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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Les vacances à la montagne

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Bérangère avait récupéré son petit-fils Pierre, 18 ans, à la gare. Ils prirent la route des montagnes pour se rendre dans le petit châlet qu’elle avait loué pour passer une partie des vacances d’été.
A 67 ans, Bérangère vivait pleinement sa retraite. Seule depuis 15 ans, elle s’était fait une croix sur une nouvelle relation avec un homme. Désormais, elle s’intéressait au fils de sa fille.
Elle était l’archétype de la grand-mère, ayant pris un peu de poids, une poitrine opulente et de grosses fesses. Ses cheveux blancs se perdaient dans sa chevelure poivre et sel. A l’issue de sa ménopause, elle devait prendre un traitement aux hormones, qui lui faisait monter le lait dans les seins. Il fallait qu’elle se trait régulièrement, elle le ferait le lendemain du jour du leur arrivée.
Le long du trajet, ils parlèrent des vacances à venir, excursions, visites et autres...
Le chalet, isolé du village, était modeste : il faisait deux pièces. Dans la chambre, un lit deux places accueillit les nouveaux arrivants. Bérangère laissa le choix à Pierre pour le côté du lit. Il prit côté fenêtre. La majeure partie de la journée était destinée à l’installation.
Alors que Pierre finissait d’installer la télévision, Bérangère descendit au village acheter quelques provisions. Il suivit les informations régionales :
« Un hold up venait de se commettre dans la ville à côté et les auteurs étaient toujours en fuite. »
Bérangère revint avec les courses. Pierre l’aida à tout transporter dans la cuisine. Ils mangèrent, regardèrent la télévision et allèrent se coucher vers 23 heures.
Un bruit.
Pierre émergea de son sommeil, ayant entendu un frottement dehors, juste à côté de la fenêtre. Il se redressa dans le lit, et vit le corps allongé et tourné vers lui de sa grand-mère. Elle dormait à poids fermés, sa chemise de nuit entrouverte, laissant apercevoir la large auréole du sein gauche. Cette vision fugitive, lui provoqua un début d’érection.
Un bruit léger attira son attention vers la porte d’entrée du châlet qui se trouve entre les deux pièces. Le temps qu’il réagisse, la porte s’ouvrit, il vit deux silhouettes rentrer dans le logement, et refermer précipitamment la porte derrière.
— Mamie...souffla Pierre.— Quoi? Sursauta la vieille dame.
Elle se redressa au moment où la lumière s’alluma dans la chambre. Un homme d’une trentaine d’années se tenait debout et les regardait. Son compère le rejoignit. Ils étaient tous les deux habillés en jeans, tee-shirt, ce qui faisait ressortir leurs muscles.
Bérangère ne fit pas attention à son sein gauche qui pointait hors de sa chemise montrant une auréole brune, large comme un patch anti-tabac.
— Karim, regarde, dit le premier avec un sourire, la mamie elle s’envoie un petit jeune!— Tu as raison, Flo, c’est certainement une grosse cochonne...
Les deux hommes s’approchèrent du lit où se trouvaient encore allongés Pierre et sa grand-mère. Bérangère était littéralement horrifiée et tremblait de tous ses membres. Karim tira la couette au sol.
— Ne nous faîtes pas de mal...demanda Bérangère.— On ne vous fera pas de mal, dit Flo, on vient seulement trouver un refuge pour la nuit.
Pierre fit immédiatement le rapprochement entre ces hommes et le reportage qu’il avait vu à la télévision. Il se garda bien d’émettre quoi que ce soit qui eut pu mettre leur vie en jeu. Il avait extrêmement peur lui aussi. Ses deux hommes ne lui disaient rien qui vaillent.
— Qui est-ce madame, la jeune personne qui couche dans votre lit? Demanda l’un d’eux.— C’est mon petit-fils.— Vous n’avez pas pu vous empêcher de dormir ensemble?— Le châlet est trop petit, monsieur...— Montrez-nous vos seins, madame...— Pardon?— Montrez-nous vos seins!— Ecoutez, je suis une vieille femme, je ne dirais rien et je me porte garante de mon petit-fils!
Karim se rapprocha de Bérangère, sortit un pistolet :
— Montre-nous tes seins mamie! Enlève cette chemise! Désormais, ne nous faîtes plus répéter, tous les deux!
Bérangère jeta un regard vers son petit fils et ôta sa chemise. Elle dévoila sa grosse poitrine dont les auréoles très larges entouraient des bouts de seins minuscules et sombres. Karim et Flo saisirent chacun un sein et malaxèrent la poitrine de la grand-mère de Pierre. Ce dernier, regardait sa mamie qui fermait les yeux et se laissait faire, assise dans le lit, les bras le long du corps. Elle espéraient qu’il ne s’aperçoivent pas que ses seins étaient gonflés par du lait qu’il faudrait traire.
Les deux hommes s’assirent sur le lit, de part et d’autre de Bérangère, Pierre se retrouvant au pied du lit. Ils sucèrent ses seins, rendant les auréoles brillantes de salive. Flo embrassa Bérangère, qui fermait les yeux.
— Ca fait combien de temps que tu n’as pas baisé, la vieille?— Euh...je...Depuis la mort de mon mari...— Il est mort quand?— Il y a quinze ans...
Karim plongea sa main dans la toison velue et grise de Bérangère. Il lui enleva sa culotte et commença à lui masser l’entrejambe. Ayant compris qu’elle allait passer à la casserole, Bérangère voulait encore protéger son petit-fils :
— Pas devant le gosse...dit-elle doucement à Flo, s’il vous plaît...implora-t-elle. Faîtes-moi ce que vous voulez, mais pas devant lui...— On verra, dit Flo en ôtant son pantalon.
Les deux hommes se mirent nus devant la pauvre femme, exhibant des chibres impressionnants, rien à voir avec celui de son regretté mari. Elle fut allongée sans ménagement en travers du lit, sa tête reposant à côté des genoux de Pierre, ses gros seins ballotants de chaque côté de son corps.
(à suivre)
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