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Les sœurs de ma copine

Chapitre 6

Erotique
Mon sexe toujours à l’air, je me dépêchai de remettre mon boxer et mon pantalon. Par chance, grâce à la position du siège que j’occupais, les autres clients du cinéma ne purent voir la situation délicate dans laquelle je me trouvais. Jacqueline qui était restée assise à mes côtés se mit à me sermonner.
— Tu devrais avoir honte, William. Éjaculer sur ces deux pauvres jeunes femmes pour soulager tes envies perverses... C’est inadmissible. Va t’excuser immédiatement auprès d’elles.
J’obtempérai sans répondre car je savais bien que c’était peine perdue de dire à Jacqueline qu’elle était responsable de cette situation.
Je finis par retrouver les deux jeunes femmes sur lesquelles Jacqueline m’avait fait éjaculer quelques instants plus tôt dans le hall.
— Tiens, c’est ce cher petit William. Je me disais bien qu’il n’y avait qu’une seule personne pour éjaculer sur nos nuques. — À cause de toi, on s’est faites traiter de salopes par une vieille bourgeoise pendant qu’on se nettoyait de ta semence.
Cette déclaration me fit peur. Non pas parce que Rosalie et Salomé s’étaient faites insulter car je savais pertinemment qu’elles avaient exagéré les faits mais parce qu’elles comptaient bien s’amuser avec moi et Dieu seul savait dans quelle situation elles allaient encore me fourrer.
— C’est bien pour ça qu’on a décidé de te rendre la monnaie de ta pièce. — Qu’est-ce que vous allez faire ?— Eh bien, on va te montrer.
Au moment où les deux jeunes femmes m’entraînaient vers un petit local à cartons, Jacqueline nous rejoignit.
— Bonjour, les filles. J’espère que ce vilain garnement vous a présenté ses excuses. Croyez-moi : son attitude m’a profondément choquée. En tous cas, vous pouvez être sûres que je m’occuperai personnellement de son cas quand nous serons rentrés.— Ce n’est rien. Les petits cochons, il y en a partout. Il n’y a pas à s’excuser pour ça. Par contre, il y a un petit prix à payer. — Très bien, je vous laisse alors.
Jacqueline se dirigea vers le bar et les deux jeunes femmes me firent pénétrer dans le local à cartons et en refermèrent la porte.
Visiblement, Jacqueline n’était pas seulement une bonne branleuse mais également une excellente actrice. Se dire choquée d’une attitude qu’elle a elle-même provoquée était un très joli coup. Elle devait sûrement se douter que Rosalie et Salomé seraient assises juste devant nous, ce qui l’a incitée à me faire jouir au beau milieu de la projection.
— Bon, pour te faire payer le fait de nous avoir salies, nous allons jouer à un petit jeu. Les règles sont très simples : l’entracte dure dix minutes. Durant ces dix minutes, je vais me frotter contre ta queue. Si tu arrives à tenir les dix minutes, tu auras une belle surprise à la fin du film. Par contre, si tu perds, tu seras dans une bien mauvaise posture. Bonne chance à toi. Salomé, chrono.
Sur ces mots, Rosalie me décocha un sourire moqueur et fit glisser la fermeture éclair de mon pantalon puis laissa tomber mon boxer au sol, dévoilant mon sexe encore ramolli.
— Hum... Il ne bande pas, là.— Je crois que j’ai une idée pour résoudre ce problème.
Rosalie se mit de dos à moi et ôta son pantalon et sa culotte, exposant à mon regard un superbe fessier. Bien évidemment, ma condition d’homme me fit bander devant une telle vision.
— Voilà, on peut commencer.
Rosalie cala son postérieur contre mon sexe et commença à se déhancher tandis que Salomé enclenchait le chronomètre.
— Hum... Il te plaît, mon beau petit cul, hein ? Vas-y, jouis sur mon cul. Je sais que tu en meurs d’envie alors vas-y, asperge-le de ton foutre.
Il n’y avait pas de doute : Rosalie savait y faire. Autant pour se frotter contre ma verge que pour m’inciter à jouir. La tentation était forte mais ses paroles me revinrent en tête. "Par contre, si tu perds, tu seras dans une bien mauvaise posture". Je me remémorai ensuite l’épisode de la piscine durant lequel Rosalie m’avait bien compliqué la vie en compagnie de Salomé, Clara et Olivia. Si je venais à jouir avant la fin du temps imparti, je me retrouverais sûrement dans une situation similaire, peut-être même pire puisque je n’avais plus les bassins pour cacher ma nudité. Il fallait que je tienne.
