort de faim. Plus elle le regarde, plus la jeune blonde songe à rentrer avec lui. Après tout, pourquoi pas ? A la fin du cours, elle reste auprès de lui sous les yeux éberlués de ses copines qui finissent par sortir sans l’attendre.
— Dis-moi, Ahmed, tu pourrais m’aider en maths ? J’ai rien compris à la leçon d’aujourd’hui.— Euh, ouais, euh, oui bien sûr. Euh, quand tu veux...
Le geek bafouille un peu, surpris et excité en même temps. La petite allumeuse passe sa main dans ses cheveux puis sa langue sur ses lèvres.
— On peut cet après-midi ? Tu habites loin ?— Euh ouais, ouais. On peut, j’habite tout près.— T’as une voiture ?— Euh non, j’ai du mal à avoir le permis, je ne suis pas doué. Mon oncle me l’a payé pour mes dix-huit ans en janvier dernier mais j’ai déjà foiré une fois l’examen.
Ils cheminent bientôt tous les deux silencieusement. Elle n’a pas envie de lui parler et il ne sait pas quoi lui dire, de peur qu’elle fonde comme un flocon de neige en juillet. Tous deux ont la même boule au ventre, mais pas pour les mêmes raisons. Il entre le premier, présente la jeune fille à ses parents, aussi surpris que ravis qu’il ramène une aussi jolie camarade de classe. Dans le dos des adolescents, la maman lève le pouce en direction du père avec un clin d’œil. Marie-Liesse les voit dans le miroir du buffet et se retient de lever les yeux au ciel. S’ils savaient, ils la tueraient ! Après un repas pendant lequel les parents sourient beaucoup et la jeune fille esquive les questions, les deux lycéens se retrouvent seuls.
— On va dans ta chambre ?— Euh... ouais, ouais.
Elle trouve sans peine le chemin en furetant. La nymphe entre dans la pièce du mâle ; elle sent le fauve. Elle sourit, regarde les figurines Star Wars en retenant un petit rire, fouille dans les papiers, regarde dans l’ordinateur laissé en veille. Le jeune homme rougit tandis qu’elle vérifie l’historique de navigation, notamment les sites pornos.
— Celle-là a de petits seins, un peu comme les miens, tu trouves pas ? demande-t-elle. Elle déboutonne sa robe, la laisse tomber au sol.— Gnargnxfiiiz ! articule-t-il intelligemment.— Alors, t’en dis quoi ?
Devant son silence, elle rigole un peu, le pousse sur le lit, déboucle son pantalon, le déshabille rapidement, sans sensualité ni tendresse, avec efficacité. Elle utilise la cravate du jeune homme pour l’attacher au lit. Il n’ose rien dire, ne bouge pas. Elle se relève, ôte son string, et enjambe le garçon qui déglutit. Il se demande vraiment ce qui lui arrive. Pourquoi tant de bonheur ? Y aurait-il une caméra cachée quelque part ? Il bande déjà à son maximum. Jamais il n’a autant bandé, même devant Leia enchaînée chez Jabba.
Elle crache dans sa main puis s’humidifie le vagin avant de s’empaler sur lui. Il sent son sexe s’enfoncer dans un endroit chaud, humide et doux, ou plutôt il sent un corps l’engloutir : ce n’est pas lui qui la pénètre. La jeune fille cache son dégoût en rejetant la tête en arrière : c’est bien mieux, elle ne voit plus son visage acnéique. Elle s’active peu de temps avant d’entendre une sorte de gargouillis ; il a déjà joui : trente-sept secondes, pas mal...Elle ramasse le string, s’essuie avec, et le lui lance à la figure :
— Tiens, souvenir !
Elle remet sa robe et sort en claquant la porte de l’appartement, le laissant en train de se détacher de son lit avec un string en dentelle puant le sperme sur le nez.
