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Les Vacances d'un futur ancien puceau

Chapitre 6

Ultime nuit

Hétéro
La main de Louane entama un léger mouvement de va-et-vient le long de ma tige. Cela pouvait paraître anodin, mais pour moi, c’était la première fois qu’une main autre que la mienne entrait en contact avec cette partie intime de mon corps. La jeune femme me regardait droit dans les yeux tandis qu’elle m’offrait ce doux massage. Elle ne me lâchait pas du regard, et la lueur brillant dans ses iris n’apaisait pas mon excitation. Je sentais ses doigts glisser le long de ma verge tendue, je sentais sa main me caresser. Bientôt, ce fut l’extrémité de mon gland que sa main alla rencontrer. Elle le frotta délicatement en faisant de légers mouvements circulaires. Ses doigts, qui semblaient refuser de se reposer, caressaient mon prépuce. Mon corps se raidit tandis que les émotions nouvelles que je ressentais commençaient à affluer en moi. C’était la première fois qu’une autre personne que moi-même me donnait du plaisir. Et c’était bon. Tellement bon. C’était si bon que j’aurais pu rester ainsi pendant des heures. Mais Louane ne tarda pas à reprendre ses mouvements de haut en bas le long de mon sexe. Mon gland apparaissait et disparaissait aux yeux de ma partenaire tandis que sa main poursuivait son activité.
— Tu aimes ce que je te fais ? me demanda-t-elle sans me quitter des yeux.
Elle n’avait pas besoin de poser la question ; mon visage était comme un livre ouvert. Mais elle voulait que je le disse. Elle voulait que j’admisse haut et fort qu’elle me donnait du plaisir. Comment résister à une telle demande ?
— J’adore, admis-je en articulant difficilement. C’est simplement génial.— Et tu n’as encore rien vu, ajouta-t-elle en souriant.
Sa main, celle qui s’activait sur mon sexe, cessa alors tout mouvement. Je me demandai si Louane en avait assez et voulait que je lui rendisse la pareille, mais j’étais à côté de la plaque. Ses yeux me fixaient toujours et encore, mais bientôt elle embrassa mon pubis et descendit très légèrement jusqu’à ce que ses lèvres atteignissent le sommet de ma colonne. Lorsqu’elle m’offrit ce doux baiser, je sentis une légère chaleur se déposer sur ma peau. Elle m’en offrit un second ; la même sensation me fit frissonner. Puis, elle ouvrit délicatement les lèvres et posa mon gland à l’entrée de sa bouche. Elle referma les lèvres ; un petit bout de mon sexe disparut, bien au chaud. Puis je sentis un courant d’air souffler sur mon sexe : elle essayait de m’aspirer. Bientôt, mon gland fut à l’intérieur de sa bouche, mais elle ne laissa rien entrer de plus. Une intense chaleur prit alors possession de mon corps. Puis je sentis ses lèvres bouger le long de ma tige. Mais elle ne m’enfonçait guère très loin dans sa bouche, à peine un tiers de la longueur de ma tige. Mais c’était parfaitement suffisant pour me faire ressentir des émotions sensationnelles. Avec sa langue caressant ma partie intime, ce fut comme un carnaval de plaisir qui naquit dans mon bas-ventre. C’était totalement différent des pornos que j’avais pu voir sur Internet, dans lesquels les femmes aspiraient un maximum avec des sons exagérément écœurants accompagnés bien souvent de flots de salive. Là, c’était doux, sensuel et parfaitement silencieux. J’entendais par moment quelques sons, mais jamais rien de vulgaire. Louane s’appliquait énormément, et mon corps pouvait en témoigner. Je me mis à pousser quelques râles de plaisir tant les sensations que je ressentais grâce à ses lèvres étaient puissantes. Louane lançait parfois quelques regards dans ma direction, et cela m’excitait davantage. Puis, après plusieurs minutes pendant lesquelles ma partenaire avait usé de sa bouche pour me satisfaire, elle décida de mettre fin à cette merveilleuse fellation.
— Toujours aussi émoustillé ? me demanda-t-elle en essuyant un petit filet de bave qui avait coulé sur son menton.
Incapable de répondre, je me contentai de hocher la tête en croisant son regard. Elle sourit et, sans m’expliquer quoi que ce fût, s’allongea à son tour sur le dos, les jambes écartées.
— À ton tour de me faire du bien, m’indiqua-t-elle.
Je mis quelques secondes avant de comprendre ce qu’elle voulait dire. Je n’étais pas rassuré, c’était la première fois que j’allais effectuer une telle chose.
— Ne t’en fais pas, je vais te guider, ajouta-t-elle en remarquant le trouble sur mon visage.
Je feintai de prendre un air rassuré, mais je ne l’étais aucunement. Je me décidai toutefois à me redresser avant d’approcher mon visage de son entrejambe. C’était la première fois que je voyais une vulve d’aussi près. J’eus une vision parfaite de ses lèvres intimes plutôt développées, de la couleur rosée de l’entrée de son vagin, de son petit bouton de plaisir, au-dessus de son orifice. Je pouvais voir chaque détail de son anatomie intime. Cette vision me fit défaillir quelques instants, mais je me repris en mains lorsque Louane me dit que je pouvais faire mieux que simplement l’admirer. J’approchai alors mon visage de son entrejambe. Je pouvais d’ores et déjà sentir l’odeur enivrante de son sexe légèrement luisant à cause d’un début de sécrétion vaginale. Puis, lorsque ma bouche fut à portée, je lui offris un baiser. La sensation fut étrange, mais loin d’être désagréable. Je réitérai l’opération plusieurs fois avant de décider d’aller plus loin. Je sortis ma langue et commençai à caresser le sexe de ma partenaire.
