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Les vacances dans le Morvan

Chapitre 5

Toi en moi

Hétéro
Lana
— Tu es extraordinaire, me dit Lucas. Je n’ai jamais pris autant de plaisir.
Je lui adresse un sourire éblouissant et mes yeux brillent d’excitation.
— Laisse-moi te remercier à ma façon, me dit-il en m’embrassant à nouveau, tout en me plaquant contre lui.
C’est tellement grisant de voir le plaisir dans ses yeux. Et j’en ai pris tout autant en m’occupant de lui. Il faudra que je pense à le rassurer sur le fait que je n’ai pas pour habitude d’avaler la semence du premier venu. Je l’ai fait pour lui parce que Lucas est spécial pour moi. Mais pour le moment, nous sommes bien trop occupés pour y penser.
— Je trouve que tu es beaucoup trop habillée comparée à moi, déclare Lucas.
Avec délectation, il retire mon bras droit, puis le gauche, des manches de mon tee-shirt, qu’il fait remonter pour dévoiler mon ventre et ma poitrine. Mais au lieu de le retirer complètement, il le place sur mon visage pour que je ne puisse plus voir ce qu’il fait. Monsieur est joueur aussi, c’est top !
Ses mains glissent le long de mes bras, de mon ventre et viennent découvrir mes seins. Tout en douceur, Lucas les caresse, les malaxe. Il joue avec leurs pointes qui se durcissent et je sens mon intimité se gorger de nectar. Entre la fellation et les attouchements que Lucas me fait subir, je suis trempée.
Les lèvres de Lucas viennent compléter le ballet de ses mains. Et ma poitrine est assaillie de baisers et de caresses en tout genre. J’essaie de ne pas trop exprimer mon plaisir, ce qui est une torture pour moi, car je ne suis pas particulièrement discrète en général. Mais les assauts de Lucas provoquent en moi une montée de plaisir, que j’ai de plus en plus de mal à contenir.
Lucas me retire mon tee-shirt, un sourire canaille aux lèvres.
— On dirait bien que je te fais de l’effet moi aussi, dit-il.— Je te laisse vérifier par toi-même, répondis-je en plaçant sa main sur mon entrejambe. Je sais que mon excitation va se percevoir à travers mon pantalon et je me délecte de voir les yeux de Lucas s’agrandir en le découvrant.— Je crois qu’il faut que tu saches un petit truc, dis-je. Je fais partie de la catégorie des femmes fontaines. J’espère que ce n’est pas un problème pour toi.— Tu es la première que je rencontre alors je vais découvrir ça tout de suite.
Lucas caresse mon intimité à travers le tissu. Je me mords la lèvre pour ne pas gémir. Une de ses mains s’agrippe à ma fesse pendant que la seconde se glisse sous l’élastique de mon pantalon. Ne portant rien en dessous, ses doigts atteignent rapidement la moiteur de mon sexe. Ils glissent lentement de mon clito à ma fente, s’insèrent de quelques millimètres puis ressortent et retournent titiller mon clito. Il trace des cercles appuyant plus ou moins, augmentant ou ralentissant le rythme. Puis Lucas prend mon clito entre deux doigts pour le faire rouler.
Je ferme les yeux et m’accroche à ses épaules. Je place mes lèvres dans son cou, près de son oreille, pour atténuer les gémissements que je ne peux plus retenir.
Ses doigts dansent, s’insinuent, ressortent, caressent... Ils allument un brasier ardent dans tout mon corps.
Son doigt remonte sur mon clito pour jouer quelques instants avec avant de s’insinuer dans mes plis et s’insérer dans ma fente. Puis, d’un mouvement du poignet, Lucas fait entrer son majeur et son annulaire en moi. Il exerce des mouvements de pression au cœur même de mon intimité, qui répand son plaisir sans discontinuer. Puis sa main débute des va-et-vient de plus en plus rapides, formant un crochet avec ses doigts. Quand il sent que je suis au bord de la jouissance, il stoppe son mouvement et m’embrasse. Puis reprend, lentement et en accélérant. Il renouvelle sa manœuvre plusieurs fois. Je n’en peux plus. Ma respiration est rapide et bruyante. Je halète dans ses bras.
