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Les vacances de Laure

Chapitre 1

Premier contact

Erotique
Les voyages en train avaient toujours, pour Laure, une vertu thérapeutique. Elle les vivait toujours comme une promesse d’aventure. Quand le train quittait Paris, elle imaginait laisser derrière elle sa vie trop ordonnée, son travail, son appartement à la décoration un brin conventionnelle, et se laissait emporter vers un monde qu’elle imaginait plein de possibilités.
En toute honnêteté, l’aventure durait rarement plus longtemps que le voyage lui-même. Lorsque la motrice ralentissait à l’approche de sa destination, Laure savait qu’elle retrouverait les mêmes gens qu’elle croisait tout au long de l’année, avec les mêmes centres d’intérêt et les mêmes conversations. Certes, les polos Lacoste avaient remplacé les costumes sur mesure, mais l’habit ne faisant pas le moine, le dépaysement restait finalement assez limité.
Cette année toutefois, il y avait au moins un changement en ce début de vacances. Laure voyageait seule, et au lieu de se rendre comme chaque mois de juillet sur la Côte d’Azur, elle se dirigeait vers Bordeaux, où l’attendait son amie Constance. À 48 ans, pour la première fois en un quart de siècle, Laure se rendait en vacances en célibataire. Sans enfants, elle avait un mari diplomate qui avait pris pendant l’hiver un poste à Washington. Sa mission ne devant en principe durer qu’un an, ils avaient convenu que cela n’aurait pas grand sens pour elle de quitter son travail, et qu’elle resterait donc à Paris pendant qu’il défendait les intérêts de la République en Amérique.
L’été approchant, et son mari n’étant toujours pas en mesure de quitter sa table de négociations plus que quelques jours, elle avait accepté l’invitation de Constance à passer quelques semaines dans sa villa du Cap Ferret.
C’est ainsi que quelques heures à peine après avoir fermé la porte de son appartement du 6ème arrondissement elle se retrouvait assise sur la terrasse d’une somptueuse “cabane” dans la pinède, un verre de champagne à la main, entourée de Constance et de son fils, François, un garçon de 19 ans qu’elle n’avait pas vu depuis quelques années. Le garçon avait très gentiment porté la valise de Laure dans sa chambre pendant que sa mère lui faisait visiter sa propriété. Le site était exceptionnel. La villa, spacieuse, était au milieu d’un jardin étonnamment grand, lui même ceint par des haies qui la cachaient entièrement des voisins. L’ex-mari de Constance, richissime industriel du Nord, la lui avait cédée lors de leur divorce.
Sitôt le champagne bu, les deux amies plongèrent dans la piscine et, quelque peu enivrées par l’alcool, le soleil et l’air de l’océan riaient à tue-tête en s’éclaboussant: deux femmes d’un certain âge qui pouvaient, une fois n’est pas coutume, se laisser aller à des jeux d’adolescentes et le faisaient avec délectation. Les vacances, pensait Laure, commençaient bien.
Au cours des jours suivants se succédèrent baignades et séances de bronzage sur la plage, repas sur la terrasse au bord de la piscine, promenades sur le bord du Bassin avec les inévitables dégustations d’huitres. François se joignait parfois à sa mère et son amie, parfois pas. Constance avait expliqué à Laure que son fils, étudiant, sérieux et un rien timide, passerait une bonne partie du mois à réviser son programme en prévision de son entrée en deuxième année de médecine. Elle lui avait même confié s’inquiéter un peu du caractère trop réservé du garçon et souhaiter qu’il passe un peu plus de temps à sortir et draguer les filles. Elle avait ri en avouant qu’elle était convaincue que son fils était encore puceau et se demander s’il n’avait pas de tendances homosexuelles.
Si Francois était peut-être puceau, Laure ne doutait pas en revanche de son attirance pour les filles, car elle avait à maintes reprises observé que le garçon la regardait d’une manière qui ne trompait pas. Elle avait d’ailleurs été flattée de provoquer, à son âge un intérêt aussi manifeste de la part d’un si jeune homme. C’est vrai qu’elle s’entretenait avec attention, et que si le passage des années ne pouvait être entièrement ignoré, elle avait gardé une silhouette que bien des filles de la moitié de son âge lui eurent enviée.
