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Les vacances de Marie

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Marie seule en vacances en profite pour faire des rencontres très chaudes et jouir de la vie. Son mari candau et bi l’incite dans ses débauches, elle doit tout lui raconter en détail, c’est ainsi qu’elle se retrouve avec trois étalons... Tous les personnages et les situations sont vrais, mais le récit est bien sûr un peu romancé.
Je pars souvent en vacances à l’hôtel sur la Côte d’Azur. ... SEULE !
Les obligations professionnelles de mon mari le retiennent fréquemment à l’étranger, parfois pour de longs séjours. Aussi j’en profite un maximum pour jouir de la vie.
Mon mari candau m’encourage dans mes débordements sexuels et mes vices, il aime que je lui raconte mes aventures dans le détail. Lui de son côté ne se prive pas et me narre aussi ses rencontres bi et homo et même hétéro.
Ainsi très souvent séparés, nous relatons par longs mails nos errances sexuelles hasardeuses et anecdotes salaces, mais tellement jouissives.Voici un mail que je lui ai envoyé :
La nuit précédente avait été très « chaude » comme tu le sais, j’avais besoin de me reposer. J’étais à la piscine pas très loin du bar pour me détendre. Mon string était trempé de mouille par ta faute après avoir lu ton dernier message tellement « hot » avec un groom de ton hôtel. J’étais très excitée.
Allongée sur sur mon transat les seins à l’air, j’avais les cuisses écartées et mes lèvres vaginales toutes gonflées dépassaient de la ficelle détrempée entre mes jambes. Plusieurs hommes s’en étaient rendu compte et me mataient sans se cacher, deux d’entre eux se massaient discrètement la bosse déformant leur slip de bain en me faisant des œillades. Ils ne me plaisaient pas vraiment et je voulais continuer mon exhibition qui m’excitait au plus haut point.
Un des barmans, 35 ans environ, avait vu le manège, il s’était rendu compte de mon état. Il est venu pour me demander si je désirais quelque chose. Il était debout devant moi, son regard allait de mon visage à mon sexe enflé de désir bien visible.
Il souriait, il était beau, grand et musclé type italien. Sa braguette toute gonflée à hauteur de mes yeux me donnait des chaleurs.
Je ne sais pas ce qui m’a pris (ou peut être l’excitation avec toi) je lui ai répondu :
— Ça, lui montrant sa braguette du menton en me léchant les lèvres. Il a ri. — Pas de problème si vous pouvez attendre, elle est pour vous, ce soir je finis à 22 heures.
J’étais à la fois confuse et heureuse.
— OK, mais pas pour un coup rapide.— Non, dit-il, ce sera pour la nuit, vous m’excitez tellement, j’ai très envie de vous depuis que vous êtes là en train de vous gratter et caresser le sexe devant tout le monde en regardant votre tablette. Cela fait une heure que vous me montrez votre chatte, je n’en peux plus, il faut que je vous baise. J’espère que vous aimez les gros calibres.
A vingt-deux heures, je l’attendais assise à la terrasse vêtue très légèrement d’une robe transparente, laissant mes seins quasi à l’air, ouverte jusqu’au ventre sans culotte bien sûr. J’étais indécente. Tous les hommes de l’hôtel me tournaient autour me faisant des signes. J’étais aux anges déjà très excitée.
Vittorio alias Vito, mon barman, arriva accompagné d’un collègue un peu plus âgé. Un black baraqué et beau comme un dieu qui se présenta :
— Jordan, nous cohabitons pour la saison ; les belles femmes comme vous m’appellent Jordi. — Enchantée, vous êtes libre ce soir ?— Pour vous entièrement à votre disposition, et même plus pour votre plaisir.
Vittorio n’avait même pas envisagé de me baiser seul tellement j’avais l’air salope et affamée de sexe.
— Une troisième queue ne serait sans doute pas de trop pour te satisfaire. J’ai un ami tunisien monté comme un âne qui se ferait un plaisir de se joindre à nous si tu le désires.— Bien sûr, avec plaisir invite-le vite, je ne doute pas qu’à trois vous saurez me rassasier... !!!
J’étais au comble de l’excitation je les voulais tous les trois pour moi seule. J’allais sucer, être enfin baisée et plus bien sûr par trois belles bites, j’étais folle de joie.
Ils m’emmenèrent dans leur studio en désordre sous les toits dans un quartier un peu sordide où le Tunisien nous rejoignit et se présenta :
— Je m’appelle Najid, je suis rebeu, j’espère que...
Je lui coupai la parole le prenant par le cou pour l’accueillir :
— Bonsoir Najid, vous êtes beau, fort c’est tout ce qui m’importe, mon cul n’a pas de frontière.
