Chapitre 2 Voilà la suite du premier chapitre. Désolé pour la littérature plutôt basique. Le but est vraiment de savoir si l’histoire plait. L’histoire va prendre une tournure assez hard par la suite, mais je ne voulais pas amener cela trop vite. N’hésitez pas à laisser vos commentaires !!! Bonne lecture
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Je suis un peu perdu… Je viens d’avouer à ma mère, sans trop savoir pourquoi, que j’utilisais des applications pour trouver des aventures d’un soir. S’il n’y avait que ça ! Je lui ai aussi avoué que c’était pour des relations sexuelles à caractères assez hard !Pour combler le tout elle n’a même pas semblé broncher à l’information et à continuer sans rien demander. Elle avait juste ce petit sourire sur son visage qu’il était difficile d’interpréter. Tout cela est arrivé dans un contexte plutôt surréaliste, au bord de la piscine et pimenté par une situation pleine de sous-entendus. Je suis un peu paumé, mais je me recentre sur mon téléphone. Effectivement, la notification m’annonce qu’une fille dans "mes critères" est intéressée par mon profil. Cela me remet tout de suite d’aplomb et j’oublie aussitôt toutes mes questions du moment. J’en reviens donc à ma réalité. Il est vrai que mes nombreuses expériences d’un soir, facilitées par ce genre d’application, m’ont vite laissé sur ma faim. Je me suis rendu rapidement compte qu’il me fallait plus que de simples parties de jambes en l’air pour être satisfait. Vous interpréterez cela comme vous le voudrez, la facilité d’accès aux réseaux sociaux" sexuels" ou encore la démocratisation du porno hard, mais c’était un réel besoin pour moi. Ainsi je me suis vite tourné vers des critères bien spécifiques lors de mes recherches et j’ai été plutôt impressionné du retour que je pouvais avoir ! Je respecte la femme en tant que telle et je n’ai jamais eu de comportement ou de réflexion machiste. Mais lors de mes ébats sexuels, j’aime dominer et tourner la situation de façon plutôt violente. Sans être dans du SM. Un mâle et une femelle en rut, juste là pour satisfaire un besoin primaire, sans amour ni douceur. Je me suis vite orienté vers les filles qui aiment la fellation hard en gorge profonde, l’anal et autre comportement que les sphères bien tenantes pourraient qualifier d’outrage total. Toujours est-il qu’une certaine demoiselle était intéressée par une rencontre de ce type. Elle me proposait, le soir même, de se rencontrer. Mon cerveau passa rapidement en mode "erreur 404" pour laisser la place au disjoncteur de secours : mon sexe commençait à durcir. Cela faisait un moment que je n’avais pas eu ce genre de relation et le manque se faisait sentir de plus en plus fortement. Les révisions et les exams m’avaient forcé la main, si je puis dire…
La demoiselle me donnait rendez-vous dans un bar/boite de la région avec pour finalité son appart qui n’était pas très loin. Voilà un programme qui s’annonçait ré-jouissant. Ma mère me rejoint sur la terrasse pour fumer une cigarette.J’en profite pour lui dire que ce soir je serais de sortie.— Ha, ton application a fait des miracles, il y en a un qui va pouvoir s’amuser.— Oui comme tu vois c’est plutôt rapide et efficace.Je me rends compte que je lui en parle de façon plutôt décontractée. La discussion de tout à l’heure a dû rendre les choses plus faciles.— Tu vas dans un bar en particulier ? Me demande-t-elle.Je lui donne le nom du bar que je ne connais que grâce au dernier message de la demoiselle intéressée.— C’est un bar vraiment sympa j’y vais de temps en temps avec mes amies. Elles m’avaient d’ailleurs proposé d’y aller ce soir, mais au vue de ton planning je ne vais pas m’imposer.