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Les vacances chez ma tante

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Chapitre 1 : Chacun sa chatte !
On criait cela en courant comme des idiotes avant de nous jeter sur le lit de ma cousine. C’était le seul mot d’ordre entre nous, avant que nous commencions à nous masturber toutes les trois dans le même lit. J’étais au milieu de Tiphaine (ma cousine) une jolie rousse aux yeux verts qui avait de longs cheveux raides qui lui arrivait jusqu’à la taille et de Sophie sa meilleure amie qui était blonde aux yeux bleus, avec une chevelure comme celle de ma cousine. Moi c’est Alicia, je suis brune, les cheveux coupés court jusqu’aux épaules et j’ai le même gabarit que Sophie qui est très fine, sauf que je suis plus petite qu’elle et que mon corps est moins musclé que le sien.
Tiphaine se trouve plus ronde que nous, mais c’est elle qui a définitivement les plus beaux seins de nous trois et Sophie les plus belles fesses. Par contre j’ai la peau moins pâle que ma cousine et apparemment d’après elle, je suis la plus gentille (c’est vrai que dans ce contexte ça ressemble à une insulte mdr). Un peu soumise comme le dirait Sophie, mais très sympa.
Nous étions toutes les trois concentrées sur le porno lesbien que ma cousine avait mis sur son ordinateur portable. On n’était pas gay, mais il y avait plus d’affection dans les pornos lesbiens (lol). Comme nous avions coupé le son au cas où ma tante rentrerait à l’improviste, on entendait que nos respirations qui s’accéléraient aux rythmes de nos caresses sur nos chattes, qu’on pouvait deviner sous le drap sous lequel on se cachait.
Si ma tante était rentrée subitement dans la chambre, on aurait rabattu l’écran du pc portable en prétextant faire une sieste. Elle aurait été surprise qu’on décide de faire cela à 15h de l’après-midi alors qu’il faisait un soleil éclatant à l’extérieur, mais il y avait peu de chance qu’elle ne rentre de sitôt. Elle adorait traîner chez ses copines à cette heure-là et était sûrement ravie qu’on ne soit pas sur son dos à lui demander tout et n’importe quoi toutes les cinq minutes.
J’ai rencontré Sophie il y a deux semaines en venant passer mes vacances chez ma cousine à la campagne. C’est donc sa meilleure amie, elles vont dans le même lycée et sont amantes. Pas amoureuse comme l’a précisée ma cousine mais amante, elle couche ensemble. Enfin par coucher ensemble, c’est plutôt des jeux entre filles un peu poussé, d’après ce qu’elle m’a raconté.
Enfin bref, je me suis retrouvée seule un matin avec Sophie, tandis que ma tante avait emmené Tiphaine au marché un peu plus tôt. Après avoir pris notre petit-déjeuner, nous étions dans le salon en train de regarder la télé, quand Sophie m’a proposé de nous caresser l’une devant l’autre. Je suis plutôt pudique, alors c’est elle qui a fait le premier pas en baissant son petit short qu’elle portait sans sous-vêtements, ensuite elle a glissé sa main entre ses jambes pour commencer à se caresser. Elle était très belle habillée d’un débardeur bleu ciel de la même couleur que son bas et les rayons du soleil qui passaient par la fenêtre, faisaient briller ses longs cheveux blonds étalés sur le canapé sur lequel elle était allongée. Je voyais ses doigts qui faisaient des cercles aux milieux des poils blonds hirsutes qu’elle avait entre ses cuisses bronzées. J’étais fascinée par ce spectacle matinal qu’elle m’offrait, parce que je ne m’y attendais pas du tout.
Elle avait les yeux mis clos et se caressait de plus en plus vite en poussant des petits gémissements qui s’échappaient de ses lèvres entrouvertes. Je l’ai imitée en passant ma main droite sous ma nuisette et je me suis mise à me frotter à travers ma culotte en coton, mais je ne ressentais pas la même chose qu’elle. À un moment elle a ouvert ses yeux et m’a demandé si moi aussi j’aimais me donner du plaisir comme ça et je lui ai avoué que c’était la première fois pour moi. Elle m’a dit « Quoi ? Tu n’as jamais eu d’orgasmes » et même si je connaissais le mot, je lui ai avoué que non je n’en ai jamais eu. Elle a alors arrêté ce qu’elle faisait, elle s’est débarrassée de son short, puis elle est venue se mettre à genoux devant moi en me disant « ôte ta culotte, je vais te montrer comment faire. ».