Les sensations sont sensationnelles et au moment où la jouissance explose, Lucas absorbe mon cri en dévorant ma bouche de la sienne.
Je sens mon jus couler le long de ma cuisse. Mes jambes tremblent sous l’effet du plaisir. Lucas ralentit le mouvement de ses doigts, mais sans l’arrêter. Et il resserre son étreinte pour m’aider à garder l’équilibre.
— Incroyable ! s’exclame Lucas. Tu as tout trempé !— Ben ouais. C’est comme ça avec moi.
Je lui souris et il m’embrasse de nouveau.
Lorsqu’il ressort ses doigts de mon antre, il les porte à sa bouche pour me goûter.
— Hum. En plus, tu es délicieuse.
Mon sourire s’élargit.
— Peut-être, mais tu découvriras ça un autre jour. Je te veux en moi. Maintenant !
Lucas pousse un grognement et arrache la couverture du lit. Il descend mon pantalon pour que je sois enfin nue, comme lui l’est déjà. Il m’allonge tendrement sur le lit en m’embrassant, écarte mes jambes de son genou et vient se placer au-dessus de moi.
— Merde. J’ai pas de préservatif !
Je lui caresse la joue d’une main.
— Regarde dans mon sac bleu, posé à côté de la table.
Il me lance à nouveau son sourire canaille, les yeux brillants et se lève d’un bond à la recherche du fameux emballage. Il le sort d’un geste victorieux.
— Toujours parée à toute éventualité hein ? déclare-t-il.— Eh oui, on ne sait jamais quelle aventure on peut rencontrer ou quelle proposition on peut avoir.
Je l’observe pendant qu’il ouvre le sachet et je l’arrête au moment où il commence à enfiler le préservatif sur son sexe tendu et dur. Je lui fais signe d’approcher et lentement, je déroule le latex sur sa bite chaude, tout en le regardant dans les yeux.
Puis je m’allonge en l’attirant à moi, ma langue soudée à la sienne dans un baiser gourmand et tout doucement, il s’insère en moi.
Lucas
Le sexe avec Lana, c’est tout simplement incroyable. Entendre ses gémissements au creux de mon oreille, pendant que mes doigts la fouillent... Sentir son liquide chaud glisser le long de mes doigts et de ma main... Et quelle sensation lorsque ses chairs se sont contractées autour de mes doigts alors qu’elle jouissait !
Et maintenant, c’est autour de ma queue qu’elles se resserrent.
Tout est brûlant et humide autour de mon gland. Je n’ai jamais eu autant de plaisir à pénétrer une femme. Lana est si accueillante, si douce. Et elle est trempée ! Ma queue n’est jamais entrée avec autant de facilité. C’est enivrant.
Je continue à pousser tout doucement et je savoure chaque centimètre de contact de ma peau sur la sienne, jusqu’à ce que mon sexe soit complètement enfermé dans celui de Lana. Elle pousse son bassin à la rencontre du mien et je m’enfonce encore plus loin en elle.
Lana ferme les yeux sous l’effet du plaisir de me sentir en elle. Je l’embrasse à pleine bouche, cherchant à unir chaque parcelle de mon corps au sien.
Je ressors lentement, presque entièrement puis entre à nouveau en elle, lentement. Une évidence me frappe alors : je suis chez moi. Mon corps imbriqué dans celui de Lana, ne formant plus qu’un. C’est ce qui manquait à ma vie. Je suis exactement là où je suis censé être.
Cette révélation inonde tout sur son passage. Et alors que je commence de lents va-et-vient, je place mes mains autour du visage de Lana et je l’embrasse. Par ce baiser, je veux qu’elle prenne conscience de ce que je ressens pour elle.
Ce soir, je ne baise pas, je fais l’amour.
Lana
Lucas est en moi. Complètement. Il place ses mains autour de mon visage pour m’embrasser et ce baiser a quelque chose de nouveau. Il est plus profond, plus intense que tous ceux qu’on a partagés ce soir.
