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Les Vices de Nicolas

Chapitre 2

La découverte : Une soirée inattendue.

SM / Fétichisme
Tout commença il y a six ans, à l’époque, j’étais déjà photographe et possédais même mon propre studio photo. Ce jour-là n’était pas un jour comme les autres. En effet, il n’était pas dans mes habitudes de faire des photos érotiques et je m’apprêtais à faire mon premier shooting de ce genre. Si j’avais accepté, c’était car la personne en question était une très bonne amie à moi, qui à force d’insister, avait fini par me convaincre malgré mes réticences. Alors que je venais de terminer d’installer le studio, j’entendis sonner et lui ouvris la porte non sans une dose d’anxiété. Nous nous sommes assis dans mon bureau où je lui fis part de mon appréhension :
— Je te l’ai déjà dit Carla, mais je n’ai jamais fait ce genre de photos avant et je dois avouer que l’idée de faire ça avec toi me rend un peu mal à l’aise... tu es certaine de vouloir le faire ?— Oui, ça me ferait vraiment plaisir ! Et ne t’inquiète pas, dis-toi juste que ça sera comme quand tu me prends en photo, habillée, sauf que là, je serais en sous-vêtement. Pas de différence, tu restes mon ami et c’est tout.— Hum... oui, tu as raison, après tout, ça ne change pas grand-chose. Bon, je te laisse te changer ici et je t’attends dans le studio.
Carla avait 25 ans (tout comme moi), n’était pas très grande et avait de très longs cheveux bruns. Quelques petites minutes plus tard, elle me rejoignit vêtue d’une nuisette en dentelle noire mettant en avant sa petite poitrine et d’un string de la même couleur. Au début, j’étais gêné et n’osais pas lui faire prendre de poses sexy, mais nous parlions entre chaque photo et je finis alors par me détendre et obtenir de bons clichés. Au bout d’une demi-heure, Carla se mit à me parler de moins en moins et enchaînait de par elle-même les poses sensuelles, jusqu’au moment où alors que je ne m’y attendais pas, je sentis mon pénis se tendre et venir se frotter contre mon pantalon. Malgré l’inconfort que cela me procurait, la séance photo se poursuivit encore pendant un temps et j’espérais que Carla n’ait rien remarqué. Elle partit ensuite se rhabiller et me remercia pour avoir accepté de faire son shooting avant de quitter le studio.
De mon côté, bien que satisfait que cette séance n’ait pas affecté nos relations amicales en elle-même, j’étais troublé, je venais de bander devant mon amie et m’était même pendant un court instant imaginé en train de baiser avec elle. J’étais donc perdu et il me fallait du temps pour réfléchir à ce qu’il venait de m’arriver.
Une semaine plus tard, aux alentours de 18 h alors qu’il faisait déjà nuit et que j’étais tranquillement en train de ranger mon matériel avant de rentrer chez moi, la sonnerie du studio retentit (ce qui en une heure si tardive n’était pas courant). Quand j’ouvris la porte, je vis une femme élancée d’une quarantaine d’années dont la grandeur était accentuée par de classieux escarpins noir brillant. Elle ne portait pas de collants, mais un long manteau en fourrure marron fermé qui descendait jusqu’au bas de ses mollets tandis que ses longs cheveux bruns arrivaient de chaque côté de son manteau largement en dessous de sa poitrine. Étant sur le point de fermer, je lui ai donc exposé la situation :
— Bonsoir, je suis désolée, mais le studio est sur le point de fermer, je vais vous demander de repasser demain si vous le voulez bien.— Vous êtes bien Nicolas ?— Oui... c’est bien moi, mais... comment connaissez-vous mon prénom ?— Ne vous inquiéter pas ça ne sera pas long. Je suis gérante d’une grande galerie photo parisienne et j’apprécie beaucoup votre travail, je voulais donc savoir si vous seriez disponible pour que nous en discutions un peu plus en détail ce soir, pour débuter une éventuelle... collaboration.— Euh... vous me prenez au dépourvu... la situation est un peu inhabituelle et je ne vous connais pas, mais... je n’ai rien de prévu ce soir donc pourquoi pas en discuter oui. Où sont situés vos bureaux ?
