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Liaison interdite

Chapitre 2

Inceste
Le lendemain Tristan part travailler. Pensif, il est assez silencieux durant la matinée. Eric, son collègue et meilleur ami voit que quelque chose ne va pas. Inquiet il engage la conversation :
E- On dirait que le réveil t’a achevé, ça va aller ? T- Ouais ça va. E- Tu es sûre ? Vient, on prend une pause-café si tu veux. T- Non ça ira merci. E- Allez ça te fera du bien, j’insiste.    T- Pfff ouais ok mais avant il faut que je termine le planning de la semaine prochaine.
Eric se lève en direction de la pièce voisine. Au loin on entend des pièces tomber dans la machine à café et Eric demande au loin :
E- Tu veux combien de sucre ?! T- Un seul mais attend ! Tu ne vas pas me faire un café, je peux le faire. E- Détend toi, il faut que tu apprennes à ne pas vouloir être partout à la fois. Bon, maintenant tu vas me dire ce qui ne va pas. C’est à propos de ta fille ? T- (Surpris) Comment tu le sais ? E- Après plus de 20 ans d’amitié il est facile de deviner ce qui ne va pas chez toi. Quand tu fais cette tête c’est soit pour ta fille soit pour Elise (sa femme déchue). T- Bonne pioche l’ami.
Ils vont devant la fenêtre fumer une cigarette et siroter leur café.
E- alors, qu’est-ce qui se passe ? Vous vous êtes disputé ? T- Oui on va dire ça… Hier soir elle portait un haut un peu trop décolleté. Du coup je lui ai dit qu’elle n’avait rien à faire avec ça à son âge surtout pour aller en cours. On s’est disputé car elle ne voulait rien entendre, puis elle finit par dire qu’elle met ce genre de fringues parce qu’elle a « envie de plaire ». E- Mais c’est normal à son âge ! Même si ta fille met ses attributs en avant, elle n’est pas du genre à se comporter comme une traînée. Rappelles toi quand on avait son âge, on aimait bien qu’une fille soit sexy ou simplement qu’on puisse voir autre-chose que ses yeux, si tu vois ce que je veux dire (il lui tape dans le dos). T- Oui mais c’est différent c’est ma fille. E- Je comprends mais laisse tomber ! Lâche un peu cette petite ! A trop t’en occuper tu finiras par l’étouffer. Comme je te disais tout-à-l’ heure, tu veux toujours être partout et en particulier lorsqu’il s’agit de ta fille. Tu es un père exemplaire, personne ne dira le contraire, mais respire ! Penses à autre-chose !
T- (Tire une dernière bouffée de cigarette) Oui, tu as raison. E- Allez, je vais pisser et on se remet au boulot.
Conscient qu’il ne disait pas toute la vérité à son meilleur ami, Tristan repense à la soirée d’hier. Une soirée très particulière parsemée de honte, de surprise, d’excitation, d’érotisme et de dégoût à la fois. Tant d’éléments opposés où le plaisir restait vainqueur. Tristan retourne travailler mais pensera à cela toute la journée.
Mélissa, quant à elle, est en cours de littérature. Non seulement elle déteste cette matière mais, assise à côté de la fenêtre, elle est perdu dans ses pensées. Elle repense aussi à la veille mais pas de la même façon. Ses grands yeux bleus pétillent, elle repense aux troubles de son père face à elle, ce reflet inattendu dans la salle de bain, ce sexe appétissant, dur, gonflé, le plaisir qu’il lui procurait rien qu’en le regardant. Le fait de savoir à qui il appartient l’excite d’avantage. Elle commence à mouiller, veut se masturber mais n’étant pas dans un endroit propice à ce genre de chose, elle contrôle ses émotions. Il ne lui tarde qu’une chose, être à ce soir.
Vers 17h Tristan reçoit un sms de Mélissa :
M- Sabrina m’a fait la surprise de venir me chercher, je mange avec elle ce soir, bisous. T- Ok mais ne rentre pas trop tard. M- Oui ne t’inquiètes pas, à tout à l’heure.