J’avoue avoir été prise de panique au début et je l’ai repoussée quand elle a passé ses mains le long de mes cuisses. Je lui disais que ce n’était pas grave si j’ai jamais pris mon pied et que ma tante et Tiphaine risquaient de nous surprendre. Elle m’a répondu que ma tante et ma cousine en avaient pour une heure environ et que Tiphaine et elle, ont déjà fait ça à de multiples reprises. Surprise par cette révélation, je me suis laissée faire en relevant mes fesses pour qu’elle puisse retirer mon sous-vêtement. Elle m’a ensuite demandé de m’installer confortablement et de bien écarter les cuisses. En voyant ma chatte, Sophie m’a dit qu’heureusement je n’étais pas très poilu comme elle, comme ça, elle pourra me guider plus facilement pour me toucher.
J’ai ressenti une honte brûlante quand je me suis mise à caresser mon intimité à deux mains, pendant que Sophie la tête à 20 centimètres de mon vagin, le regardait de tous ses yeux en me disant des choses comme :
— Ecarte tes lèvres avec deux doigts de ta main gauche et caresses ton bouton avec deux de la droite. Fais des petits cercles autour comme moi.
Et elle se relevait légèrement pour me montrer. Elle continuait en précisant :
— Concentre-toi sur tes sensations, fais comme si tu étais seule au monde.
J’ai rigolé en lui disant que ce n’était pas très facile vu notre situation. Elle me fit un joli sourire en me disant qu’à elle ça lui plaisait de me voir comme ça et qu’elle me trouvait très belle. J’ai baissé la tête pour éviter qu’elle me voie rougir et je me suis mise à me caresser à toute vitesse. Sophie à genoux se frottait aussi vite que moi en me disant de garder le rythme. Je me mis à refermer mes cuisses machinalement quand j’ai senti pour la première fois la jouissance qui commençait à envahir mon bas-ventre. Mais Sophie m’a ordonné de les garder ouvertes en agrippant l’une d’elles fermement de sa main libre.
Quand j’ai posé les yeux sur elle, ce n’était plus la jeune fille angélique qui était à genoux devant moi. De longues mèches blondes masquaient son visage qui était rougi par l’excitation. Elle serrait les dents et je voyais des gouttes de sueurs qui perlaient sur son front et qui lui coulaient sur le côté du visage ou le long de son nez.
Elle me faisait mal en m’enfonçant ses ongles dans la cuisse et quand je lui ai fait remarquer ça, elle a relâché un peu sa poigne, mais elle m’a dit en me regardant bien dans les yeux d’arrêter de me plaindre et de continuer à me caresser. J’ai répondu un petit OK en baissant les yeux et j’ai eu très peur d’elle quand j’ai compris qu’elle me forcerait, s’il le fallait, pour que j’aie cet orgasme. Et étrangement, l’idée d’être forcée par elle pour me faire jouir a relancé mon excitation et je me suis mise à m’enfoncer les bouts de mes doigts de ma main gauche, à l’intérieur de ma fente et de mon anus. Je lui ai dit que ça venait et elle m’a répondu :
— OK ma salope, retiens-toi pour qu’on jouisse ensemble
Son insulte m’a fait mal au cœur, mais j’étais trop emportée par le plaisir pour le lui dire. Elle a rapproché son visage à quelques centimètres de mon vagin (le dessus de mes doigts frôlait le bout de son joli nez) et elle m’a dit :
— Vas-y, fais jouir ta petite chatte. Fais-moi voir la chienne que tu es vraiment !
