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Les trois "S"

Chapitre unique

Divers
Dans une petite ruelle à proximité de la fac de lettres de l’université de Caen, les deux employées d’un magasin de matériel informatique donnent congé à leur client.
— A bientôt Cédric.
Le jeune homme rougit en voyant la petite blonde lui faire un clin d’œil.
— Oui, à bientôt mademoiselle.
Une fois le garçon parti, la deuxième vendeuse rabroue gentiment sa collègue.
— Tu ne crois pas que tu en fais un peu trop ?— Non pourquoi ? On n’en fait jamais trop pour satisfaire le client, et je te garantis qu’après ce que je lui ai fait, celui-là ne va pas tarder à revenir.— Oh ça je n’en doute pas, mais ce n’est pas une raison pour te comporter comme une pute.— Qu’est-ce qu’il y a tout d’un coup ? D’habitude tu aimes bien quand je fais la pute, tu ne serais pas un peu jalouse par hasard ?— Moi.......
Pendant que les deux copines se chamaillent, un jeune homme observe l’enseigne de la boutique, un ordinateur portable à la main.
"Les trois S", c’est bien ici. J’espère que mes potes ne se sont pas foutus de moi en me conseillant de venir là. J’ai bien vu qu’ils avaient du mal à se retenir de rire. Mais bon, je ne vois pas pourquoi je m’en fais, tout ce qu’on raconte sur ce magasin n’est certainement qu’un tas de conneries !
........ jalouse d’un mec, et puis quoi encore !
Sophie, la petite blondinette, interrompt la conversation en donnant un petit coup de coup à sa collègue, une grande brune pulpeuse.
— On en reparlera plus tard, un autre client arrive.

Puis comme à son habitude, elle se met en position d’accueil : accoudée sur le comptoir, le menton posé sur ses mains fermées, l’œil aguicheur, une petite langue coquine passant nonchalamment sur ses lèvres provocantes.La voir ainsi rend à chaque fois sa collègue folle de rage, mais aussi folle d’excitation. Elle la prendrait volontiers avec son gode ceinture pour lui apprendre les bonnes manières, mais ce n’est évidemment pas le moment. Et puis, elle sait que cela lui ferait bien trop plaisir !
Jérôme puisque c’est le nom du jeune homme, pousse la porte de la boutique. En voyant les deux superbes créatures qui l’accueillent, il reste bouche bée. La blonde, celle qui a manifestement le feu au cul, semble de taille moyenne, voire petite, un visage espiègle, un nez en trompette, de beaux yeux bleus en amande, des cheveux plutôt courts à la garçonne, de longs ongles impeccablement manucurés, et bien sûr une bouche outragement maquillée.Sa collègue est très différente, mais tout aussi belle. Très grande, de longs cheveux bruns retenus par une queue-de-cheval, des lunettes sévères, une poitrine opulente, un maquillage plus léger, mais non moins élégant. C’est de toute évidence une maîtresse femme alors que la blonde lui fait plutôt penser à une femme enfant.Intimidé, il a du mal à s’exprimer.
— Bonjour mes..., mesdemoiselles.— Bonjour bel étalon, que pouvons-nous faire pour vous ?
Sophie continue de remuer la langue de façon indécente après avoir dit cela, mais sa collègue la coupe net dans ses intentions.
— Désolée ma cocotte, mais c’est mon tour. Allez-y jeune homme, expliquez-moi votre problème.— Eh bien, mon ordinateur a besoin d’un nouvel antivirus et d’une bonne mise à jour.— Pas de problème, on va s’en occuper. Posez votre portable ici.
Le jeune homme est hésitant. Sarah se doute de la raison, mais elle adore jouer avec les nerfs des puceaux, et elle a deviné que Jérôme en est un.
— Vous désirez autre chose jeune homme ?— Heu..., j’ai entendu dire, heu enfin on m’a dit que...— Oui ?— Heu, on m’a dit que vous assuriez un service après-vente particulier.
Sarah laisse encore mariner le jeune étudiant quelques secondes avant de répondre.
— Ah oui, je pense que vous voulez parler de la formule extra, c’est un service que l’on propose à nos clients pour les fidéliser, moyennant un très léger supplément.— Vous pouvez me dire combien, je ne suis qu’un pauvre étudiant.— Cela dépend de ce qu’il y a à faire sur votre ordinateur. L’installation d’un antivirus, une mise à jour des logiciels, la main d’œuvre, cela vous fera 100 euros tout rond.— Avec le service extra ?— Oui, il est compris dans la main d’œuvre.
Si la prestation est vraiment à la hauteur de ce qu’il a entendu parler, Jérôme trouve le tarif très honnête.
— Bien, c’est d’accord.— Parfait. Mon associée va prendre soin de votre ordinateur pendant que je vais m’occuper de l’extra.