Elle se mit à esquisser un sourire espiègle tout en riant légèrement et répondit :
— Je préfère discuter de mes nouvelles collaborations chez moi, cela instaure une relation de confiance bien plus forte, je vais vous donner l’adresse et vous n’avez qu’à me rejoindre à 22 h.— 22 h, ce n’est pas vraiment une heure qui met en confiance et je ne vous connais pas...— Comme vous le voulez, mais ça serait fort dommage pour vous de rater cette occasion et elle ne se représentera pas.— Bien merci, je vais y réfléchir.
Après m’avoir donné son adresse, elle fit un dernier sourire et repartit sans rien dire en longeant le trottoir sur lequel les talons de ses escarpins claquaient. J’étais de nouveau perplexe, cette situation était très étrange et j’avais de sérieux doutes sur la véracité de ses propos. Sa veste et ses escarpins très élégants me faisaient penser sans trop d’hésitations qu’elle était issue du milieu bourgeois, son profil correspondait donc bien à celui d’une gérante de galerie. Mais pourquoi venir seule sans rien sur elle ? Pourquoi avait elle était aussi évasive ? Et surtout pourquoi me demander de venir aussi tard ? Il n’y avait pour moi qu’une seule façon de le savoir...
Il était un peu moins de 22 h quand je suis arrivé devant chez elle, elle habitait au dernier étage d’un immeuble haussmannien à deux pas des Champs-Élysées. Après avoir hésité quelques minutes sur le palier, je me mis à toquer à la porte. Le stress montait en moi en entendant le son de ses escarpins qui se rapprochaient de plus en plus, et quand elle ouvrit la porte, je fis un pas en arrière et détournai rapidement mon regard. Elle était nue sous son manteau en fourrure ouverte qui dévoilait son exubérante et mature poitrine qui s’approchait d’un 95 F, ainsi que sa chatte aux lèvres tombantes, entourée d’une touffe de poils et dont un cordon noir pendouillait. Toujours en détournant le regard et d’une voix gênée, je lui dis :
— Je suis désolé, je ne voulais pas vous déranger... je ne savais pas que... je n’aurais pas dû venir si tôt, c’est de ma faute.
Elle répondit d’une voix à la fois autoritaire et sensuelle :
— Arrête de jouer au petit puceau innocent et suis-moi.— Mais... nous devions...
Elle m’attrapa alors d’un geste brusque par la ceinture avec sa main droite et m’emmena d’un pas déterminé jusqu’à son grand et chic salon faiblement éclairé dans lequel se trouvait un fauteuil et un grand canapé en cuir marron sur lequel elle alla s’assoir, me laissant debout, désemparé par la situation. La gorge nouée, je lui dis :
— Vous... vous gardez votre manteau ?
Elle sortit sa langue et se lécha délicatement de bas en haut la main droite suivie de la main gauche, et commença à se malaxer les seins en me disant avec un regard et une voix perverse :
— Mon look de salope bourgeoise te plaît pas cochon ?
J’étais dans l’incapacité de répondre... Tout en continuant à malaxer ses seins avec sa main gauche, elle commença à tirer lentement sur le cordon qui dépassait de son vagin une première boule en métal argenté en sortit, elle poussa un court gémissement accompagné d’un léger spasme puis continua à tirer sur le cordon dont une deuxième boule sortit à son tour.
— J’adore sortir nue sous ma veste dans la rue avec mes boules de geisha dans la chatte et savoir que je peux jouir à n’importe quel moment, comme ça, devant tout le monde sans sous-vêtement, nue, sans que personne ne le remarque.