Puis elle a ouvert grand la bouche en tirant la langue, tout en me regardant dans les yeux. Au début j’ai cru qu’elle voulait me lécher quand elle s’est penchée plus près, mais maintenant je ne comprenais pas ce qu’elle faisait. Mais son air de vicieuse m’a tellement excitée que tout à coup, mon premier orgasme m’a surpris. Il a été aussi soudain que violent. Je me suis mise à gémir de plaisirs et un peu de douleurs en même temps, le corps secouait par des spasmes incontrôlables.
À chacune de mes contractions, j’expulsais mon pipi qui venait atterrir sur le front, le nez et dans la bouche de Sophie. Je l’ai trouvée répugnante, à mille lieues de la fille que Tiphaine m’a présentée.Mes pieds tremblaient à cause de mes jambes qu’elle maintenait écartées et de mon orgasme qui s’apaisait. Malgré ça j’ai continué à me caresser juste pour pouvoir arroser le visage de la jolie blonde entre mes cuisses, encore un peu plus avec mon jus doré.
De son côté, les yeux fermés, Sophie murmurait à présent des cochonneries et m’insultait (elle me traitait de chienne en chaleur ou encore de gouine à la chatte trempée mdr) entre ses dents serrées. J’ai eu très honte à nouveau, quand elle s’est penchée entre mes cuisses pour renifler mon sexe et mon cul, sans s’arrêter de se masturber. Malgré ce spectacle que je lui avais offert, ça se voyait qu’elle avait du mal à se finir. Et comme je voulais aussi qu’elle la ferme, je lui ai tendu mes doigts souillés qu’elle s’est empressée de lécher et de sucer en me répétant merci, tout en me regardant avec ses jolis yeux bleus.
J’ai vu qu’elle a commencé à jouir, alors j’ai caressé tout son visage à pleine main. J’aimais sentir la douceur de sa langue sur mes paumes, tandis que j’étalais mes sécrétions vaginales sur son visage d’ange. Quand elle a eu fini, je lui ai donné un baiser sur la bouche et je l’ai prise dans mes bras, remarquant au passage que je lui avais aussi pissé dans les cheveux. Ressentant à l’odeur de mon urine mêlée à celle de son shampoing. Un plaisir malsain.
— Faut qu’on se douche et qu’on nettoie tout ce foutoir, avant que Tiphaine et sa mère ne rentrent. — OK allons-y, laisse-moi t’aider à te relever.
Chapitre 2 : Petit plaisir et conséquences

Nous étions donc toutes les trois dans ce lit en train de nous masturber tout en regardant un porno. Au début nous faisions cela à bonne distance des autres filles par pudeur (re-lol), mais aussi pour être plus à l’aise. Mais très vite on s’est laissés aller et on laissait nos bras ou nos jambes se toucher sans tenter d’échapper à ce contact fortuit. On accélérait nos caresses aux rythmes des deux actrices qui étaient en 69 à l’écran.
Comme la scène s’éternisait, Tiphaine à ma droite nous a dit qu’elle ne verrait sûrement pas la fin du film parce qu’elle allait jouir. Sophie à ma gauche respirait de plus en plus vite et a répondu que c’était aussi son cas. Comme je ne disais rien, Sophie m’a demandé si moi aussi j’allais venir, tout en posant sa main droite sur ma cuisse cachée par le drap. Nous nous sommes regardées et j’ai répondu que je n’allais pas tarder à les rejoindre aussi, avec un trémolo dans la voix. Je me suis dit qu’elle m’avait posé cette question juste pour voir si elle m’avait troublée par son geste.
Tiphaine avait arrêté de regarder l’écran de son pc portable et gémissait tout en fermant les yeux. Sophie gémissait aussi, mais me caressait la cuisse très doucement en déplaçant sa main toujours un peu plus vers mon bas-ventre. Comme j’ai senti qu’elle avait arrêté sa main au niveau de l’articulation, je me suis mise à faire tanguer mes hanches pour lui faire comprendre que je voulais ses doigts sur ma chatte. Quand elle m’a enfin touchée là où je le voulais, j’ai eu honte parce que ses doigts ont glissé dans ma mouille. J’ai utilisé ma main gauche pour la toucher entre les cuisses à mon tour, et j’étais heureuse de sentir que ma petite blonde en était au même point que moi.
