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Les voleurs indiscrets

Chapitre 1

Trash
Un bruit de verre cassé me réveilla en pleine nuit. C’était sûrement Léo, mon chat maladroit. Je décidai donc de me lever à contre-cœur pour aller voir ce qu’il avait encore cassé en rentrant de sa balade nocturne. Après avoir allumé ma lampe de chevet à une faible luminosité pour ne pas abîmer mes yeux, je parcouru le chemin jusqu’à la porte de ma chambre. Mais en ouvrant ma porte, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un homme qui fouillait les tiroirs dans mon salon muni d’une lampe torche. Je m’avançais donc vers lui :
« Eh, qui êtes-vous ? Sortez d’ici ou j’appelle la p… »
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase que je fus emprisonnée dans des bras puissants me tenant fermement, l’une des mains de cet intru s’étant positionnée sur ma bouche. Le premier voleur que j’avais aperçu arrêta sa tâche, posa sa lampe torche et se retourna. Il était grand et bien constitué mais je ne pouvais pas décrypter ses traits dans la pénombre. Le second voleur demanda :
« Qu’est-ce qu’on fait avec celle-là ? Je t’avais bien dit qu’on aurait dû vérifier s’il y avait quelqu’un !
— Tiens la bien. Je vais chercher ce qu’il faut pour qu’on l’attache. On finira ce qu’on a à faire et on réfléchira à ce qu’on fait d’elle après. »
L’homme disparu dans la cuisine alors que j’essayais de me débattre pour me libérer de l’emprise du deuxième voleur. Mais celui-ci était bien trop fort pour ma petite carrure. 
— Arrête de te débattre, tu n’arriveras à rien. Oh, mais je vois que tu avais chaud dans ton lit ! Ou peut-être qu’on t’a dérangée pendant que tu te faisais plaisir…, dit-il en profitant des lumières émises par la lampe torche posée au sol et de celle de ma lampe de chevet qui passait par l’entrebâillement de la porte pour me détailler.
Je dormais en effet habillée d’une petite culotte et d’un simple débardeur, beaucoup trop large pour moi et qui laissait bien voir que je n’avais pas de soutien-gorge. Après ces constatations, son emprise se desserra quelque peu mais pas suffisamment pour que je puisse lui échapper. Si j’avais pu parler je lui aurais bien répondu d’aller se faire voir. Mais au lieu de ça, il approcha sa main libre de mes fesses et me chuchota :
« Et si on s’amusait un peu ? » 
En réponse, j’émis un grognement de protestation. Je ne pouvais pas bouger plus car il avait réussi à bloquer mon corps. Il se colla contre moi et c’est là que je sentis une bosse contre mes fesses. Même si elle ne me semblait qu’en formation, elle avait l’air d’être déjà de bonne taille. Ça faisait quelques mois que je n’avais pas goûté aux plaisirs de la chair. J’étais terriblement en manque. Même si l’idée que ce gars me touche après m’avoir volé n’aurait pas dû me faire plaisir, mon manque se fit ressentir. Je pressais donc un peu plus mes fesses contre son sexe tout en me disant que, tant qu’à me faire voler, je pourrais peut-être moi aussi profiter de la situation. Il me dit alors d’une voix rauque :
— Aurions-nous découvert une petite salope ? J’ai hâte de voir ce que tu as à nous offrir ma jolie.
Alors qu’il commença à frotter sa bosse contre mes fesses, sa main libre vint se positionner sur ma poitrine. Il soupesa et caressa chacun de mes seins avant de prendre un de mes tétons entre ses doigts et de le pincer. Un gémissement de contentement vint alors remplacer mes grognements de protestation. A cet instant, le premier voleur revint avec de la ficelle à rôti et un torchon entre ses mains :
— Richard, regarde ce que j’ai trouvé ! Ça devrait faire l’affaire. Oh, mais je vois que ça a pris une autre tournure.

Son regard devint lubrique et il s’approcha vers nous. 
— Merci Jérôme. Ce que tu as rapporté va nous servir. Bâillonne-la avec le torchon, je m’occupe de l’attacher avec la ficelle.
