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Les sœurs de ma copine

Chapitre 3

Erotique
Me voilà nu dans le jacuzzi, pris au piège par la perversité de Clara et Olivia. Qu’allais-je faire? Les bassins étaient suffisamment rapprochés et profonds pour que je puisse cacher ma nudité aux yeux des autres usagers de la piscine mais, après avoir traversé les bassins à la nage, je me serais retrouvé nez à nez avec ma copine et sa mère qui m’auraient demandé des explications sur ma nudité et je ne pouvais leur faire croire que Clara et Olivia y étaient pour quelque chose.
Au vu de la situation aussi terrifiante qu’excitante dans laquelle je me trouvais, je décidai de demeurer dans le jacuzzi en attendant que Jacqueline et Lily aillent chercher les glaces. Les deux femmes passèrent justement à ma hauteur en me demandant ce que je souhaitais comme glace. Je choisis un cornet au chocolat. Ma copine et sa mère s’éloignèrent ensuite sans me poser de question.
Lorsqu’elles furent suffisamment éloignées, je sortis en trombe du jacuzzi et plongeai dans le bassin d’à côté, parvenant ainsi à cacher mon état aux autres usagers de la piscine. Je nageai jusqu’à l’extrémité du bassin et en ressortis tout aussi précipitamment que j’y étais entré.
Je courus jusqu’à ma serviette et fouillai mon sac à la recherche d’un pantalon. Heureusement pour moi, Clara et Olivia n’avaient pas pensé à emporter mon pantalon avec elles. Je revêtis mon pantalon et me rendis dans le centre commercial avoisinant la piscine afin de racheter un maillot de bain et éviter les soupçons de Lily et Jacqueline.
La géographie des lieux jouant en ma faveur, je réussis à regagner ma serviette avec mon nouveau maillot de bain avant l’arrivée des quatre femmes. Bien évidemment, en me voyant avec mon nouveau maillot de bain, Clara et Olivia affichèrent une moue de déception qu’elles dissimulèrent bien vite aux yeux de leur mère et à ceux de leur sœur.
Après avoir mangé nos glaces, nous décidâmes de rentrer afin de profiter au mieux de ce qu’il restait du week-end. Le trajet se déroula sans encombre et, une fois rentré, chacun alla se reposer dans sa chambre respective.
Dans les bras l’un de l’autre, Lily et moi nous échangions quelques baisers, profitant de l’intimité de la pièce pour rattraper le temps perdu.
Soudain, le téléphone de Lily vibra, annonçant qu’elle avait reçu un message.
« Pff... Désolée, chéri. Il faut que j’y aille. C’est une amie qui a vraiment besoin de moi mais ne t’inquiète pas; je reviendrai aussi vite que possible.»
Sur ces mots, elle quitta le lit et sortit de la chambre. Elle dit au revoir à ses sœurs et à sa mère et sortit. À peine Lily venait-elle de partir que Clara et Olivia débarquèrent dans la chambre.
« Pas cool ce que tu as fait à la piscine, Will.» dit Olivia. « La prochaine fois, on pensera à tout te prendre.» renchérit Clara.
Je fixai les deux femmes, ne sachant que faire ou répondre. Après un moment d’hésitation, je leur demandai d’une voix mal assurée ce qu’elles étaient venues faire dans la chambre de leur sœur. Les deux sœurs éclatèrent de rire et Olivia m’expliqua leur nouveau "jeu".
« Maintenant que Lily est loin, nous pouvons en profiter pour nous amuser un petit peu. Nous avons quelque chose de très intéressant à te montrer mais, d’abord, il faut que tu te mettes nu. Si tu ne le fais pas, nous dirons à notre mère que tu veux forcer Lily à coucher avec toi et c’en sera fini de votre relation.»
Je n’avais plus guère le choix. Je retirai mes vêtements sous le regard excité de Clara et Olivia et suivis celles-ci dans le couloir, jusque devant la porte de la chambre de Jacqueline. À mi-hauteur de la porte, sur la droite, se trouvait un cadre quelconque que Clara retira, laissant place à trois trous disposés en triangle à sommet bas. Les deux trous du haut n’étaient pas très larges, juste suffisamment pour voir à travers. Le troisième, en revanche, était beaucoup plus large que les deux autres. Je compris alors que ces trous avaient été percés dans le but de voir ce qu’il se passait dans la chambre de Jacqueline !
