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Les vacances de Julie

Chapitre 8

Le bain de midi

Trash
— Où est-ce qu’on va ? m’a demandé Julie.— Je ne sais pas. J’ai envie de me baigner, pas toi ?— Si. Je crève déjà de chaud.
Un rapide coup d’œil à côté de moi, et je me suis mis à rigoler. Julie avait chaud mais ne portait presque rien. Sa petite robe était relevée haut sur ses cuisses, à la limite de son sexe, et ses seins en débordaient allègrement.
J’ai roulé jusqu’à atteindre Vallon-Pont-d’Arc. Je connaissais assez bien le coin pour y avoir passé quelques étés étant gamin. Rivière, balades, canoë, barbecues... l’endroit était idéal pour les vacances, et attirait d’ailleurs un monde fou. Je cherchais un coin un peu tranquille pour pouvoir nous baigner, mais il était difficile de trouver un bout de plage sans qu’il y ait une foule de touristes. Résigné, je me suis garé là où il y avait le moins de voitures. Une vingtaine tout de même. Un autre problème se posait également: je n’avais pris aucun maillot de bain dans les affaires de Julie. En temps normal, ce n’aurait pas été un problème. Mais là, avec des gens tout autour, et sûrement des familles, je ne pouvais pas me permettre un attentat à la pudeur. Alors j’ai fouillé dans le sac, à travers les quelques vêtements que j’avais pris pour elle, et j’y ai trouvé une culotte rose pâle, bordée de dentelle blanche. Je ne me souvenais pas pourquoi j’avais emporté ça, sûrement une idée de jeu pervers en tête. Quoi qu’il en soit, ça servirait enfin.
— Enfile ça, ai-je dis à Julie en lui jetant la culotte.— Pourquoi ?
J’ai rigolé. La pauvre fille n’avait même plus l’habitude de porter des sous-vêtements.
— Pour ne pas choquer tout le monde, enfin ! Tu te baigneras seins nus mais au moins tu auras quelque chose pour le bas.
A contre-cœur, Julie a enfilé la culotte, me faisait remarquer, à juste titre, qu’un petit aller-retour dans l’eau, et le tissu serait si transparent que ce sera comme si elle ne portait rien. Un point pour elle.
Nous avons marché quelques minutes pour atteindre le bord de la rivière. Il était presque midi, et beaucoup de gens arrivaient pour pique-niquer au bord de l’eau. On a trouvé un coin un peu tranquille, éloignés autant que possible des familles avec enfants courant dans tous les sens. Je me suis mis en boxer, et Julie a retiré sa robe. Puis sans attendre plus, elle est allée dans l’eau. J’ai regardé ce joli corps entrer dans la rivière, et j’ai eu l’impression que je n’étais pas le seul. A une vingtaine de mètres, à ma droite, un père de famille avait l’air de se désintéresser complètement de son sandwich jambon-beurre. Un peu plus loin, c’est un autre cinquantenaire qui n’avait plus l’air très concentré sur son sudoku. Julie était certes la seule à faire du topless sur cette plage, mais de là à attirer l’attention de tous les mâles... J’en ai déduis que c’était à cause de son aura sexuelle.
Julie est sortie quelques minutes plus tard. Et en effet, comme elle l’avait prévu, le tissu de sa culotte était devenu si transparent que tout le monde pouvait voir chaque détail de son sexe. Cela n’avait pas l’air de la déranger, elle semblait même en être amusée. Allongée à mes côtés, elle profitait du soleil, les jambes ostensiblement écartées, le tissu de sa culotte épousant parfaitement la forme de ses lèvres. J’ai remarqué les regards d’un jeune couple passant près de nous. Il était impossible de ne pas remarquer Julie et sa tenue provocante.
— Tout le monde te regarde, ai-je dit.— Je t’avais dit que ce serait presque pire, a-t-elle répondu en écartant un peu plus les cuisses.— Ça t’excite, je suis sûr.— Tu le saurais si ma culotte n’était pas déjà mouillée.