La main de Richard quitta mon téton et il entreprit de me lier les mains avec la ficelle. Il en utilisa beaucoup afin que les liens soient résistants. Pendant ce temps, Jérôme m’enfonça une partie du torchon dans la bouche et attacha les extrémités autour de ma tête. J’eus le temps de les détailler. Richard était grand, bien en forme. Ses cheveux bruns étaient en désordre et il portait une barbe de trois jours. Jérôme était un peu plus petit et avait des cheveux très courts. Ce dernier eut un moment de réflexion et s’éclipsa quelques secondes avant de revenir avec quelque chose entre ses mains :
— J’ai trouvé ça tout à l’heure, je ne pensais pas qu’on pourrait en avoir besoin…
Il tenait entre ses mains mon vibromasseur, fidèle allié de ces derniers mois. Richard me regarda avec un sourire en coin :
— T’es vraiment une petite cochonne. Cette nuit tu vas nous servir à nous vider les couilles. On va souiller ton joli petit cul.
Sur ces mots, les deux comparses m’entraînèrent dans ma chambre et me jetèrent sur le lit sans ménagement. Richard me pris par les cheveux et me positionna de façon à ce que je sois assise. Il se mis derrière moi, ses jambes autour de moi de façon à ce qu’il puisse recommencer à frotter son sexe contre mes fesses. Ses mains retrouvèrent leur chemin vers mes seins et il fit rouler mes tétons entre ses doigts. Un gémissement de satisfaction m’échappa et Jérôme entrepris d’enlever ma culotte :
— Regarde sa chatte toute lisse, on pourrait croire qu’elle s’est préparée pour nous, dit-il. 
— C’est une belle découverte. Mais ne va pas trop vite, je voudrais qu’elle nous supplie de la prendre par tous les trous comme une chienne.
— Ça devrait pas être compliqué, regarde comme elle est déjà trempée cette salope !
Jérôme passa rapidement sa main sur ma vulve afin d’appuyer ce qu’il venait de dire à son acolyte. 
— On dirait que t’es déjà excitée ma belle salope, me susurra Richard en pinçant un peu plus fort mes tétons. 
Je lui répondis par un gémissement. Jérôme me caressait les cuisses. Ses mains se rapprochaient toujours plus de mon fruit du plaisir sans toutefois y toucher. L’excitation me faisait bouger des hanches dans l’espoir que ses mains atteignent mon bouton de plaisir. 
— On va se calmer grosse cochonne. C’est nous qui dirigeons, pas toi. On décidera quand tu pourras avoir ce que tu veux, dit-il en s’asseyant sur mes jambes pour les bloquer.
Il actionna alors mon vibromasseur et le mit au rythme de vibration le moins fort. Il le positionna sur mon clitoris sans trop appuyer. Je ne le sentais pas assez à mon goût. Il faisait des va et viens entre mon clitoris et l’entrée de mon vagin. Rapidement, l’embout fut mouillé. Mes gémissements accompagnaient le bruit des vibrations. La queue de Richard, qu’il frottait toujours entre mes fesses, était désormais toute dure. Je pouvais déjà deviner sa taille assez impressionnante. Jérôme accéléra les vibrations et accentua l’appui sur mon clitoris. Des bouffées de chaleur commençaient à m’envahir. Alors, Jérôme retira le vibromasseur. J’étais frustrée et j’émis un grognement de contestation.
— Tu croyais quand même pas que tu aurais ce que tu veux aussi vite quand même ? 
D’un coup, Richard me pinça violemment les tétons. En même temps, Jérôme m’enfonça le vibromasseur dans le vagin. La surprise et la douleur laissèrent place au plaisir. Jérôme me caressait le clitoris en même temps qu’il me pilonnait avec le vibromasseur. Mais à chaque fois que j’approchais de l’orgasme, il s’arrêtait, me laissant dans une grande frustration. Après le troisième arrêt, il remplaça sa main par sa bouche et léchait puis aspirait mon clitoris comme jamais personne ne me l’avait fait. Entre temps, Richard s’était déshabillé et je sentais désormais sa grosse queue directement contre mes fesses. Avec ma mouille abondante, elle n’avait aucun mal à glisser dans ma raie. Je n’en pouvais plus, les orgasmes refoulés mettaient ma frustration à son comble. 
— Alors, sale chienne, tu es prête à nous supplier ? me demanda Richard.
Il m’enleva mon bâillon improvisé pour que je puisse répondre. 
— Oui, répondis-je, haletante. 
