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Les voyages de Vincent

Chapitre 1

Excursion dans la campagne Turque

Hétéro
À 23 ans, voyageur et grand aventurier, je me plaisais à faire des excursions dans des coins sauvages inconnus des touristes. J’appréciais découvrir d’autres pays dans leur authenticité. C’est ainsi que je découvrais de somptueux paysages et séjournais chez des gens qui avaient conservé leur culture ancestrale. Souvent, ils ne parlaient que leur langue et je devais m’adapter. Cette contrainte était plutôt amusante et je m’en accommodais. La dernière fois, j’avais été recueilli dans un petit monastère grec qui m’avait permis de me reposer et de profiter de la tranquillité de la région. Puis je m’étais dirigé vers l’Est, bien décidé à découvrir la Turquie et son magnifique patrimoine naturel. Après plusieurs jours de voyage, je me retrouvai dans une magnifique plaine rocheuse où pierres et verdures cohabitaient harmonieusement. En haut d’une colline, j’aperçus une chaumière où vivaient très certainement des gens du coin.
Je la montai péniblement et me trouvai devant une charmante maison. Elle était rustique, mais semblait solide et accueillante. Devant, sous un petit préau ouvert fait de bois, se trouvaient deux femmes voilées assises en tailleur, les manches retroussées. Elles étaient en train de pétrir une pâte, certainement pour faire du pain. Lorsqu’elles m’aperçurent, elles s’arrêtèrent et me fixèrent un instant. Quand elles comprirent que j’étais un étranger et que je ne parlais pas la langue, elles se levèrent. Elles étaient sans doute mère et fille et étaient toutes deux très jolies à regarder avec leurs voiles et leurs jupes à motifs floraux. L’une avait l’air d’avoir une quarantaine d’années. Assez fine, le teint pâle, son voile bleu aux fleurs blanches, son gilet vert clair et sa jupe bleu clair aux fleurs grises lui donnaient une certaine élégance, d’autant plus que son visage sévère et son nez fin et pointu l’affublaient d’un air princier.
La fille qui se tenait près d’elle était jeune, sûrement âgée d’une vingtaine d’années. Elle était vêtue d’une jupe bleu clair aux fleurs noires, d’un gilet gris et d’un voile jaunâtre. Un peu plus épaisse et foncée que sa mère et ses traits étaient un peu plus gros. Elle était aussi belle, mais d’une beauté différente ; on pourrait dire qu’elle était plutôt mignonne tandis que sa mère était charmante. Les deux femmes se regardèrent et se mirent à parler en turc, je ne compris donc pas ce qu’elles se disaient :
— Il est beau, n’est-ce pas maman ? — Oui, magnifique. Ne bouge pas, je vais chercher ton père.
Puis la mère s’en alla, me laissant seul avec la jeune fille qui ne me lâchait pas du regard. Je lui esquissai un grand sourire chaleureux, ce qui eût pour effet de lui faire baisser les yeux et de la faire rougir. Je m’en voulais un peu, car j’avais apprécié l’intensité de ce regard posé sur moi. La dame revint accompagnée d’un homme petit, moustachu et grisonnant vêtu d’un large pantalon noir, d’une chemise blanche et d’un beau gilet sans manche rouge. Je compris que c’était le père de famille et essayai de lui demander s’il pouvait me loger. Il me fit comprendre que j’étais le bienvenu chez lui et me fit entrer dans sa demeure. Il me montra une petite chambre et pointa le lit du doigt, ce qui signifiait que je dormirai là. Puis il m’accompagna au salon et me fit asseoir pour me servir un café très fort. Je réussis à lui faire comprendre que je voyageais et explorais la région. Ainsi, il accepta de me loger plusieurs jours.