Je me collai à lui, l’embrassai à pleine bouche, massant déjà la grosse bosse de son jean. Après ces présentations, nous avons trinqué avec un whisky en écoutant de la musique. Jordan m’a prise dans ses bras pour me faire danser. Serrée contre lui, il me tenait par les fesses pour me plaquer contre la belle bosse de son pantalon, il m’embrassait à pleine bouche. Je sentais sa queue grossir et rouler sur mon ventre. Les deux autres me retirèrent ma robe et se collèrent derrière moi, me serrant plus fort, frottant leurs bites sur mon cul. Je mouillais comme une vraie salope, leur abandonnant mes lèvres et mon corps, j’étais nue entre eux, heureuse.
Excitée au plus haut point, mes mains ouvrirent leurs braguettes et plongerent, palpant leurs queues déjà bandées
Elles étaient belles, très grosses, longues, ENORMES... et juteuses à souhait. Je me suis laissée glisser, à genoux entre les trois paires de cuisses musclées pour les prendre en bouche. C’était délicieux, mais tellement énorme, j’avais des difficultés pour les enfoncer loin entre mes lèvres et bien les sucer.
Trois bites pour moi toute seule, le paradis, ma bouche allait de l’une à l’autre salivant sur leurs gros glands mafflus en essayant de les enfoncer le plus loin possible jusqu’à ma glotte.
Avec la belle queue de Vittorio, j’y arrivais presque à fond, mais avec les deux autres, impossible.La trique d’ébène de Jordan était vraiment très grosse et longue, au moins vingt-cinq centimètres. Quant à celle de Najid, elle était hors norme, jamais vu une bite pareille. Une pine d’âne véritablement avec un énorme gland très évasé en forme de champignon plus large que la hampe et de grosses couilles poilues qui pendaient. J’avais du mal à la faire rentrer dans ma bouche.
Pourtant, je les suçais avec fougue et ils appréciaient avec des grognements de plaisir. Très vite, ils voulurent autre chose, Jordan me prit dans ses bras et m’allongea sur le petit lit défait. Aussitôt, Vittorio à genoux m’écarta les cuisses pour me lécher la chatte et le clito. Il gobait mes grandes lèvres et les tirait sur le côté pour enfoncer sa langue loin dans ma moule qui dégorgeait un jus odorant, il s’en délectait, puis il remontait sur mon bouton décapuchonné pour l’aspirer, le pied.
Les deux autres présentaient leurs monstrueuses pines à ma bouche pour que je continue de les sucer. Je les tenais par le manche, mes doigts ne faisant pas le tour, je passais ma langue tout le long et descendais jusque sous leurs grosses couilles pendantes que je gobais. Le plaisir montait.
— Elle est bonne la salope, elle me suce les roustons j’adore, vas-y fais-moi bander encore plus pour que je te baise fort et t’éclate la chatte, dit le Black.— Moi c’est dans ton cul que je vais me régaler, tu vas souffrir, mais jouir comme jamais, dit Majid en me mettant son énorme pieu dans la main pour que je le branle.
Je jouissais déjà sous la langue de Vittorio qui n’en pouvant plus, se releva pour venir m’enfiler sa bite d’une seule poussée dans le vagin, me baisant comme un fou, comme un marin en manque depuis plusieurs mois.
Il me ramonait avec force de toute la longueur de sa queue. Il allait bien au fond, déclenchant en moi des ondes de plaisir qui me parcouraient jusqu’aux orteils. J’avais une bite dans la bouche, une dans la main et celle qui me baisait gonfla encore et déversa tout au fond de ma moule qui se contractait d’impressionnantes giclées de sperme. Vittorio jouissait dans moi en hurlant des obscénités.
— Ah la pute, la salope, elle me vide les couilles, sa chatte m’aspire le jus... la pute ... la pute ... quelle bonne chienne.
Moi aussi je jouissais, ses coups de queue, ses giclées chaudes sur mon utérus et ses insultes me firent partir dans un orgasme violent. Je criais de plaisir malgré la bite noire dans la bouche.Vittorio se retira de moi et s’allongea à côté pour reprendre son souffle.
Je n’ai pas eu le temps de me reposer, aussitôt Jordan s’installa entre mes jambes largement ouvertes. Son énorme queue à la main, il frottait son gland noirâtre sur les lèvres de ma chatte ouverte dégoulinante de foutre.
— Il a bien fait de te graisser, le rital, maintenant tu vas enfin avoir une vraie bite pour te baiser, tu vas bien la sentir ma grosse queue, je vais te faire reluire, tu vas en redemander.