Je plonge mon regard dans le sien et j’y découvre une lueur que je n’avais jamais encore vue. Mon esprit met cette information de côté, pariant sur mon imagination qui me joue des tours.
Nos deux corps se complètent et se confondent parfaitement. Ma peau est en feu contre la sienne. Tout mon corps et mon esprit s’enflamment sous l’intensité du moment.
Volontairement, Lucas garde un rythme lent, mais à chaque poussée, il vient au plus profond de moi, m’arrachant un gémissement de pur bonheur.
Habituellement, je préfère le sexe plus passionnel, bestial, mais ce que nous partageons à ce moment précis est unique. Le plaisir inonde mon corps entier. Les yeux dans les yeux, je peux voir que Lucas éprouve la même félicité. Tout est parfait. Lucas pose à nouveau ses lèvres sur les miennes puis il les descend pour mordiller mes tétons l’un après l’autre.
Ce geste provoque de petits coups d’électricité qui se répercutent jusqu’en bas. Les lèvres quittent mes seins pour sucer le lobe de mon oreille.
— C’est tellement bon d’être en toi. Tu me rends fou.
Et sa bouche dévore à nouveau la mienne, profondément, pendant que son bassin accélère progressivement le rythme de ses à-coups. Mes gémissements se perdent dans la danse de nos langues. Je sens la vague enfler, monter en puissance jusqu’à mon cerveau.
Lucas penche la tête vers mon oreille et murmure :
— Jouis avec moi.
Tout mon corps se contracte d’un coup autour du sien et ensemble, dans un gémissement sourd et profond, nous explosons.
Nous restons un long moment, sans parler, sans bouger, Lucas allongé sur moi, sa tête calée dans mon cou. Quand nos respirations se sont un peu apaisées, Lucas sort doucement de moi en tenant le préservatif de sa main avant de le retirer et d’y faire un nœud. Il le jette par terre et vient s’allonger sur le dos à côté de moi. Je me place sur le côté, ma main traçant des traits sur son torse et son ventre et je dépose de petits baisers sur sa joue et son cou.
Je cale ma tête contre son épaule et ferme les yeux, savourant ce bien-être après la jouissance. Il dépose de tendres baisers sur mon front et je lève les yeux vers lui. Sa main vient caresser ma joue tendrement. J’ai la sensation qu’il est sur le point de me parler, mais il ne le fait pas. Je repose ma tête contre lui, en soupirant d’aise et je ferme à nouveau les yeux.
Je voudrais que le temps s’arrête. Je me sens tellement bien, si paisible.
Lucas bouge légèrement et je le sens s’éloigner. Ma main se resserre contre sa poitrine.
— Je voudrais pouvoir rester, mais je vais devoir remonter.
Mon cœur se serre. Ainsi, nos vacances vont se résumer à ça ? Des moments de pur bonheur, d’échanges incroyables et l’inévitable séparation qui s’en suivra ?
Je le regarde rassembler ses affaires et récupérer le préservatif usagé. Il dépose un baiser sur mes lèvres. Je le sens distant d’un coup et ça me brise le cœur. Finalement, j’ai dû me tromper quand j’ai cru voir quelque chose de spécial dans ses yeux.
Il sort de la chambre en fermant la porte et je l’entends prendre une douche rapide. Je résiste à la tentation de le rejoindre. S’il avait voulu que je l’accompagne, il me l’aurait demandé.
J’essuie rageusement une larme qui glisse sur ma joue et enfouis mon visage dans l’oreiller sur lequel il était couché quelques minutes auparavant. Son odeur y est imprégnée et je respire un grand coup.
J’entends Lucas sortir de la salle de bain. Il semble s’être arrêté devant ma chambre et j’attends avec impatience qu’il ouvre la porte. Mais après quelques instants, j’entends ses pas s’éloigner et l’escalier grince pendant qu’il monte les marches. Comme d’habitude, mon lit est trempé. Comme je déteste dormir dans les draps mouillés de ma jouissance, je me lève, passe par la salle de bain pour me rafraîchir et retourne me coucher dans le second petit lit. En prenant bien soin de récupérer l’oreiller parfumé à l’odeur de Lucas.
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