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Les voisines du manoir

Chapitre 1

Un déménagement surprenant

SM / Fétichisme
Le manoir:
Enfin, après presque trois ans de déboires, j’ai enfin trouvé un appartement convenable. Ce n’est pas trop tôt, à 28 ans, il est temps que j’ai enfin mon chez-moi. La coloc, ça va bien un temps. Et puis franchement, je n’aime pas me lancer des fleurs, mais je suis très satisfait de ma trouvaille. Un ancien manoir, réaménagé en quatre appartements distincts partageant un grand jardin.
Certes, le tout est un peu isolé, mais j’ai fini de payer ma voiture et en plus il y a un garage. Le rêve.
Seule ombre sur le tableau, je n’ai pas encore rencontré mes futurs voisins, mais bon, je suis assez casanier donc ça ne m’intéresse pas réellement.
Valises bouclées, contrats signés, ex-colocs salués et plein terminé! Me voilà fin prêt.

Une fois arrivé au manoir, je décharge le coffre de ma voiture et monte mes cartons. Je suis euphorique. Me voici enfin dans mon chez-moi où je pourrai faire ce que je désire quand je le désire. D’ailleurs, je monte ma boîte à coquineries et la pose sur mon lit. J’ai hâte de pouvoir me faire plaisir, mais je garde ça pour la fin de mon déménagement.
Une fois le dernier carton posé, je sirote un verre d’eau fraîche. Mon labeur est à présent terminé, mais je pue la transpiration. Après l’effort, le réconfort.
Je décide donc de m’accorder une douche rafraîchissante, j’en profite pour entretenir ma peau en me passant ma lotion qui embaume la rose et m’occupe méticuleusement de mes poils qui commencent déjà à repousser.
Tandis que le siphon emporte mes derniers poils, je sors de la douche pour me placer face au miroir de ma salle de bain. Aucun bouton ni poil, parfait.

Je rejoins ma chambre et ouvre mon carton. La dentelle et le latex en débordent alors. Je fouille un temps et pose sur le lit différentes tenues et quelques accessoires... Je ne sais pas quoi choisir. J’opte finalement pour une culotte noire en latex, fendue au niveau du sexe. J’ajoute un porte-jarretelles qui me permet de fixer de fin bas dont le contact sur ma peau lisse m’électrise. J’enfile enfin ma tenue de soubrette en latex et ajuste le tablier.
Cerise sur le gâteau, je passe à mes poignets deux bracelets de cuir rose reliés par une chaîne solide. Mon sexe commence à durcir, mais je le place juste à temps dans une cage de chasteté en métal. Je le sens à présent pousser contre la structure qui le maintient prisonnier. Me voici à ma juste place. Je place un bâillon et commence à nettoyer la chambre dans cette tenue.
A chaque pas, je sens les bas prodiguant à mes jambes les plus obscènes caresses. Cela renforce fatalement mon érection qui s’écrase un peu plus dans ma cage. Ce qui renforce encore mon érection et me conduit à savourer ce cercle vicieux.


Alors que je m’apprête à faire le lit, j’entends le bruit de la serrure de ma porte d’entrée... Merde, l’ancienne proprio a laissé ses clés à la voisine, elle devait les ramener aujourd’hui. Quel idiot !
J’entends ses talons sur le parquet. Mes mains moites peinent à me libérer des bracelets et tant que je le porte, je ne peux enlever mon bâillon qui m’empêche de dire à cette indiscrète de ne pas entrer.
Mes mains glissent, je panique. Ses pas se rapprochent de la porte. Je m’immobilise, tétanisé par la honte.
Le poignet tourne lentement sous l’action de la main de cette personne que j’imagine être ma voisine. Je suis coincé, la porte tourne horriblement lentement. Pourtant je n’ai plus le temps de changer de tenue. Je suis coincé... C’est une grande femme, brune, juchée sur des talons haut et sobrement maquillée qui ouvre la porte. Son visage d’abord surpris se referme bien vite pour ne laisser apparaître qu’un regard sévère. Je me décompose littéralement tandis qu’elle me dévisage. Mais je n’achève de me mortifier que lorsque son regard balaye le lit sur lequel se trouvent mes autres accessoires.
— Mais qu’avons-nous là? demande-t-elle de sa voix suave. Le nouveau voisin serait unE voisinE ?