Son gland bien ajusté sur l’entrée de ma moule, il força doucement pour me pénétrer. Sa queue glissa lentement en moi, écartelant mes parois vaginales durement comme si je ne venais pas d’être baisée, juste avant et pleine de sperme. Je la sentais monter en moi, m’envahir, me remplir. Il avait l’habitude et savait que son pieu énorme pouvait faire des dégâts en cas de brusquerie, mais il était patient et tendre. Ça faisait un peu mal, mais c’était tellement délicieux d’être prise par une si grosse bite toute douce. Il continua sa lente progression dans mon vagin, l’ouvrant avec force et délicatesses, inexorablement son gland me pénétrait. Il s’immobilisa pour que je m’habitue à cet énorme bélier au fond de mon ventre, c’était fort et merveilleux. Il s’allongea sur moi, peau contre peau, et m’embrassa tendrement, nos langues se mêlaient avec fougue et passion.
Subitement, il donna un grand coup de reins logeant en force les dix derniers centimètres de sa hampe dans ma chatte et buta au fond de moi, remontant mon utérus très loin dans mes entrailles, ses couilles se collèrent à mon périnée. Je criais de surprise et de douleur sous la violence de l’impact. C’était brutal, j’avais l’impression d’être défoncée, éventrée, violentée par cette énorme chose vivante qui me faisait mal et en même temps tellement de bien et me comblait.
Immobile, Jordan m’embrassait toujours, me laissant le temps de m’habituer à sa grosse bite, un grand bien-être montait en moi, il commença un lent retrait de son pieu me laissant une impression de vide. J’avais besoin de me sentir entièrement remplie, je saisis ses fesses et le tirais vers moi pour qu’il se renfonce. Mon beau black commença alors un lent va-et-vient dans ma chatte se retirant jusqu’à la collerette du gland puis se renfonçait en douceur déclenchant dans mon vagin mille éclairs de plaisir et encore plus lorsqu’il refoulait le fond, c’était merveilleux.
Il me baisait maintenant à un rythme plus rapide, se retirant en s’enfonçant jusqu’aux couilles qui battaient mes fesses avec des bruits mats. Ma chatte s’était bien habitée, elle était tout ouverte à sa grosse queue qui me faisait un bien inouï. La jouissance montait dans mes reins, m’envahissait. Plus il me pilonnait et me défonçait, plus je coulais sur son imposant manche, faisant une couronne de crème blanche à sa base. J’étais arquée sous lui, j’en voulais toujours plus, plus loin, plus fort. J’étais comme dans un rêve, baisée de plus en plus vite et fort, je sentais sa queue gonfler encore tout au fond de mon abdomen me rendant folle de volupté. Ma gaine vaginale palpitait autour du gros tuyau et massait le gland fouisseur. Jordi haletait. En plein effort il s’immobilisa, la bite entièrement logée de mon gouffre, pubis contre pubis, dans un grognement de bête, il jouissait, secoué de tressaillements qui projetaient son plaisir avec violence sur ma matrice en feu.
Il me remplit de sperme brûlant déclenchant en moi un orgasme monstrueux qui me dévasta de bonheur me laissant inerte sur les draps trempés. Il s’écroula sur moi pesant lourd, la queue toujours logée dans ma moule baveuse, nous récupérions en dégustant notre jouissance.
Après quelques instants à savourer le bien-être post-orgasmique, je relevai la tête et là je vis :
O surprise :
Vittorio agenouillé tenait d’une main l’énorme braquemart de Najid assis sur un pouf. Il lui léchait les couilles, puis remontait et s’efforçait d’enfoncer dans sa bouche le monstrueux gland. De son autre main, il masturbait sa queue bien raide. Le Tunisien voyant que j’étais revenue à moi et disponible releva la tête de son suceur :
— Va préparer le cul de cette salope pendant qu’elle me lèche pour que je puisse l’enfiler sur mon zob. Ouvre-lui bien le fion et graisse bien sa rondelle sinon elle va douiller.
Le rital ne se fit pas prier, il me disposa à genoux au bord du lit, la croupe bien relevée et cambrée, il écarta mes fesses dodues découvrant mon anus frémissant et se mit à le lécher en salivant beaucoup dedans.
Hummmm j’adore qu’on me fasse feuille de rose, mon anneau bien souple palpitait et s’ouvrait facilement, laissant sa langue baveuse s’introduire loin et chatouiller mon intérieur brûlant. Il faut dire que j’ai l’habitude de ce côté, j’aime la sodomie. Je m’étais préparée pour venir à ce rendez-vous, lavement, huile, crème assouplissante sur ma corolle et à l’intérieur de mon conduit anal, ensuite je m’étais mis toute la soirée mon plus gros plug : mon cul était prêt.
Vito alternait la langue et les doigts pour m’ouvrir le troufignon. Un doigt, puis deux, puis trois, mon œillet était bien souple et laissait libre le passage, j’adorai ce doigtage en profondeur. N’y tenant plus, il se releva la bite à la main, pointant son gland sur mon trou ouvert, il s’enfonça entièrement d’une seule poussée dans mon croupion.