Sophie regarde avec regret l’entrejambe prometteur du jeune homme. "Dommage, se dit-elle, ce sera pour la prochaine fois"Elle a beau être lesbienne comme Sarah, elle adore sucer des queues surtout quand il s’agit de celles de jeunes hommes mignons, et c’est le cas de Jérôme. Ce n’est pas grave, se dit-elle, la boutique est installée à deux pas de la fac et les étudiants constituent leur principale clientèle. Elle s’occupera du prochain.
En effet, en vertu des règles qu’elles ont fixées toutes les trois avec leur associée, personne ne choisit ses clients pour la formule extra. Chacune exécute sa tâche à tour de rôle selon l’ordre d’arrivée de ce dernier. C’est plus équitable et évite tout crêpage de chignon.
L’idée de tailler des pipes aux clients pour les attirer et les fidéliser a eu un succès immédiat. Très vite, le nombre d’ordinateurs tombant en panne ou nécessitant une révision dans le quartier a grimpé en flèche. Il arrive même parfois que des étudiants en informatique, pourtant très calés dans ce domaine, aient recours à leurs services. Cela prouve bien leurs compétences quand il s’agit de manipuler une souris.
Cette idée, c’est Stéphanie, la troisième associée qui l’a eue. Au début, personne ne connaissait leur boutique et les clients étaient rares. Et puis, il faut bien le reconnaître, l’informatique est plutôt un milieu de machos. Très peu d’hommes ont confiance dans les capacités de trois nanas quand il s’agit de disque dur ou de carte mère. J’avoue que je ne comprends pas pourquoi : l’informatique c’est avant tout une affaire de bits, et s’il y a un domaine dans lequel les filles excellent, c’est bien celui-là, non ?
Mais voilà que je recommence à m’égarer comme d’habitude. Je n’y peux rien, c’est comme ça dès qu’on parle de sexe. Je crois que je suis une vilaine vicieuse comme toutes les personnes qui fréquentent ce site.
Oups pardon, ça m’a échappé ! Bien entendu, cette remarque ne vous concerne pas cher lecteur. (Bon sang, quel faux cul je suis quand même !)
Où en étais-je ? Ah oui. Stéphanie en avait marre d’attendre derrière le comptoir qu’un client se présente, et elle s’était promis que le prochain qui entrerait, elle ferait ce qu’il faudrait pour qu’il revienne souvent.
Le pauvre, sa queue s’est retrouvée au fond de la gorge de la jeune fille avant même qu’il ait eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait. Elle l’a pompé à sec en quelques minutes et avant qu’il ne reparte, elle lui a promis de lui tailler une nouvelle pipe pour chaque client venant de sa part !
Inutile de vous dire que le chiffre d’affaires a rapidement augmenté. Et puis comme par ailleurs les capacités techniques de la jeune fille étaient à la hauteur de ses compétences buccales, la jeune société de dépannage informatique s’est rapidement développée.
Bien entendu, il n’a pas été question pour Sarah de laisser Stéphanie se taper seule tout le boulot, et elle s’est immédiatement mise à la tâche même si sucer des queues n’est pas ce qu’elle préfère.Et Sophie me direz-vous ? Aussi bien son amante que sa sœur voulaient lui éviter de se salir les mains, enfin plutôt la gorge, mais ce n’est pas parce qu’elle avait seulement 18 ans que la jeune fille souhaitait avoir un traitement de faveur. Bien au contraire, elle estimait que son devoir était de faire aussi bien que ses aînées sinon mieux. Elle s’est donc attelée à cette tâche avec ardeur, et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle y a rapidement pris goût au point de vouloir parfois piquer leurs clients.
Mais ça vous le savez déjà.Par contre, ce que vous ignoriez encore, c’est qui lui a appris à sucer. Allez, ne faites pas les ignorants, vous vous en doutez : c’est sa sœur bien évidemment. Longtemps chat et chien l’une envers l’autre, elles s’étaient déjà énormément rapprochées depuis qu’elles partageaient la même amante, mais cette transmission de savoir les a définitivement soudées.
Eh oui, rien de mieux que de sucer les mêmes queues pour resserrer les liens de famille !

Pendant que Sophie rêvasse, sa collègue quitte la pièce en tenant son client par la main. L’atelier d’informatique est installé au rez-de-chaussée d’une maison de ville, l’étage étant utilisé comme habitation. En plus du hall d’accueil servant également de point de vente, ce rez-de-chaussée comporte un WC, un atelier de réparation et une zone de stockage. C’est dans cette dernière que Sarah a emmené Jérôme.
— Voilà, reste là devant la chaise et laisse-toi faire, je m’occupe de tout.
Après s’être confortablement assise, Sarah défait d’une main experte les affaires de son client.