Tristan rentre chez lui à l’heure habituelle. Pour se détendre il met en route un album de Mötorhead, va prendre une douche en mode rock’n roll. Ensuite, il s’ouvre une bière, commande une pizza, branche sa guitare et met en sa playlist favorite. Une flopée de groupes y passe : Black Sabbath, Metallica, AC/DC, Led Zepplin « Putain que c’est bon ! On est vendredi, lundi tu ne travailles pas, c’est parti pour un weekend à rallonge ! »Il est 21h30, Mélissa est de retour :
M- Coucou ! Bah dites donc, tu t’éclates à ce que je vois ! T- (finit sa 2ème bière) Ah tu es là ! Oui, ça fait du bien ! M-(elle rit) Tu devrais baisser un peu le son, ça s’entend vachement dans le couloir. T- (Il s’exécute) Pourtant ça ferait pas de mal aux voisins d’écouter de la bonne musique.
Mélissa s’assoit sur un tabouret de bar.
T- Alors ta soirée ? Comment va Sabrina ? M- Elle va bien (raconte sa soirée en buvant un soda). Au fait, j’ai invité Sabrina à dormir à la maison demain, elle devrait venir dans l’après-midi. T- Ok ! Ça fait un moment qu’elle n’est pas venue. M- Oui c’est pour ça, à chaque fois c’est elle qui m’invite. Tu as prévu quelque chose demain ? T- Oui le matin j’irai faire quelques courses et l’aprèm je vais faire du vélo avec Eric. M- D’accord, tu lui passeras le bonjour. T- Je n’y manquerai pas.
Elle se dirige vers la salle de bains en disant qu’elle va prendre une douche. Tristan range son matériel, se met en pyjama et va se brosser les dents. Il toc à la porte :
T- Je peux entrer ?
Un « oui » assourdi par la porte le permet d’entrer. Il commence le brossage et repense au chapitre précédent de la salle de bain. Par curiosité il jette un coup d’œil au fameux miroir. Contre toute attente, Mélissa s’y reflète adossée au mur de la douche, une de ses mains joue avec ses seins tandis que l’autre tient le pommeau entre ses jambes. L’eau sous pression stimule son clitoris et elle y prend un malin plaisir ! Sous le choc, Tristan met un terme au brossage et admire. Aussi tôt son sexe forme un chapiteau sous la toile du pyjama. Il se ressaisie, quitte ce sublime spectacle des yeux et reprend son brossage. Il a l’étrange sensation que sa fille l’observe. Avec la trique qu’il a, il est difficile de dissimuler quoique ce soit. S’obligeant à ne pas regarder l’objectif il se rince rapidement et sort. Il s’empresse d’enfiler un boxer sous son pyjama afin d’éviter toute érection accidentelle devant sa fille.
Il s’installe devant la TV allonge ses jambes sur la méridienne et repense à ce qu’il vient de voir « m’a-t-elle vue avec cette érection ? Elle pensait à moi en se masturbant ? »Les yeux rivés sur l’écran il demeure pensif. Le bruit d’ouverture de la salle de bain le sort de son nuage, sa fille arrive. Sa tenue vestimentaire a changé : elle porte le même jogging qu’hier mais avec un haut blanc beaucoup plus adapté à sa taille… et ses formes. C’est un débardeur classique, décolleté mais rien d’autre ne semble se trouver en dessous. Elle va dans la cuisine, Tristan la regarde passer. Lorsqu’elle se tourne dans sa direction, il devine sans difficulté que rien d’autre que ses seins ne s’y cachent, les reliefs formés par ses mamelons durcis ne peuvent pas être plus clair.
    M- Tu regardes quoi ?    T- Ah…euh…euh où ?    M- Bah à la télé, banane !    T- U…une émission. C’est sur l’espace, les planètes. Enfin je crois, je viens de la mettre.    M- Attend j’arrive, il n’y a pas autre-chose ?    T- Je ne sais pas, regarde si tu veux.
