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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Les vacances à la montagne

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Karim lui ouvrit ses jambes et caressa sa chatte grise du bout des doigts. Il ouvrit les lèvres intimes sombres et qui pendaient un peu.
— Vous vous branlez, madame? Lui demanda Karim.
Etant craintive, elle répondit :
— Non...— C’est tout sec, ça ! dit-il à Flo. Tu veux lécher pour humidifier?— Beurk, non!— Moi non plus...— Et le jeune homme, il ne veut pas nous lécher cette toison grise?
Pierre ne répondit pas. De ce temps, Flo approcha son sexe en semi-érection de la tête de Bérangère, craintive et qui cherchait à se protéger de ses mains. Flo lui dit :
— Allez! Mamie, ouvre ta bouche, et suce bien!
Bérangère ouvrit doucement la bouche et Flo, lui bloquant la tête avec ses mains, lui glissant son sexe dans sa bouche. Il se tendit sous la caresse :
— Aaaah! Sa bouche est aussi bonne que celle des plus jeunes!— Je me doute, s’exclaffa Karim. Tiens, viens ici, toi! Dit-il en faisant signe à Pierre.
Il se leva et s’assit à côté de Karim, entre les jambes grasses de sa grand-mère.— Bouffe-moi cette motte! dit Karim, en désignant le vagin de Bérangère.
Pierre chercha le regard de sa mamie, mais celle-ci avait la tête bloquée dans un étau et suçait à s’en étouffer la verge de Flo, qui avait grossie. Il sentit la poigne de ce dernier lui amener le visage au niveau de l’entrecuisse de sa mamie. Il n’avait jamais vu de sexe féminin de sa vie, quelques fois dans un film X. Mais ce sexe là, c’était celui de sa grand-mère. Et il savait que s’il n’était pas bien humidifié, elle allait morfler lors des pénétrations!
Des poils gris couraient sur toute la superficie du vagin, s’assombrissant dès qu’ils atteignaient les lèvres intimes. Elles étaient sombres à l’extérieur et rosée vers l’intérieur. Une vieille odeur d’urine s’émanait de l’ensemble, ce qui rebuta Pierre. De ses doigts, il caressa la chair fragile, constata que la peau de ce sexe n’était pas élastique, et que le tout bougeait comme un bout de steack. Il glissa deux doigts dans la fente un peu chaude, mais ne sachant que faire d’autre, il se tourna vers Karim. Il le vit entrain de se branler, faisait ressortir un sexe tout aussi imposant que celui de son camarade.
Bérangère savait qu’elle allait se faire baiser. Elle se concentrait un maximum pour essayer de ne pas s’étouffer de la bite de Flo. Elle sentit des doigts s’occuper agréablement de son sexe, pensant à ceux de Karim. Elle se faisait peur en se disant que ces bites ne pourraient jamais franchir l’entrée de son sexe, en raison de leur grosseur et en raison de sa sécheresse vaginale, qui sévissait depuis quelques années.
Pierre faisait de son mieux pour exciter cette vieille chatte, en y crachant et étalant avec ses doigts pour essayer de faire mouiller le tout. Il remonta à la jointure des lèvres et saisit le clitoris qu’il trouva fort gros, ressemblant à un petit gland. Il le pinça entre ses doigts et posa sa langue dessus, il sentit le bassin de sa mamie s’agiter.
Flo, se sentant près pour baiser, s’arracha de la bouche de la vieille. Karim prit sa place, mais fit baisser la tête de la pauvre mamie, de sorte qu’elle se retrouve sa tête à l’envers dans le vide. Il glissa sa queue dans la bouche et atteignit le fond de la gorge de la première poussée.
Pierre vit la gorge de sa grand-mère se gonfler et pousser un cri d’étouffement. Flo, de ce temps le poussa sur le côté et se positionna entre les cuisses de la vieille femme. Il posa son gland épais à l’entrée de la chatte de Bérangère et poussa doucement.
Le sexe impressionant pénétra, entraînant avec lui les chairs fragiles. Bérangère sentit une douleur atroce dans son ventre, elle se tendit, cherchant à se libérer de cette douleur. Mais la bite dans sa bouche, l’empêchait de prononcer quoique ce soit, et ses mains étaient posées sur les fesses de Karim.
