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Les Vacances d'un futur ancien puceau

Chapitre 4

À la Plage

Voyeur / Exhibition
Plusieurs jours s’étaient écoulés depuis que Louane et mes parents s’étaient rencontrés, au bar de la piscine. Lorsque je leur avais présenté la jeune femme, mon père m’avait fait un clin d’œil discret. J’avais fait non de la tête en levant les yeux au ciel. Tous s’étaient rapidement mis d’accord sur la façon de procéder. Alors, l’après-midi même, ils se rendirent à l’accueil de l’hôtel et eurent rencontré l’agent de location de voitures. C’était une femme forte d’une cinquantaine d’années. Elle était habillée de vêtements arborant le logo de la compagnie Rent a Car . Ses cheveux étaient masqués par une casquette verte. Lorsque mes parents lui eurent expliqué qu’ils désiraient partager la location avec la jeune femme brune, l’agent de location ne vit pas d’inconvénients à la manœuvre. Mes parents et la jeune femme eurent alors loué une petite Subaru blanche deux places. Une fois les papiers signés, nous fumes allés trinquer au bar avant de nous diriger vers le restaurant de l’hôtel.

    Je conduisais la petite Subaru, Louane assise sur le siège passager. C’était notre dernier jour de location, alors nous eûmes décidé de nous rendre dans la ville de Palma afin de la visiter davantage. Sur la route, Louane et moi discutâmes de sujets plus ou moins crus bien que je dusse me concentrer fréquemment sur les routes. Après une petite dizaine de minutes de conduite, nous longeâmes un quai sur lequel plusieurs bateaux étaient amarrés. Cependant, ce n’étaient pas des bateaux ordinaires : il s’agissait de yachts. Une véritable forêt de yachts s’étendait sur toute la longueur des quais. Le plus petit d’entre eux coûtant vraisemblablement suffisamment cher que jamais je ne pusse espérer en acheter un pareil, je ne pus que rêver en regarder tous ces bateaux de luxe. Louane les regardait également, les yeux brillants de jalousie.
— Qu’est-ce que j’aimerais vivre dans l’un de ces trucs, fantasma-t-elle. Mais ce serait trop beau pour être vrai.
Nous sourîmes tandis que mes yeux alternaient entre la route et les quais. Puis, après les avoir observés attentivement, nous pûmes observer d’autres quais, un peu plus loin. D’autres bateaux étaient amarrés à ceux-ci, mais il s’agissait plutôt de petits bateaux.
-Ça fait une sacrée différence entre les riches et les moins riches, commenta la jeune femme.-Ouais, répondis-je. Ceux-là ressemblent plus à ceux que je peux voir au Havre, -Alors tu viens du Havre ? me demanda la jeune femme. Moi, de Paris, ajouta-t-elle lorsqu’elle remarqua que je m’apprêtai à lui poser la question.
Je souris tandis que nous passions devant plusieurs dizaines de petits bateaux flottant sur l’eau. Quelques minutes plus tard, je garai la voiture et nous sortîmes nous balader. Nous longeâmes la mer sans jamais nous y baigner : la plage était pleine au point que nous n’en vissions plus le sable chaud. C’était bien dommage, car, par cette chaleur, se baigner était comme une bénédiction. Nous continuâmes notre route en ignorant les bruits d’eau et d’enfants jouant à divers jeux de plage.     Après plusieurs minutes de marches, nous trouvâmes un stand dans lequel des yaourts gelés étaient vendus. Je proposai à Louane de nous arrêter afin de nous rafraîchir en dégustant l’un de ses yaourts. Elle accepta bien volontiers, trop heureuse de manger quelque chose de frais en plein après-midi. Nous fîmes la queue jusqu’à ce que notre tour arrivât. Louane en choisit un à la mangue qu’elle accompagna de morceaux de kiwi, de boules de chocolat au lait ainsi que de petits M&M’s. Pour ma part, je choisis un yaourt au citron accompagné de framboises, de copeaux de chocolat blanc ainsi que de bonbons en forme de mûres. Je payai pour les deux yaourts – je dus me battre avec Louane afin de la dissuader de payer le sien -, puis nous allâmes nous asseoir sur un banc voisin.

    Nous avions repris la route à la recherche d’une plage où nous baigner ; celle de Palma nous avait tant donné envie d’aller dans l’eau que son appel en était devenu impossible à ignorer. J’eus droit à quelques plaisanteries sur les curés et les enfants de chœur, mais bientôt nous trouvâmes notre bonheur. Ou plutôt, nous crûmes trouver notre bonheur. C’étaient d’autres vacanciers qui nous avaient conseillé cette plage, lorsque nous étions encore à l’hôtel. Nous avions décidé qu’y aller était une bonne idée, alors nous n’avions pas pensé que ladite plage pouvait être pleine de monde. Il n’y avait littéralement aucun endroit où étendre nos serviettes. Nous fûmes légèrement déçus, mais nous décidâmes de vérifier si, plus loin, il n’y en avait pas d’autres. Nous marchâmes alors environ sur cent mètres avant de découvrir une seconde plage. De plus, celle-ci semblait bien moins occupée que la précédente. Nos serviettes de plage sur les épaules, nous décidâmes de nous en approcher. Ce ne fut que lorsque nous fûmes suffisamment près que nous nous aperçûmes que les gens sur cette plage étaient nus : il s’agissait d’une plage naturiste. Louane et moi nous regardâmes, légèrement gênés par la situation.
— Qu’est-ce qu’on fait ? demanda-t-elle.— On peut rebrousser chemin et en chercher une autre, si tu veux, lui proposai-je.
Elle sourit légèrement en comprenant que je pensais qu’il était hors de question pour elle de se dénuder en public. Toutefois, sa réaction fut tout autre.
— Tu sais, on n’en trouvera peut-être pas d’autres avant qu’il ne soit trop tard. Alors, si ça ne te gêne pas de sortir ton bidule à l’air libre, ça me va.