Elle mit une des boules en métal dans sa bouche et la suça un moment en se caressant délicatement le clitoris.
— Ça t’existe de me voir goûter ma chatte ?
J’avais la gorge nouée et ne dis toujours pas un mot. Elle se leva, se colla à moi et se mit à frotter ma bite par-dessus mon pantalon alors que ses seins étaient proches de mon visage.
— Je vois que tu bandes déjà cochon, je crois que j’ai bien fait de te faire venir chez maîtresse Frederika.— Maîtresse ?— Tu as raison, je manque à tous mes devoirs, je ne me suis pas présentée. Je suis Frederika, j’ai 45 ans et quand je ne suis pas dans ma galerie d’art, je passe mon temps à initier et dominer des femmes qui veulent s’essayer à l’expérience de la soumission, découvrir leurs sexualités et se faire humilier. Quand elles acceptent de rentrer dans mon jeu, je les possède et elles deviennent mes objets et soumises sexuelles toutes entières, elles doivent obéir à tous mes ordres jusqu’à ce que je leurs fasse subir l’humiliation finale quand elles sont prêtes. Elles peuvent aussi prononcer le mot rouge si elles ne veulent plus jouer et je stoppe alors tout immédiatement et avec respect pour ensuite ne plus les revoir. Mais pas d’inquiétude, ce n’est pas toi que je vais soumettre ce soir...— Alors pourquoi m’aviez-vous amené ici ?— Parce que figure-toi que j’ai hier rencontré sur un site de rencontres SM ton amie Carla. Son époux n’arrivant pas à la faire jouir, elle m’a contactée complètement en chien et m’a suppliée de se faire soumettre et humilier pour enfin savoir ce que c’est que de se faire vraiment défoncer.
Jamais je ne me serais imaginé que Carla, une amie que je connaissais depuis tant d’années et qui me paraissait être d’une innocence absolue, puisse avoir un tel comportement. Abasourdi par ce que je venais d’entendre, je m’assis sur le fauteuil en cuir marron et dis :
— Je... ça ne me regarde pas ,c’est mon amie, rien de plus.
Elle me gifla alors violemment, laissant une marque rouge sur ma joue gauche et me dit d’un ton plus grave et autoritaire :
— Elle t’a surpris en train de bander sur elle en plein shooting photo sale porc, alors je vais l’amener ici et tu vas bien t’occuper d’elle avec moi d’accord ? C’est pas tous les jours que de belles femmes matures comme moi t’offrent ce genre d’opportunités alors pour le moment, tu sors ta bite et tu regardes.
Pendant qu’elle s’éclipsa dans un couloir, j’enlevais mon pantalon et mon t-shirt et attendis qu’elle revienne en me caressant la verge. Quelques minutes plus tard, elle revint au salon avec Carla dont les petits seins bien fermes étaient à l’air et qui possédait un string noir des plus basiques. Frederika la tenait par une laisse en fer accroché à un collier en cuir noir disposé autour de son cou. Même si j’avais encore du mal à me faire à la situation, forcé d’admettre que de voir mon amie soumise et prête à se faire humilier m’excitait tout particulièrement tant la scène ressemblait à un scénario de film porno. Carla me regarda d’abord avec étonnement pour ensuite me sourire comme je ne l’avais jamais vue sourire auparavant. Frederika le remarqua et lui dit tout en tirant sa laisse :
— Alors elle te plaît ma surprise petite pute ? Ça t’excite de savoir que ton pote va t’humilier et que tu vas être sa chienne hein ?— Oui, répondit Carla de manière quasi inaudible.
Frederika tira les longs cheveux de Carla en arrière et dit autoritairement :
— On dit « oui maîtresse Frederika » soumise...— Oui maîtresse Frederika, dit Carla en baissant les yeux.— C’est mieux petite pute, tu es docile comme je les aime. Tu sais pourquoi tu es là Carla ?— Pour me faire baiser et jouir, maîtresse Frederika.