Les frottements du fessier de Rosalie se faisaient de plus en plus appuyés et mon sexe fut pris de chatouillis de mauvais augure.
— Vas-y, mon chéri, asperge-moi de ton foutre.
L’envie devint trop forte pour être freinée. Ma verge palpita et mon sperme recouvrit le sillon du fessier de Rosalie qui éclata de rire.
Avant de pouvoir savoir si j’avais réussi le test ou non, j’entendis les bruits des pas des clients qui se dirigeaient vers la salle. Cela m’avait plutôt l’air d’être un bon signe.
— Alors, combien de temps, Salomé ?— Pile poil dix minutes. Tu as réussi, William. Comme promis, tu auras droit à une belle surprise après le film.
Rosalie revêtit sa culotte et son pantalon puis les deux jeunes femmes me permirent de me rhabiller à mon tour.
— Maintenant, j’aurai un petit souvenir de toi dans ma culotte.
Rosalie et Salomé éclatèrent de rire et nous sortîmes tous les trois le plus discrètement possible du local à cartons pour regagner la salle.
Cependant, malgré l’immense satisfaction personnelle que me procurait ma victoire, je ne pouvais m’empêcher de me demander ce que me réservaient Rosalie et Salomé après le film sans parler de Jacqueline qui avait l’air bien décidée à "s’occuper personnellement de mon cas".
La suite du film se déroula sans incident majeur. Jacqueline semblait contente d’avoir pu rire un peu sur mon dos et regardait à présent le film avec attention.
Le film toucha ensuite à sa fin et les lampes éclairèrent à nouveau la salle.
— Alors, le film t’a plu ?— Oui, et toi, tu as aimé ?— Oui mais je commençais à trouver le temps long. J’ai hâte de m’amuser à nouveau avec toi en privé.
J’aurais dû m’en douter. Jacqueline n’avait pas oublié la "promesse" qu’elle avait faite. Nous nous levâmes et tombâmes nez à nez avec Rosalie et Salomé.
— Euh... Madame ? On se demandait si on ne pouvait pas encore jouer un peu avec ce petit cochon parce qu’on n’a pas eu le temps de bien lui faire payer pendant l’entracte.— Bien sûr, les filles. Amusez-vous bien. Mais ramenez-le moi le plus vite possible.— Merci, Madame, comptez sur nous.
Je suivis donc Rosalie et Salomé jusqu’au parking du cinéma. Là, Rosalie déverrouilla les portières de sa voiture et m’invita à monter. Salomé plaça des bandes de plastique sur les vitres et prit place à mes côtés sur la banquette arrière.
— Comme on te l’a promis, tu vas avoir une jolie surprise. On va de nouveau s’amuser un peu. Mais tous les trois cette fois. Les règles sont simples : si tu arrives à faire jouir Salomé avant de jouir, tu auras droit de lui demander ce que tu veux et si tu perds, ça ne fait rien, on te laissera repartir tranquillement.
Je hochai la tête en signe de compréhension et les filles et moi retirâmes nos vêtements. Salomé me fit allonger sur la banquette et s’accroupit juste au-dessus de ma bouche tandis que Rosalie mettait déjà ma verge en bouche.
Ma langue se trouva ensuite en contact avec le sexe de Salomé que je me mis à lécher avec passion. Après avoir goûté une fois à la victoire, je ne voulais pas renoncer à son goût si agréable.
En revanche, cela n’était pas chose aisée car Rosalie se débrouillait parfaitement bien en matière de fellation.
Au bout d’un temps que je ne sus estimer, je sentis ma verge palpiter dans la bouche de Rosalie. Celle-ci la recracha et me fit jouir sur ses seins tandis que le sexe de Salomé commençait à dégouliner de cyprine.
Les deux jeunes se rassirent à mes côtés.
— Bon, techniquement, il n’y a pas de vainqueur puisque vous avez joui en même temps mais comme on t’aime bien, on va quand même dire que tu as gagné. Alors, que veux-tu que Salomé fasse ?— Eh bien, comme tu as déjà un souvenir de moi dans ta culotte, il serait injuste que Salomé n’en ait aucun dans la sienne.
Rosalie me sourit et saisit la culotte de son amie pour nettoyer ses seins de ma semence.
Les deux jeunes femmes et moi nous rhabillâmes et je pris la direction du cinéma où m’attendait Jacqueline. Que pouvait bien me réserver cette femme aussi belle que perverse ?
[ à suivre ]
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