Wouaaaaaahhhh..... que c’est bon une bite dans le cul jusqu’aux couilles qui tapent sur mon clito.Il était fou de luxure, il m’enculait avec rage, son ventre tambourinait sur mon gros joufflu, il me défonçait l’anus. Il allait vite de toute la longueur de sa belle queue dans mon boyau souple, il prenait un pied phénoménal à me prendre par le petit trou qui lui serrait bien le nœud, moi aussi je jouissais déjà.
C’était tellement fort qu’il était prêt à tout lâcher au fond. Mais le Tunisien ne voulait pas qu’il me graisse le conduit avec son foutre. Il tira subitement le rital en arrière avant qu’il ne me jute dans le cul.
— Ne lui jouis pas dedans, je la veux ouverte, mais pas remplie de foutre pour lui lubrifier le conduit. Je veux qu’elle sente bien mon gros ZEB lui ouvrir le fion et s’enfoncer dans ses entrailles jusqu’à sa merde. Elle va savoir ce que c’est de se faire enculer par un rebeu, elle en redemandera.
(Il ne savait pas qu’il n’était pas le premier arabe à m’enculer, je n’ai rien dit)
Vittorio n’en pouvant plus se plaça aussitôt sous moi tête-bêche planquant sa bouche sur ma chatte et mon clito aspirant ma mouille. Il força ma bouche avec sa queue qui sortait de mon anus. J’absorbais cette pine odorante et la léchais avec délice, l’enfonçant dans ma gorge. Des frissons de ma jouissance anale me parcourraient encore, alors que je suçais avidement la bite qui venait de m’enculer. Je le pompais si bien qu’il ne put se retenir de jouir. Il gicla avec force au fond de ma gorge remplissant ma bouche de son épais jus de couilles. Les giclées n’en finissaient pas d’inonder ma langue, j’avais du mal à tout avaler, le sperme coulait au coin de mes lèvres.
Quel vice, mais quel bonheur.
Najid debout derrière moi, sa bite d’âne à la main se régalait de voir mon trou de cul resté bien ouvert entre mes fesses largement épanouies, il écarta encore plus mes jambes, me fit creuser les reins, frottant son énorme gland violacé sur ma corolle béante et humide de mon jus (je mouille du cul). Avec son gros champignon, il faisait des ronds sur mon œillet pour bien le détendre, c’était agréable. Puis il forçait un peu au centre du trou qui résistait encore à ce colossal envahisseur.
Il était patient, il continuait ses caresses du bout du gland sur le pourtour de mon sphincter pour l’amadouer puis revenait l’ajuster sur ma grotte et donnait de petits coups de reins pour forcer mon anneau à s’ouvrir complètement. Petit à petit, mon cratère s’élargissait douloureusement, je sentais la tête du nœud me pénétrer de plus en plus, distendant mon muscle anal endolori. Voyant le passage s’élargir, il laissa son gland dans l’ouverture de mon croupion et força pour pénétrer. C’était horrible, mon anneau culier se dilatait me faisant souffrir, j’avais l’impression qu’il se déchirait. Son énorme mufle progressait lentement dans le conduit qui s’élargissait, laissant le monstrueux champignon dilater le couloir sombre de mes entrailles. Un autre fort coup de reins et la tête de son gros gland avait franchi ma rondelle frémissante qui déjà se resserrait autour de la collerette.
Il s’immobilisa un moment pour que mon œillet s’habitue au bélier prêt à foncer.
Après avoir beaucoup crié, je soufflais enfin, la douleur s’estompait, mon anus se relâchait. Un plaisir diffus montait dans mon ventre me faisant remuer du bassin autour du manche que je sentais vibrer dans mon cul, j’étais bien, jamais je n’avais eu une bite aussi grosse dans le fion.
Alors, Najid redevint le taureau qu’il est et d’une brutale secousse en avant, il enfonça sa bite d’âne de moitié dans mes reins me faisant à nouveau crier. Son gland monstrueux se frayait un passage distendant mes muqueuses anales, j’avais l’impression qu’il m’ouvrait en deux. Je sentais son gros manche coulisser en moi, monter dans mon intestin et buter au fond. C’était éprouvant, mais en même temps apaisant, je me sentais remplie. Le plaisir remplaçait la douleur, je voulais le sentir plus, je commençais à bouger et faire coulisser mon gros cul sur sa belle hampe.
— Vas-y ma salope, encule-toi sur mon gros Zob, profite de la bite du rebeu pour bien jouir.
Najid était heureux de mon initiative, il me tenait par les fesses et les claquait de temps en temps pour me stimuler à aller plus vite et plus loin. Sa queue coulissait maintenant facilement dans ma buse anale avec des bruits mouillés. Je la faisais ressortir presque entièrement jusqu’au gland et d’un coup de reins je m’emmanchais à fond de cul. C’était si bon, j’en voulais encore et encore, allant et venant sur ce pieu du plaisir qui me taraudait le ventre, je m’enculais.
