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Les vacances de Laure

Chapitre 6

Leçon de choses

Erotique
Laure dormit mal cette nuit là. Curieusement, ce qui la minait n’était pas ce qu’elle avait fait, mais ce quelle n’avait pas fait. Elle se pardonnait mal d’avoir été si prête à se livrer à l’amant de sa meilleure amie. Que ce dernier n’ait pas esquissé le moindre geste déplacé, à part quelques regards appuyés, ne changeait rien au sentiment de culpabilité qu’elle éprouvait. 
Lorsqu’elle avait dépucelé le fils de Constance, elle n’avait pas eu l’impression de vraiment trahir la confiance de cette dernière, ni d’ailleurs les voeux conjugaux qui l’unissaient à son mari. Ç’avait été un concours de circonstances, un détour presque respectable du cours de son existence de femme mariée. Elle n’avait ni regret ni honte. Mais son escapade de la veille était d’une toute autre nature. Elle avait éprouvé une pulsion sexuelle brute, voire brutale, qu’elle ne reconnaissait pas. Et elle était un peu effrayée de sentir cette braise couver toujours en elle. 
Le matin venu, elle s’observa longuement dans le grand miroir de sa salle de bain. Cette femme élégante, qui lui rendait son regard, cette longue silhouette, elle en reconnaissait chaque détail, mais elle n’était plus sûre de vraiment la connaitre.
Un coup d’oeil par la fenêtre lui fit remarquer que le temps était comme son esprit, incertain. Il faisait chaud, mais le ciel était nuageux, comme s’il n’arrivait pas à se décider à choisir entre le printemps et l’été.
Avec un soupir, Laure, finit de se vêtir et descendit retrouver ses hôtes. Constance, Alain et François prenaient leur petit-déjeuner. C’était dimanche, et ce dernier n’avait donc pas de leçon de surf. Le voir ainsi, comme toujours d’une politesse irréprochable, toujours plein d’attention à son égard, ne fit rien pour atténuer les états d’âme de Laure. Elle sentit un besoin presque irrépressible de le prendre dans ses bras.
Elle se contenta toutefois de lui demander comment il comptait occuper sa matinée. Le garcon, avec un regard qui en disait long sur ce qu’il aurait aimé répondre, expliqua qu’il comptait rester à la villa et travailler ses cours de médecine. 
— Je crois que je vais faire comme toi, dit Laure, une journée à bouquiner est exactement ce qu’il me faut aujourd’hui. Et vous les amoureux? ajouta-t-elle en se tournant vers Constance et Alain.
La mère de François répliqua en se levant:
— Vous êtes vraiment deux petits vieux tous les deux. Si vous voulez pantoufler, faites comme bon vous semble. Nous, nous allons faire du tourisme. Alain m’emmène visiter deux ou trois propriétés dans les Graves, avec dégustation dans chacune et déjeuner au restaurant gastronomique de Smith Haut-Laffite comme cerise sur le gateau. Vous ne nous reverrez pas avant le dîner, ajouta-t-elle avec un clin d’oeil à destination de Laure.
Celle-ci n’était en fait pas mécontente de se retrouver seule avec François pour toute la journée. Trois jours avaient passé depuis son dépucelage, et s’il avait observé l’interdiction qu’elle lui avait faite de se masturber, il devait piaffer d’impatience. D’ailleurs, à chaque fois qu’elle croisait son regard, elle sentait dans ses yeux une tension presque douloureuse.
Une fois Alain et Constance partis, Laure décida de jouer avec le garçon un peu plus en se retirant dans sa chambre pour une heure. Elle espérait presque qu’il défonce sa porte et qu’il la viole debout contre le mur, mais il était manifestement encore trop timide pour cela. 
Alors Laure prit le temps de se maquiller de la manière la plus sexy possible. Elle enfila un bikini qui mettait en valeur sa poitrine pas très conséquente, mais bien ferme. Elle choisit une paire de lunettes de soleil à grands verres qui cachaient totalement ses yeux, saisit un livre qu’elle n’avait aucunement l’intention de lire, sortit de sa chambre et descendit l’escalier en faisant bien attention d’être aussi bruyante que possible, afin que François ne puisse ignorer ses mouvements.
Elle mit de la musique de danse sur l’appareil que Constance avait installé pour sonoriser l’espace de la piscine. Elle disposa deux fauteuils face à face sur la terrasse de la piscine, prit position sur l’un et posa ses pieds sur l’autre. Telle qu’elle était placée, elle faisait dos à la villa, juste en face de la chambre de François. Elle prit son livre et fit semblant de lire, tout en caressant de manière nonchalante ses jambes et ses cuisses. 

Tout son petit manège était calculé pour inciter le garçon à la rejoindre, avec à peu près autant de subtilité que si elle avait déversé dans son sillage un bidon entier de phéromones. 