— Tu devrais plutôt te concentrer sur le clitoris, me conseilla-t-elle. Là, on sent que tu ne sais pas trop ce que tu fais.
J’écoutai son conseil et me dirigeai vers le petit bouton trônant au sommet de son sexe. J’approchai mon visage et me préparai à m’en occuper.
— Surtout, vas-y doucement, m’indiqua-t-elle. C’est super sensible, alors fais bien attention.
En prenant autant de précautions que nécessaire, ma langue caressa son clitoris. Je fis quelques cercles autour de cette partie érogène avec autant de tendresse que j’en étais capable. Ma partenaire sembla réagir légèrement, mais je supposai que j’avais encore beaucoup de travail avant de pouvoir amener une femme à la jouissance uniquement grâce à mes lèvres. Je tentai de l’aspirer délicatement, et Louane sembla prendre plus de plaisir. Mon menton frottait contre ses lèvres, et un peu de cyprine s’y colla sans que cela ne me dérangeât aucunement. Je poursuivis ce petit massage pendant plusieurs secondes avant que Louane ne m’arrêtât en plein élan, sans doute préférait-elle passer à autre chose afin de prendre plus de plaisir.
— On va passer à l’acte, m’indiqua-t-elle en se redressant. Toi, allonge-toi comme tout à l’heure, je m’occupe du reste.
Je fus rassuré en apprenant que ma partenaire comptait prendre les commandes. Dans le cas contraire, j’aurais assurément fait les choses de travers, et cela n’aurait qu’entravé notre dernière nuit ensemble. Je me mis en position, allongé sur le dos et le sexe dressé en l’air. J’eus à peine le temps de respirer que Louane m’enjamba. Son entrejambe se situait quelques centimètres au-dessus de mon nombril. Mes yeux, malgré eux, fixaient la paire de seins de la jeune femme.
— Tu vas voir, tu vas passer un moment magique.
Elle me sourit après avoir achevé sa phrase. Puis, l’une de ses mains attrapa ma verge et la pointa vers le plafond de la chambre. Elle bougea alors son bassin afin que sa fente fût juste au-dessus de l’extrémité de mon gland. Bientôt, nos deux sexes entrèrent en contact. Une douce chaleur naquit déjà en moi. Louane avait les yeux rivés sur moi. Plus son bassin tombait, plus son regard brillait. Je sentis les parois de son vagin résister légèrement face à l’intrusion dont ce sexe féminin allait être victime, puis, après quelques secondes, mon gland la pénétra. Elle poussa un léger gémissement tandis que, de mon côté, ce fut une déflagration qui balaya mon corps. Plus je m’enfonçais, plus je sentais ses parois intimes compresser mon sexe. C’était absolument divin. Jamais je n’avais ressenti pareille sensation. Une chaleur douce et humide prenait possession de mon corps sans que je n’eusse mon mot à dire. Louane, qui se languissait de mes expressions faciales, entama alors un mouvement de hanche du haut vers le bas. Je me sentis alors coulisser à l’intérieur de son sexe bouillant. Je me sentais comme aspiré par cet organe sexuel, comme si son vagin souhaitait dévorer mon pénis. Et c’était exquis. Je ressentais chacune des contractions de son intérieur tandis que j’allais et venais en elle. Une intense chaleur naquit bientôt dans la partie basse de mon corps, et elle gagnait en intensité au fur et à mesure que Louane se mouvait sur moi. Je sentais ses sécrétions couler jusque sur ma peau, et cela ne m’aida pas à me calmer. La chaleur de la partie basse de mon corps prit tellement d’ampleur qu’il devint rapidement impossible de l’ignorer.
— Louane, je ne vais plus tenir, annonçai-je en ayant conscience que je n’avais pas tenu très longtemps. — Quand tu veux, annonça-t-elle. Je prends la pilule, alors tu n’as pas à t’en faire.
À peine eut-elle achevé sa phrase que je sentis mon sexe au bord de l’implosion. Je sentis alors ma semence s’échapper pour venir se loger dans l’intimité de Louane. Cette dernière stoppa tout mouvement de bassin et reçut ma jouissance jusqu’à ce que je fusse à sec. Elle sépara nos deux parties intimes avant de s’allonger à côté de moi, dans son lit.
— Tu as aimé ? demanda-t-elle.— J’ai adoré. J’espère juste que tu ne t’es pas trop ennuyée.— Ne t’en fais pas, me rassura-t-elle, j’ai connu largement pire.
Elle passa une main dans mes cheveux avant de m’embrasser la joue.
— On peut dire que ceci marque la fin de ta vie de puceau, rit-elle en posant sa tête contre mon épaule.— C’est vrai. Je n’aurai jamais imaginé, en partant en vacances, que je serai un futur ancien puceau.
Puis, en à peine quelques secondes, nous nous endormîmes ensemble. Ainsi s’acheva notre dernière journée ensemble dans cet hôtel.

Le lendemain, les adieux furent difficiles, mais ainsi était faite la vie. Il est des relations qui sont vouées à ne pas durer éternellement, mais en aucun cas cela ne signifiait qu’elles étaient dénuées de sens. Car cette relation, bien que courte, ne risquait pas de quitter mes souvenirs.
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