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Les vacances d'été

Chapitre 2

Hétéro
Le soleil était déjà bien haut à mon réveil. Il ne restait plus que moi et Valentine dans la chambre dans laquelle tout le groupe avait passé la nuit. Mon meilleur ami, habitué à la maison, avait sans doute conduit ceux qui s’étaient déjà réveillés dans le salon pour nous laisser dormir. Je me doutais bien qu’ils devaient débattre de notre position à tous les deux Je me souvenais bien de ce qui s’était passé, et je le regrettais. Mais encore une fois je ne fis rien. Valentine était toujours dans mes bras, mon sexe, toujours aussi tendu, calé contre le sien. Je n’osais bouger. Elle serrait assez fort mon bras et mon sexe. Tout mouvement l’aurait réveillée et je n’osais imaginer ce qu’elle ferait une fois fait. Je ne bougeais pas jusqu’à son réveil. Dire que je n’appréciais pas cette position terriblement excitante serait mentir. Mais j’avais énormément de remords envers Aurélia. Je l’aime, cela ne fait aucun doute, mais je l’ai trompée. A peine ai-je le temps d’y penser que Valentine bouge, se tortille et se réveille. Dos à moi, elle ne sait pas que je suis réveillé. Elle ondule à nouveau du bassin comme cette nuit et commence à gémir. Elle ne se retient pas car elle a bien remarqué que nous étions seuls. — Valentine, arrête… On ne peut pas.Elle ne m’écoute pas et continue. Elle accélère, je sens à nouveau ces décharges électriques dans tout mon corps. Cette fois-ci je ne cède pas, l’attrape par l’épaule, retire mon sexe d’entre ses cuisses et lui dit fermement d’arrêter. A peine ai-je fini de parler qu’elle sanglote et me dis :— Je… je suis désolée… Je sais que tu aimes Aurélia mais je pensais que tu pourrais m’aimer un peu… — Je ne te comprends pas…— Je n’ai jamais eu de copain, et tu es le seul avec qui j’ai fait des…des choses… je pensais que tu pourrais m’aimer un petit peu pendant qu’Aurélia n’est pas là…— Valentine, tu sais que je t’aime, tu es ma meilleure amie, mais j’aime Aurélia et je ne veux pas la tromper… Tu es quelqu’un de formidable, tu es jolie même sexy mais…Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça, lui dire qu’elle était sexy. Je n’ai pas menti mais ce n’était pas une bonne idée… — C’est vrai ? tu me trouve sexy ?— Mais oui ! Très ! Tu es même bandante !Et je continue, je suis vraiment incorrigible… — Oh merci !En disant cela, elle se jette dans mes bras. C’est un câlin purement amical cette fois, enfin au début. Mon sexe était toujours tendu, et, en se jetant dans mes bras, Valentine pouvait le sentir. Elle avait posé sa tête dans le creux de mon cou. Au début elle ne faisait rien mais après quelques instants sans bouger elle se risqua à poser un baiser dans mon cou. Je ne réagis pas, comme à mon habitude, je ne saurais dire pourquoi. Elle prit cela pour un accord et recommença en insistant sur son baiser. Elle passa ensuite sa main sur ma nuque et caressa mes cheveux. Moi de mon côté, je la serrais amicalement, lui caressant le dos sans plus. Elle se tortilla un peu et arriva à venir s’asseoir sur mes cuisses, face à moi. — On ne devrait pas… arrête… je t’en prie…Ma résistance n’était pas très convaincante, même moi je n’y croyais pas. Valentine était assise sur mon sexe nu et tendu. Elle ondulait à nouveau du bassin, profitant des sensations que je lui procurais presque contre mon gré. Je tentais encore de résister mais sans plus d’effet.— S’il te plaît, juste une fois, je voudrais savoir ce que ça fait d’être aimée…Cette demande était désespérée. Je ne savais pas que ma meilleure amie souffrait autant. Elle profita de l’instant où j’étais sous le choc pour m’embrasser. Langoureusement, amoureusement. Je pense que c’est uniquement pour lui faire plaisir que j’y ai répondu du mieux que j’ai pu. A ce moment-là, je me suis dit « juste pour cette fois, après on en parle plus jamais. ». Bien sûr, je savais que je trompais ma copine mais le plus important pour moi était de rendre heureuse ma meilleure amie. Je l’ai donc serrée dans mes bras et je l’ai basculée sur le lit. Elle était couchée sur le dos, moi au-dessus