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Les vacances de Laure

Chapitre 2

Prise en main

Erotique
Laure mit un certain temps à émerger ce matin-là. Ce n’est pas qu’elle eut mal dormi, mais son esprit était encore quelque peu chamboulé par la séance de masturbation inopinée dont elle avait été la muse, en quelque sorte. Elle ne savait que penser, et surtout que faire. Autant elle avait pu jusqu’ici se livrer à un flirt totalement innocent avec le fils de son ami Constance, autant maintenant ce n’était plus possible. Le garçon s’était, après tout, vidé les couilles sur son corps assoupi, rien de moins. Dieu merci, il ne s’était pas rendu compte qu’elle était en fait réveillée et parfaitement consciente de ce qu’il avait fait.
Laure se prit à penser à la scène de la veille. Elle savait bien qu’à l’âge de François, toute femme est objet de désir, mais enfin elle trouvait plutôt flatteur de lui avoir inspiré une pulsion aussi animale. Ce n’est pas les filles qui manquaient au Cap Ferret en juillet, ni les corps féminins dénudés, de tous âges et de tous formats, sur les plages océaniques. Ce n’était donc pas comme si elle était la seule femme sur laquelle il put fantasmer à des lieues à la ronde.
Laure se demanda si elle devait pousser le jeu plus loin. C’était totalement impensable, et pourtant infiniment troublant. Elle trouvait le garçon mignon. À croquer. Et puis depuis le départ de son mari pour les États-Unis, presque six mois plus tôt, elle avait été d’une chasteté certes irréprochable, mais pesante.
Laure passa lentement les mains sur son ventre. À 48 ans, elle n’était plus une midinette. Elle connaissait son corps, assumait ses désirs, ne trouvait aucune gêne dans le plaisir. Elle ferma les yeux, s’imagina dans les bras de François, et laissa l’excitation monter en elle. Elle sentit son sexe s’humidifier lentement, ouvrit les cuisses, et commença à caresser son clitoris paresseusement.
Les images défilaient sous ses paupières, comme lors de chaque séance de masturbation, de plus de plus crues, de plus en plus osées, de plus en plus audacieuses, jusqu’à ce que son corps se tende en arc de cercle sur le lit, puis se détende dans un orgasme silencieux.
Elle rouvrit les yeux, un sourire sur les lèvres, mais ne se sentait pas aussi rassasiée qu’elle en avait l’habitude en pareille situation. La jouissance n’avait pas apaisé, mais attisé son désir. C’est à ce moment-là qu’elle décida de séduire le fils de sa meilleure amie. Alea jacta est !
Une fois douchée et habillée, elle descendit prendre son petit-déjeuner. François n’était pas là. Il était déjà parti pour son cours de surf. Presque tous ses amis s’adonnaient à ce sport, importé en France sur les plages du pays basque dans les années 60, et désormais populaires sur toute la côte au point qu’il n’y ait plus une plage qui n’ait son spot et son école de surf. Laure n’était pas particulièrement tentée, mais avait passé de longs moments, allongée sur le sable, à regarder les apprentis surfeurs, du plus petit au plus vieux, se contorsionner comiquement en essayant de conserver leur équilibre sur la planche avant de chuter lourdement dans l’écume.
Laure se prépara quelques tartines, qu’elle grignotait pensivement quand Constance la rejoint. Sa soirée bordelaise avait manifestement été un succès, à en juger par son humeur joviale. Elle ne cessait de parler, de tout et de rien, et avait interrompu son monologue à peine assez longtemps pour que les deux femmes se mettent en maillot de bain et se retrouvent allongées au soleil sur le bord de la piscine. Il était trop tôt pour y piquer une tête - l’eau n’était pas chauffée -, mais le soleil était en revanche bien assez haut dans le ciel pour inviter au farniente et au bronzage.
Pendant que Constance continuait à pérorer, Laure entendit la grille d’entrée de la villa s’ouvrir, et aperçut François torse nu, la combinaison de surf roulée sur la taille, pieds nus, qui rangeait son vélo et sa planche. Grâce à ses grandes lunettes de soleil et au chapeau à vaste visière qui couvraient son visage, elle pouvait observer le garçon sans que ni lui ni sa mère ne s’en rendent compte. Tout en répondant “oui...”, “non, c’est vrai ?” ou “ah bon ?” de temps à autre pour que son amie ne réalise pas trop qu’elle n’absorbait pas une miette de la conversation, elle détaillait le corps du jeune mâle. Elle l’avait bien sûr vu maintes fois en maillot de bain, mais elle le regardait maintenant avec un regard différent: elle imaginait ses mains sur le ventre plat, sur les pectoraux quelque peu poilus, sur les bras musclés par le sport.