« Perplexe, William? Ne t’inquiète pas, nous avons percé ces trous il y a quelques jours, pendant que notre mère était partie faire ses courses tandis que notre sœur flânait avec toi dans la ville. Nous avons soigneusement étudié la géographie de la chambre de notre mère avant de les percer. Tu verras, notre mère ne pourra pas nous voir alors, vas-y, regarde à l’intérieur.» me dit Clara.
N’ayant guère le choix, je regardai la chambre de Jacqueline par les deux trous du haut et, là, ce fut la stupeur. Jacqueline était nue, assise sur une chaise, en train de se caresser!
Et ce n’était pas n’importe quelle chaise. C’était sur une chaise à bascule que Jacqueline était assise. Le dossier de la chaise était fait de petites colonnes et d’un long morceau de bois rectangulaire au milieu des colonnes soutenant un large panneau sur lequel reposait la tête de Jacqueline.
C’est alors que je compris comment les deux perverses avaient procédé pour percer les trous. Connaissant les habitudes sexuelles de leur mère, Clara et Olivia s’étaient servies du panneau et du morceau de bois afin de cacher les trous qu’elles avaient percés et pouvoir épier leur mère sans être vues.
Tout à coup, j’entendis un bruit de chute de vêtements. Je me retournai et, stupeur, Clara et Olivia étaient nues devant moi et me regardaient d’un air coquin en soutenant leurs seins.
« Alors ? Ça te plaît, Will ?» me demanda Olivia d’un ton narquois.
Cette fois encore, je n’eus pas le loisir de répondre car, sans que je puisse m’y attendre, Clara saisit ma bite et la mit dans le trou du bas puis se mit à masturber la base de mon sexe tandis qu’Olivia s’était collée à moi et frottait sa chatte contre mes fesses en m’embrassant érotiquement le cou et en me tenant la tête contre la cloison afin que je voie Jacqueline se caresser.
La scène qui s’offrait à mes yeux était insoutenable. Jacqueline se balançait sur sa chaise de plus en plus vite, complètement perdue dans sa masturbation. D’une main, elle caressait puissamment son clitoris tandis que, de l’autre, elle malaxait l’un de ses magnifiques seins en poussant de longs gémissements de plaisir.
De notre côté de la cloison, Clara me branlait encore la base du sexe d’une main et soupesait mes testicules de l’autre tandis qu’Olivia continuait ses caresses sur mon corps en veillant à ce que je voie Jacqueline se faire du bien, ce que, à présent, une curiosité malsaine me donnait envie de faire.
De l’autre côté de la cloison, Jacqueline continuait de se masturber au rythme de ses balancements en poussant des petits cris de délectation. Mon sexe était dur comme de la pierre et la scène était érotique et excitante à souhait sans oublier le show de Clara et Olivia qui, lui aussi, ne me laissait pas insensible.
Puis l’excitation de voir la mère de ma copine se donner du plaisir avec la complicité de ses sœurs qui, elles-mêmes, me faisaient du bien ne tarda pas à avoir raison de ma contenance.
Alors que ses balancements la ramenaient de mon côté, j’éjaculai par salves successives sur la chaise et les cuisses de Jacqueline dans un râle de jouissance sous les regards hilares de Clara et Olivia qui partirent en courant vers leur chambre, me laissant tout seul me remettre de mon orgasme.
Tout à coup, de l’autre côté de la cloison, Jacqueline s’était arrêtée de se balancer et regardait sa cuisse couverte de mon sperme puis elle se leva de sa chaise pour quitter sa chambre.
Paniqué, je ne trouvai d’autre solution que de courir jusqu’à la chambre de Lily pour y trouver mes vêtements mais, en arrivant dans la pièce, je constatai non seulement les vêtements que je portais avant cette humiliation n’étaient plus là mais aussi que tous les vêtements que j’avais pris pour le week-end avaient disparu !
Dans le couloir, j’entendis Jacqueline marcher d’un pas nerveux. Apeuré, je me mis nu dans le lit de ma copine et me recouvris avec la couverture.
Finalement, les pas de Jacqueline se firent entendre près de la porte puis s’éloignèrent. J’eus alors l’espoir que Jacqueline réprimanderait ses filles et leur demanderait de me laisser tranquille. La conversation, d’après ce que pouvais déduire au vu du temps qui s’était écoulé depuis le passage de Jacqueline, me sembla durer une éternité et j’étais tenté de quitter ma cachette, au risque de me faire prendre, pour écouter la conversation entre Jacqueline et ses filles.
C’est alors que l’on frappa à la porte. Apeuré, je m’enfouis sous les draps. La poignée tourna et la porte s’ouvrit...
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