Et effectivement, il ne fallut pas plus de quelques minutes pour qu’elle entendit des pas sur les dalles de la terrasse. Elle ne bougea pas, laissant François prendre l’initiative. Il s’approcha d’elle, murmura quelques mots qu’elle entendit à peine, puis l’embrassa dans le cou. Elle se laissa faire, et pencha la tête en arrière pour lui offrir ses lèvres. Cette fois, la timidité du jeune homme avait disparu. Il lui roula une pelle avec insistence, investissant sa bouche de sa langue. Il lui pelotait les seins d’une main, et vint se placer devant elle agenouillé entre ses cuisses. Il commença à faire glisser le bas de son bikini sur les cuisses de Laure, bien décidé à la posséder sans plus de procès.
Laure sentait son ventre couler d’excitation. Elle aussait avait envie de sentir sa queue en elle. Mais elle avait un autre plaisir en tête avant. Rompant le baiser, elle murmura à François:
— De quoi as-tu envie François?
— De vous Laure, répondit le garçon avec impatience, j’ai envie de vous. Je n’en peux plus, cela fait trois jours que je ne pense qu’à vous.
— Alors attends un peu, dit-elle avec un sourire enjoliveur. Je voudrais t’apprendre quelquechose. Assieds toi sur ce fauteuil, fit-elle en désignant le siège qui faisait face au sien.
François, fébrile mais docile, obtempéra. Il ne portait qu’un short et un T-shirt, et la bosse impressionante qui tendait le tissu au nivau de on entre-jambe témoignait assez de son excitation.
— Déshabille toi, lui ordonna Laure.  
Le jeune homme retira ses vêtements. Nu, il s’avança vers elle, mais elle posa un pied sur sa poitrine et le repoussa gentiment, jusqu’à ce qu’il s’assied à nouveau. Son érection pointait maintenant vers le ciel, et Laure admira encore la beauté de ce sexe tendu.
— Vois-tu, lui dit-elle, si tu veux vraiment être un bon amant, il faut que tu sois en pleine confiance avec ta partenaire, et avec toi même. Tu dois pouvoir te dévoiler sans aucune gêne. Et il y a une excellente manière d’y arriver. Ce n’est pas si facile que çà, tu vas voir. Tu vas te caresser devant moi. Je veux voir comment tu fais.
François parut un peu incertain, alors Laure se pencha en avant, ôta ses lunettes pour dévoiler ses yeux maquillés de manière outrancière pour une heure si matinale, plongea son regard dans celui du garçon et dit:
— Branle-toi François, montre moi comment tu te fais plaisir.
Sans la quitter des yeux, il posa sa main sur la base de sa verge, la serra dans son poing fermé, et commença des petits va-et-vients le long du membre dressé.
Laure, les yeux fixés sur ce spectacle, passa une main sous le haut de son bikini et commenca à caresser ses propres seins. Elle était maintenant trempée d’excitation. 
— Continue mon chéri, dit-elle d’une voix un peu rauque, je veux te voir te faire du bien.
Pendant que les mouvements de François prennaient de l’ampleur, Laure se débarrassa du haut, puis du bas de son bikini. Elle se mit à faire tourner les pointes d’un sein entre ses doigts, puis ouvrit les jambes, dévoilant à François sa fente humide. Elle posa un doigt sur son clitoris et commença à se caresser à son tour comme elle aimait le faire toute seule dans son lit.
Tout en faisant cela, elle eut une pensée fugace pour son amie Isabelle, qui lui avait expliqué il y a des années le plaisir qu’elle trouvait à se masturber ainsi en face de son partenaire, et la lberté que cela avait apporté à leurs rapports. Laure n’avait jamais essayé, et elle découvrait maintenant à quel point cette expérience pouvait être excitante. Elle était partagée entre le plaisir qu’elle se donnait, la beauté du spectacle de cet homme qui se caressait devant elle, et la frustration de ne pas pouvoir encore le prendre entre ses cuisses. Tout cela formait un cocktail totalement enivrant.
François avait maintenant fait glisser sa main plus haut sur sa queue. Il agrippait son sexe juste au dessous du gland, et ses mouvements de plus en plus rapides faisaient apparaître et disparaitre l’extrémité gorgée de sang de sa verge. 
Laure plongea un doigt dans sa chatte. Il en sortit ruisselant, et elle étalait la cyprine sur et tout autour de son clitoris, lui aussi gorgé de sang. Elle écarta les jambes un peu plus. Ses genoux touchaient ceux de son jeune amant. Elle se laissa glisser un peu en avant sur le fauteuil, releva les jambes et les fit passer par dessus les cuisses du garçon pour se reposer sur elles. Ils étaient ainsi si proches l’un de l’autre qu’en tendant les doigts elle aurait pu toucher son érection. Mais elle se l’interdit et continue à faire virevolter ses doigts sur son bouton, allant de temps à autre fouiller son ventre d’un, puis, deux, puis trois doigts. 