— Tu sais, ce n’est pas comme si tu me déposais au collège, lui dis-je en rigolant. Tu peux très bien rejoindre tes amies. Nous ne serons pas l’un à côté de l’autre. Et puis comme je ne bois pas je te ramènerais en fin de soirée, enfin si tu ne voulais pas rentrer pour 22h00, lui fis-je avec un sourire en coin. Je viens de me rendre compte que j’ai proposé à ma mère de venir dans le même bar que celui où je rejoins mon plan cul hard du soir. Et tout cela alors qu’elle est au courant. Décidément, depuis mon arrivée les choses s’enchaînent de façons plutôt délurées ! Ma mère finit sa clope et rajoute :— Et si moi aussi je comptais profiter de la soirée pour rencontrer quelqu’un, tu y avais pensé ?Elle ne me laisse pas finir et rajoute :— Toutes tes histoires de rencontres faciles et "spéciales" m’ont donné des idées…Je rigole sur le coup et elle m’accompagne dans mon fou rire. C’est donc décidé nous partons ensemble pour la soirée. Nous nous préparons pour sortir. Je prends soin de mettre une chemise pour être le plus agréable pour ma rencontre du soir. Je redescends dans le salon en attendant ma mère qui finit de se préparer. Mon attente se termine quand je l’entends me dire dans les escaliers :— Me voilà ! Désolé j’ai pris mon temps pour me préparer. Elle descend les escaliers et je ne peux m’empêcher de la fixer. Elle a choisi de s’habiller avec une robe noire qui risque de ne pas passer inaperçu. Outre le décolleté plongeant grâce auquel on discerne bien plus que la naissance de ses seins qui semblent vouloir s’échapper de leur prison, elle a choisi une robe qui ne descend pas en dessous du genou. Mon regard doit en dire long puisqu’elle me dit :— Et bien quoi ? si je veux ramener une conquête ce soir il faut bien y mettre les moyens…— Effectivement, tu sais les mettre les moyens…Et je dois avouer que pour le coup, si ce n’était pas ma mère j’y réfléchirais à deux fois avant de passer mon chemin. Et encore que là, à l’instant précis, j’ai du mal à ne pas y penser… Toutes mes envies, ces choses folles que je souhaite faire à ma partenairedu soir, sont comme transposé sur l’image que renvoie ma mère. Je dois meressaisir par deux fois avant de reprendre mes esprits et sortir de sesfantasmes qui prennent vie dans ma tête. Il est vraiment temps que je mette fin à cette diète sexuelle ! Mes esprits partiellement remis, on grimpe tous les deux dans la voiture et nous nous dirigeons vers le bar. C’est un petit coin sympa et je laisse ma mère rejoindre ses amies dans le fond de la salle pendant que je m’installe directement au bar en attendant la demoiselle. Je jette un œil à mon téléphone, car elle ne devrait pas trop tarder. Après deux coca et pas le moindre message je commence à sentir un semblant de frustration remonter dans ma gorge (et dans mon caleçon)… au bout d’une heure je dois me faire une raison : on vient de me poser un lapin pour un plan cul ! Cela arrive plutôt fréquemment avec ce genre de situation et c’est acceptable. Mais là, mon manque se faisant ressentir, la frustration n’en est que plus forte et je sens que la pilule va être difficile à avaler. C’est à ce moment que ma mère arrive au bar :— Bah alors, je n’ai pas pu m’empêcher de te regarder depuis tout à l’heure et je n’ai vu aucune fille débarquer, elle a du retard ?— Je pense tout simplement qu’elle ne viendra pas… lui fis-je avec un mélange de résiliation et d’énervement.— Oh mon chéri, malheureusement ton téléphone ne peut pas toujours te trouver la solution miracle. Et ce soir il ne t’a pas ramené la fille qui comblera tes désirs inavouables …Elle en profite pour redemander une tournée de shooter au serveur pour la table de ses amies. Elles semblent d’ailleurs déjà toutes bien éméchées et ma mère tout autant.— Tu veux venir avec nous pour ne pas passer la soirée seul ? Mes amies seraient ravies de profiter de la compagnie d’un beau jeune homme.— Je ne vais pas vous embêter et puis vous ne voulez surement pas d’un garçon à votre table.