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Les trois connasses

Chapitre unique

Hétéro
Ces trois connasses me pourrissaient la vie depuis le lycée. Dans les fictions, notamment les séries américaines, les connards / connasses du lycée finissent souvent par devenir des personnes respectables, voire de véritables amis du personnage principal. Ces trois-là, ce n’était pas le cas. Loin de là.
La plus terrible des trois, le chef du trio, c’était Lilou Legris. C’était une brune aux yeux bleus, grande, qui était passée de maigre à ronde puis de nouveau à maigre et qui, à trente-quatre ans au moment de mon histoire, avait eu des cheveux précocement gris par endroits. Étrangement, elle ne les cachait pas, c’était même sa petite fierté. Comme si ça légitimait son autorité naturelle.
Lilou était la fille du maire de notre commune, mais aussi la nièce du précédent, et la petite-fille de celui d’encore avant. C’était déjà papy Legris qui était à la mairie quand nous étions au lycée. Et Lilou, comme si elle appartenait à une sorte d’aristocratie, ne se privait pas de rappeler qu’elle faisait partie de cette famille.
Elle était violente, moqueuse, sadique, impitoyable. C’était la terreur de tous, quelques professeurs inclus, au lycée, mais aussi en dehors.La doyenne du groupe, c’était Clara Carmina. De deux ans plus âgée que Lilou (elle avait redoublé), Clara était une petite rousse très maigre, trop même. Fille d’un militaire et d’une gendarme, Clara ne se privait pas de menacer de représailles quiconque s’opposait à ses quatre volontés, mis à part Lilou, évidemment.
Pour finir, la plus jeune, c’était Myrtille Mélanie (Mélanie, c’est son nom de famille). Grande, mince, et brune, elle était peut-être la moins terrible du lot. Enfin, la moins terrible, tout est relatif. Elle était certes plus une suiveuse qu’une meneuse (Lilou en faisait ce qu’elle voulait, et peut-être que Myrtille aurait été parmi les victimes de Lilou si elle n’avait pas réussi à intégrer son groupe), mais elle était capable de crasse, peut-être pire que les autres. Elle aussi se cachait derrière sa famille, son père avocat et sa mère médecin. C’était probablement grâce à cette famille qu’elle avait pu s’allier avec Lilou et Clara.
Moi, Antony, j’avais le malheur d’être le fils d’un agent de la mairie (donc un « esclave » de la famille Legris, comme aimait me le rappeler cette salope) et de la femme de ménage de papa Mélanie. Là où certains ont pu se libérer des griffes de ces connasses en quittant le lycée, j’avais eu la mauvaise idée de suivre le même cursus qu’elles, et donc de voir mon calvaire continuer au sein des amphithéâtres. Nous étions trois dans ce cas, à nous soutenir mutuellement, plus qu’à nous aider. Évidemment, d’autres victimes se sont ajoutées au lot avec le temps.
La fin de la fac a été salvatrice. Je n’avais plus à les supporter et j’avais trouvé un emploi et un appartement dans une autre ville, à plusieurs kilomètres de là. S’il m’arrivait encore de croiser les trois connasses, c’était bien plus sporadique et, malgré la montée d’adrénaline que ça provoquait à chaque fois, au moins mon calvaire ne durait pas.
Du moins, c’est ce que j’ai cru jusqu’à ce que mon patron parte à la retraite et qu’on me présente ma nouvelle cheffe. Myrtille. Quand elle était arrivée, j’avais eu un mince espoir. Comme je l’ai dit, elle était plus du genre à suivre Lilou et donc, sans la présence de cette dernière, Myrtille allait peut-être s’avérer plus agréable.
Mon cul oui. Elle était aussi conne seule qu’avec les deux autres. Elle a fait vivre un enfer au personnel de la société, provoquant plusieurs dépressions, démissions, et même une tentative de suicide. Et moi, c’était pire. Loin d’avoir oublié mon passé de victime du groupe, elle était encore plus terrible avec moi qu’avec les autres.
Je serrais les dents. Puisais au plus profond de moi-même un semblant de résistance mentale.Mais c’était trop dur.Secrètement, je m’étais rapproché d’une société concurrente et avait proposé mon CV. Après quelques négociations, j’avais finalement eu le poste. Il était temps pour moi de quitter cette boîte et surtout cette patronne de merde.
J’attendais donc devant la porte de son bureau. J’avais demandé une entrevue, sans lui dire pourquoi. De toute façon, ça n’aurait rien changé. J’allais partir, et elle n’allait certainement pas m’en empêcher.Sa secrétaire (dont je devinais, aux cernes noirs, qu’elle était elle aussi à la limite de la rupture mentale) m’invita à entrer. Ce que je fis.