Frederika la gifla fermement et lui cracha au visage, laissant une grosse trace de salive qui coula sur sa joue.
— T’es pas ici pour te faire plaisir conasse ! T’es loin d’être la première salope qui accepte de se faire souiller que je vois passer, des petites putes comme toi, j’en vois tous les jours et tu vas finir comme les autres, je vais te transformer en un vulgaire garage à bites. C’est tout ce que tu mérites !— Oui maîtresse Frederika.— Bien ! Maintenant, tu vas te mettre là où une chienne devrait être, à quatre pattes à mes pieds.
Carla s’exécuta alors toujours les yeux baissés et se mit à quatre pattes, les mains sur le carrelage froid, au pied de sa maîtresse qui lui dit en compressant ses joues avec sa main droite:
— Je veux que tu fasses briller mes escarpins avec ta salive. Lèche !
Carla tourna sa tête vers moi, je lui fis alors signe d’acquiescement et après quelques secondes d’hésitation, elle sortit sa longue langue râpeuse et se mit à lécher les escarpins en prenant tellement sa tâche à cœur qu’elle cracha dessus et étala sa salive avec sa langue.
— C’est bien, tu es magnifique comme ça ma belle, continue de lécher, lui dit Frederika !
Alors que Carla s’appliquait à lustrer ses escarpins qui reluisaient désormais, sa maîtresse se pencha vers son cul et lui tira d’un coup sec son string vers le bas et passa sa main sur sa chatte.
— Hummm j’adore les mal-baisés comme toi ! Tu baves déjà cochonne...
Frederika tira la laisse de Carla, la fit se lever et la jeta sur le canapé lui ordonnant de se mettre en position de levrette. Carla s’exécuta et sa maîtresse se mit derrière elle et appuya avec force sur son dos de telle façon à ce qu’elle soit compressée sur le canapé avec le cul bien cambré, surprise par la violence de son geste Carla poussa un petit couinement aigu, ce à quoi sa maîtresse rétorqua :
— Ta gueule et reste le torse et la tête écrasés sur le cuir ! Je veux que tu gardes ton petit cul bien cambré pour faire encore plus bander ton pote.
Elle lui enleva son string puis agrippa ses fesses en les claquant, tandis que Carla gémit de douleur, les écartas dévoilant sa chatte rasée et déjà bien humide, puis cracha dessus trois fois d’affilée, laissant couler un filé de bave qui descendit jusque sur son trou du cul alors qu’elle poussa un léger gémissement à chaque cracha.
— Ta chatte est parfaite, ma belle, mais il va falloir du travail si tu veux qu’elle puisse accueillir les queues de tous les mecs en chiens.
Frederika étala son crachat en frottant ses lèvres humides d’un mouvement circulaire et se mit à tapoter de plus en plus rapidement et frénétiquement sa chatte avec sa main, créant chez Carla des spasmes au niveau du ventre qui la faisaient s’aplatir encore plus sur le canapé et pousser de petits cris aigus.
— Hummm c’est que t’as la mouille facile ma salope, je ne vais pas avoir de mal à t’ouvrir la chatte.
Frederika se tourna alors vers moi et me dit :
— Ah bah voilà ça y est, t’as la bite bien veineuse, je le savais que t’étais un vrai petit cochon !
Elle frotta un de ses doigts entre les lèvres de Carla puis le glissa dans son vagin, la faisant geindre de plaisir. Après quelques mouvements très lents de va-et-vient, elle en glissa un deuxième et très vite un troisième. Carla avait désormais trois doigts en elle et poussait de longs et faibles gémissements. Frederika tourna sa main dans son vagin de sorte que sa paume soit placée vers le haut et se mit à baiser sa chatte avec une rare intensité en enfonçant ses trois doigts au fond de son vagin et en exerçant des mouvements de levier vers le haut avec le bout de sa main créant des sons de clapotis qui m’excitaient au plus haut point tout comme les cris transperçant de Clara qui disait :
— Ohhhhh non ! non ! non ! non ! non ! Haaaaa stop stop stop stop stop !— Laisse-toi aller ma belle, tu vas jouir ! Oui c’est ça, contracte ton vagin sur mes doigts ! Lâche-toi !