— Ouah, tu as vraiment une très belle queue. Heureusement que Sophie ne l’a pas vue, sinon elle en crèverait de jalousie.— Vous dites sûrement ça à tous les mecs.— Non non, c’est sincère.
Sarah penche la tête et dépose un petit baiser sur le bout de la queue. Celle-ci se met à frémir d’excitation.
— C’est la première fois, n’est-ce pas ?— Oui.— Ne t’en fais pas, j’ai l’habitude des premières fois, et j’adore ça.
Jérôme commence à gémir quand la langue de sa suceuse s’enroule autour du gland. Après l’avoir bien humectée de salive, Sarah se met à pomper la queue tout en caressant les testicules.
— Aaaahhhh, ouiiiiiii.
Après plusieurs minutes de pompage et de massage des couilles, Sarah interrompt sa fellation quelques instants. Elle adore faire durer le plaisir.
— Tu aimes ?— Oh oui, encore, s’il vous plaît.— S’il vous plaît, comme c’est mignon ! Tu es poli, c’est bien. J’aime les garçons bien élevés. Pour te récompenser, je vais t’offrir un traitement très, très, spécial.
Sans laisser à Jérôme le temps de réfléchir, elle glisse son majeur entre les lèvres pour l’humidifier avant de lui enfoncer doucement dans l’anus.
— Ooooohhhh.— Chuuuut. Ne crains rien. Fais-moi confiance et laisse-toi faire. Tu ne le regretteras pas. J’ai l’habitude de m’occuper des petits culs, c’est ma spécialité.
Tu vas voir, il n’y a rien de plus exquis que de se faire sucer et enculer en même temps.

Sarah reprend la queue en bouche et se met à la pomper avec frénésie, tandis que son doigt s’agite de plus en plus vite.Jérôme se crispe, jamais il n’avait connu un tel plaisir.
— Aaaahhhhh, Oooooohhhh, Ouiiiiiiiii, Encooooore.....
En fellatrice experte, la petite garce alterne les sucions appuyées avec les léchouillages légers, les caresses des couilles avec des pressions soudaines dans le creux de sa paume. De temps à autre, elle sort son doigt de l’anus pour taquiner la rosette du bout de l’ongle, avant de le replonger encore plus profondément.
Le visage du jeune homme change constamment de couleur, virant du blanc pâle au rouge vif en fonction de la force avec laquelle il est pompé et ramoné. Il a perdu toute notion du temps et de l’espace, tout n’est que plaisirs à l’état pur.
— AAAAAAAAARRRRRRRGGGGHHHHHH.
Jérôme hurle de jouissance. Sarah presse sur la prostate du bout du doigt pendant qu’il se déverse dans sa bouche chaude, décuplant ainsi son plaisir.Il aimerait que ce moment ne s’arrête jamais, mais peu à peu, il revient à la conscience sous les coups de langue de la jeune fille qui termine de lui nettoyer la queue.
— Alors, ça t’a plu ?— C’était divin.— Divin, rien que ça ? Dois-je en conclure que je suis une déesse ?
Ayant recouvré ses esprits, il pose la question qui lui brûle les lèvres.
— Mademoiselle, je pourrais vous demander quelque chose ?— Mais bien sûr, tant que cela reste dans mon domaine de compétence.— Avec mes copains, on aimerait savoir heu..., enfin heu on se demande ce que...— Ce que signifient les trois "S"?— Heu..., oui.— Tu as parié avec tes potes que tu arriverais à le savoir ?— Heu....., oui.— Toi, tu en penses quoi ?— Heu, et bien je me disais que vous étiez sûrement Sœurs.
Sarah éclate de rire.
— Tu es sérieux ? Remarque, cela aurait presque pu. Mes deux associées sont effectivement sœurs, mais en ce qui me concerne ce sont mes amantes.
Le jeune homme semble un peu déçu.
— Ah bon, à la façon dont vous sucez, je n’aurais jamais cru que vous étiez lesbienne.— Où est le problème, préférer les abricots n’empêche pas d’apprécier les bananes ! Vois-tu, je suis uniquement attirée par les femmes, mais j’ai pourtant toujours adoré sucer des queues, surtout quand elles sont aussi belles que la tienne.
Et pour ce qui est de pénétrer des petits culs comme le tien, hum........
Le garçon n’ose plus rien dire et Sarah lui demande :
— Tu as une autre idée au sujet des trois "S"?
Jérôme devient rouge vif.
— Heu en fait, mes copains heu, enfin les garçons qui m’ont conseillé de venir ici heu..... ils disent que les trois "S" doivent signifier.....: "les trois suceuses" ou "les trois salopes".
Sarah éclate à nouveau de rire.