J’appris également son nom : Tayyip, mais je ne connaissais pas encore celui de son épouse et de sa fille. La nuit venue, j’entrai dans ma chambre, me glissai dans le lit qui était très confortable et fermai les yeux. Une vingtaine de minutes après, j’entendis des bruits de pas : deux personnes se dirigeaient doucement vers ma chambre. Lorsqu’elles entrèrent, je gardai les yeux fermés et fis semblant d’être endormi. J’entendis chuchoter deux voix de femme. Autrement dit, il s’agissait de la mère et de la fille que j’avais rencontrée devant la maison. Elles s’approchèrent de moi. Mon cœur battait plus vite puisque je ne savais pas quelles étaient leurs intentions, mais j’essayais de maintenir ma respiration à un rythme normal. Soudain, je fus privé de ma couverture. Puis, je sentis que l’on baissait mon caleçon. Je me trouvais les organes génitaux à l’air. On se mit à me malaxer les testicules avant de se saisir de ma verge et de la faire adroitement raidir. Puis l’une, la mère, je crois, dit en turc :
— Tu vois ma fille ? C’est comme ça qu’on manipule une bite. — Oui maman, mais je n’imaginais pas que c’était si gros... — Je pense que celle de cet étranger est particulièrement grosse. Je n’ai jamais vu ça avant. Il faut en profiter, goûte-là ma chérie.
D’un coup, je sentis que l’on mettait mon pénis en bouche et qu’on le suçait. Cela ne dura pas très longtemps. La voix de la fille dit :
— Ce n’est pas très bon, ni très agréable. En fait, c’est dégoûtant. — Allons, ma chérie, tu t’habitueras bien assez vite. Tu verras que dans peu de temps, tu apprécieras de faire des gâteries aux hommes. En attendant, ça suffit, viens te coucher, on verra le reste plus tard.
Et c’est ainsi qu’elles me laissèrent en érection dans un état d’excitation intense. J’étais également surpris de ce qui venait de se passer, mais après tout, je le savais la première fois que nous nous sommes rencontrés ; il était évident qu’elles me dévoraient du regard et qu’elles me désiraient. De mon côté, j’avais tout de suite eu des pensées malsaines, mais les avaient vite chassées, n’imaginant pas que deux femmes musulmanes voilées me seraient accessibles. Mais l’inverse venait de m’être démontré ; j’avais définitivement envie d’elles et comptais bien me vider sur la mère ou la fille... ou peut-être les deux. Je me gardais donc, bien qu’en en ayant envie de me soulager cette nuit afin de garder mon énergie pour demain.
En me levant, je pensais directement aux deux femmes et fus pris de désir pour elles. Je me rendais au salon où l’on avait préparé un bon petit-déjeuner turc, composé de mets salés très goûteux. Toute la famille était réunie et m’invitait à prendre place à leurs côtés. J’étais assis à la gauche du père, à la droite de la fille et en face de la mère. C’est à cette dernière que lançait un sourire suggestif qu’elle me rendit aussitôt. Elle était magnifique quand elle souriait, son air sévère disparaissait, mais elle gardait une certaine classe. Ce simple sourire rendu avait fait durcir mon entrejambe. Elle pointa son index sur elle-même et me dit :
— Meral.
C’était visiblement son prénom et j’étais heureux qu’elle daigne me le communiquer, signe qu’elle était ouverte à moi. Je lui répondis :
— Vincent.
Elle m’adressa un nouveau sourire puis pointa sa fille du doigt en prononçant :
— Pelin.
Elle venait de me dire le nom de sa fille. Je me tournais donc vers cette dernière pour lui sourire, mais elle tourna aussitôt sa tête en rougissant. Elle était visiblement bien plus fermée que sa mère et je me voyais mal conclure quoi que ce soit avec elle. Toutefois, cela ne stoppa guère mon enthousiasme : une sur deux, ce n’était pas mal et la mère était très charmante. C’était sur elle que je me concentrerai pour le moment.
A la fin du repas, chacun se leva. Tayyep se vêtit pour sortir et quitta la maison. Je ne savais pas où il allait, s’il restait ou non à proximité de la maison, ni combien de temps il resterait absent, mais je prenais note qu’il n’était pas chez lui. Pelin sortit également. Je supposais que comme hier, elle allait rester aux alentours de la maison. Quant à Meral, elle se rendit dans la cuisine et commença à faire la vaisselle. Pour ma part, j’étais censé aller à la découverte des alentours, mais l’occasion était trop belle.
