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Les Vices de Nicolas

Chapitre 1

Introduction

Hétéro
Cela fait désormais cinq ans que Victoria et moi sommes en couple, trois ans que nous avons quittés Paris pour Los Angeles et cela pour que ma femme puisse réaliser son rêve et y ouvrir une boulangerie. C’était une bonne affaire, là-bas les boulangeries ne sont pas courantes et elle pouvait donc vendre ses produits le double de leurs prix. De mon côté je suis photographe et nos deux revenus réunis nous permettent de vivre luxueusement, nous habitons une superbe villa moderne sur les hauteurs d’ Hollywood et avons donc tout pour être heureux, et c’est le cas.Je l’aime plus que tout. Mais quand elle n’est pas à la boulangerie, je suis sur un shooting photo et nous n’avons que très peu de moments à nous. Quand nous rentrons le soir, il est fréquent que nous nous endormions assez rapidement et nos rapports sexuels sont des plus basiques, mais ce qui compte pour moi c’est la connexion émotionnelle qu’il y a entre nous deux.
Pour fêter nos cinq ans de vie commune je décide donc de lui faire une surprise, je décide que nous partirons tous les deux en amoureux passer une semaine à Paris, ma ville natale, loin de l’effervescence de Los Angeles, rien que tous les deux et notre amour.
Cela fait cinq jours que nous sommes arrivés dans la ville lumière et jamais je n’ai été aussi heureux avec elle. Nous passons la journée à visiter et redécouvrir la ville et je l’emmène voir les lieux de ma jeunesse. Le soir lorsque nous rentrons dans notre chambre d’hôtel située sur les Champs-Élysées nous faisons l’amour passionnément et nous endormons l’un contre l’autre comme si c’était notre première fois.
Je l’aime et c’est la femme de ma vie. Pourtant alors que cela ne fait que cinq jours que nous sommes ici, les démons de mon passé resurgissent et j’ai bien peur de ne pas arriver à les contrôler. Car aussi improbable que cela puisse paraître, les quelques mois de ma vie précédant ma rencontre avec Victoria furent des mois de débauche totale.
À ce moment, ma vie entière tournait autour du sexe, c’était comme si ma bite avait pris le contrôle et que je ne pouvais pas l’arrêter, il fallait toujours que j’aille plus loin, que ça soit plus hard, que j’explore mes fétichismes les plus sombres, que j’humilie, qu’on m’humilie et que ma vie tout entière baigne dans l’excitante odeur des sécrétions vaginales et du liquide préséminal dont je ne pouvais plus me passer temps elles réveillaient en moi une bestialité incontrôlable.
Ce passé je ne pouvais pas l’oublier et hier soir, aux alentours de deux heures alors que Victoria dormait, j’ai décidé de quitter la chambre d’hôtel pour rendre visite à un ancien acolyte à moi qui m’avait à l’époque accompagné dans de nombreux plans tous plus salaces les uns des autres. Nous nous étions donné rendez-vous dans un des clubs libertins les plus sulfureux de Paris.
Dès mon entrée dans le club je savais qu’il serait difficile pour moi de résister à mes pulsions. De l’éclairage rose du salon en passant par la musique se mêlant aux divers cris étouffés de jouissances et fessés qui provenaient des pièces adjacentes, tout me renvoyait à mon passé.
Le salon principal était une grande pièce rectangulaire séparée en deux parties, sur la droite se trouvait des renfoncements dans lesquels étaient présents des banquettes a motifs léopards entourant des tables en métal alors qu’en face, séparés par des barres de pole dance se trouvait de grandes assises carrées d’un magnifique cuir rouge ; mes fétichismes n’avaient pas de limites et je comptais d’ailleurs parmi eux le fétichisme du cuir et des fourrures.