Et elle sentit à nouveau une douce chaleur se répandre dans son bas-ventre, et croisa les jambes pour ne pas risquer d’exposer aux regards l’humidité qui suintait de son ventre.
François disparut dans la maison, mais quelques minutes plus tard, elle l’aperçut à travers la vitre de sa chambre, qui donnait en plein sur la piscine. Le garçon essayait manifestement de rester discret, mais le sujet de son intérêt était évident. Toujours cachée derrière ses lunettes de soleil, Laure pouvait vérifier de temps en temps qu’il était toujours là, et il restait en effet bien immobile, à la reluquer.
Quand le poisson mord, se dit Laure, il faut le ferrer. Et elle entreprit de croiser et décroiser les jambes, de se passer de la crème solaire sur toutes les parties exposées de son corps, d’aller régulièrement plonger dans la piscine pour en ressortir, ruisselante, sachant bien que son maillot de bain mouillé laissait apparaître par transparence les aréoles de ses seins. Et pendant tout ce temps, se croyant invisible, François matait.
Je me demande s’il se branle, pensait Laure. Et l’image était si forte qu’elle laissa une main glisser entre ses cuisses et un doigt presser brièvement contre son clitoris, geste furtif qui, si François l’avait vu, aurait sans doute suffi à déclencher une réponse positive à la question qu’elle se posait un instant plus tôt.

Elle n’eut toutefois pas l’occasion d’aller plus loin, car le portable de Laure se mit à sonner et la sortie de sa rêverie. Après une courte conversation, Constance raccrocha, puis expliqua à son amie qu’un des hôtes du dîner de la veille, un courtier en vins avec qui elle avait sympathisé, venait de l’inviter à dîner et qu’elle avait dit oui.
— Alors comme ça, tu te laisses draguer dès que j’ai le dos tourné, dit Laure.— Tu ne peux pas me reprocher ça, répondit Constance avec un grand sourire, les vacances c’est fait pour mordre la vie à pleines dents, non ?— Hmmm, tu as raison, je croquerais bien dans quelque chose de goûtu, moi aussi. Tu ne veux partager ta conquête par hasard ?— Petite coquine, tu veux déjà me voler mes jouets ! Et puis je n’ai pas de conquête, il m’a juste invitée à dîner, ne vendons pas la peau de l’ours avant de l’avoir embrassé. Mais bon, je ne vais pas te mentir, s’il est entreprenant, il a de bonnes chances ce soir. Je suis d’humeur.— Tu es en chaleur ma chérie ?— Peut-être bien, sourit Constance. Mais mon dîner veut dire que je te laisse seule avec François ce soir. Ça ne t’embête pas ? je peux lui demander de cuisiner quelque chose pour toi, il se débrouille bien derrière les fourneaux, et il ferait n’importe quoi pour toi. Ou bien je peux lui dire de se commander une pizza, je ne veux pas t’imposer du baby-sitting.— Ne t’inquiète pas, c’est moi qui préparerai quelque chose pour le dîner, laisse-moi faire. Je vais m’occuper de ton fils, tu peux me faire confiance.— Tu es vraiment un ange, dit Constance, alors c’est entendu, je te le confie. Et maintenant, il faut que je choisisse ce que je vais me mettre ce soir. C’est fou, j’ai presque l’impression d’avoir 18 ans à nouveau.
En fin d’après-midi, les deux femmes s’amusèrent à choisir la tenue de Constance, essayant l’un après l’autre tout le contenu de sa garde-robe. La victoire revint à une robe blanche à gros pois rouges, avec une taille serrée et une corolle évasée, très années 50, sans manches, qui mettait parfaitement en exergue la poitrine bien conservée de sa propriétaire. La première grande décision de la soirée était prise. La seconde, les deux s’en amusaient, viendrait quand le nouvel ami de Constance entamerait ses avances.
En attendant, Constance alla prendre un bon bain chaud, et Laure commencer ses préparatifs pour le dîner. Avant de s’y mettre, elle décida toutefois de repasser par sa chambre. Alors qu’elle s’en approchait, elle entendit l’eau couler dans la douche de François, qui logeait dans la même aile de la villa qu’elle. Elle s’arrêta devant sa porte, et presque sans réfléchir, l’ouvrit.
La chambre du jeune homme respirait le mâle. Les habits qu’il portait plus tôt avaient été abandonnés sur le lit. Laure prit un T-shirt, le porta à ses narines et le huma. Il sentait bon l’homme et le sel marin. Elle se dirigea vers la salle de bain, dans laquelle la douche coulait toujours à plein débit.