La jouissance éclata d’un coup, un plaisir inattendu, énorme me ravagea les entrailles. Je ne me maîtrisais plus, je criais et pissais sous moi sans pouvoir me retenir. Un orgasme jamais ressenti m’emportait, j’avais perdu le contrôle de mes sens et de toute dignité, seule comptait la félicité qui envahissait mon corps et l’énorme pine que j’avais dans le cul.
Najid ne bougeait plus attendant que je me calme pour reprendre mon enculage.
Au bout d’un moment, il ondula du bassin pour faire tourner sa queue dans mon anus, c’était délicieux et prolongeait ma jouissance.
Au bord de l’explosion lui aussi, il me demanda de ne pas bouger, voulant seulement laisser partir quelques giclées de foutre dans mon boyau pour relâcher un peu la pression dans ses couilles.
Hummmmm !!! Que c’est délicieux de sentir une bite se contracter pour éjaculer un jus épais et chaud dans le fond de mon cul en feu, une sensation de plénitude et d’apaisement.
Je glissais mon bras entre mes cuisses ouvertes pour caresser ses gros roustons poilus, ma main les soupesait en les malaxant. Mes doigts remontaient à la base de sa queue, mais ne pouvaient faire le tour de son gros manche. Je m’aperçus qu’à peine la moitié de sa bite était logée dans mon anus. La voulant tout entière en moi, je repris les allées et venues de mon cul sur sa pine, forçant avec de violents coups de reins en arrière pour l’enfoncer à fond et me sentir encore plus remplie, mais en vain.
— T’affole pas, ma belle pute, je sais me retenir, j’ai encore beaucoup de réserve dans les burnes. Tu l’auras en entier mon Zob dans ton joli cul, laisse faire Najid, il a l’habitude, il va bien t’emmancher jusqu’aux couilles, ça risque de faire encore un peu mal, mais ensuite tu vas goûter un plaisir jamais ressenti et je te donnerai tout mon sperme je te le promets.
C’est le moment que choisit Jordan pour venir se placer devant moi, les genoux de chaque côté de mes épaules assis sur ses talons, son imposant boudin noir dressé devant ma bouche. Sans me faire prier, je l’enfournais, difficilement, mais profondément, le suçant avec délice les lèvres complètement distendues. Une queue dans la bouche, une dans le troufignon le paradis... ou presque.
C’est ce qu’a dû penser Vittorio en venant derrière Jordan lui soulever les fesses et de ses doigts mouillés de salive doigter l’anus de mon beau black qui roulait des yeux de contentement. Se baisant un peu plus, le rital ajusta la tête de sa queue bien raide sur la rondelle assouplie entre les fesses noires maintenues écartées et encula gaillardement son copain. Jordan poussa un grognement de plaisir cambrant les reins pour mieux s’offrir à la belle pine qui lui défonçait l’oignon, il aimait ça. Une bouche qui le suçait pendant qu’une queue lui faisait reluire l’anus, que demander de plus pour jouir à fond.
Najid la pine toujours à moitié figé dans mon croupion me claqua durement les fesses pour me faire revenir à lui et reprendre mon pistonnage sur sa grosse tige noueuse.
Je montais et descendais sur le pal monstrueux, forçant pour le faire entrer plus loin dans mon anus dégorgeant de son sperme, produisant des bruits mouillés obscènes. Une pâte jaunâtre à l’odeur forte dégoulinait de mon troufignon le long de sa queue s’amassant à la base et dans ses poils.
Il me serra fortement les hanches et m’immobilisa pour commencer un ramonage plus puissant dans mon boyau culier bien gras. Il retirait son manche jusqu’à ressortir son énorme gland, la pointe toujours collée à mon trou du cul ouvert et le renfonçait brutalement, pour cogner au fond de mon rectum qui lui faisait obstacle. Bien que ce fut un peu pénible, j’avais du plaisir, j’aimais être prise en force, subir sa domination et ses assauts violents. Pour parfaire mon bonheur, j’avais toujours la bite de Jordan qui s’agitait au fond de ma bouche. Les coups de boutoir de mon rebeu me projetaient en avant, m’empalant la glotte sur le gros nœud black que je suçais. Bien vite des giclées de sperme visqueux me remplirent la bouche, il jouissait abondamment. J’avais du mal à avaler tout le foutre qui n’en finissait pas de jaillir de ses couilles. Le foutre me coulait partout sur le menton et dans le cou. J’adorais ça, j’étais sodomisée et souillée de jus gras, j’étais la salope de mes fantasmes.