Elle arrive entre lui et la TV, pause sa tasse de thé et demande :
M- tu me fais une petite place ?
Comme ils font souvent, elle s’assoit devant lui entre ses jambes adossée à son torse et les jambes allongées dans cette direction. Elle prend une couverture, la place sur ses jambes et pose sa tête contre son épaule. Tristan a une vue imprenable dans son décolleté, c’est splendide ! Ses bras ceinturent le ventre de sa fille et se dit « mon gars, t’as bien fait de mettre un boxer serré ! »
Il sent ses cheveux et dit :
T- tu sens bon ma chérie, t’as utilisé un nouveau shampoing ? M- (sourie en guise de remerciement) Oui il est au monoï. Et ma peau elle sent comment ?
Tristan s’approche de son coup pour sentir. A fleur de peau, il eut une sensation de chaleur et une terrible envie de l’embrasser dans le coup. Il se ressaisie et répond :
T- Mmmh tu sens bon, une vraie fleur ambulante.
Elle lui sourit, l’embrasse sur la joue, il poursuit :
T- C’est pour cette raison que t’as mis un débardeur ? Pour que je te dise que tu sens bon ? M- Non pas tout à fait ; plutôt pour voir si mon décolleté te déstabilise toujours autant.
Cette phrase retenti dans la tête de Tristan et répondit instantanément :
T- Pour le coup, je dois t’avouer que c’est réussi. M- Mmmh c’est vrai ?
Su ces mots, Mélissa saisie les mains de son père. Depuis son ventre elle les fait monter progressivement. Il sent ses pouces franchir deux courbes volumineuses, le restant de ses mains suivent le guide elles sont maintenant entièrement sur deux collines fermes et moelleuses à la fois, tenant parfaitement entre ses dix doigts. A présent, les mains douces de Mélissa l’encouragent à faire des mouvements circulaires et à pétrir ce qu’il tient. Tristan a l’impression de rêver, que le temps s’est arrêté, que rien d’autre n’existe au monde. Il prend alors les choses en mains (c’est le cas de le dire), continue de masser les seins qu’il avait tant désirés. Il les malaxe de plus en plus fermement, fait glisser ses doigts jusqu’aux tétons pour les pincer, les tirer à travers le tissus. Mélissa aime ça et ondule sensuellement comme un serpent, elle se caresse et remonte parfois saisir la nuque de l’auteur de ce plaisir. La chaleur augmente. D’un mouvement, Tristan glisse ses mains dans le décolleté et attrape ses seins chauds de désir. Sa fille cambre de plaisir et susurre un « ohh continue ». Suite à cela elle l’embrasse dans le coup provoquant un frisson gigantesque chez Tristan, c’est un moment délicieux. Après quelques baisés elle se redresse face à lui et le regarde en mordillant sa lèvre inférieur : « tu veux connaître la suite ? » dit-elle. Il acquiesce par un mouvement de tête.
La jeune fille au regard de braise fait glisser les bretelles une par unes le long de ses bras et libère sa poitrine en tirant le tissus vers le bas. Toujours avec autant de sensualité elle empoigne ses seins, fait rouler ses tétons entre ses doigts, Tristan est hypnotisé :
T- Tu es tellement belle…
En guise réponse elle s’approche de lui, pose une main délicate sur son torse descend jusqu’à son bas ventre et atteint, au travers du pantalon, le membre fortement bandé de son père. Placé latéralement dans son entrave, elle le caresse d’une douceur infinie et dit :
M- Tout l’heure, vu comme elle était tendu quand j’étais sous la douche, elle doit avoir besoin d’un soulagement.