Sans me lâcher du regard, elle examine les différents accessoires sur mon lit tandis que je prie pour disparaître.
— Intéressant... murmure-t-elle énigmatiquement avant de se retourner vers moi. Au moins la nouvelle voisine connaît les bonnes manières et tient son clito sous cage.

Le bout de sa chaussure vient alors titiller la cage. Cela me ramène alors à la réalité. J’entreprends timidement de me libérer des bracelets, mais elle m’arrête d’un geste.
— Un instant. Une petite inspection s’impose.

Elle tourne alors autour de moi, posant son regard inquisiteur sur l’ensemble de mon corps et allant même jusqu’à mon âme qui semble à nue devant elle.
— Bien, dit-elle en sortant son téléphone portable. Initialement, j’étais venue donner le double des clés au nouveau voisin. Mais il n’y a aucun voisin ici. Je vais donc garder ce double précieusement. Quant à toi, tu viendras me voir ce soir !

Le flash de son portable surprend ma rétine.
— Tu viendras à 20h précise ! Sonne à l’appartement en face et attends.

Elle quitte alors l’appartement. J’entends ses talons contre le parquet, puis la porte se referme. Je m’assois sur mon lit, chamboulé et encore incapable de comprendre ce qui vient de se passer.
Iris:
Non ce n’est pas possible. Ce devait certainement être une mauvaise blague, une sorte de bizutage pour le nouveau venu, voilà tout. Mais quand même, ce calme olympien dont ma voisine a fait preuve me glace le sang à chaque fois que j’y repense. Cela va un peu mieux maintenant que j’ai changé de tenue et que je porte de nouveau mes vêtements "civils", mais tout de même, ma situation a de quoi m’inquiéter. Une parfaite inconnue a maintenant en sa possession des photos de moi, travesti en soubrette et portant bâillon, menottes et cage de chasteté... C’est un désastre. Il doit certainement y avoir un moyen de m’en sortir, elle ne m’a sans doute pas donné rendez-vous pour rien. Il me faudra sortir quelques billets bien sûr, mais une fois les photos détruites, je n’aurai plus rien à craindre. Et puis je me montrerai plus prudent à l’avenir bien entendu.
Quelle heure ? 19h52. J’ai dû faire les 100 pas un bon paquet de fois, le temps a coulé entre mes doigts et me voici maintenant à moins de 8 minutes de l’heure fatidique. J’ai souvent rêvé bien entendu d’une femme aussi belle qu’impitoyable, qui me forcerait à devenir celle que je rêve d’être en mon fort intérieur. Une femme qui accepterait de me travestir et qui me permettrait de la servir. Mais après des années de surf sur tous les sites pouvant exister, je sais combien ces femmes sont rares et combien nous sommes nombreux à avoir ce rêve secret. J’ai donc abandonné bien vite. Me retrouver confronté à une telle situation me trouble donc beaucoup. J’ai peur de l’impact que cette mésaventure pourrait avoir. Mais plus encore, j’ai peur de cette sensation agréable qui commence à s’insinuer dans mon bas-ventre. 19h58. Il est temps.
D’un geste calculé, je quitte mon appartement et en deux enjambées, je me retrouve devant la porte de l’appartement situé en face du mien. À côté de la sonnette, une petite plaque sur laquelle est inscrit "Iris". Je déglutis et maîtrise mes sueurs froides puis sonne. Du bruit, quelqu’un remue dans l’appartement. Puis le claquement des talons contre le parquet. Elle arrive et je ne peux pas fuir.
— Pile à l’heure. Allez, entre !
L’ordre de ma voisine ne souffre aucun refus. Avant même de prononcer un mot, j’entre donc chez elle. Son appartement est plus grand que le mien, meublé avec élégance par quelques étagères, tables, fauteuils et canapé rustique. La décoration me fait beaucoup penser au mobilier d’un vieux château, ce qui colle assez bien avec le manoir. Mais ma réflexion est interrompue par le bruit d’une porte que l’on verrouille. Je me retourne vers la propriétaire des lieux qui range les clés dans sa poche et sans un mot d’explication se dirige vers la table et s’y assoit en face d’une théière. D’un geste du bras, elle m’invite à en faire autant. Je la remercie, tout penaud, mais elle ne le relève même pas. Elle s’enfonce dans sa chaise semblant attendre quelque chose. Voyant mon embarras face aux quelques secondes de silence complet qui s’installent et mon incompréhension vis-à-vis de ce qu’elle attend de moi, elle prend la parole.