J’esquissai un faible sourire en pensant qu’elle plaisantait. Puis, en m’apercevant qu’elle était totalement sérieuse, j’avalai ma salive en me disant que j’avais dû passer pour un idiot.
— Ça ne me dérange pas plus que ça, mentis-je afin de lui faire plaisir.
En réalité, je n’avais jamais été nu devant qui que ce fût. Alors me montrer nu devant une foule de parfaits inconnus relevait de l’exploit. Mais je serrai les dents et m’aventurai sur cette plage aux attraits paradisiaques. Nous zigzaguâmes entre plusieurs couples naturistes avant de trouver un petit coin de sable où poser nos serviettes. Nous étions entourés de femmes d’un certain âge aux poitrines fort attrayantes, mais, puisque Louane était à quelques mètres de moi, je fis mon possible pour ne pas laisser mes yeux dériver. J’étendis ma serviette sur le sol quelques secondes après ma camarade de voyage, puis elle commença à se déshabiller. Elle ne portait plus qu’un maillot de bain noir à deux pièces lorsqu’elle s’arrêta en me regardant.
— Petit pervers, va ! sourit-elle.
Elle laissa ses yeux posés sur mon visage, si bien que je ne pus m’empêcher de rougir. En me voyant dans un pareil état, elle ne put contenir un petit rire mignon.
— Je ne retire plus rien avant que tu ne te sois mis à poil, chantonna-t-elle.
Elle croisa alors les bras autour de ses hanches en me regardant. J’avalai difficilement ma salive en me demandant s’il ne valait pas mieux partir et chercher une autre plage. Cependant, j’abandonnai vite cette idée. Non seulement Louane me prendrait pour un lâche, mais en plus je la priverais de la dernière session de plage dont elle pourrait profiter. Et cela était hors de question. Je me motivai alors autant que je le pouvais, et j’ôtai tous mes vêtements jusqu’à mon caleçon de bain noir et bleu. Je fis une légère pause en me préparant à la suite. Louane, quant à elle, me regardait en souriant. Sans doute se demandait-elle si j’aurais le cran d’aller au-delà. Elle avait sans doute remarqué que c’était ma première fois sur une plage naturiste. Mais je ne comptais pas la décevoir. Sans réfléchir, mes mains se posèrent sur mon maillot et le firent descendre le long de mes jambes. Il tomba bientôt sur ma serviette verte. Je rougis instantanément lorsque je sentis le vent frotter mon sexe pendouillant mollement entre mes jambes. Je n’étais pas totalement rasé : mon pubis et la base de mon sexe étaient colorés par quelques poils noirs. Je vis le regard de Louane tomber sur mes parties intimes en souriant.
— Tu vois, tu as réussi, ajouta-t-elle en mimant d’applaudir. Bon, voilà ta petite récompense.
Ses mains allèrent se cacher derrière son dos. Bientôt, son haut de maillot de bain se décrocha, me révélant ainsi deux seins de taille moyenne. Ils étaient ronds et semblaient fermes. J’eus à peine le temps de réaliser qu’une poitrine nue se trouvait en face de moi que la deuxième partie du maillot de bain se détacha de l’entrejambe de Louane. Je pus bientôt observer son pubis si bien rasé que l’on pouvait le penser imberbe. Puis, en m’apercevant que je fixais sans retenue le sexe d’une femme, je détournai le visage en commençant à trembler.
— Pas de doute, tu es vraiment puceau, ricana-t-elle. Tu sais, si je me suis mise à poil, c’est que ça ne me dérange pas qu’on me regarde. Alors rince-toi l’œil autant que tu veux, ajouta-t-elle dans un clin d’œil.
Elle prit une pose aguicheuse pendant environ deux secondes avant de se diriger vers la mer en riant. J’ignorais encore comment je pus ne pas avoir d’érection, sans doute la gêne d’être au milieu de tant d’inconnus n’aidait pas à me sentir à l’aise.
— Tu viens ? me demanda-t-elle en me tendant la main de là où elle se trouvait.
Je la suivis sans trop hésiter. J’attrapai sa main, et ensemble nous entrâmes dans l’eau froide de la mer. Nous n’étions pas frileux, alors nous pûmes entrer directement et commencer à nager afin de nous réchauffer. Lorsque nos corps se furent adaptés à la température de l’eau, nous nous laissâmes aller au bien-être d’une telle fraîcheur en ce temps si irrespirable. C’était la première fois que je sentais l’eau caresser directement mon sexe mou ; c’était une sensation des plus agréables. Nous laissâmes nos corps flotter sur l’eau en laissant les faibles vagues décider de notre trajectoire. Tandis que mes yeux étaient fermés afin que je ne fusse pas ébloui, je sentis une force s’exercer contre mon ventre et me faire couler. Lorsque ma tête fut immergée, je pus constater que l’eau était fortement salée, au point de me piquer les lèvres. Lorsque je remontai à la surface, je rouvris les yeux et pus voir Louane, ses cheveux bruns trempés tombant derrière elle, rire aux éclats.