L’air frais lui fait du bien. Elle lit le SMS reçu un peu plus tôt : "Tu faisais quoi avec Ahmed ?" Elle remet le portable dans son sac sans répondre et marche vers sa maison ; elle a envie de pleurer. Un vieil ouvrier noir se retourne sur son passage. Il est habillé en bleu de travail. Tout près il y a un chantier de construction. Elle fait demi-tour et fonce vers lui. Il se prépare à une engueulade. Elle lui prend la main et va vers le chantier avec lui. Il se laisse conduire, surpris. Elle se retourne et s’installe sur une table de travail, loin des regards, et écarte les cuisses impudiquement. Il a le regard braqué sur sa chatte entièrement rasée. Il n‘en croit pas sa chance, il pense à une prostituée.
— Je n’ai pas d’argent, Madame... dit-il timidement.— C’est ton jour de chance : c’est gratuit. Et quand c’est gratuit, faut pas gâcher.
Omar hésite. Arrivé en France trente ans plus tôt, il a trimé sec pour nourrir sa famille, pour leur payer le nécessaire et un peu de superflu, et là aujourd’hui son dos lui fait mal à force de porter des sacs de ciment ; à 55 ans c’est devenu dur. Encore quelques années à tenir avant la retraite. Sa vision du couple est simple : il fait ce que sa femme lui demande ; ça évite bien des ennuis. Il n’est pas habitué à discuter avec une femme. Mais là, il a du mal à croire en sa chance. C’est que son épouse est désormais âgée ; la passion a totalement disparu de leur quotidien.
— Allez, je suis majeure, t’inquiète !
Ne se retenant plus, il sort son sexe qui a commencé à durcir et l’enfonce d’un coup de reins dans le sexe brûlant, encore poisseux du sperme d’Ahmed. Il prend cela pour de l’excitation. Elle fait des efforts pour se détendre. Elle repense à son professeur de philosophie ; elle imagine que se sont ses mains sur elle, sa bite en elle. Le vieil homme n’est plus qu’un objet de chair. Elle tourne la tête pour ne pas qu’il l’embrasse ; surtout pas, ce serait trop intime. Elle s’agrippe aux cheveux du type pour retenir un peu ce qui monte en elle. Non, ne pas jouir, il ne faut pas, surtout avec un Noir. Ou alors c’est un signe divin, qu’elle est sur la bonne voie. Sa récompense pour ce qu’elle fait en écoutant à la lettre les conseils de Saint Jean-Paul II. Oui, ça y est : elle jouit en étouffant un cri. Le plus puissant orgasme qu’elle n’ait jamais eu sans son sex-toy. Il continue à la besogner un peu avant de jouir à son tour. Le foutre lui coule un peu sur les cuisses ; elle l’essuie avec le bas de sa robe. Cette fois, rien ne l’empêche de rentrer chez elle. Marie-Liesse quitte le chantier sans un regard en arrière sur le vieil ouvrier abasourdi. Dans un élan de générosité, elle n’appelle même pas les services de l’immigration.
Elle n’a pas faim. Les larmes aux yeux, elle prend une longue douche. Elle n’arrive toujours pas à comprendre comment il a pu lui faire ça à elle ! Nue dans sa chambre, elle éclate de colère. Le crucifix est jeté par la fenêtre ; elle l’entend tomber sur le trottoir. Sur son portable, plusieurs SMS attendent d’être lus. Les copines qui s’inquiètent, Ahmed qui lui fait une déclaration d’amour aussi tendre que ridicule. "Quel con, il n’était que le premier sur la liste..." pense la Némésis.
La nymphette ouvre son ordinateur : il est temps de passer à la vitesse supérieure. Elle se connecte sur un site de rencontres libertines et cherche des couples désirant épicer leur vie sexuelle avec une autre femme. A peine son inscription faite que les messages arrivent par vagues. Elle ignore bien sûr les Blancs, sauf s’ils présentent des signes de boboïtude. Elle commence à clavarder avec quelques-uns, Noirs ou Maghrébins. Elle jette son dévolu sur un couple mixte : une jolie Asiatique de trente ans qui en paraît moins et son mari, un Européen un peu plus âgé. Elle prend vite rendez-vous avec eux pour le soir même.