— Je ne vais quand même pas me le servir seule non ? demande-t-elle en désignant la théière et le verre.
Saisissant enfin ses attentes, je m’emploie à la servir de mon mieux. Sans un remerciement, elle saisit alors son verre tandis que je me rassois et entreprends de le boire. Soudainement, je sens son pied chaussé contre mon pantalon. Je lève des yeux surpris sur elle, mais son regard ne me fait même pas la grâce de se poser sur moi. Son pied soupèse mes bourses et se frotte contre mon sexe déjà bien dressé.
Puis elle pose son verre et interrompt ce balai.
— Alors ? Qu’es-tu venu faire ici ? — Je... J’aimerais récupérer les photos Madame. — Quelles photos ? — Celles de tout à l’heure... — Tu veux dire celle où tu es habillée en soubrette ? Avec ta petite cage de chasteté et tes bas de traînée ?
Mon teint vire à l’écarlate. Son regard inquisiteur se durcit. Je hoche piteusement la tête.
— Je t’ai posé une question, je veux une réponse ! Quelles photos veux-tu récupérer ? — Celle où je suis habillé en soubrette et où je porte la cage de chasteté et les bas de traînée Madame...
Face à mes yeux humides, mon regard implorant et mes joues cramoisies, elle sourit cruellement en savourant ma voix tremblotante.
— Ha ces photos-là... Ça t’arrive souvent ? De te travestir en petite soubrette ? — Non Madame. — Pourtant vu tout ton matériel... Fais attention, mens-moi encore une fois et tes petites photos vont se retrouver exhibées sur la toile ! — Oui Madame... Ça m’arrive souvent. — Bien. Combien de fois par mois ? me demande-t-elle de plus en plus souriante. — Au moins 4 fois par mois Madame. — Tue en train de me dire que tu te travestis en boniche en moyenne une fois par semaine ? — Oui Madame... — Oui quoi ? — Oui je me travestis en boniche une fois par semaine... — Et tu fais ton ménage comme ça ? — Oui Madame. — Seulement le ménage ?
Son sourire devient cruel.
— Non Madame.
Ma voix tremble tandis que ses yeux brillent d’une lueur effrayante.
— Tu te masturbes comme ça, pas vrai, boniche ?
Les larmes me montent.
— Oui Madame. — Oui quoi ? — Oui je me masturbe comme ça Madame ? — Et tu jouis ? demande-t-elle en se levant. Tu jouis de ta tenue de soubrette, tu jouis bâillonnée et attachée, pas vrai ? — S’il vous plaît Madame je... — Réponds-moi ! ordonne-t-elle. — Oui Madame, je jouis dans ma tenue de soubrette. Je jouis attaché et bâillonnée. — Bien... déclare-t-elle posément en s’approchant de moi. C’est très bien, me murmure-t-elle en s’agenouillant pour saisir mon sexe gorgé de sang. J’ai beaucoup aimé ces photos. Si tu les veux, tu vas devoir être sage. Mais tu le seras n’est-ce pas ? me demande-t-elle en caressant mon sexe à travers mon pantalon. — Pitié Madame je... — Chut. Tu seras sage oui ou non ? — Oui Madame. — Parfait.
Aussitôt, elle abandonne mon sexe, passe derrière moi et joint à l’arrière du dossier mes mains qu’elle attache à l’aide d’ un ruban de scotch gris. Je ne lui oppose aucune résistance, espérant récupérer les photos. Une fois mes mains immobilisées, elle fixe sur ma bouche un morceau de scotch, me réduisant au silence. Elle contemple un instant son œuvre et l’incompréhension figée sur mon visage puis saisit son téléphone.
— Oui allô Alexandra. C’est bon, elle est là, juste en face de moi, déclare-t-elle en me fixant droit dans les yeux. Non, elle n’a pas fait trop de problèmes, elle espérait récupérer ses photos, explique Iris en riant. Parfait, on t’attend, elle restera bien sage, ne t’en fais pas. Ha et n’oublie pas ton caméscope, ça serait dommage...
L’après-midi qui changea ma vie:
Toujours attaché ou plutôt scotché sur la chaise dans le salon d’Iris, je me sens paniquer de plus en plus en réalisant que cette Alexandra va venir avec un caméscope. Que comptent-elles filmer ? Elles ont déjà des photos bien assez compromettantes... A moins qu’elles ne désirent me faire réaliser des choses encore plus compromettantes. Mon sang ne fait qu’un tour. Cédant à la panique, je tente de me libérer. Tant pis pour les photos, mieux vaut quelques clichés compromettants que des vidéos encore plus honteuses. Malheureusement, mes mains sont trop bien scotchées en elle. Je gesticule et remue de mon mieux, mais rien n’y fait, je ne parviens qu’à attirer l’attention d’Iris qui se lève du canapé dans lequel elle s’était allongée pour patienter et vient se planter face à moi avec un regard menaçant.
— C’est trop tard pour essayer de fuir petite sissy ! J’ai déjà largement de quoi faire de ta vie un enfer avec ces quelques clichés. Mais tu peux encore limiter les dégâts. Reste sage et tout ça restera entre toi, Alexandra et moi. Je pense même que tu pourrais trouver une forme de plaisir. Continue de te débattre et ça empirera, crois-moi sur parole ! me promet-elle avec un regard cruel.
Réalisant la cruauté qui peut habiter ma geôlière et surtout mon incapacité à m’y soustraire, je prends une profonde inspiration et cesse de me débattre. Résigné à subir ce qu’elles ont prévu de me faire subir.
Alexandra arrive enfin, c’est une grande femme, un peu forte, mais tout en muscle, dont une aura de puissance émane. Elle dépose dans l’entrée les deux imposants sacs de sports qu’elle portait puis embrasse goulûment Iris en la serrant dans ses bras. Les deux complices se tournent alors vers moi.
— Alors voici notre nouvelle voisine dont tu m’as parlé... Hum physiquement il y a du potentiel. Qu’en penses-tu ma chérie ? demande Alexandra. — Que tu as entièrement raison. Crois-moi, on va s’amuser comme des folles avec elle. Tu as pris tout notre matériel ? — Ho oui et même plus...
Les deux partagent alors un sourire cruel puis éclatent d’un rire cruel en considérant mes yeux humides et mon regard apeuré. Sans un mot de plus, Alexandra sort d’un de ses sacs une paire de ciseaux et se dirige vers moi. D’un geste expert, elle commence à découper mes vêtements.
— Crois-moi, on t’a prévu bien mieux que ces frusques. Et puis ça ne reflète pas assez ton nouveau statut, m’explique Alexandra pour répondre à mes "hmmmpf" impuissants.
En quelques coups de ciseaux, je me retrouve entièrement nu. Alexandra me tâte alors, palpe mon corps comme si je n’étais qu’un morceau de viande. Elle sourit enfin en se tournant vers Iris.
— Elle est plutôt fine, ça va être un régal. — Ho oui, confirme Iris en farfouillant dans un des sacs de sport. Mais avant ça, il faut qu’elle fasse connaissance avec elles.
Iris Brandit alors deux pinces tétons, reliés entre elles par une chaînette. Avec un sourire sadique, elle les pose sur mes tétons. La brûlure me fit crier à travers le bâillon. Le regard d’Iris pétille de sadisme en admirant les spectacles, elle serre ses doigts autour des pinces. Je me débats, cherchant à échapper à cette douleur atroce. Iris saisit alors la chaînette entre ses dents et tire dessus. J’ai l’impression qu’on m’arrache les tétons.
Soudain Alexandra passe dans mon dos et alors que mon cerveau est accaparé par la douleur dont me fait don Iris, elle glisse sur ma gorge un foulard qu’elle sert. L’oxygène me manque, mais la douleur reste si vive. Je me sens partir, j’ai des vertiges. Mais c’est à cet instant qu’Iris arrache avec cruauté et férocité les pinces. La douleur est encore intensifiée me fait l’effet d’un électrochoc. Mes larmes m’échappent. Alexandra resserre encore le foulard. Je me sens partir. Et j’emporte avec moi le regard surexcité et le sourire cruel d’Iris.
Le foulard glisse sur ma peau en se desserrant. L’air emplit à nouveau mes poumons et mon corps reprend vie peu à peu. Alors que je me réveille en quelque sorte, je sens Alexandra me retirer le scotch pour le remplacer par une paire de menottes. Je suis trop faible pour en profiter de toute manière.
— Regarde ça chérie. Elle a adoré cette salope, déclare Iris en saisissant à pleine main mon sexe. — Hum une vraie bonniche dans l’âme. Va lui mettre une culotte pour masque un peu cette vilaine chose.
Immédiatement, Iris se saisit d’une culotte en dentelle rose. Avant même que je n’ai songé à protester, elle me l’enfile. Pendant ce temps, Alexandra replace les pinces sur mes tétons. La douleur me prend à nouveau au dépourvu.