Lorsqu’elle sentait François trop proche de l’éjaculation, elle lui imposait un ralentissement de rythme, au cours duquel soit il saisissait la base de sa hampe, soit il serrait dans sa main son gland tumescent, sans mouvement. Mais à chaque fois, après une dizaine de seconde, il reprenait sa masturbation avec plus de vigueur.
Laure avait maintenant la main aussi trempée que sa chatte. Elle porta ses doigts à ses lèvres et les lécha puis les suça un par un, les yeux plantés dans celui du garçon. 
Le spectace de cette femme magnifiquement maquillée, nue, les jambes grandes ouvertes, dont la langue parcourait ses longs doigts luisant de mouille, fit basculer François au delà du point de non retour.
Son sexe se contracta, puis cracha un puissant jet de foutre, qui parcourut une parabole parfaite avant de s’écraser sur le ventre de Laure, y déposant une longue trainée blanche de la base des seins jusqu’au pubis.
Un second jet, plus puissant encore, vint la souiller jusqu’entre les seins. Le troisième fut moins vigoureux et vint couvrir de sa semence la toison parfaitement entretenue de Laure. François continua à éjaculer par petites saccades qui glissèrent le long des ses doigts et jusque sur le dallage de la terrasse.
Laure était fascinée par le montant de sperme qu’il avait projeté sur elle, mais elle se rappella que puisqu’elle lui avait demandé de s’abstenir depuis trois jours, il devait avoir les couilles pleines à craquer.
Ses doigts à elle étaient maintenant couverts d’un mélange du sperme de François et de sa propre cyprine. Elle en sentait les effluves mêlés. Elle sentait sur sa peau un rayon de soleil qui perçait maintenant les nuages avec un timing parfait. Elle se laissait bercer par la musique qui noyait toujours le jardin. Et c’est sur un air de tango qu’elle se laissa porter à son tour vers l’orgasme. Celui ci explosa en elle presque immédiatement, la submergeant vague après vague, et la laissant pantelante, les nerfs à fleur de peau, radieuse.
Les deux amants ne bougèrent pas pendant une minute ou deux, silenicieux, reprenant leur souffle et leur esprit après ce qui avait été pour l’un comme pour l’autre un moment d’une intensité rare.
Laure constata avec surprise que malgré son éjaculation, François n’avait pas entièrement débandé. Il l’observait avec un désir apparemment intact. Laure n’aurait pu supporter une pénétration à cet instant précis, son clitoris était trop sensible après l’orgasme qu’elle venait de vivre, mais elle ressentait elle aussi l’envie de faire l’amour au jeune homme. 
Alors elle se laissa glisser à genoux devant lui et prit sa queue à demi érigée entre ses lèvres. Elle fit glisser sa langue sur la hampe, aspira la semence qui la couvrait encore. Elle savait que beaucoup de femmes n’aimaient pas le goût du sperme, mais elle n’avait jamais eu cette aversion. Au contraire, elle associait cette saveur un peu âcre à la jouissance qu’elle savait provoquer chez un homme, et s’en délectait. C’était évidemment un plaisir plus cérébral que gastronomique, mais il n’en était pas moins réel.
Il ne fallut pas très longtemps à François pour recouvrer sa pleine vigueur. Et Laure elle même se sentait à nouveau prête. Elle abandonna son pénis leva le visage vers lui, et luis murmura:
— Fais moi l’amour maintenant François.
À ses mots, le garçon la releva, la prit des ses bras, la porta jusqu’à une chaise longue matelassée à quelques mètres d’eux. Il l’y déposa sur le dos, la força à écarter les cuisses et la pénétra immédiatement.
Laure jouit presque immédiatement. Ni l’un ni l’autre ne se retenait plus. François lui dévorait la bouche. Elle répondait à ses baisers avec ardeur. Elle referma ses jambes autour de la taille de son amant pour l’attirer plus profondémment en elle. Elle lui enjoignit de la défoncer, ce qu’il fit avec toute la vigueur de ses dix-neuf ans.
Cette fois c’est Laure qui jouit la première. Elle le lui cria:
— Je jouis mon chéri, vas-y, continue, vas-y fort, je jouis François, je jouis…
À ces mots il explosa à son tour, la fécondant encore d’une semence abondante, avant de s’immobiliser, épuisé, puis de se retirer d’elle pour s’allonger à ses côtés.
Laure, couchée sur le dos, les cuisses ouvertes, sentait le sperme s’écouler de sa chatte. Elle se remettait lentement de cette étreinte animale. Elle se tourna avec un grand sourire vers le jeune homme et lui murmura avec affection:
— Tu as réussi ton examen avec mention mon chéri. Maintenant repose-toi un peu. La journée ne fait que commencer.
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