Sans trop s’en rendre compte, Laure s’était mise d’ailleurs à encourager cet intérêt. Si François se joignait aux femmes dans la piscine, elle choisissait un maillot de bain une pièce échancrée qui mettait en valeur ses seins en poire et son ventre plat. S’il s’asseyait à côté d’elle à table, elle croisait les jambes et laissait remonter sa robe en découvrant ses cuisses, sachant qu’il ne pourrait faire autrement que d’y laisser glisser le regard. Lorsqu’elle descendait petit-déjeuner le matin, elle lui donnait un baiser sur la joue, pas bien loin de la commissure des lèvres, tout en posant une main sur son bras ou sa hanche. Tout cela n’était pas vraiment prémédité ni entièrement conscient, et à la décharge de Laure elle menait une vie quasi monastique depuis le départ de son mari pour l’Amérique. Elle ne pensait d’ailleurs pas à mal, elle trouvait simplement un plaisir innocent dans le fait de se savoir désirable et désirée.
Constance d’ailleurs n’y trouvait rien à redire non plus, s’amusant de ce que son fils soit toujours volontaire pour préparer un cocktail pour Laure le soir ou l’accompagner à la plage dans l’après-midi. Elle s’était mise à parler de François comme le chevalier servant de son amie. Sans doute ne se rendait-elle pas tout à fait compte de ce que le jeune homme ressentait.
À la fin de cette première semaine de vacances, Constance fut invitée le samedi soir chez des amis à Bordeaux. Elle proposa bien à Laure de l’accompagner, mais cette dernière n’avait pas exactement envie d’aller se morfondre dans un dîner mondain et demanda à rester tranquillement dans la villa. François, de son côté, devait retrouver quelques amis pour un verre et partit les rejoindre à pied.
Restée seule, Laure prit un bain réparateur après une journée sur la plage, puis s’installa avec un roman dans le canapé du grand salon de la villa, Le soleil déclinant illuminait la piscine et la végétation derrière la grande baie vitrée. Laure avait juste passé une robe légère, sans même mettre de sous-vêtements. Elle était après tout seule ce soir, et pouvait bien prendre ses aises. Elle ouvrit aussi une bouteille de vin - un médoc délicieux, mais qui lui monta vite à la tête, et ce d’autant que l’atmosphère ce soir-là était très lourde. On sentait qu’un orage n’était pas loin. Avant même que la nuit ne tombe complètement, elle avait laissé tomber son livre sur le sol et s’était endormie en chien de fusil sur le sofa.
Elle fut réveillée un peu plus tard par le bruit incessant de la pluie qui tombait drue sur le toit et le sol de la terrasse. L’orage avait éclaté avec fureur. Toujours somnolente, elle n’eut pas la force de rejoindre sa chambre et resta couchée sur le canapé, écoutant le tonnerre gronder. Il y avait dans ce déchaînement de la nature une puissance brute qu’elle trouvait hypnotique.
Soudain, elle entendit la porte d’entrée s’ouvrir et un courant d’air venir caresser ses cuisses, découvertes comme elles étaient par sa position recroquevillée. Elle se rendit compte que ce devait être François qui revenait de sa soirée. Il devait être trempé, à en juger par l’intensité de la pluie. Elle hésita à se lever et manifester sa présence, mais décida de ne pas bouger et de prétendre être endormie.
Le garçon n’avait pas dû se rendre compte de sa présence. Aux bruits qui lui parvenaient, elle devina qu’il ôtait dans l’entrée ses chaussures, puis ses vêtements détrempés, qu’elle entendait chuter sur le sol avec un “flop” révélateur. Toujours les yeux fermés, elle entendit ses pas alors qu’il se rapprochait, devant passer à côté du canapé où elle se trouvait pour prendre l’escalier vers sa chambre.