J’entrai dans la cuisine et observai la mère de famille. Son voile et sa jupe me rendaient fou. Je m’approchai doucement et lui pris l’éponge pour faire la vaisselle à sa place. Ne voulant pas que son invité accomplisse cette tâche à sa place, elle me la reprit en me signifiant qu’il n’était pas nécessaire que je l’aide. Je lui ravissais l’éponge une seconde fois, lui faisant comprendre que je voulais vraiment l’aider, mais elle refusa encore, me la reprenant des mains. Alors, en guise de compromis, je me mis derrière elle, posai mes mains sur les siennes et fis les mouvements avec elle. Cela n’eut pas l’air de la déranger et elle me laissa faire. En frottant les couverts avec elle, je me rapprochai inlassablement de son corps, mon excitation grandissait, ma queue se raidissait, et je me trouvais soudain l’entrejambe collé à son arrière-train, en train de me frotter contre elle pendant que nous frottions la vaisselle.
Elle le sentit, arrêta son travail pour se dégager de moi. Elle souleva sa jupe puis la rabaissa et reprit, se remit à laver. Je compris ce qu’elle voulait dire et me mis à genoux derrière elle. Soulevant sa jupe, je fis apparaître sa culotte et lui descendis. Je rabaissai ensuite sa jupe sous laquelle la mère turque était désormais nue, puis me baissai et passai ma tête sous le tissu afin de me retrouver, couvert par son vêtement, face à ses fesses. Elles étaient toutes blanches, ni trop grasses, ni trop maigres, très agréables à regarder et à caresser. Je les chatouillais, les malaxais, et les embrassais, quand, au bout d’un moment, Meral appuya derrière ma tête avec sa main me collant le visage contre son derrière. Là aussi, je compris le message ; elle en avait assez de me sentir jouer avec son arrière-train et voulait que je me mette sérieusement à l’ouvrage. Je ne me fis pas prier et lui dévorais les fesses avec appétit.
Je sentais qu’elle se contractait et entendais qu’elle commençait à haleter. Je me baissai ensuite pour mettre ma tête entre ses cuisses, espérant atteindre sa chatte avec ma langue. En me positionnant correctement en levant le menton, ce fut possible. Je tirais et remuais ma langue de toutes mes forces. C’était un travail très agréable, car elle était intégralement rasée. Je n’hésitais pas à lécher, à fourrer, à remuer partout. Cela devint plus difficile quand elle serra ses cuisses, comprimant ainsi ma tête. Mais je continuais quand même, ravi de voir que je lui faisais de l’effet. Plus je remuais la langue, plus elle gigotait, et j’entendais qu’elle frottait les couverts comme une furie ; la vaisselle allait assurément être propre. Désireux d’intensifier son plaisir, ainsi que le mien, je fis un effort pour relever encore ma tête afin de pouvoir mettre ma langue encore plus profondément en elle.
Lorsque ce fut fait, je remuais du mieux que je pouvais et j’entendis alors un bruit de couvert qui tombait : Meral avait tout lâché et se tenait à l’évier, elle serrait les cuisses plus fort que jamais et poussait de petits gémissements aigus. Soudain, je pris une véritable douche de liquide vaginal sur le visage. Suffoquant, je retirais ma tête et sortis de dessous la jupe pour me relever. La mère de famille turque se tenait toujours contre l’évier, haletante et transpirante. Elle tourna sa tête vers moi, me sourit chaleureusement et m’essuya le visage avec une éponge avant de nettoyer ce qui était tombé sur le sol.
Quand elle fut remise, elle termina sa vaisselle et sortit à son tour. Je fis de même et me mis en marche pour explorer les environs, satisfait de ce que j’avais accompli et me réjouissant à l’avance de finir le travail que j’avais commencé.
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