On se touchait l’une l’autre de façon très différente. De son côté, elle avait posé sa main sur la mienne pour guider mes caresses sur toute son intimité. Du moins elle me laissait me masturber le clitoris, tandis qu’elle titillait du bout des doigts ma fente et mes lèvres sexuelles. Tiphaine, qui ne se doutait de rien, venait de prendre son plaisir en s’agitant à côté de nous en haletant. Comme elle avait retrouvé ses esprits, elle s’est tournée vers Sophie et moi pour savoir où on en était. Je n’ai senti le regard de ma cousine sur nous que lorsqu’elle a tiré le drap tout doucement, pour voir ce qu’on faisait avec nos mains.
J’ai paniqué quand nos yeux se sont croisés, car ça ne l’amusait pas du tout que sa copine la trompe avec sa cousine de cette façon. Avec ma main droite, je tentais de retirer celle de Sophie fichée entre mes cuisses. Mais celle-ci croyant me faire jouir, m’a enfoncé son majeur trempé de ma mouille à l’intérieur de mon anus. La douleur dans mon cul, plus l’air menaçant de Tiphaine m’ont paradoxalement donné un orgasme. Tandis que sa petite amie à côté de moi s’est mise à crier à son tour, par ce qu’elle n’a pas arrêté un instant d’utiliser ma main pour avoir le sien. Sophie a commencé à se calmer et j’ai senti à quel point ça lui avait plu, en sentant sous ma paume ses longs poils de sexe trempés avec sa mouille et sa sueur. Elle a sursauté quand elle a entendu la voix de ma cousine nous demandons d’un ton réprobateur « ça y est, c’est fini ?! ». Dès que nous avions répondu oui, ma cousine m’a giflé.
— Putain, arrête ! On s’est prises au jeu voilà tout, on n’a pas fait ça exprès pour te faire du mal. — Tu veux dire que vous vous êtes glissé des doigts par accident ? — On est désolés. On le refera plus. — Tiens en parlant de putain, mais où t’as enfoncé tes doigts ?
Elle a retiré la main de sa petite amie qui était restée sur mon bas-ventre, en la soulevant par son poignet. Elle s’est mise à sentir les bouts de ses doigts et a pris un air dégoûté tout en me disant :
— Alors c’est ça que t’aimes, qu’on te mette un doigt dans ton trou à merde pendant que tu te branles ?
Je n’ai jamais eu aussi honte de ma vie. Je n’ai pas su quoi lui répondre. Je me suis contentée de bégayer des choses inaudibles tout en continuant à m’excuser.
— La ferme ! On comprend rien à ce que tu racontes et arrête de t’excuser parce qu’après ce que je vais te faire, c’est moi qui devrais m’excuser.
J’étais morte de trouille, j’ai cru qu’elle allait me violer ou pire que ça, et c’est là qu’elle m’a tendu les doigts de Sophie dont le majeur était taché de traces brunes suspectes et m’a dit :
— J’suis contente pour toi que tu t’es bien amusée. Mais maintenant nettoie tes saloperies !
J’étais pétrifiée, comment on a pu en arriver là en si peu de temps. J’ai regardé en direction de Sophie qui attendait ce que j’allais faire. Voyant que j’hésitais, de sa main gauche Tiphaine m’a maintenu par la mâchoire pour m’obliger à l’ouvrir, tandis qu’avec la droite elle m’a enfoncé les doigts salis de sa copine dans ma bouche. Comme je me suis mise à me débattre, Sophie s’est collée à moi dans mon dos m’empêchant de fuir ma punition, en m’enlaçant au niveau des épaules avec sa main libre.
Les deux amantes s’amusaient beaucoup en me mettant cette main dégueulasse presque entièrement dans ma bouche. Elles la retiraient quand j’avais un haut-le-cœur et Sophie recueillait avec sa paume ma salive et ma morve qui me dégoulinait sur le menton, avant de remettre sa main au lavage comme le disait Tiphaine. De mon côté je pleurais à chaudes larmes, les suppliant du regard qu’elles arrêtent parce que je ne pouvais pas parler. À un moment j’ai senti les doigts de la blonde qui me titillaient le fond de ma gorge, des bruits de rots se firent entendre et sentant que j’allais vomir, j’ai retiré brusquement ma tête me recroquevillant sur le côté.