d’elle. Mon sexe collé au sien, séparé par son shorty et sa petite culotte. Nous avons continué de nous embrasser pendant plusieurs minutes, sur la bouche, dans le cou, les épaules… J’ai commencé à descendre, sa poitrine, cachée par son t-shirt me faisait envie. Je lui ai retiré lentement son haut et ai retiré ensuite son soutien-gorge. Quelle belle poitrine elle avait ! Ronde, ferme elle n’était pas aplatie même lorsqu’elle était couchée. J’ai immédiatement plongé dessus, ai léché, sucé, embrassé ses seins et ses tétons. D’abord le gauche, ensuite le droit, et à nouveau le gauche… Elle gémissait fort, me caressait les cheveux en plaquant ma tête contre sa poitrine. Elle parut déçue lorsque je cessai de jouer avec ses magnifiques seins mais cela ne dura que peu de temps car je descendis embrasser son petit ventre, doux et plat. Je continuais jusqu’à hauteur de son sexe. Je l’embrassais à travers son shorty que je retirai presque immédiatement.J’étais nu et elle ne portait plus que sa culotte. Je ne pensais plus qu’à une chose, faire l’amour à cette sublime créature face à moi. Ma conscience s’était envolée, je n’étais guidé que par mon instinct qui me dictait de continuer encore et encore. Je passai mes doigts sur le fin tissu me séparant encore de l’objet de mes désirs. Je le caressai doucement avec tendresse. Faisant pression là où je savais qu’elle ressentirait les meilleures sensations. Je passai ma langue avide sur sa culotte déjà trempée. Je pouvais goûter son jus. Il était bon, un peu amer mais délicieux. Je repassai plusieurs fois ma langue pour la faire languir et continuer à récolter ce doux breuvage auquel je devenais accro. Son bassin accompagnait ma langue et mes doigts. Je voyais bien qu’elle voulait plus. J‘ai donc retiré son dernier vêtement lentement. Elle avait les yeux grand ouverts, elle attendait sagement que je continue. Ses yeux resplendissaient de bonheur et d’envie. Je passai mes mains sur ses cuisses ouvertes, je les caressai sensuellement. Ce qui eut pour effet de la faire frissonner. Je me penchai à nouveau vers son sexe. Elle pouvait sentir mon souffle chaud dessus. Je la laissai encore une fois languir avant de reprendre là où je m’étais arrêté. Je passai une première fois ma langue sur sa vulve rouge et gonflée. Elle frissonna à nouveau. Je recommençai à plusieurs reprises. Chaque coup de langue était accompagné d’un frisson à chaque fois plus grand. Je décidai de passer au niveau supérieur, accélérai mes coups et suçotai son clitoris. En quelques instants elle était passée d’un état d’excitation élevé à l’excitation la plus totale. Au début silencieuse et frissonnante, elle était désormais prise de spasmes réguliers et gémissait fort malgré le risque que l’on nous entende. Je dus m’arrêter pour le lui dire. Ne voulant pas que je cesse, elle prit son oreiller et le plaqua devant son visage pour limiter le bruit. Une fois cela fait, je pus reprendre. Je prenais énormément de plaisir à voir l’effet que je produisais sur elle. Ses cuisses tremblaient si fort que j’étais obligé de les tenir des mes deux mains. Je voulais utiliser mes doigts pour lui procurer encore plus de sensations mais comme mes mains étaient occupées, je dus me concentrer pour pouvoir faire de mon mieux uniquement avec ma bouche. Je sentais que son orgasme approchait à grands pas. Je voulais que ce moment soit inoubliable pour elle. C’est pour cela, qu’au moment propice, j’ai lâché l’une de ses cuisses qui trembla de plus belle et ai enfoncé d’un coup deux doigts dans son antre. Cette action eut pour effet de la faire crier dans son coussin alors que je sentais son sexe se resserrer sur mes doigts alors que je la pistonnais. Ma langue, toujours active sur sa vulve, lui arracha quelques gémissement et spasmes supplémentaire avant qu’elle ne se calme complètement, quelques minutes après. L’orgasme dévastateur qui l’avait prise l’avait fatiguée. Elle allait s’endormir quand nous avons pu entendre dans la cage d’escaliers des pas qui montaient vers nous. Il fallait agir vite.
A suivre…
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