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Les vacances de Julie

Chapitre 10

Le Jouet

Trash
Julie est revenue des sanitaires un quart d’heure plus tard. Elle a posé mon short mouillé sur le fil à linge, à côté de la terrasse, et s’est assise à côté de moi. Je n’avais pas bougé. J’étais resté à table, à admirer la vue, et à réfléchir à tout ce que je voulais faire à ma jolie chienne. La pipe violente que je lui avais fait subir ne m’avait pas calmé, c’était tout le contraire. J’en voulais encore plus. Je l’ai dévisagée un instant, en buvant une gorgée de vin. Elle n’avait pas touché à son visage, la bave commençait à sécher, mais elle restait ravagée.
— Tu as croisé quelqu’un ? ai-je demandé.— Quelques personnes, oui, mais c’est pas bien éclairé, je pense pas qu’ils m’aient vue.— Tant pis.
J’ai vu son petit sourire en coin. Elle jouait la fillette terrorisée, et elle le jouait bien, mais je commençais à la connaître. Je savais qu’il lui en fallait plus que ça.
— Lève toi et viens me voir, lui ai-je dis.
Cette fois, elle a perdu son sourire. La dernière fois que je lui avais dit ça, elle avait fini avec mon membre au fond de sa gorge, à se vomir à moitié dessus. Docile, elle s’est tout de même exécutée. Une fois à côté de moi, ma main a immédiatement glissé dans son mini-short.
— C’est bien ce que je pensais, ai-je dis en titillant l’entrée de son sexe détrempé. Tu mouilles comme une chienne.— Votre chienne, Monsieur.
J’ai souri et pincé sa lèvre, avant d’enfoncer deux doigts en elle. Julie s’est mise à gémir. J’ai enfoncé un troisième doigt, et elle s’est mise à grogner. Elle était tellement trempée que j’aurais pu y enfoncer un quatrième, au lieu de quoi je les ai tous retirés, et les lui ai fait lécher.
— Bien, maintenant va à la voiture, et tu vas me chercher le petit sac de sport que j’ai laissé dans le coffre.— Oui Monsieur.
Quelques minutes plus tard, j’ouvrais le sac qu’elle avait posé sur la table, et en sortais divers objets. Des cordes, des pinces, des sextoys... Pas grand chose, par rapport à ce que je pouvais avoir chez moi, mais disons qu’il s’agissait d’un nécessaire de voyage. Julie a eu l’air étonnée en me voyant déballer tout ça. Comme si j’allais partir en vacances avec elle sans être bien préparé.
— Viens ici, lui ai-je dit en fouillant dans mes affaires. Comme je t’ai dit, ce soir tu es mon jouet. Oui je sais, avant que tu me le dises, tu l’es vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Mais ce soir encore plus. Est-ce qu’un jouet utilise ses mains ?— Euh, non Monsieur, a-t-elle répondu un peu surprise par la question.
Je lui ai alors attaché les mains dans le dos avec des bracelets en cuir noir, reliés entre eux par une courte chaîne.
— Est-ce qu’un jouet a besoin de voir ?— Non Monsieur.
J’ai fais passé un masque sur ses yeux, comme ceux que l’on porte en avion, mais en cuir, plus opaque, plus difficile à enlever.
— Est-ce qu’un jouet a besoin de parler ?— Euh... Non. Non Monsieur.
Cette fois-ci c’est un bâillon-boule noir que j’ai glissé entre ses dents et attaché à l’arrière de son crâne.
— Et est-ce qu’un jouet a besoin d’entendre ?
Pas de réponse cette fois-ci, bien sûr. J’ai sorti de ma poche mes écouteurs Bluetooth, que j’ai installé dans ses oreilles. Sur mon téléphone, j’ai choisi une playlist de musique classique. Quelque chose de doux à entendre. A l’inverse de ce que son corps allait ressentir.
Désormais elle était toute à moi. Entièrement. Incapable de ressentir autre chose que ce que je déciderais de lui faire subir. Je l’ai regardée un instant, comme j’aimais le faire. Elle était belle, mais semblait tendue. Qui ne le serait pas à sa place ? Du bout du doigt, j’ai touché son corps, et l’ai sentie frémir. Privée de la vue, de l’ouïe et de la parole, le sens du touché était ainsi exacerbé. Et je ne peux le nier, cela m’amusait et m’excitait beaucoup. Alors j’ai baladé mon doigt sur tout son corps, dans le creux de ses reins, à l’intérieur de ses cuisses, dans le pli de ses fesses. Julie tremblait à chaque fois. J’ai complété sa tenue par son collier de chienne, et la laisse qui allait avec. Puis je me suis assis, ai tiré la laisse vers moi, et ai installé Julie à plat ventre, en travers de mes cuisses.