Elle tourna la poignée de la porte lentement, l’ouvrit de même, et enfin lui apparut ce qu’elle voulait voir depuis le matin: François, nu dans la cabine, le visage levé et les yeux fermés, laissant l’eau chaude cascader de son front à ses pieds. Laure, tétanisée, ne bougeait pas, et profitait du spectacle.
Enfin, François ferma le robinet, fit coulisser le panneau qui fermait la douche et en sortit. C’est à ce moment qu’il l’aperçut et s’immobilisa, totalement paralysé, le visage confus.
— Laure ? Mais, je... vous... excusez-moi... qu’est-ce que...?
Et il attrapa une serviette pour cacher son sexe, les yeux rivés au sol, totalement déboussolé.
— Ne te gêne pas pour moi, dit Laure avec un sourire, je passais dans le couloir, je me suis dit que je pourrais venir jeter un coup d’œil.— Mais... enfin je veux dire... vous êtes dans ma chambre. Vous ne pouvez quand même pas...— Je ne peux pas quoi ? Tu es gonflé ! Hier soir, toi, tu ne te gênais pas non plus pour me reluquer les fesses, n’est-ce pas ?
À ces mots, le visage de François se décomposa, et le rouge lui monta aux joues.
— Ne t’inquiète pas mon chéri, je sais que tu me regardes depuis des jours. Ça ne me déplaît pas, tu sais. Pas du tout même. Mais tu n’as pas de petite amie, un beau jeune homme comme toi ?— Euh, non... en fait je n’ai jamais, enfin je veux dire...— Tu es puceau ?— Oui, murmura-t-il.— Tu es trop mignon. Il va falloir qu’on en parle tous les deux alors.
En disant ces mots, Laure traçait du bout de l’ongle un sillon sur la poitrine de François, et de l’autre main saisit la serviette dont il cachait son bas-ventre, et tira d’un coup sec, le dénudant totalement.
— Et bien mon chéri ! Comme je disais, tu es gonflé !
Devant elle se dressait un pénis en pleine érection, et quel pénis ! La hampe n’était pas beaucoup plus épaisse, mais elle était bien plus longue que celle de son mari ou des quelques amants qu’elle avait connus. Elle ne put se retenir d’y poser les doigts, et de décalotter le sexe pour en faire jaillir un gland gonflé à en craquer. Elle commença à faire coulisser ses doigts le long du membre frémissant.
— On t’a déjà fait ça mon chéri ?— Non, jamais, répondit-il d’une voix étranglée.— Laisse-toi aller, profite, murmura-t-elle.
Puis elle accéléra progressivement sa masturbation, en se rapprochant de François jusqu’à ce que son gland touche presque le tissu de sa robe. Elle sentait la respiration saccadée du jeune homme, et son cœur à elle battait la chamade. Elle savait bien qu’il ne résisterait pas longtemps, alors elle pencha son visage vers lui, approcha ses lèvres de son oreille, et lui susurra :
— Viens, jouis, montre-moi comme tu as envie de moi.
À ces mots, le garçon eut une sorte de hoquet, son sexe se contracta dans la main de Laure, et il se mit à éjaculer de manière incontrôlée. Quelques jets de sperme jaillirent de son gland turgescent et vinrent s’écraser sur la robe au niveau du pubis, laissant d’épaisses traînées blanches sur le bleu de l’étoffe. Le sperme continuait à émerger, mais de manière de plus en plus faible, maculant les doigts de Laure et coulant sur son poignet, avant de retomber sur le carrelage de la salle de bain.
Elle laissa le jeune mâle reprendre ses esprits, tenant toujours son sexe dans sa main. Puis elle déposa un baiser sur la commissure de ses lèvres, et lui dit doucement, mais fermement:
— Bravo, tu as joui comme un champion. Maintenant, reprends une douche, puis rejoins-moi pour dîner tout à l’heure. Nous nous mettrons à table à huit heures, ça nous laissera du temps ensuite.
Puis elle fit volte-face, et sans un mot de plus sortit de la salle de bain, se dirigea vers sa chambre, où elle s’effondra dans un fauteuil. Laure récupéra un peu du sperme de François sur sa robe du bout d’un doigt, le porta à ses lèvres, suça son doigt pensivement, et avala la semence du garçon avant de murmurer pour elle même:— Cette fois ma fille, tu as bel et bien franchi le Rubicond. Plus question de reculer maintenant.
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