— Désolée, je me suis sentie obligée de le faire, articula-t-elle.
Je ris avec elle en admirant les rebondissements de sa poitrine tandis qu’elle riait.
— Ça te dit qu’on aille nager un peu plus loin ? me proposa-t-elle.
J’acquiesçai avant que nous ne nageassions dans l’eau en nous éloignant de plus en plus de la plage. Lorsque nous arrêtâmes de nager, nous étions à mi-chemin entre la plage et les bouées marquant la fin de la zone réservée aux nageurs. Au-delà de ses bouées, je pouvais voir, au loin, plusieurs bateaux en tout genre. Je regardais au loin lorsque je sentis une main appuyer sur ma tête. N’ayant plus pied, je coulai sans possibilité de me rattraper à quoi que ce fût. Bientôt, l’eau de la mer me recouvrit intégralement dans son voile frais et aqueux. Lorsque je remontai à la surface, Louane pouffa de rire une nouvelle fois. Je souris à mon tour avant de lui attraper le bras gauche. Elle poussa un cri perçant tandis que je tentai de la couler.
— Vengeance ! lui dis-je en parvenant à mes fins.
Une fois dans l’eau, je vis son corps remuer de toute part afin de remonter à la surface. Seulement, tandis qu’elle se débattait, l’une de sa main entra en contact avec mon sexe en demi-molle. Ce contact, bien que potentiellement involontaire, suffit à faire grimper la tension en moi ; mon sexe prit sa taille maximale. Louane réapparut en m’éclaboussant légèrement. Elle balaya les cheveux s’étalant devant ses yeux, pareils à un rideau brun. J’espérai du plus profond de mon être que la jeune femme ne remarquerait rien. Seulement, quelques secondes plus tard, elle me sauta dessus ; nous coulâmes ensemble tandis que les vagues nous rapprochaient petit à petit de la masse de vacanciers se baignant dans le premier quart de la zone accessible. Je sentis sa poitrine appuyer contre mon torse tandis que je m’enfonçai en fermant les yeux. Puis, comme je le craignais, ce fut son pied qui, cette fois, frappa mon phallus. Dans l’agitation et la panique, je remuai également afin de remonter, et par accident ma main droite frotta l’un de ses seins. Lorsque nos visages furent derechef hors de l’eau, Louane me regarda d’une manière que je ne parvins guère à identifier.
— Désolé, je ne l’ai pas fait exprès, m’excusai-je en pensant à son sein.— Tu n’y es pour rien si tu bandes. Après tout, c’est ta première fois, sourit-elle.
Je lui rendis un sourire gêné tandis que mon visage vira au rouge.
— Le truc, c’est que nous ne pouvons pas remonter tant que tu es dans cet état. Alors il va falloir que tu te vides un peu, histoire de calmer le jeu.
Je peinais à croire ce qu’elle venait de me dire. Mais d’un autre côté, je me voyais mal remonter le long de la plage avec ma verge dressée vers le ciel. Je décidai alors d’obéir et portai ma main sur mon entrejambe. Mes doigts serrèrent ma tige.
— Voilà de quoi te motiver un peu, ajouta-t-elle.
Devant moi, Louane se mit à battre des pieds plus rapidement : son corps remonta sur l’eau jusqu’à ce que ses deux seins fussent visibles. Ils gigotaient en chœur avec les mouvements de jambes de leur propriétaire, ce qui attisa mon excitation.
— Dépêche-toi, je ne pourrais pas tenir très longtemps, m’avertit-elle.
Elle n’avait pas à s’en faire. Les événements survenus précédemment combinés à la vision paradisiaque de deux seins dansant pour moi me mirent dans un état tel que je n’eus besoin que de trois mouvements de poignet avant de ressentir un intense plaisir au niveau de mon bas-ventre. Bientôt, un long filament blanchâtre sortit de mon urètre. Je soupirai tandis que mon corps se vidait du surplus de désir qui l’avait envahi.
— Déjà ? demanda-t-elle en voyant mon visage. C’était rapide. Je devais vraiment t’avoir mis dans tous tes états.
Je souris en lui lançant un regard comblé.
— Bon, on remonte ? me proposa-t-elle.
J’acquiesçai. Nous nageâmes alors vers la surface, et personne ne réalisa ce qui s’était produit à quelques dizaines de mètres devant eux.
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