Son clin d’œil ponctuant sa dernière phrase me laissait pensait qu’elle tentait de m’exciter. Elle y arrivait, bien sûr, comme d’habitude. Sa main qui, discrètement, caressait le haut de ma cuisse, me confirmait ce que je pensais.
— Qu’est-ce que tu fais ? lui ai-je demandé. Tu cherches à réveiller le monstre ?— C’est pas juste que tout le monde puisse me voir à poils et pas toi.— Le monde est injuste ma chérie. Allez lève toi.— Pourquoi ?— Tu voulais voir le monstre ? Tu vas le voir.
J’ai pris nos affaires en vitesse, puis j’ai pris Julie par la main, et nous avons suivi un petit chemin à travers les arbres et les herbes hautes. Quand le chemin s’est arrêté, nous avons continué à nous enfoncer dans la végétation sur une cinquantaine de mètres, et j’ai posé nos affaires à terre et poussé Julie contre un arbre. J’ai attrapé sa gorge de ma main gauche, tandis que la droite est allée se plaquer, sans détour, entre ses cuisses.
— Enlève ta culotte et écarte les jambes, lui ai-je ordonné. Tu vas avoir ce que tu cherchais.— Oui Monsieur.
Ses mains ont fait descendre le sous-vêtement en vitesse, que j’ai récupéré au sol. Il était encore trempé par l’eau de la rivière, mais je savais qu’elle n’y était pas pour rien non plus. J’ai frotté la culotte contre sa chatte, que j’ai trouvée déjà bien engluée par son plaisir. J’ai enfoncé le bout de tissu en elle, branlant son clitoris énergiquement pour l’imbiber au maximum. Je la sentais déjà faiblir, et je n’avais aucune intention de la faire jouir si facilement. Mon excitation aussi montait en flèche, et je sentais que je n’avais pas envie d’être tendre. Je serrais toujours mes doigts autour de sa gorge, la plaquant contre l’écorce rugueuse de l’arbre, et j’ai laissé sa culotte en place tandis que je m’amusais à claquer son clitoris, puis ses seins, puis à nouveau sa chatte.
— A genoux, lui ai-je dis en lâchant enfin son corps.
Julie s’est exécutée rapidement, et a ouvert la bouche dans la foulée. Bonne chienne. Tout aussi rapidement, j’ai fait jaillir mon sexe hors de mon boxer, et l’ai glissé d’un coup au fond de sa gorge. Julie s’est étouffée, a toussé dessus, tenté de le recracher un instant, mais je tenais fermement son crâne et ne comptais pas la lâcher. J’ai commencé à aller et venir en elle, je sentais sa bave couler sur mes testicules, lui ordonnais de me regarder de ses yeux humides. J’aurais pu jouir en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, mais je me suis arrêté avant. Sa bouche était poisseuse, ma queue aussi, alors je l’ai essuyée contre son visage. En glissant mes doigts entre ses cuisses, je me suis rendu compte que sa chatte était tout aussi poisseuse. J’ai retiré la culotte de son sexe, dégoulinante de mouille.
Sans plus longtemps réfléchir, j’ai enfoncé le bout de tissu répugnant dans sa bouche. La grimace sur le visage de Julie était sans équivoque, le goût ne devait pas être des plus agréables. Je l’ai attrapée par les cheveux et l’ai faite avancer de quelques mètres à quatre pattes. Et je l’ai baisée, bestialement, plaquant son visage contre la poussière au sol. J’étais un animal. Mes mains attrapaient ses seins, les griffaient, puis son cul que je giflais de toutes mes forces, et son anus que deux doigts en envahi. Son corps m’appartenait. Et plus mon plaisir montait, plus je voulais m’en saisir. Avec une telle excitation, je n’ai pas été très endurant, je me suis retiré au bout de quelques minutes. Elle n’avait pas joui, mais après tout, les règles restaient les mêmes: elle ne pouvait jouir que lorsque je la sodomisais. Moi par contre, je me suis allègrement répandu sur elle. De belles traînées blanchâtres ont zébré son visage de part en part, dégoulinant de son menton, et souillant un peu plus le tissu rose qui dépassait encore de sa bouche. J’ai regardé le résultat, le souffle court. Julie était comme elle l’était à chaque fois après nos ébats: sale, perverse, belle et excitante à souhait. Malgré le sperme dans les yeux, elle me regardait avec son regard de chienne, son regard de chatte en chaleur. Et comme j’étais encore excité, malgré l’orgasme, il m’est venue une idée perverse. Encore une.