Soudain les pas s’arrêtèrent. Il avait dû découvrir sa présence. N’osant bouger, elle feignait un endormissement profond, essayant de respirer le plus régulièrement possible. Elle essaya de replier ses jambes un peu plus sous son corps, mais cela eut l’effet inverse à celui escompté, en tirant sur sa robe et en dévoilant un peu plus ses cuisses.
A la respiration saccadée du jeune homme, elle se rendit compte que le spectacle qu’elle offrait avait entraîné chez lui une émotion indubitable. Elle se remémora toutes les fois où il l’avait dévoré du regard, et réalisa avec un battement de cœur que le fils de Constance n’était plus le petit garçon qu’elle connaissait depuis presque sa naissance, mais bien un mâle, un mâle qu’elle était loin de laisser indifférente. Elle sentit une boule de chaleur naître au creux de son ventre et irradier son corps.
Les yeux fermés, aussi immobile qu’elle le pouvait, elle n’avait que ses oreilles pour lui décrire la scène dans son dos. Elle percevait toujours cette respiration profonde, puis des bruits de pas qui lui dirent que François s’était approché tout contre le canapé. Soudain, elle sentit le tissu de sa robe glisser sur ses fesses. Estomaquée, elle réalisa que le garçon avait saisi l’ourlet entre deux doigts et faisait remonter le vêtement tout doucement, dévoilant ainsi le haut de ses cuisses, puis ses fesses. Le petit voyeur ne se gênait pas. Il profitait de ce qu’il la pensait profondément endormie pour mater à plaisir.
Elle entendit une sorte de hoquet puis un bruit lent et régulier comme un frottement, le cochon est en train de se branler sur moi, se dit-elle. Et l’image que cela évoquait fut si forte qu’elle sentit son ventre s’humidifier d’un coup. Elle devait lutter pour ne pas se retourner et ouvrir les yeux, tant son envie de voir le désir du jeune homme pour elle lui vrillait les entrailles.
Laure se sentait rougir, et pour qu’il ne s’en rende pas compte, elle changea légèrement de position, cachant son visage dans les coussins, mais ouvrant un rien les jambes, pour mieux offrir sa chatte au regard du voyeur. J’espère, pensa-t-elle, qu’il ne va pas se rendre compte à quel point je mouille. S’il est vraiment puceau, il ne saura peut-être pas. Et puis il fait si sombre, peut-être ne voit-il pas bien. Et plus elle y pensait, plus elle sentait son ventre se liquéfier.
A cet instant, elle sentit des lèvres se poser sur l’intérieur de ses cuisses. Le garçon était agenouillé dans son dos et tout en se masturbant frénétiquement, il avait penché son visage vers son intimité et déposé deux baisers infiniment légers sur sa cuisse, puis sa vulve. Elle tressaillit. Elle entendit alors comme un gémissement, puis un jet de liquide chaud inonder ses fesses et couler sur sa cuisse. Le salaud vient de jouir sur moi, réalisa-t-elle. Et loin de s’en offusquer, elle en conçut une fierté qui l’étonna.
Faisant toujours semblant de dormir, elle entendit le garçon reprendre sa respiration, puis courir dans la cuisine dont il revint sans doute avec une feuille de sopalin, car il essuya le plus doucement possible ses fesses et ses jambes, puis monta quatre à quatre l’escalier.
Lorsqu’elle entendit la porte de sa chambre se fermer, elle ouvrit les yeux. Dans sa précipitation, le jeune homme n’avait pas fait disparaître toutes les traces de son éjaculation. Elle ramassa un peu de sa semence du bout d’un doigt, qu’elle huma puis fit entrer dans sa bouche. Elle avala le sperme, ce qui eut l’effet de l’exciter encore plus.
Laure attendit toutefois quelques minutes avant de quitter son canapé, une attente interminable, tant elle avait envie de satisfaire le désir que cette situation inattendue avait fait irradier en elle. Enfin, elle rejoint sa chambre, se débarrassa de la robe sur laquelle elle découvrit encore quelques taches blanchâtres, se coucha sur son lit, et se masturba en silence jusqu’à ce que l’orgasme, son premier depuis des semaines, explose en elle. Épuisée, elle se laissa sombrer dans le sommeil en se demandant ce qui allait maintenant lui arriver.
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