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Les vacances de Joceline

Chapitre unique

Orgie / Partouze
Une belle femme, nommée Joceline. Elle vit dans une ville bien trop calme pour elle. Tout le monde se connait et suit strictement les préceptes d’une religion, bien trop chaste pour elle. Avide de découvrir de nouveaux horizons, elle supplie, tous les jours, son mari de jouer avec son corps et tous les jours il lui trouve des excuses pour ne pas le faire. Sauf de temps à autre, le minimum pour procrée. Elle se sent délaissée et frustrée de ne jamais avoir la grande aventure. Elle prend toutes ses vacances et part dans une ville éloignée, il n’a évidemment pas le temps de venir, car son emploi de représentant l’emmène dans d’autres contrées.
Seule et portant son lourd bagage, elle sort du train. L’air froid lui donne la chair de poule, pourquoi avait-elle mis sa jolie jupette ras les pâquerettes pour voyager. Se demande-t-elle avant de se rappeler que grâce à cela, un inconnu s’est assis devant elle et l’a reluqué tout le long. Se sentir déshabillée du regard avec une avidité si flagrante de la prendre. Lui a fait jouer l’allumeuse tout le trajet. Il n’a pas osé aller plus loin.Elle monte dans un taxi pour arriver à son hôtel, l’entrée est dans une cour privée. Le chauffeur lui annonce la somme astronomique qu’elle lui doit, son sang se glace. Elle glisse son doigt sur son décolleté et demande si un arrangement est possible. Il la regarde salement de haut en bas et lui propose de payer en nature. Joceline accepte, elle enlève sa blouse et retrousse sa jupe pendant qu’il la caresse de partout, elle s’esquive quand il veut lui rouler une galoche. Il sort son engin, pas très grand, mais il sent fort l’homme et est bien droit. Elle pose les lèvres dessus, le goût est très différent de son propret de maris. Elle donne un coup de langue, l’embrasse et le prend en bouche. Elle lèche le bout, il pulse. Elle exécute des vas et vient comme à son habitude en ne mettant que le gland en bouche. La peur de s’étouffer l’empêche de l’avaler plus en avant. Le chauffeur est très excité et lui demande plus. Elle continue sans changement, il prend les choses en main et appui sur la tête. La bite entre plus profondément, contrairement à ses aprioris, elle arrive à la garde ses peurs se dissipent, mieux la situation l’excite comme jamais. Elle aspire la verge, tourne la langue autour. Il est comptant, le dit et lui baise la bouche. Il jouit rapidement. Il exige qu’elle avale et ne la libère qu’après qu’elle l’a fait puis elle doit le nettoyer en léchant et avaler les restes. Satisfait il lui fait une réduction de cinquante pour cent. Elle est un peu fâchée que sa prestation ne lui offre que cela, malheureusement elle ne sait pas comment elle pourrait le motiver vu qu’il a refusé de prendre plus de temps avec elle. Trainant sa valise, son entrejambe humide augmente la sensation de froid et un arrière-goût sur la langue. Elle fait son entrée. Le réceptionniste est très galant avec elle et l’aide à porter son bagage dans sa chambre. Elle le remercie en se serrant contre lui avec un petit bisou dans le cou. Il se débine quand elle lui caresse la bosse.
Elle se brosse bien les dents pour enlever les restes puis descend manger. L’homme n’est plus là, remplacé par une matrone à l’air pas commode. Le diner est exquis. Fatiguée par le voyage, elle remonte. Un flyer « oublié » sur le lit promeut une soirée libertine le vendredi. Elle se couche et n’arrive pas à s’endormir. Le minou en feu, elle se masturbe comme une folle. Sa main sait bien jouer avec sa chatte, avec les événements de la journée en tête. Elle caresse puis pince son clito gonflé de désire. Sa fente coule, elle met deux doigts fidèles à son habitude, la sensation est agréable, elle veut plus, un troisième rejoint la fête. Après trop peu de temps, elle jouit comme rarement elle l’avait fait. À la fois satisfaite de cette masturbation et frustrée, d’en avoir plus, elle s’endort.