— Oui quoi ? 
— Prenez-moi comme vous le voulez.
— Tu veux être notre vide-couilles ? 
— Oui, je veux être votre vide-couille, votre pute. 
— Alors on va pouvoir remplacer le bâillon, dis Richard en regardant Jérôme.
Ce dernier enleva son pantalon et son boxeur. Une queue épaisse et de taille moyenne en sortit. Il la présenta devant ma bouche. Je sortis timidement ma langue pour en caresser le gland. Mais Jérôme pris ma tête entre ses mains et enfonça l’engin dans ma bouche. J’eus du mal à m’adapter à son épaisseur. Il me baisait littéralement la bouche. Son gland tapait contre le fond de ma gorge. Je n’aimais pas spécialement faire des pipes mais la situation m’excitait terriblement alors j’y ai mis du mien. Pendant ce temps, Richard me mis à quatre pattes. Il se mis derrière moi et frotta longuement son gland à l’entrée de mon vagin, malgré mes mouvements de hanche qui le suppliaient d’y rentrer. Enfin, il s’enfonça en moi. Il m’emplissait entièrement. Avec la queue de Jérôme dans la bouche, je ne pouvais que gémir. Richard pris un rythme soutenu, en accord avec celui de Jérôme. Je me faisais pilonner et j’aimais ça. 
— Alors sale chienne, tu aimes ça ? demanda Richard en me claquant les fesses. Je te garantis que tu auras du mal à marcher demain ma grosse salope. 
Ses mots me firent de l’effet. Des inconnus me traitaient comme une salope et j’adorais ça. Alors que je gémissais de plus en plus fort, Richard appuyait son pouce contre ma rondelle. Il crachat dessus et son pouce pu enfin y rentrer. Cette entrée n’avait jamais encore été utilisée. Je ne savais pas à quoi m’attendre mais je n’étais pas en position pour protester. La sensation, douloureuse au début, n’était pas si désagréable. Il remplaça son pouce par son index et son majeur. Mes trois trous étaient pris. Mais Richard libéra ma chatte et positionna son gland face à ma rondelle. Jérôme arrêta de me baiser la bouche et se positionna sous moi. Ensemble, chacun entra en moi. Je poussai un cri face à la douleur de l’entrée de Richard dans mon anus. Mais cette douleur était compensée par la bite épaisse de Jérôme qui me labourait la chatte. La douleur fut vite remplacée par du plaisir et j’eus rapidement mon premier orgasme. Mais les deux comparses n’en avaient pas fini. Richard me donnait des fessées qui me laisseraient des traces à coup sûr.
— Bonne petite chienne. On a découvert un bon sac à bites, hein Jérôme ?
— Ça tu peux le dire, on pourrait en faire notre pute, ajouta-t-il en me donnant un gros coup de rein qui me fit crier de plaisir.
Richard quitta mon cul pour se placer en face de moi. Je compris et ouvris ma bouche pour recevoir sa queue. Jérôme le remplaça dans mon cul mais sa bite eut un peu plus de mal à rentrer. Il reprit le vibromasseur et me l’enfonçait dans la chatte au même rythme que sa bite dans mon cul. J’eus rapidement un deuxième orgasme. Richard se stoppa et sortit sa queue de ma bouche. Je reçus des jets de sperme en plein sur mon visage et il frotta sa bite sur ma joue. Quelques secondes plus tard, je sentis Jérôme se déverser dans mon cul. J’eus alors un troisième orgasme, intense. Il se retira, pris le vibromasseur et l’introduisit rapidement dans mon cul afin de le tremper dans son sperme. Il me le présenta ensuite afin que je le lèche. J’ai également dû nettoyer sa bite avec ma bouche.
— C’est une salope et en plus de ça elle est gourmande et en redemande, s’exclama Richard en me regardant lécher goulûment la queue de Jérôme. Même s’il n’y avait rien d’intéressant dans ton appartement, on n’est pas venus pour rien. On t’a bien souillée, petite pute. On pourrait peut-être même revenir qui sait…
Ils me laissèrent ainsi, allongée sur le ventre, les trous béants. Épuisée, je m’endormis dès qu’ils furent repartis. Le lendemain, après avoir réussi à enlever mes liens, je constatais qu’ils n’avaient rien pris. Il me manquait seulement un double des clés…
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