— Alors, elle est bonne cette vieille? Demanda Karim.— Attends, j’ai à peine rentré le gland, c’est sec comme les pierres sa foufe...
Il retira son sexe et les lèvres du vagin se remirent en place. Pierre était horrifié par le spectacle, et terriblement excité. Flo cracha dans le vagin et sur sa queue, puis il l’enfourna dans la vieille chatte. Mais, même s’il alla plus loin cette fois-ci, le manque d’humidité compromettait la pénétration. Il se retira une nouvelle fois, et pour Bérangère, le calvaire se poursuivait.
Il écarta les cuisses de Bérangère pour les mettre en équerre, faisait ressortir l’entrée du vagin, et cracha une nouvelle fois dedans. Il changea d’appui, et enfonça sa bite jusqu’au fond cette fois-ci de la chatte de la mamie. Cette dernière poussa un hurlement, étouffé par la bite de Karim. Elle chercha à se soustraire à cette pénétration en bougeant du bassin, sans succés. Le sexe de Flo était bien fiché en elle.
Pierre voyait ce sexe épais distendre les chairs fragiles et rougies de sa grand-mère. Il avait à présent une franche érection que dissimulait son caleçon.
Se tenant à l’intérieur de ses genoux, Flo commença à imprimer un va et vient, mettant le sexe de la grand-mère dans tous les états. Bérangère, meurtrie par cette douleur atroce, recevait finalement des décharges électriques délicieuses le long de sa colonne vertébrale. Le bout de ses seins se mit à pointer, signa annonciateur de plaisir. Mais Flo, emporté dans sa fougue, martelait ce sexe à coups de boutoirs sans réellement se soucier d’autre chose que de son plaisir. Seuls les claquements de la chair contre la chair nourissaient ce silence. Au bout de cinq minutes de va et vient, il se retira et laissa sa place à Karim.
Ce dernier s’installa entre les cuisses de Bérangère, et s’enfonça dans la chatte brûlante, élargie et humide en raison des frottements précédents du sexe de Flo. Pierre vit le visage de sa grand-mère, couvert de salive et des plis soucieux à son front. Elle n’avait pas le visage souriant qu’il lui connaissait d’habitude.
— Aaaah! Elle est bonne cette vieille! Tu aimes la baise, vieille salope, hein? Dis-le!— Oui, j’aime la baise! Dit-elle machinalement.— On va te baiser, dit-il.
A nouveau une chevauchée effrénée défonça la pauvre chatte de Bérangère. Ses gros seins ballotant dans tous les sens, Karim en saisit un et lui suçant le bout faisant ressortir le bout mauve. Mais alors qu’il finissait de sucer la mamelle droite, un liquide blanchâtre lui arrivant dans la bouche. Il regarda la mamelle qui tressautait sous ses coups de boutoirs, et vit quelques filaments blancs qui dégoulinaient et allaient se perdre sur la poitrine. Il saisit le bout et le pinça, faisant jaillir un trait de lait.
— Viens voir, Flo!
Bérangère était horrifiée! Même Pierre ne savait pas ce qui se passait.
— C’est du lait? Demanda Karim en cessant ses allers et retours.— Oui, dit-elle, un problème d’hormones.— Va chercher un verre, dit Karim à Pierre, on va traire ta grand-mère.Pierre se leva et se rendit dans la cuisine. Il revint et vit les deux hommes qui avaient relevé sa grand-mère, la tenant assise contre le mur. Chacun s’occupait d’une mamelle et Pierre leur tendit à chacun un verre. Ils mirent un bon quart d’heure à vider le lait des seins de Bérangère. Il y avait au fond de chaque verre l’équivalent d’une gorgée par verre. Même si ses seins étaient maltraités et des traces rougeâtres apparaissaient un peu partout, son pauvre sexe finissait de palpiter en raison de la séance qu’il venait de subir.
Bérangère parraissait absente, n’opposant plus de résistance à ses deux hommes. Mais elle se doutaient que tous cela allait reprendre car ils n’avaient pas jouis. De plus, elle n’attendait aucun secours en raison de l’éloignement du châlet.
( à suivre)
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