— Tu rigoles ou quoi, elles risquent même de te demander ton numéro, allez viens. Je décide de la suivre un peu résigné à ma situation. Être venue pour un plan cul, bestial et tant attendu pour finir à une table de bar avec ma mère et ses amies… Finalement l’ambiance est sympa, ses amies sont toutes aussi hors normes que ma mère et je sens plusieurs mains se poser sur mes cuisses. Tout cela arrosé de rire et de compliment sur "la beauté de la jeunesse". Ma mère se sent d’ailleurs obligée de rappeler à qui veut l’entendre que :— Mesdames, Romain est mon fils et aucune de vous ne le mérite ! Et pour ponctuer ses dires elle me fait un câlin qui est loin d’être maternelle… Tous ces rapprochements et cette tension me ramènent à mes bas instincts et je sens que je risque de ne plus pouvoir me contenir si toutes ces mains échauffées parcours mon pantalon comme elles le font. Il est trois heures et demie et je propose à ma mère de la raccompagner.— Moi mesdames je repars avec un homme ce soir et vous ne pouvez pas en dire autant. Exclamation de joie et rire de la part du groupe de filles. Nous sortons du bar et avant de remonter dans la voiture ma mère souhaite fumer une dernière cigarette.— Tu sais, ce n’était pas si mal cette soirée, bon tu n’as pas eu ton coup d’un soir, mais tu m’as moi…En disant cela elle s’est rapprochée de moi pour se lover sous mon bras. Elle semble très sensuelle... trop sensuelle... Je ne réfléchis pas trop et je lui réponds :— Oui heureusement que tu étais là pour me faire penser à autre chose, mais la frustration est plutôt forte.— Je me doute bien, mais tu sais … Je connais bien cela, à mon âge et ça passera.— Oui je pense, mais j’ai du mal à penser à autre chose, tu sais cela doit être comme une drogue. J’ai vraiment l’impression de ne plus pouvoir penser à autre chose. Ce désir luxueux et libidineux qui m’envahit, cette envie primaire de posséder et de prendre. Sans me rendre compte je m’emballe et parle à ma mère de mes désirs fiévreux. Et toujours sans remarquer réellement la tournure que prennent les choses elle se retourne, comme subjugué par mes paroles, elle se rapproche de mon oreille et quand j’ai enfin terminé ma prose de la luxure, elle me souffle comme en déposant un baiser :— Je sais exactement ce que tu récents. Tu voulais te servir de son corps comme d’un objet, tu voulais la prendre comme la dernière des putes et déchaîner la passion qui t’anime à travers vos corps, mais tu ne l’as pas eu. Mais comme je te l’ai dit, tu m’as moi et je peux t’assurer que tu n’as rien à y perdre au change. Quand elle termine son monologue qui se révèle dévastateur pour mon âme, elle passe délicatement de mon oreille à ma bouche et sans même ralentir elle pose ses lèvres sur les miennes et introduit sa langue sans ménagement au fond de ma bouche. La chaleur du soir n’en est que plus prenante et mon esprit s’effondre complètement. Mes pensées tournoient aussi vite qu’un ouragan et je n’arrive même pas à comprendre ce qui ce passe. Ses mots… Ses quelques mots on suffit à résumer l’état de ma situation, de mes envies. Comme si elle les comprenait, comme si elle les ressentait. Toutes mes barrières lâchent prise, ce baisé qui dur depuis des secondes ou des heures devient de plus en plus torride. Mes mains qui restaient tétanisées jusqu’à maintenant s’abattent sur son fessier et le presse avec détermination. Elle continue de dévorer ma langue alors que je fais remonter sa robe pour pouvoir poser ma peau contre la sienne.Mes doigts s’agrippent à ses fesses pleines d’envie et elle grogne d’excitation suite à ce traitement. Elle relâche tendrement mes lèvres, pose son regard dans le mien et me dit :— Maintenant on va rentrer et je vais te donner tout ce que tu veux, absolument tout… Elle s’éloigne, telle une féline, de mon corps. Elle contourne la voiture et rentre à l’intérieur.Les vacances risquent d’être pleines de surprises...