Le vagin de Carla exerçait de courtes et fortes contractions, Frederika accéléra encore plus la cadence et ressortit sa main trempée de Carla qui se plia en deux en gueulant alors que de longs et puissants jets de liquide transparent se mirent à sortir de sa chatte en abondance, ça ne s’arrêtait pas, elle criait si fort qu’il fut impossible que les voisins ne l’aient pas entendue, son vagin et ses cuisses tremblaient, elle ne contrôlait plus rien. Une fois l’éjaculation terminée. elle s’avachit sur le canapé, encore tremblante et à bout de souffle. Je n’avais rien vu d’aussi impressionnant et avais la bite plus dure et gorgée de sang que jamais en voyant mon amie dans cet état de transe totale.
— Putain j’en ai de partout petite pute, t’as souillé mon canapé avec ta gicle ! dit Frederika qui enfonça sa main poisseuse quasiment entièrement dans sa bouche et rétorqua :— Qu’est-ce qu’elle est bonne ta mouille...
Carla était toujours avachie sur le canapé et s’était calmé, son ventre se mit à gargouiller, ce que sa maîtresse ne manqua pas de remarquer et lui fit dire :
— Tu as faim ? Alors tu vas goûter ta chatte.
Frederika se leva et se dirigea vers la corbeille de fruits posée sur la table basse dans laquelle elle récupéra une banane, l’éplucha lentement et me la tendit sans rien dire, elle avait compris sur mon visage que je voyais exactement là où elle voulait en venir. Je me levai, Carla s’allongea le long du canapé sur le dos la tête appuyée sur l’accoudoir, elle me regardait avec un regard profond et pervers. Je lui embrassai la chatte et remontai vers son visage en l’embrassant tout le long de son corps pour ensuite passer ma main libre sur sa joue droite. Mon front était collé contre le sien, nous nous regardions dans les yeux, elle sortit sa langue et ma bouche plongea alors dans la sienne tandis que nous échangions nos salives. Je décollai ma bouche de la sienne, laissant un filé de bave nous relier pendant un court instant pour ensuite se casser, je compressai ses joues entre mes mains et lui dis :
— Regarde-toi... t’es vraiment une garce.
Je redescendis au niveau de sa vulve et lui enfonçai délicatement la banane épluchée dans la chatte puis commençai à la goder avec en la rentrant quasi entièrement dans sa chatte et en la ressortant plusieurs fois, en faisant attention à ce qu’elle reste intacte. Je pensais que Carla aurait une réticence ou ne voudrait pas se laisser enfoncer le fruit en elle, mais la situation avait au contraire l’air de l’exciter encore plus au vu de ses sensuels gémissements. Je ressortis assez rapidement la banane de sa chatte, elle était humide et s’était imprégnée de l’odeur de son vagin. Je m’approchai de son visage et lui dis :
— J’ai toujours rêvé de donner du plaisir à quelqu’un avec un fruit et de le manger après, mais je ne pensais pas que ça serait avec toi. Alors tu vas te contenter de lécher le bout de la banane et ensuite je la mangerais pour avoir le goût de ta chatte de malpropre dans la bouche.
Je lui laissai donner quelques coups de langue sur le bout puis elle ne put s’empêcher de supplier :
— J’ai faim... donne-la-moi...