Cela faisait désormais une heure que j’attendais mon ancien ami assis seul sur un des canapés léopards et tandis que je commençais à me faire à l’idée qu’il ne viendrait pas, une femme d’une trentaine d’années passa devant moi en me regardant avec intensité avant d’aller s’asseoir les jambes grandes ouvertes sur l’assise placée à l’opposé de la pièce devant moi. Même si je n’avais jamais vu cette femme auparavant, ce regard je le connaissais, elle avait le profil type de la bourgeoise en chien et était aussi élégante que vulgaire. Tout chez elle était une invitation au sexe. Sous ses longs talons noirs aux pointes argentés se trouvaient des bas noirs pâles qui lui arrivaient jusqu’au-dessus des genoux et sous lesquelles se trouvaient des collants en résille déjà partiellement déchirés (ce qui en disait déjà long sur sa personnalité) accrochés à un porte-jarretelles entouré d’une large culotte en cuir laissant dépasser les bords de son cul. Son soutien-gorge était comme sa culotte, en cuir noir et étroit, dissimulant à peine sa poitrine d’une parfaite rondeur dont les tétons pointaient déjà si forts qu’ils auraient pu transpercer le cuir. Ces cheveux d’un roux sombres étaient coiffés en un chignon à la fois sophistiqué et relâché tandis que sa bouche était entourée d’un élégant rouge à lèvres mat. Mais le plus évocateur restait ses yeux, entourés d’un eye-liner venant accentuer la malice de son regard qui m’invitait clairement à venir la rejoindre et la souiller.
Elle se mit alors à passer sa main dans sa bouche et la ressortit lentement laissant couler un filet de salive filandreux sur son corps, puis vint lentement la placer sous sa culotte et se masturber en me regardant.
Je sentis alors ma bite venir se frotter contre mon pantalon mais il m’était interdit de la sortir dans ce salon. Je repris alors mes esprits et décidai de quitter le club pour ne pas me laisser tenter, mais en marchant vers la sortie elle vient se stopper devant moi et sortit de son soutien-gorge un morceau de papier qu’elle glissa dans la poche de ma veste. Elle compressa ses seins contre mon torse et en entourant mon cou de la chaîne en fer accroché à son épais collier en cuir de soumise elle me dit :
— Tu vois ce collier ? Ça veut dire que je veux être ta chienne, que je veux te vider les couilles, sentir ton gland dans ma bouche bien chaude et me l’enfoncer dans ma chatte bien humide. Tu voudrais pas louper une belle salope comme moi ? Alors à demain soir...
Elle relâcha la chaîne et s’éclipsa dans un couloir au fond club tout en prenant soin de croiser ses jambes en marchant.
Tout au long du trajet me ramenant à la chambre j’essayais de l’oublier, de tout oublier mais c’était impossible, elle avait définitivement réveillé mes démons du passé. Une fois arrivé à l’hôtel je partis m’enfermer dans la salle de bain, ouvris ma ceinture et ma braguette aussi rapidement que possible ; mon pantalon venait à peine de tomber au niveau de mes pieds que ma main droite faisait déjà pression sur ma bite avec des mouvements frénétiques de va-et-vient, mon souffle était de plus en plus court, je sentais ma bite se durcir de plus en plus... et en repensant à elle je sentis mon sperme monter le long de ma verge pour en sortir, c’était trop tard, je venais d’asperger le rebord des toilettes, il y en avait de partout. Cela faisait des années que je n’avais pas eu une éjaculation aussi longue et intense.
Je m’assis alors sur une chaise, encore le souffle coupé, et lus le mot que la femme du club m’avait donné, il y était marqué :
« Demain soir à 22h, chambre 237 de l’hôtel Mathis »
Une partie du papier était semi-transparente et avait été humidifiée par la salive qui avait coulé dans son soutien-gorge quand elle s’était enfoncé sa main dans la bouche.
Deux options s’offraient à moi : Garder l’amour de ma vie ou reprendre une vie de débauche et de vices. Alors vous vous demandez sûrement à quoi a bien pu ressembler cette vie menée par le sexe... eh bien je vais vous le raconter et, croyez-moi, vous n’êtes pas au bout de vos surprises.
(A suivre...)
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