Elles se sont mises à essuyer leurs mains sur la partie exposée de mon visage, mais aussi sur mon cou et dans mes cheveux. Tiphaine n’arrêtait pas de m’insulter en le faisant, tandis que Sophie riait aux éclats, deux vraies psychopathes. Je me contentais de me protéger avec mes bras en continuant à pleurer. Je me haïssais d’être aussi faible, par ce que je ne me suis jamais sentie autant comme une victime.
— Pitié, j’ai compris la leçon. Je toucherai plus à ta copine et elle me touchera plus. Je te le promets, mais s’il vous plaît, arrêtez, j’en peux plus. — Bon, ça suffit, je pense qu’on a brisé cette garce. — Si tu le dis. — Pour cette fois je veux bien m’arrêter là, mais la prochaine fois tu me lécheras le sexe et le cul, même s’il est sale. Surtout s’il est sale d’ailleurs. Tu m’as comprise ?
J’entendais Sophie qui pouffait derrière.
— Oui tout ce que tu veux.
Je n’arrivais pas à croire que je venais d’accepter ça.
— En public tu peux nous appeler par nos prénoms, mais entre nous tu devras nous vouvoyer et tu t’adresseras à nous en nous appelant maîtresse Tiphaine ou maîtresse Sophie.
— Est-ce que c’est compris ? en me mettant une fessée.— Oui maîtresse Sophie. Tout ce vous voulez maîtresse Tiphaine.
Sophie était folle de joie à l’idée qu’elles aient leur petite soumise perso. La rousse quant à elle me regardait avec dédain, tandis que je tirais sur le bas de ma nuisette pour tenter de cacher mes fesses.
— Ca sert à rien d’essayer de te cacher. Quand ma mère ne sera pas là, tu te foutras à poil et tu nous laisseras te tripoter dès qu’on en a envie. Je vais aussi t’acheter un collier de chienne que tu devras porter, afin de te rappeler le rôle que tu as dans cette maison.
D’un mouvement du menton, Tiphaine avait ordonné à Sophie de me fesser en me redemandant de confirmer que j’avais bien tout capté.

Chapitre 3 : Petite chienne perso

Ensuite nous sommes parties prendre une douche, j’ai lavé les filles en priorité qui rigolaient et qui s’amusaient bien tandis qu’elles me traitaient comme leur bonniche. Elles sont ensuite parties regarder la télé dans le salon, pendant que je leur servais à boire et à manger. Comme convenu je devais les servir à poils. Du coup dès que je m’éloignais, je vérifiais que ma nuisette et ma culotte étaient toujours à côté de ma cousine, de peur qu’elle les cache au moment où sa mère rentrerait.
Tiphaine et Sophie étaient lovées sur le canapé, tandis que moi j’étais assise par terre prête à leur obéir à tout moment. Quand elles faisaient tomber une chips sur le sol, je devais ramper pour la prendre dans ma bouche et la manger, puis je devais faire des bisous sur leurs pieds en leur disant « Merci de nourrir votre chienne ». Ça les faisait beaucoup rire et elles me caressaient les fesses et l’entrejambe pour récompenser mon obéissance.
J’avais envie de pleurer et je ne savais pas pourquoi je les laissais me faire ça. Parfois l’une d’elles écartait mes fesses pour faire des commentaires sur mon état d’excitation, tandis que l’autre plaisantait en se demandant si je me mettrai à jouir si jamais on m’enfonçait à nouveau un doigt dans l’anus. Je sursautais quand elles essayaient, alors elles me fessaient et m’insultaient pour que je revienne vers eux. Je me mettais ensuite à rapprocher machinalement mon derrière dans leur direction, pour sentir encore leurs caresses sur mes parties intimes.
Mais au fond de moi je me dis que c’était le prix à payer, pour ne pas avoir respecté la règle numéro un quand on se masturbait entre filles et qui était : « Chacun sa chatte ! »
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