— Ho mon Dieu, regarde, son clito a tressauté quand tu lui as remis les pinces. C’est une maso des tétons, s’exclame Iris. — Parfait.
Alexandra saisit son caméscope, le pose dans un coin et le braque sur moi avant de l’allumer et de revenir vers moi. Avec un sourire pervers, elle commence à tirer sur les pinces. Je pousse des gémissements à travers mon bâillon, mais cela ne fait que renforcer son excitation. Pendant ce temps, Iris commence à me masturber à travers la culotte. Malgré la douleur, ou peut-être grâce à la douleur, le plaisir monte bien vite. Conscient d’être filmé, j’implore la pitié d’Alexandra en la suppliant du regard. Mais mes airs de chien battu ne déclenchent que son rire et au contraire, elle torture encore plus cruellement mes tétons. Sous les doigts experts d’Iris. Je finis par jouir dans la culotte en dentelle rose, avec les tétons meurtris, les poignets menottés et filmés. Je suis mortifié. Hilare, Iris m’enlève la culotte et la montre à Alexandra, maculée de sperme. Les deux femmes partent dans un fou rire sadique.
— C’est dans la boîte, on va avoir une petite boniche bien sage maintenant, jubile Alexandra. — Et une boniche qui adore ça, ajoute Iris en exhibant fièrement la culotte souillée devant la caméra.
Puis avec un sourire moqueur, elle me fourre la culotte dans la bouche sans ménagements, plaquant sa main sur mon visage pour m’empêcher de la recracher.
— Bon maintenant, on va pouvoir commencer les choses sérieuses... déclare solennellement Alexandra.
Epilogue:
En effet, c’est là que les choses sérieuses ont pu commencer. Ma vie a pris un tournant cette après-midi, afin qu’elle ne publie pas la vidéo et les photos, j’ai dû céder à tous leurs caprices et exigences. D’abord, je dus accepter de rester encagé 24/24. Bien entendu, seules Alexandra et Iris détenaient les clés. Puis comme Iris avait toujours les clés de mon appartement, je dus dire adieu à tous mes sous-vêtements masculins qu’elle jeta et remplaça par des sous-vêtements féminins tous plus roses et grossiers les uns que les autres.
A force de chantage, je dus accepter de porter des culottes sous mes vêtements d’hommes dès la fin de la première année. Bien entendu, je devais me rendre fréquemment chez elles pour y subir diverses sessions et tortures. Et évidemment, les photos et vidéos compromettantes s’empilaient toujours plus. Dès le commencement de la seconde année, elles exigèrent que je fasse le ménage chez elle, au moins une fois par semaine. Mais après quelque temps, je parvins à leur faire comprendre que c’était trop contraignant avec mes horaires de travail. Elles promirent de trouver une solution. J’étais heureux, je me disais qu’elle devenait enfin raisonnable. Mais en réalité moins d’un mois plus tard, elles me poussèrent à démissionner en me menaçant d’envoyer sinon toutes les photos et vidéos qui étaient en leur possession. Je ne pouvais pas refuser.
A partir de ce moment, elles me prirent en charge financièrement. Nous étions alors au début de la troisième année. Je devenais leur bonniche personnelle, leur putain parfois. Puisque le manoir n’était habité que de nous trois, j’avais pour ordre de toujours être vêtue en latex et le plus souvent dans la tenue de bonniche de latex qu’elles m’avaient offert pour l’anniversaire de notre seconde année.
A partir de là, elles ne prenaient plus de photos, à part à de rares exceptions pour nous faire des souvenirs. Maintenant que je leur étais totalement acquise, elles se montraient plus douces, voire gentilles. Pourtant lors de ma quatrième année, elles se montrèrent intransigeantes sur les hormones qu’elles voulaient me voir prendre. Je ne pouvais plus vivre sans elles. J’ai fini par accepter. De toute façon elles avaient déjà commencé à m’en faire prendre à mon insu.
Voilà ce que je suis devenu et ce que je resterai à vie. Leur esclave, féminisé et entravé dans du latex. J’ai eu les meilleures voisines du monde. Et aujourd’hui, elles sont les plus parfaites Maîtresses et propriétaires.
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