Je me mis alors à la manger sous ses yeux. Je n’avais jamais mangé une banane aussi bonne que celle imprégnée de ses sécrétions vaginales. Alors que j’étais assis sur le canapé, Frederika se leva du fauteuil depuis lequel elle avait admiré la scène en se touchant et vient poser délicatement sa main sur ma joue pour m’embrasser langoureusement et me dire :
— J’aime quand tu prends des initiatives, j’ai failli me faire jouir à cause de toi. Va t’assoir sur le fauteuil, je crois que tu as mérité une bonne récompense. Elle attrapa sauvagement Carla par sa longue chevelure et l’amena à quatre pattes jusqu’à mon sexe.— Tu as faim ? Alors, suce, lui dit Frederika.
Carla rapprocha son visage de ma verge et s’en éloigna aussitôt avec dégout. Frederika lui tira alors encore plus les cheveux et dit :
— Qu’est-ce qu’il y a, tu ne veux pas sucer ton pote petite pute ? Je t’offre une belle bite bien dure et c’est comme ça que tu me remercies ? Les hommes ont besoin de se vider les couilles et il faut des salopes asservies comme toi pour ça, alors ferme-la et fais ton travail.— C’est pas ça maîtresse... c’est l’odeur, dit Clara tout bas.— Eh oui, finis les petits puceaux aseptisés et sans saveurs, une vraie queue d’homme, ça sent la bite, pas le savon ma belle, alors renifle.
Elle lui colla le visage contre ma bite et le frotta contre elle, Carla me reniflait à pleins poumons comme une enragée et mon pénis se leva alors instantanément contre son visage.
— Suce chiennasse, lui dis-je.
Elle plaça alors sa langue à la base de ma verge et me la lécha en remontant jusqu’au gland qu’elle inséra dans sa bouche et suça avant d’enfoncer le reste de mon pénis et le pomper. Pendant ce temps-là alors que Carla était appliquée à m’aspirer la bite, Frederika était partie chercher un fouet et revint en donnant un coup sec sur le cul de Carla qui se mit à hurler en arrêtant de me sucer.
— Baise-lui la bouche, je ne veux pas l’entendre beugler pendant que je donne à son cul la couleur du cul que chaque soumise comme elle devrait avoir, me dit-elle.
Je dis alors à Carla d’ouvrir sa bouche en grand et de tirer la langue, lui pris les cheveux, enfonçai ma bite et commençai à lui donner des coups de reins dans la bouche pendant que Frederika lui pétrissait les fesses avec son fouet. Elle gémissait de plaisir et de douleur avec ma queue dans sa bouche et des filets de baves de plus en plus importants en sortaient, venant lui souiller le visage ainsi que mon sexe. De temps en temps, elle avait des haut-le-cœur qui lui rendant les yeux humides et rouges, je lui laissais alors quelques secondes pour respirer et recommençais à lui baiser la bouche. Je sentis d’un coup que j’étais sur le point d’éjaculer et commençai à pousser des râles. Frederika lui tira les cheveux pour la faire arrêter et lui dit :
— Laisse-le espèce d’enragée, je t’ai pas autorisée à le faire gicler. Il va détruire ta petite chatte de traînée maintenant ! Va sur le canapé et allonge-toi sur le dos.
Elle s’exécuta et je me mis à frotter l’extérieur de son vagin et de ses lèvres bien humides avec ma bite, ce qui la fit légèrement geindre et rire en me regardant avec un sourire des plus charmant.
— T’as une capote ? dit Carla.
Frederika lui assena un gros coup de fouet sur les seins et Carla cria de toutes ses forces.
— T’as toujours pas compris sale pute ? T’as fait le choix de n’être qu’une petite putain sans honneur au service des hommes alors à partir d’aujourd’hui, je veux que ta chatte devienne un réservoir à foutre compris ?— Oui maîtresse Frederika.
Carla n’avait même pas terminé de répondre à sa maîtresse que je lui avais déjà enfoncé mon chibre dans le vagin et commencé à faire des allers-retours de toutes mes forces en elle. Son dos était plus que cambré et elle ne pouvait pas s’empêcher, de crier puis se mit à hurler :
— Ohhh oui vas-y continue ! Qu’est-ce qu’elle est bonne ta queue ! J’ai toujours rêvé que tu me prennes comme une chienne ! Défonce-moi !— Ta gueule et fais plaisir à ta maîtresse ma belle, lui rétorqua Frederika.