— Bonjour, Madame Mélanie.— Asseyez-vous Lechat.
La première fois que je l’avais vue, seul à seule, en tant que patronne, je l’avais appelée Myrtille et l’avais tutoyée, comme je l’avais toujours fait depuis plus de quinze ans. Je ne vous raconte pas l’engueulade que je me suis mangée. Comme quoi je n’ai pas à avoir autant de familiarités avec elle. Qu’il y a le respect de la hiérarchie. Et j’en passe. Depuis, c’était « Madame Mélanie » et « vous ».
— Alors, Lechat. Comme ça on veut rejoindre la société Montesquieu ?
J’étais paralysée. Comment est-ce qu’elle le savait ? Je n’en avais parlé à personne, et surtout pas au sein de la boîte. Les seules personnes qui savaient, c’était de la société Montesquieu, justement. Avait-elle une taupe là-bas ?
— C’est non, Lechat. Je refuse votre démission.
Au prix d’un gros effort, je parvins à reconnecter mes neurones.
— Si vous la refusez, dis-je, j’irai quand même, et vous devrez me licencier. Ce qui impliquera des indemnités. Vous êtes sûre de vouloir jouer à ce jeu ?— Ooooh, fit-elle en mettant ses mains sur ses joues et en ouvrant grand yeux et bouche. C’est qu’on veut me traîner aux Prud’hommes en plus, Lechat ?
Son père me le ferait sûrement regretter. Ses copines aussi d’ailleurs. Mais s’il fallait en arriver là, j’étais déterminé. Pourtant, j’étais incapable de répondre.Elle se leva et vint s’asseoir sur son bureau, juste devant moi. Son comportement était particulièrement étonnant. Et plus encore... Avais-je bien vu ? Était-elle vraiment nue son sa jupe ?
— Je te propose un deal, Antony.
Hein ? Elle avait utilisé le tutoiement et mon prénom ?
— J’accepte ta démission, mais je fixe une condition.— Et qu’est-ce que vous voulez ?— Que tu me baises. Ici. Maintenant.
J’étais estomaqué. Choqué.
— On va vraiment aller au Prud’hommes je crois. Surtout si vous ajoutez le harcèlement sexuel dans l’équation.
J’esquissais le geste de me lever. Elle posa son pied nu sur mon torse, m’obligeant à me rasseoir. Son pied nu ? Je réalisais alors qu’elle avait balancé son escarpin je ne sais où.
— Allez Tonio (elle ne m’avait jamais appelé comme ça de notre vie). Je ne te demande pas grand-chose.— Pas grand-chose ?
Elle balaya l’air de la main, comme si je demandais n’importe quoi.
— Il s’appelait comment déjà ton « super copain » (elle avait dessiné les guillemets avec ses doigts) au lycée ? Grégory ?— Grégoire. Grégoire Nouveau. Mais...— Si tu savais tout ce qu’il m’a raconté sur toi.
Elle posa son autre pied sur mon torse. J’aurais pu la chasser facilement, mais j’étais encore sidéré par la situation.
— Il m’a notamment raconté que tu lui avais avoué que tu te faisais plaisir en pensant à moi, sale pervers.
C’était vrai. Myrtille était la plus belle du trio. Elle avait des yeux verts envoutants, et un visage étrangement doux, encore plus adouci par un sourire charmeur. Très opposé à sa personnalité donc. Et il est vrai qu’au lycée, j’avais déjà imaginé des trucs avec elle. Pourquoi l’avais-je raconté à Grégoire déjà ? Aucune idée. Sûrement un jeu débile.
— Ce mec était trop manipulable, continua Myrtille. Il a suffi que je lui promette qu’il pourrait me toucher les seins pour qu’il me révèle tous tes petits secrets. Promesse que je n’ai évidemment pas tenue, ajouta-t-elle avec un sourire, comme si ce souvenir lui était particulièrement agréable.— Pourquoi tu lui as demandé tout ça ?— Parce que j’étais amoureuse de toi, imbécile.
Si je m’attendais à ça.
— Je ne pouvais rien dire aux autres. Lilou m’aurait arraché poils et cheveux à mains nues.
Elle frissonna à cette idée. Était-ce plus qu’une façon de parler ? Après tout, Lilou était capable de beaucoup de choses.
— Tu n’as jamais rien fait pour le montrer.— J’étais influencée par Lilou. Et aujourd’hui, je ne suis plus amoureuse de toi, ne t’imagine rien, couillon. J’ai passé l’âge des amourettes d’adolescentes. Par contre, j’ai l’âge d’avoir envie de ta queue. Je veux savoir si elle est à la hauteur de mes fantasmes d’ado.
Elle écarta les jambes et souleva sa jupe, me dévoilant son intimité entièrement glabre. Eh oui, elle était bien nue sous sa jupe.