Pendant que j’avalais le jus de Jordan, mon enculeur continuait à me labourer puissamment l’anus. Mon conduit anal bien gras me renvoyait des ondes de jouissance déclenchées par le monstre bienfaiteur qui me pilonnant de plus en plus vite et fort.
Soudain sous la poussée d’un coup de reins encore plus violent, mon rectum céda et s’ouvrit, livrant le passage au gros champignon qui envahit mon colon profondément. Toute la colonne pénétra mon œillet, j’étais emmanchée jusqu’à la garde sur une bite géante, j’avais l’impression que son gland allait ressortir par ma bouche. Je sentais ses couilles se coller à ma chatte suintante de bonheur et les poils rêches de son pubis gratter mes fesses.
J’avais trente centimètres de pine dans le cul jusque dans le colon, très loin, l’énorme champignon que faisait son gland pouvait s’y épanouir.
Un bien-être immense m’envahissait, une félicité jamais atteinte submergea mon corps. J’étais dans un monde de plaisir inconnu. Je jouissais de toutes mes fibres. L’envahisseur était partout en moi, il me remplissait, me comblait comme jamais. Des frissons de bonheur me parcouraient des pieds à la tête, ça n’arrêtait pas. Je sentais au fond de mes intestins la belle bite bouger, se retirer et revenir à fond, augmentant encore mon extase.
Najid reprenait ma sodomie. Il me fora et tarauda l’anus en puissance pendant longtemps. Son énorme bite me faisait un bien fou, il projetait son gland toujours plus loin dans mon gros colon m’emmenant à chaque coup de reins au paradis.
J’étais hors de moi, je ne m’appartenais plus. J’étais un puits de jouissance dans lequel il plongeait de plus en plus vite, avec toujours plus de délice.
Dans un grognement énorme, Najid JOUIT, éjaculant au plus profond de mon anus des litres de sperme gras qui remplissaient mon intestin et me comblaient de bonheur. Je sentais dans mon cul sa bite d’âne agiter de soubresauts, n’en finissant pas de projeter de grosses giclées de foutre brûlant qui commençaient à ressortir de mon anus et couler sur ma chatte et le long de mes cuisses. J’étais épuisée de jouissance et m’écroulais plat ventre sur le lit trempé de toutes sortes de jus.Najid me suivit s’écrasant lourdement sur mon dos la queue toujours logée au fond de mon anus dégoulinant. Il ne débandait pas.
Au bout de quelques instants de repos, des cris nous firent relever la tête pour voir Vittorio en train de jouir dans le fion de Jordan.
Ils cohabitaient bien ces deux-là... Les nuits devaient être chaudes.
Nous nous reposâmes un peu en nous désaltérant. Je pensais que j’avais trouvé le trio le plus vicieux qui soit et je m’en réjouissais, la nuit était encore longue.
Mes trois cavaliers avaient repris des forces, ils bandaient toujours et se pressaient autour de moi, me caressant les seins et pinçant mes tétons hyper-sensible, fouillant entre mes cuisses que j’ouvrais avec lubricité. Vittorio m’embrassait, me roulant des langues pas possible pendant que Jordan s’acharnait su mes seins qu’il trouvait magnifiques. Najid taquinait mon clito bien ressorti et me doigtait la chatte. Je branlais avec leurs bites toutes dures. Nous avions qu’une envie, recommencer, baiser, baiser, baiser et jouir sans fin de nous quatre.
Une idée vicieuse me traversa l’esprit. À genoux devant le lit, je les fis s’allonger sur le dos l’un contre l’autre et remonter leurs jambes bien écartées à la verticale. Je voulais voir leurs grosses couilles pendantes et leurs culs pour les lécher et les branler en même temps.
Quel magnifique spectacle pervers ces trois culs poilus sur lesquels pendaient les gros sacs ridés et au-dessus pointaient leurs belles queues bien raides. Je saisis d’une main le manche dur de Vittorio et de l’autre l’énorme pieu de mon rebeu préféré les branlant doucement. Je me penchais en avant et enfouis mon visage entre les fesses d’ébène écartées de Jordi. C’était chaud et humide, une odeur poivrée fit frémir mes narines : ça puait la sueur le foutre et le cul, j’adore les odeurs fortes.
Je tirais la langue et léchais sa corolle anale bien souple, j’y enfonçais la langue. Son œillet encore entrouvert par la sodomie palpitait de plaisir. Une main me prit derrière la tête et plaqua ma bouche sur la rondelle distendue, ma langue s’enfonça plus loin et frétilla dans le conduit brûlant qui se contractait de plaisir. Soudain une coulée grasse au goût abject me remplit la bouche, je ne pus qu’avaler le mélange de sperme et de chyle intestinal. Je me dégageais en force pendant qu’ils riaient. Ils m’essuyèrent le visage avec des lingettes hygiéniques et pour se faire pardonner Jordi me roula une grosse pelle, promettant de ne pas recommencer. Ils reprirent la pose, cul offert.