Frederika vient alors s’assoir sur Carla de manière à ce que sa chatte soit placée sur sa bouche et l’étouffe pendant quelques secondes puis elle releva son vagin et lui dit :
— J’ai rien senti ! Alors, lèche-moi comme une chienne si tu veux que j’arrête de t’étouffer !
Elle replaça sa chatte sur sa bouche tandis que je pénétrai Carla de plus en plus rapidement, la faisant hurler de plus en plus fort en des sons étouffés par le vagin de sa maîtresse qui se retira après un certain temps.
— Oh oui plus vite, plus vite, plus vite je vais jouir ! cria Carla.
Je pris alors son string qui était sur le canapé et lui enfonçai dans la bouche tout en l’étranglant avec mon autre main pour la faire taire. Je sentais que j’allais également jouir, je me mis à accélérer mes mouvements et commençai à pousser des râles de jouissance. Je sentis ma bite se frotter contre ses muqueuses et venir taper son utérus et sentis qu’elle se mit à cracher son liquide sur ma bite. Je me mis alors aussi à éjaculer en elle. Nous venions d’avoir un orgasme partagé, j’avais giclé dans sa chatte et elle avait giclé sur mon pénis. Après êtres restés un moment l’un sur l’autre, exténués et dans un moment de plénitude, je sortis ma bite de son vagin lentement, laissant un filet de sécrétions nous lier pendant un court instant. Voir son vagin souillé par un mélange de cyprine et de sperme déclencha en moi une réaction qui me fit faire quelque chose que je n’aurais jamais pensé faire auparavant.
Je l’expulsai du canapé, me mis allonger sur celui-ci et dit à Carla de venir placer son vagin au-dessus de mon visage. Je me suis alors agrippé à ses fesses et j’ai collé sa chatte crasseuse et odorante sur ma bouche pour la lui nettoyer. La vue et l’odeur de son sexe poisseux avaient réveillé en moi une excitation nouvelle et animale qui me fit la sucer, lécher et laper, récurant et lustrant son vagin de manière enragée. Frederika, surprise de mon initiative, dit alors :
— Humm j’adore, je vois que j’ai affaire à un vrai gourmand ! Je crois qu’on va rester en contact toi et moi Nicolas. Quant à toi soumise, tu as bien fait de me contacter et je n’en ai certainement pas fini avec toi... je suis sans pitié avec les crasseuses comme toi. Regarde-toi... en une soirée, tu as souillé mon canapé et accepté de baiser avec ton pote qui est obligé de te nettoyer ta petite chatte de chiennasse. J’aurais honte si j’étais toi ! Tu vas avoir besoin de la plus haute correction.
Carla s’enleva de mon visage qui était rempli de ses sécrétions, je lui avais aspiré la chatte comme jamais je ne l’avais fait. Elle se leva la chatte encore sale et le corps parsemé de salive et de mouille.
— Je peux aller me doucher maîtresse ? dit-elle.— Te doucher ?
Frederika enleva son manteau en fourrure et le mit à Carla en lui disant :
— Je t’ai assez vue comme ça pour aujourd’hui et je veux que tu t’habitues à l’odeur de sexe, ça va devenir ton quotidien. Alors tu vas repartir chez toi immédiatement, nue sous mon manteau et tu reviendras demain soir même heure. Et je t’interdis de te laver d’ici là ! Ça t’apprendra à vouloir jouer à la crasseuse !
Carla quitta alors l’appartement. Je venais de vivre la soirée la plus excitante de ma vie et en m’endormant sur le canapé imprégné de cette fameuse odeur du sexe, je compris que ma vie tout entière ne tournerait désormais plus qu’autour du sexe.
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