Le lendemain, le réceptionniste est de retour. Elle le chauffe. Quand il cède, la matrone arrive et lui explique que soit elle arrête de draguer son mari, soit elle quitte l’hôtel fissa. Défaite et encore plus frustrée, elle acquiesce. Le gars est tout déçu, mais baisse la tête face à madame. Les deux jours suivants, elle visite des monuments et autres curiosités, elle essaye d’allumer des passants, serveurs et tout homme qui la regarde. Personne ne réagit à son charme. Elle se sent affamée, frustrée avec un ego blessé, pourquoi personne ne veut d’elle ?C’est dans cet état mental que vendredi soir, elle s’est mise sur son trente et un, robe légère et bas de résille puis va au lieu indiqué. Le club à l’entrée discrète est là. À l’intérieur, une atmosphère tamisée l’accueille. La salle possédant de nombreux recoins est clairement réfléchie pour s’amuser. Comme elle est arrivée à l’ouverture, la femme tenant le bar prend le temps de discuter avec elle. Visiblement, les danseurs mâles attirent les dames, le respect est de mise et dois être respecté par tous les courants de pensée. Joceline se détend un peu. La serveuse joue avec la ceinture de son shorty et fait un clin d’œil. Notre Joceline ne sait pas trop quoi comprendre, elle regarde derrière elle, personne, évidemment. Elle revient à la conversation en rigolant, elle lui explique indirectement qu’elle la trouve attirante. La discussion tourne autour des expériences de notre protagoniste. La serveuse se montre tactile, puis elle l’embrasse. Les lèvres sont douces et sa langue sait y faire, elle en est émoustillée. Dans sa tête, tourne les séparations des genres et l’envie de tester cet interdit. La serveuse lui pose une main sur un sein, elle le caresse si doucement, si sensuellement. Il ne reste plus que l’envie d’essayer. Elle retourne le baiser, lui malaxe les fesses. La serveuse glisse sous la robe. Lui caresse l’intérieur des cuisses. Le vagin en feu elle écarte un peu les jambes, elle lui enfile la main dans le shorty. La serveuse écarte sa culotte et met deux doigts dedans. C’est la première fois que quelqu’un d’autre lui offre cela, c’est divin, le mouvement et les points de pression la font mouiller abondamment. La serveuse devient aussi très humide sous les caresses. Cette dernière soulève et assoit Joceline sur le bar. Lui ouvre les cuisses et y pose la bouche. Les coups de langue sont incroyables, elle se tortille en redemande. Pour la première fois, c’est l’autre qui fait tous les efforts et c’est divin. La douce langue pénètre sa fente, les baisers et succions sur son clito la rendent folle, elle n’en peut plus, s’arcboute et a des spasmes. Un feu la brûle partant de son vagin en se répandant partout dans les corps. C’est la première fois qu’une personne la fait jouir qui plus est une femme. Elle ne sait plus quoi penser. Est-elle une débauchée, suit-elle ses instincts, est-ce normal ? Finalement, elle s’en fout. Elle y a pris son pied et c’est tout ce qui compte. Elle est ramenée à la réalité par des applaudissements. Une dizaine de personnes les entoure. Elle devient rouge comme une tomate. La serveuse la serre dans les bras et la rassure. Elles s’embrassent longuement puis sa partenaire retourne servir les gens, en sous-vêtement. La soirée passe en discussion et alcool. Les danseurs et danseuses se succèdent pour le plaisir de tous. Joceline suce des inconnus et est initiée aux cunnilingus par une belle milf. Finalement, elle se lâche complètement et accepte qu’un homme la pénètre. L’engin de guerre est bien plus gros que celui de son mari, elle en bave d’avance. Il l’astique un peu avec les doigts, elle n’en peut plus, elle se jette sur l’objet de son désire, au plein milieu de la salle, toute pudeur oublier. Heureusement que son vagin a été bien préparé par la soirée, elle le gobe entièrement. Jouis une fois de plus. Elle commence des allers-retours. L’étirement ressenti la rend folle, elle hurle qu’elle veut plus. Son partenaire la couche sur une table. Un autre homme s’approche, sans même en voir le visage, elle avale le pénis pendant qu’elle se fait marteler. Le goût est nouveau pour elle, ressemblant à de la fraise. Le monstre se retire, c’est frustrant, plus, il lui en faut plus. Elle se retourne et secoue son magnifique popotin, toute réflexion s’est envolée. Elle reçoit une fessée ou deux. Son esprit revient. La serveuse rigole et repart à ses occupations. Une dame arrive, elle est mignonne à ravir, son visage légèrement carré, ses chevaux châtains et des yeux de biche la font fondre. Elles discutent un peu au bar et Joceline se fait offrir la boisson. L’envie remonte, elles s’embrassent, la douceur des petits seins est extraordinaire. Dans un coin, Joceline se met à disposition, jupe relevée et cul cambré. Une fessée puis deux puis trois tombes. Elle en compte vingt en tout. La main claque durement, la douleur lui vrille le cerveau, pourtant le plaisir brûle en elle. Elle balbutie maladroitement à ce que quelqu’un la prenne. La femme remonte sa robe, un vrai pénis en sort. Un peu petit, mais bien dresser. Toujours en position elle écarte les cuisses. La femme la pénètre, la sensation est toute autre, mais elle aime, les différences de la taille ne sont pas si importantes finalement. La douceur de la peau l’excite, et les caresses sur ses fesses rouges sont plus intenses. Un homme lui désigne son chibre. Elle accepte d’un hochement de tête et se penche un peu plus, il met de la crème rose sur son engin. Elle le gobe, le goût de fraise d’avant, elle comprend le message et elle s’applique à bien lui nettoyer la tige. Il jouit, elle avale et ils s’embrassent. La femme la fait jouir, c’est différent, plus doux, plus subtil. Ne tenant plus sur les jambes ses partenaires l’assoient sur le canapé et lui offrent un jus. Stupeur, son mari se pose devant elle. Elle se liquéfie quelques seconds avant de se rappeler que c’est un club dédier. Donc s’il est là, c’est pour la même chose qu’elle. Il sourit, la pousse dans un coin tranquille. Elle lui prépare une réplique cinglante, mais est prise de vitesse quand il lui dit :
    — Tu as enfin osé faire le pas, maintenant je vais pouvoir t’emmener voyager avec moi si tu le désires.
Le rêve de Joceline se concrétise et elle décide de tout faire pour continuer à le vivre. Libérée des chaines des dogmes. Une nouvelle page de son histoire se tourne.
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