J’ai commencé à claquer doucement ses fesses, à travers son mini-short bleu turquoise. Dix petites claques, à peine plus fortes qu’une caresse. Puis j’ai attrapé l’élastique du short, et je l’ai baissé, juste sous son cul. Je l’ai claquée à nouveau, un peu plus fort. Progressivement, je sentais sa peau chauffer, et s’il y avait eu assez de lumière sur la terrasse, j’aurais sûrement vu sa peau rosir également. Julie était réduite au silence par la boule dans sa bouche, mais je l’entendais grogner, ou gémir, je ne savais pas trop. J’ai alors glissé un doigt entre ses cuisses. Elle dégoulinait. Je l’ai doigtée un instant, deux doigts allant lentement mais profondément en elle. Cette fois, elle gémissait. J’ai recommencé à claquer son derrière, encore un peu plus fort. Et j’ai à nouveau glissé mes doigts en elle. Deux dans sa chatte et un dans son cul. L’alternance de douleur et de plaisir a ainsi duré presque dix minutes. Jusqu’à ce que j’arrête de la fesser, mais continue d’enfoncer mes doigts en elle. Elle était tellement trempée que je n’ai eu aucun mal à rentrer quatre doigts au fond de son vagin. Quand il a fallu enfoncer le pouce, j’ai dû forcer un peu plus, et Julie a grogné de plus belle, mais j’y suis arrivé. J’ai enfoncé ma main entière dans sa chatte. Julie pouvait s’estimer heureuse, je n’avais pas une main de bûcheron. Au contraire, elle était plutôt fine. Cela ne l’a pas empêchée de crier à travers son bâillon lorsque j’ai commencé à faire aller ma main lentement en elle. Elle n’arrêtait pas de remuer, comme si cela lui permettrait de se délivrer de mon emprise. Mais ce soir elle était mienne, et je n’en avais pas encore fini.
Je me suis imaginé quelqu’un qui viendrait de notre côté du bungalow, pour je ne sais quelle raison. Cette personne y trouverait une femme entièrement nue, attachée, privée de ses sens, allongée sur les cuisses d’un homme dont la main était entièrement enfoncée dans son vagin. La situation avait de quoi choquer, ou faire rire, c’était selon. J’ai tout de même fini par retirer ma main de sa matrice, et j’ai essuyé mes doigts gluants sur son visage. Une envie sadique d’humiliation.
Je l’ai ensuite faite se relever en tirant sur la laisse, et d’un geste j’ai tiré son haut de bikini sous ses seins. Elle a attendu là, soumise et presque nue, sur la pelouse de la terrasse, pendant que je fouillais parmi mes jouets étalés sur la table. J’ai pris deux pinces, que j’ai accroché à ses tétons. Là encore, je l’ai entendue gémir, mais elle ne s’est pas soustraite. Une petite chaîne reliait les deux pinces, et j’ai attaché celle-ci à l’anneau de son collier. Ainsi, ses tétons étaient constamment tirés vers le haut, et ainsi Julie grognait, constamment aussi. Mais je ne me suis pas arrêté là. J’ai pris des pinces à linge en plastique sur le fil à linge derrière moi, et je me suis amusé à les accrocher sur le corps de Julie. Sur la peau laiteuse de ses seins, et après lui avoir fait écarter les jambes du bout de mon pied, sur ses lèvres vaginales. C’était terriblement excitant de la voir se tortiller dans tous les sens sous la douleur. C’était encore plus excitant de passer mon doigt entre ces mêmes lèvres torturées et de sentir à quel point la situation la faisait dégouliner.