— Ils ont l’air bien renseignés, ce sont des clients à nous ?— Non non, ils ne sont jamais venus. Mais c’est le bruit qui commence à courir dans la fac et...— Tu as été désigné pour venir vérifier, n’est-ce pas ?
Jérôme baisse la tête, honteux, avant de répondre timidement.
— Oui.— Eh bien effectivement, je pense que ces deux traductions nous correspondent parfaitement. Qu’en dis-tu ?
Il élude la question.
— Ca ne vous dérange pas que l’on dise ça de vous ?— Qu’on soit des salopes et des suceuses ? Non pourquoi, c’est la stricte vérité et nous n’en avons pas honte.
Eh puis, c’est excellent pour les affaires ! En fait, c’est pour cela que tu es venu, non ?
Ne sachant plus quoi dire, il préfère maintenant changer de sujet.
— Je n’ai vu que vous et une autre fille dans ce magasin, où est la troisième ?— Stéphanie ? Elle est partie un peu plus tôt pour régler un problème familial. Mais rassure-toi, à part aujourd’hui, elle est toujours présente, et je suis bien obligée de le reconnaître, c’est de loin la meilleure suceuse de nous trois. Alors, tâche de revenir !
Jérôme se met à rêver, "meilleure suceuse que cette bombasse, comment est-ce possible ?"
— Allez, viens avec moi, ton ordinateur ne devrait pas tarder à être prêt.
Après avoir replacé la verge dans le boxer et remonté la braguette du jean, Sarah raccompagne son client dans le hall où Sophie termine l’installation de l’antivirus.
— Voilà c’est fini, votre portable est mis à jour et j’en ai profité pour le purger de quelques bugs. Il est comme neuf !— Moi aussi j’ai purgé ce jeune homme répond Sarah, il est comme neuf également !
Les deux filles éclatent de rire.
— Ça fait 100 euros comme convenu, 60 pour l’antivirus et 40 pour la main d’œuvre.— Voilà tenez, répond Jérôme en sortant un billet.— J’espère que tu nous feras de la publicité auprès de tes copains ! La maison offre une pipe gratuite pour tous ceux qui parrainent un nouveau client. Cela sera l’occasion de faire connaissance avec Stéphanie.— Oui oui, bien sûr, comptez sur moi.
Intriguée, Sophie demande à sa collègue :
— C’est quoi cette histoire avec Stéphanie ?— Oh rien, juste un peu de pub.— De la pub ?— Laisse tomber, ce serait trop long à t’expliquer.
Quelque peu vexée par la réponse de son amante, Sophie rétorque :
— En tout cas Sarah, je trouve que tu as mis beaucoup de temps à le faire cracher. Sa queue est aussi belle que ça ou tu as perdu la main ?— Jalouse ! Oui sa queue est très belle, longue et fine comme je les aime. Mais tu n’y es pas du tout, je faisais du marketing figure-toi.
Immobile au milieu de la pièce pendant que les deux associées se taquinent, Jérôme n’ose pas dire un mot.
— D’abord de la pub et maintenant du marketing ? De mieux en mieux.— Eh oui, pendant que tu attendais tranquillement devant un écran, moi je m’occupais de la promotion de notre société.— Ah ouais, et comment ça ?— Sais-tu comment on surnomme notre boutique ?— Et bien je dirais... les trois Sœurs. Oui c’est ça, je pense qu’on doit nous prendre pour des sœurs.— Ha ha très drôle, c’est aussi ce que m’a répondu ce jeune homme, mais ne me dis pas que tu le crois vraiment !
Non en fait, on nous surnomme "les trois suceuses" ou "les trois "Salopes" au choix.C’est lui qui vient de me le dire, ajoute-t-elle en le désignant du doigt.
Sophie regarde d’un œil malicieux Jérôme qui se serait bien passé de cette révélation.
— Il faut reconnaître que ça nous pendait au nez. Et puis avoue-le, tu y avais déjà pensé en choisissant de nous appeler "les trois "S", n’est-ce pas ?
Sarah enlace son amante et dépose un baiser sur ses lèvres.
— Sincèrement au début non. Mais avec deux petites garces comme ta sœur et toi comme associées, j’aurais dû m’en douter.
Se sentant vraiment de trop, Jérôme prend son courage à deux mains et déclare :
— Bon et bien, je crois que je vais vous laisser entre vous, à bientôt, mesdemoiselles.— Attends, tu n’as pas envie de connaître la signification des trois "S"? C’est bien pour ça que tu es venu, non ?— Oui, bien sûr.— C’est évident : Sophie, Stéphanie, Sarah. C’est tout simplement les initiales de nos prénoms.
Mais le mieux est que tu le gardes pour toi. "Les trois Salopes" ou "Les trois Suceuses", c’est tellement plus excitant !
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