Changeant de place, je m’installais entre les fesses du rital et léchais son œillet serré, remontais avec ma langue sur ses couilles jusqu’à la base de sa queue, puis redescendais, il geignait de plaisir, lui aussi devait aimer la sodomie. Mes mains étaient occupées à caresser les deux autres bites. Je passais ensuite entre les cuisses de Najid. Il avait des fesses très rondes pleines de poils. Au milieu de cette broussaille, sa rondelle toute plissée avait des contractions attendant ma langue.Je plongeais mon visage dans ce beau joufflu et léchais avec ardeur son petit trou lui tirant de gros soupirs de plaisir. Ses couilles de taureau semblaient remuer dans leur sac velu et son impressionnant braquemart battait son ventre. Il aimait la feuille de rose et peut-être plus.
Très vite ils voulurent autre chose, moi aussi. Je voulais les sentir à nouveau en moi et je les voulais toutes en même temps. Avoir tous mes trous remplis, et jouir sans fin.
Najid s’allongeât sur le lit et me fit venir sur lui à califourchon, je m’assis sur sur son bas-ventre ma moule baveuse écrasée sur son braquemart. Il glissa une main entre nos ventres et avec le bout de son énorme queue il caressait mes lèvres vaginales, les évasait enduisant son gros champignon de ma mouille épaisse. Derrière moi, Jordan me caressait les fesses, les écartait largement pour glisser ses doigts sur mon anus encore entrouvert et luisant d’un mélange de jus odorants (je ne m’étais pas lavée). Il enfonça un doigt puis deux et me doigta le trou du cul c’était délicieux.
Vittorio lui s’acharnait sur mes seins pinçant et étirant les pointes durement à m’en faire mal et ça me faisait du bien.
Trois doigts tournant dans mon anus, une grosse bite à l’entrée de ma chatte, j’en voulais plus.Je me relevais légèrement sur les genoux, d’une main je redressais la queue de mon rebeu de l’autre j’écartais mes lèvres vaginales, j’ajustais le gland monstrueux à l’entrée de ma moule et m’empalais dessus faisant pénétrer difficilement le monstre dans ma grotte détrempée. Je sentais le gros manche monter en moi et me remplir le ventre de bonheur, mes parois vaginales se collant au bienfaiteur.
C’était merveilleux, mais je n’avais encore que la moitié du manche dans le vagin. Je fis des mouvements, tournant avec mon bassin, forçant vers le bas pour élargir mon minou. Najid me tenait par les hanches et donnait de petits coups de reins. Sa bite progressait dans mon conduit intime. N’y tenant plus je me relevais de moitié et d’un grand coup de cul en arrière, je m’emmanchais jusqu’à la garde. Ce fut violent, le bélier repoussait tout sur son passage remontant mon utérus et mes ovaires très loin dans mon ventre. Enfin je l’avais à fond dans ma connasse, je sanglotais de douleur et de bonheur, allongée sur son torse viril. Il m’enserra dans ses bras affectueusement et commença à bouger, se retirant et se renfonçant doucement dans mon manchon distendu par le champignon circoncis. C’était délicieux, je mouillais abondamment huilant l’énorme piston.
Le plaisir était là, je commençais déjà à partir quand des mains soulevèrent mes fesses, j’avais oublié mes deux autres amoureux........ de mon cul.
Je cambrais les reins présentant mon oignon, deux mains écartaient largement mes miches dodues et deux doigts pénétrèrent facilement ma corolle bâillante. En même temps, je sentis des cheveux chatouiller ma raie. Je jetais un coup d’œil derrière, c’était Vito penché qui tenait en main la bite de Jordi la suçant et salivant dessus, puis il la dirigea vers ma rondelle accueillante.
Hannnn... D’une seule poussée il me pénétra le fion, s’enfonçant sans difficulté dans mon conduit anal ouvert et gras de sperme.
Quel énorme morceau, et pourtant mon cul l’accueillit avec délice. Je m’offrais à la pénétration de deux monstrueuses queues qui se rejoignaient au fond de moi. Mes deux trous étaient remplis à craquer : plein la chatte et plein le cul, une merveille de plaisir.
Mes amants commencèrent à bouger en moi, alternant les pénétrations profondes, l’un se retirant l’autre se renfonçant en force dans mes entrailles en feu qui dégoulinaient de plaisir, leurs gros sacs de couilles battant l’un contre l’autre avec des bruits mouillés.
C’était le paradis, je jouissais sans arrêt écrasée entre mes deux mâles en rut limant mes orifices de plus en plus fort. Je criais mon extase, la bouche grande ouverte. Vito en profita pour m’enfoncer son dard au fond de la gorge, tous mes trous étaient comblés
j’étais ballottée en tous sens et j’avais du mal à sucer tant la jouissance m’emportait loin, je ne maîtrisais plus mon corps ni mes sens. J’appartenais à trois étalons prêts à jouir de moi et que plus rien ne pouvait arrêter.