Il fallait que je la prenne. Cette belle chienne me donnait bien trop envie. Mais pas ici, pas cachés derrière notre cabane, non, c’était trop facile. J’ai enfilé mon short, pris mon téléphone, puis j’ai tiré sur la laisse et on a commencé à marcher, moi devant, et Julie à l’aveugle derrière moi. On a emprunté le petit chemin poussiéreux mais ouvert à tous qui nous menait à la plage. Un peu plus loin, un groupe faisait un feu, buvait quelques bières, jouait de la guitare. A mon époque, c’était déjà ce que faisait la jeunesse en camping. J’ai tiré la laisse pour partir de l’autre côté de la plage. Je restais aux côtés de Julie pour la retenir au cas où elle trébucherait, tenant son bras en plus de sa laisse. Une fois loin du groupe, j’ai tiré sur la laisse pour marquer l’arrêt. Puis je l’ai faite s’agenouiller. Nous étions au bord de la rivière. J’ai poussé Julie en avant, afin qu’elle se retrouve le visage plaqué contre le sol humide. J’ai sorti mon téléphone et je l’ai prise en photo. Elle était tellement excitante, avec ses pinces qui tenaient encore tant bien que mal aux lèvres de sa chatte.
Je n’ai pas résisté à l’envie de glisser deux doigts dans son sexe. Quelques aller-retours seulement, mais suffisamment pour la faire doucement gémir à nouveau. Puis mes doigts sont remontés, ont glissé entre ses fesses, puis dans son anus. Je n’allais pas oublier ce petit trou si facilement. Je l’ai doigtée ainsi quelques minutes, mais très vite j’ai eu envie de remplacer mes doigts par mon membre, fraîchement sorti de mon short. Je me suis enfoncé en elle lentement mais d’une traite, jusqu’à ce que mes couilles fassent tomber l’une des pinces accrochées à ses lèvres. Alors j’ai commencé à la sodomiser. Bestialement, les mains agrippées à ses hanches, les ongles plantés dans sa peau. Je savais qu’elle ne pouvait pas m’entendre, mais cela m’excitait de lui parler crûment. « Ma chienne aime quand on l’encule, hein ? C’est ça que tu voulais ! C’est ça que tu cherchais ! Tu voulais que je te casse le cul ? » Chacune de mes tirades était ponctuée par des claques sèches sur son fessier déjà meurtri.
Je n’ai pas tenu bien longtemps à ce régime. J’avais envie d’éjaculer depuis belle lurette déjà, et ce trou si confortable m’a achevé. Je me suis retiré en vitesse, laissant son orifice béant, l’ai contournée, et ai l’ai tirée par les cheveux pour pouvoir arroser son visage. Incapable de bouger, Julie a reçu mes jets de semence les uns après les autres, tandis que je grognais comme un animal sous l’effet de l’orgasme, sans penser que l’on pourrait être entendus. Puis, quand enfin l’orgasme est passé, tout est devenu plus calme. J’entendais vaguement, au loin, le groupe parler autour du feu, mais surtout, j’entendais la nature. L’eau  de la rivière qui coulait à côté de nous, quelques cris d’insectes ou d’oiseaux nocturnes. Et puis il y avait la respiration de Julie.
J’ai commencé par couper la musique de ses oreilles. Puis j’ai retiré le bandeau de ses yeux. Du sperme coulait de son front jusqu’à se mêler à ses cils. Puis enfin j’ai retiré la boule de sa bouche. Sa respiration était saccadée, comme si, sous le choc, elle n’arrivait plus à respirer.
— Pardon Monsieur, m’a-t-elle dit en panique, je suis désolée.— Désolée de quoi ?— J’ai joui... Sans ta permission. J’ai joui trois fois.— J’apprécie ton honnêteté. Ça ne t’épargnera pas la punition, mais on verra ça plus tard.— Merci Monsieur. Merci pour tout.
Lentement, j’ai retiré toutes les pinces de ses seins et de son sexe, puis j’ai détaché ses mains. Enfin libre. Ou presque. J’ai laissé le collier et la laisse en place. Prenant garde à ne pas être vus, nous sommes retournés au bungalow, où j’ai pris une serviette pour la couvrir, et nous nous sommes dirigés vers les sanitaires.
— Quand est-ce que tu as joui ? lui ai-je demandé à travers la cloison alors qu’elle prenait sa douche.— Euhm, et bien... une première fois avec ta main en moi. Et puis deux fois quand tu... quand tu me sodomisais. Deux fois très rapprochées, c’était peut-être même qu’une seule fois.— N’essaie pas de te débiner, la punition sera la même.
Julie est sortie quelques minutes plus tard, propre, nettoyée de toutes traces, si ce n’est celles qui marquaient la peau de ses fesses, et qui ne partiraient que plus tard. Elle a alors passé une serviette autour de sa poitrine, et nous sommes rentrés dans notre cabane. On a fini ce qu’on avait commencé à faire, à savoir prendre l’apéro, puis nous sommes allés nous coucher. La journée, mine de rien, avait été éreintante.
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