— Quand j’ai su que tu allais venir et pourquoi, je me suis dit que c’était l’occasion. Alors je me suis préparée. Le spectacle a l’air de te plaire.
J’étais toujours sidéré de la situation et, malgré moi, j’étais incapable de quitter son entrejambe des yeux. Mes pensées se bousculaient. D’un côté, je la détestais, je m’étais même imaginé, comme souvent, lui planter son coupe-papier dans la gorge, au moment où j’étais entré dans son bureau. D’un autre côté, il reste vrai qu’elle m’attirait et j’avais envie de lui planter autre chose ailleurs, si je puis m’exprimer ainsi.
— Allez Tonio. Ma chatte veut Lechat.
C’était nul. Je le savais. Pourtant, je n’ai pas pu m’empêcher de pouffer de rire. Myrtille prit ça comme un signe de victoire et m’adressa un sourire victorieux. En même temps, elle avait raison. La partie de moi qui avait envie d’elle avait pris le dessus.
Laissant libre cours à mes envies animales, je chassais de son bureau les dossiers qui s’y trouvaient (une chance que je n’aie pas fait tomber l’ordinateur dans la foulée), et j’allongeai Myrtille sur son bureau. Sans réfléchir, je plongeai le visage entre ses jambes et entrepris de la lécher. Ma langue caressait son intimité autant que son intimité caressait ma langue. Son odeur était enivrante. Je sentais son corps frissonner à chaque fois que la pointe de ma langue glissait sur ses lèvres ou contre son clitoris.
Myrtille posa la main sur ma tête et serra mes cheveux, tout en m’appuyant contre son corps brûlant.Quand je la sentis suffisamment prête, je quittai son entrejambe pour remonter sur son ventre. Je m’attardais sur son nombril, mais sans abandonner son sexe, que je caressais du bout des doigts tandis que ma langue dansait sur son nombril. Myrtille déboutonna sa chemise et l’ouvrit en grand, me dévoilant ses seins, qu’elle n’avait pas enfermés dans un soutien-gorge. Elle avait vraiment tout prévu.
Alors je remontai et mes baisers s’attardèrent cette fois sur ses seins. Ils étaient relativement petits, mais charmants, au point que je me demandais si elle avait vraiment omis le soutif pour moi. Peut-être qu’elle était souvent seins nus, finalement. Sur ces belles pensées, je continuais à embrasser ses seins. Je les suçais. Je les léchais. Dans le même temps, mes caresses sur son sexe avaient laissé place à une douce pénétration digitale. Deux de mes doigts faisaient des aller-retour en elle, la caressant de l’intérieur.
Myrtille poussait des soupirs de plaisir. Ses joues et son front devenaient de plus en plus roses, puis rouges.
— Baise-moi !— Oui, Madame Mélanie.— Et surtout ta gueule !
Je lui adressai un sourire moqueur qu’elle n’a probablement pas remarqué. Je me suis alors redressé, j’ai baissé mon pantalon, et j’ai commencé à caresser son intimité du bout de mon gland.Elle enroula ses jambes autour de ma taille et me tira brusquement vers elle, faisant entrer ma queue en elle. Visiblement, elle était opposée à mon idée de la faire languir un peu.Qu’à cela ne tienne. J’étais décidé à la satisfaire et après tout, j’en avais rêvé ado. Alors je commençais à aller et venir en elle. D’abord doucement, puis avec plus de vigueur. Puis j’alternais. Parfois, mes gestes étaient lents, et ma queue caressait ses lèvres vaginales. Parfois, j’accélérais, et mon corps claquait violemment en entrant en contact avec le sien. Bien entendu, c’était quand je sentais son orgasme, ou le mien, arriver que je ralentissais.
Sauf qu’au bout d’un moment, c’était difficile. Elle était proche de jouir, mais moi aussi. Alors je serrais les fesses. Je serrais les dents. Je faisais tout ce que je pouvais pour ralentir l’extase.Elle mordit mon épaule, afin d’étouffer son cri de plaisir. Satisfait de l’avoir fait jouir, je laissais libre cours à mon propre plaisir, et je me déversais en elle, libérant mon liquide de plaisir.Nous nous sommes écartés. J’étais toujours en elle. Ses cheveux étaient ébouriffés. Son visage était rouge et couvert de sueur. Son regard était pétillant. Elle était tellement belle à ce moment. Elle tentait de reprendre son souffle, m’adressant un petit sourire qui aurait fait fondre n’importe qui. Il fallait que je le lui dise.
Mais je fus coupé dans mon élan par des applaudissements qui venaient de ma droite. Mon cœur manqua un battement. Lilou et Clara étaient devant moi, à applaudir et à nous regarder d’un air goguenard.
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