Le soleil se couche, il est temps pour elle de s’apprêter. Cette fois, Marie-Liesse met un peu de maquillage ; pas trop, son atout c’est sa fraîcheur. Une courte jupe écossaise, un chemisier blanc. Elle renonce à se faire des nattes : il ne faut pas exagérer le cliché. A sa mère, elle prétexte un examen à travailler chez ses copines. Elle prend un taxi pour se rendre dans le Marais. Elle inspire un bon coup pour se donner du courage, et c’est parti !
La femme lui ouvre, aussi jolie qu’à la webcam tout à l’heure. Leur appartement est grand, bien meublé. Pas de traces d’enfants. Tant mieux. L’homme est du genre vieux beau, assez âgé pour être le père de Marie-Liesse. Elle cache sa grimace. Heureusement que son père est un homme respectable, lui. Il l’a toujours bien éduquée. Quand elle était petite, elle accompagnait ses parents à la manifestation pour lutter contre les droits des homosexuels et protéger les enfants.
Elle accepte un verre ; l’alcool lui donnera le cran nécessaire. Après quelques minutes, May-Lin lui prend la main et l’emmène dans la chambre. Elles s’embrassent et se caressent sous le regard vicieux du mari. La jeune fille sent sa respiration s’accélérer ; cette femme est diabolique, elle sait où la toucher pour enflammer ses sens. Elle se laisse renverser sur le lit tandis que l’Asiatique enfouit son visage entre ses cuisses. Bientôt, les doigts de Marie-Liesse se cramponnent aux cheveux noirs de jais de son amante. Une petite mort, puis le mari vient les rejoindre. La lycéenne cache son dégoût avec ses bras. Il la pénètre pendant que May-Lin caresse sensuellement ses petits seins. Non, il ne faut pas jouir. Pourtant, en même temps son corps est éveillé. Elle veut que ça aille vite. Elle murmure des mots crus pour exciter davantage son partenaire, qu’il ne se retienne pas. Les « encore », « c’est bon », « continue », ne sont que des soupirs des anges. Quand enfin il jouit en elle, elle se redresse. Elle remet ses vêtements, laisse le string de dentelle blanche sur le plancher et se dépêche de partir.
Il lui faut rentrer. Il est minuit passé. Elle prend un taxi qui la dépose au bois de Boulogne. L’amazone des temps modernes avise la faune locale : beaucoup de pervers, mais elle cherche de meilleures proies. Elle ne compte pas se prostituer ; plus tard peut-être, quand viendra le temps de châtier. Pour le moment elle cherche ces types qui matent les prostituées et leurs clients en se masturbant, la main dans la poche de pantalon. Elle n’est pas bredouille longtemps. Rassemblant son courage, elle aborde le premier, un pauvre type : des lunettes, un mauvais costume, probablement un développeur informatique ou un contrôleur des impôts.
— Euh, ça va ? articule-t-elle brillamment.
Heureusement, il est trop en manque pour s’étonner. Au départ il la prend pour une professionnelle. Elle le détrompe vite en disant qu’elle cherche à vivre un fantasme : se faire prendre en gang bang par un groupe d’hommes. Elle n’a aucun mal à rameuter quelques visiteurs, et bientôt, elle est à quatre pattes dans l’herbe tandis que les mâles se succèdent en elle.
— Défoncez-moi la chatte ! ordonne-t-elle.
Ses partenaires se déchaînent ; tant mieux, plus c’est violent, mieux sa vengeance sera accomplie. Elle les incite à la prendre analement. Malmenée par une douzaine d’hommes, elle veut être déchirée. Ils se lâchent complètement et elle finit allongée sur le sol, la respiration haletante, tandis qu’ils s’enfuient leur forfait achevé. Le sexe et l’anus endoloris, elle se relève puis rentre à la maison en titubant, les pieds nus pour ne pas réveiller ses parents.
Marie-Liesse est tirée de son sommeil quelques heures plus tard par la sonnerie de son téléphone.
— Mademoiselle Marie-Liesse de P. ? Ici le laboratoire d’analyses médicales. Je suis désolée, mais il y a eu une erreur dans vos résultats : vous n’êtes pas séropositive. Allô ?
« Les voies du Seigneur sont impénétrables » Corinthiens 11:33.

Merci à Duchesse pour les corrections.
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