Mon rital se lâcha le premier éjaculant de grosses giclées de foutre épais dans ma bouche. J’avais des difficultés pour avaler tant je jouissais moi aussi, le jus coulait de mes lèvres pour tomber sur le menton et dans le cou de Najid. Lui aussi ne put se retenir plus longtemps. La tête de son colossal épieu calée au plus profond de ma moule, il giclait, arrosant en force mon utérus.
— Wouahhh tu me fais jouir salope, ta connasse me pompe le chibre comme une putasse.
Le sperme chaud inondait mon manchon vaginal m’apportant la détente comme un baume apaisant. Je jouissais sans fin. En même temps mon beau black s’acharnait entre mes fesses, défonçait mon trou du cul en fusion, la tête de son gros nœud me ramonait le colon, il me défonçait le fion avec rage. Il explosa en criant :
— Tiens salope d’enculée, prends tout mon foutre dans ton gros cul de pute, je te jouis dans les boyaux........ t’aimes ça, grosse pouffiasse te faire remplir de jus de couilles.Haaaaaa... c’est bon de jouir dans une grosse dégueulasse....... une salope d’enculée.Houuu... ma belle salope que c’est bon de te remplir le cul....... jouir dans ta merde......Je t’aime ma salope chérie.
Il s’écroula sur moi, fou de jouissance continuant de me gicler dans l’oignon, ça dégoulinait sur ses bourses et celles de Najid. Lui aussi balançait encore quelques petites giclées de foutre dans ma minette ravagée. Arrosée de tous les côtés, remplie de sperme, les orgasmes n’en finissaient pas de me secouer. J’étais anéantie de jouissance et de fatigue, coincée entre mes merveilleux amants à qui je pardonnais les débordements verbaux, vulgaires, lubriques, qui m’excitaient.
Après un long repos, le rut les reprit. Mes baiseurs qui me caressaient et m’embrassaient faisaient renaître mes envies. Mes désirs de dépravée chassèrent ma fatigue. La nuit continua toujours aussi chaude. Nous n’en finissions pas de jouir et de nous découvrir dans des excès libidineux. Un autre moment de cette longue nuit de luxure me revient en mémoire.
Allongée à califourchon et emmanchée jusqu’à la garde sur la grosse bite de Jordi, Vittorio m’enculait allégrement, j’étais prise en sandwich, le bonheur. Soudain le rital s’immobilisa,Najid lui disait :
— Ne bouge plus et tends bien ton cul, je vais te le mettre, tu vas aimer le gros zob du rebeu.
La bite presque ressortie de mon troufignon, mon enculeur offrait sa rondelle à l’énorme manche. La pénétration sembla se faire sans trop de mal, mon italien soufflait et grognait de plaisir, il avait l’habitude de s’en prendre par là.
L’oignon bien empalé par le pieu de Najid, Vito me renfonça sa longue tige dans l’anus et reprit ma sodomie.
Il allait et venait allègrement, d’avant en arrière, me sodomisant et se sodomisant avec fougue à chaque mouvement, son double plaisir semblait énorme.
Najid lui prit les hanches et commença à ramoner en force le cul de mon amant, ce qui repoussait le dard de celui-ci toujours mieux dans mon anus. L’enculage en puissance s’accélérait. Mon beau black en profitait aussi, les coups de boutoir des deux sodomites m’emmanchaient encore plus fort et à fond sur sa grande pine noire. J’étais transpercée de part en part. Les bites allaient et venaient devant et derrière dans mes trous en fusion qui palpitaient de bonheur. Un orgasme ravageur me traversa, mes fourreaux intimes se resserrèrent et se contractèrent sur les membres fouisseurs qui m’empalaient, provoquant la jouissance générale. Jordi inonda le fond de ma moule de son foutre épais.
L’enculeur enculé explosa en hurlant se vidant à grands jets dans ma rondelle tapissant mon boyau de jus chauds. Il avait des soubresauts d’avant en arrière à la recherche de la jouissance sans fin, ne sachant plus quel côté lui donnait le plus de plaisir. Ses saccades arrière sur le grand zob déclenchèrent l’éjaculation de Najid qui se vida au fond du cul du rital.
Tout ceci n’aurait sans doute pas été possible sans les attributs exceptionnels de mes trois fouteurs.
Je me suis fait baiser et enculer toute la nuit, j’ai avalé des "litres" de sperme gras, j’ai joui et... rejoui en pensant à toi.
Ce matin, j’ai encore mal au cul, mais c’est si bon ... d’être une grosse salope.
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