— Mets toi à genoux, écarte les cuisses en grand et branle toi, je veux que tu te fasses jouir pour moi.
J’ai entendu quelques grognements à travers le bâillon improvisé. Sûrement des remerciements, mais je n’en étais pas sûr. Sa main s’est immédiatement glissée entre ses cuisses, et je l’ai regardée se branler frénétiquement, enfonçant deux doigts dans sa chatte, triturant son clito de l’autre main, ondulant du bassin comme si ce n’était pas suffisant. Une vraie chienne... Puis elle s’est mise à jouir. Elle aurait crié si elle avait pu. Moi je tenais mon sexe qui ramollissait lentement, et j’ai mis mon plan à exécution. J’ai hésité un instant, peut-être étais-je en train de pousser le bouchon trop loin, peut-être que j’allais brusquer ma belle et la faire fuir, peut-être que je signais notre arrêt de mort. Mais le monstre qu’elle voulait tant voir était déjà de sortie. Et puis c’était trop tard. Alors que l’orgasme la ravageait, moi je lui pissais dessus. Son visage, ses seins, tout son corps y est passé. Elle a bien essayé de se reculer un instant, mais s’est rapidement remise en place pour me laisser finir.
Voilà, c’était fait. J’avais envie de le faire depuis quelque temps et j’avais osé. J’avais pissé sur ma chienne. J’avais pissé sur ma belle Julie. Les remords m’ont envahi presque immédiatement, j’ai eu envie de m’agenouiller et me faire pardonner. C’est ce que j’ai commencé à faire, je me suis agenouillé, j’ai retiré la culotte poisseuse de sa bouche poisseuse, et là, c’est un sourire que j’ai vu sur son visage. Si je m’en voulais personnellement, Julie n’avait visiblement rien à redire, sauf peut-être :
— Merci Monsieur...— Merci pour quoi ? lui ai-je demandé, un peu surpris.— Pour l’orgasme. C’était trop bon.
Tant pis pour les fluides divers et variés, je l’ai embrassée. Comment ne pas embrasser une fille qui vous remercie quand vous venez de l’avilir à ce point.
J’ai ensuite pris Julie par la main, l’ai aidée à se relever, et nous avons été jusqu’à la rivière qui coulait à une vingtaine de mètres de là. Nous étions encore bien cachés, aussi nous n’avons pas remis nos “maillots”. Celui de Julie était de toute façon hors d’usage. Nous avons ainsi batifolé dans l’eau une bonne demie-heure, à nager, profiter de la fraicheur de l’Ardèche, se chamailler, s’embrasser comme des adolescents. De retour sur la berge, on s’est posés un instant pour sécher. Alors qu’elle était allongée nue sous le soleil de midi, les cuisses légèrement écartées, Julie m’a dit :
— Je crois que j’ai quand même besoin d’une vraie douche.— Je comprends. Je vais nous trouver un camping où on pourra se poser un peu.— Cool ! J’adore le camping !
Il ne nous en fallait pas plus pour reprendre la route. D’après Google, il y avait un camping à une dizaine de kilomètres. Il y en avait plein dans la région, mais celui ci avait un accès direct à la rivière, et je les avais appelés, ils avaient encore un petit mobile-home de disponible. Une rareté à cette période. Sur la route, brisant ainsi le silence, Julie m’a demandé :
— Tu as aimé ?— Quoi donc ?— Me pisser dessus.
Zut. Question piège.
— A moins que ce ne soit pas ton cas, alors oui, j’ai aimé.— OK.— Tu as aimé ?— Oui, je crois. Tu pourras sûrement recommencer si tu veux.
Elle s’est mise à sourire, mais moi, intérieurement, je jubilais.
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