Tristan demeure sans voix, sa muse passe sa main dans le pantalon, presse sa queue emprisonnée par le boxer entre ses doigts, il lui caresse les seins puis, de ses deux mains, elle tire toute censure. La queue de son père se dévoile à quelques centimètres d’elle. Tendue à son apogée et le gland à semi décalotté, elle la regarde avec envie. Sa main droite la saisie et commence à masturber son père. Tristan est aux anges. Mélissa se penche en étendant tout son corps, sa bouche est plu qu’à quelques millimètres de son gland. Elle y dépose un baisé, un deuxième puis le met en bouche. La chaleur buccale entourant sa bite laisse Tristan échapper un « ohh ouii ». Sa fille fait de lent et langoureux va et viens, rythme la pipe avec sa main et quand elle remonte à son gland, ses joues se creusent pour pomper, aspirer le dard. Tristan pose une main sur sa tête afin d’encourager la fellation et lui tenir les cheveux :
T- Ohhh ma chérie continue, c’est tellement bon mmmhhhh…
Pendant qu’elle le suce, elle pousse des petits gémissements des « mmmhhh », varie la cadence des vas et viens, lèche, embrasse la tige puis la plonge au fond de sa gorge. Elle essai de l’avaler entièrement mais ne parvient qu’au deux tiers. De temps à autres elle regarde son père d’un air très coquin, sulfureux, tout en le suçant ou le branlant le gland posé sur sa langue. Tristan la regarde et dit :
T- Ohh toi aussi tu as le droit d’être soulagée.
Il se place en travers de la méridienne, Mélissa se redresse pour enlever son haut, s’attache les cheveux et dans la foulée son père hôte son jogging.
M- Mmhhh qu’est-ce que tu vas me faire ? T- Tu vas voir, remet toi comme tout à l’heure et continue ma chérie.
Avec son sourire coquin elle s’exécute et reprend avec passion le sexe de son père en bouche. Elle est allongée sur la droite de Tristan les jambes pliés vers le plafond grâce aux accoudoirs. Il lui caresse le dos, dirige sa main vers des fesses galbées aussi bandantes que ses seins. Il les découvre, les caresses, les regardes et les palpes tour à tour. Elles aussi sont fermes et moelleuses à la fois.
T- tu veux que je te dise, tes fesses me troublent autant que tes seins… M- (fait un bruit de succion en libérant sa bouche pour parler) Et toi tu me rends folle, ta queue est trop bonne (elle le suce un coup et ajoute), j’ai hâte de goûter ce qui va en sortir.
Elle continue sa fellation redoublant de passion. Tristan aventure sa main plus loin entre ses cuisses, entre ses fesses, son majeur se faufile entre ce cul splendide, caresse un petit trou intensément humide puis arrive à sa source. Le minou de Mélissa mouille abondamment. Elle écarte les jambes, la main de Tristan caresse sa chatte, elle mouille de plus en plus, son clitoris est gonflé. Il frotte le tout en étalant sa mouille, Méli pousse des gémissements plus forts. Il accélère ses doigts gluants, sent le souffle chaud et puissant sortir de la bouche de sa fille, son corps oscille en conséquence. Il glisse son majeure le long de la fente et l’introduit dans son vagin délicatement. Elle bouillonne tellement que son doigt s’enfonce sans aucun effort, il en met un deuxième, fait quelques va et viens et la titille de l’intérieur. Mélissa quitte son amuse-bouche pour exprimer son plaisir « Mmmhhh oui, continue !! ». Tristan se tourne pour avoir un meilleur accès, sa main gauche rejoint le cul démentiel, la droite sors de son intimité et écarte ses fesses au maximum. Les trous de la jeune fille s’élargissent, deux doigts retournent dans son intimité pendant que la main gauche conserve l’écartement. Elle aime ça et le fait savoir ! Voyant ce minou et cet anus suintant de plaisir, Tristan veut absolument y goûter. Il se faufile sous Mélissa, passe sa tête entre ses jambes pour faire un 69. Une fois installée elle continue son festin. Tristan écarte le minou jouissif, le lèche une première fois d’un grand coup de langue partant du clitoris à la première cavité. Il active sa langue sur le petit bonbon rose, le suce, l’aspire, plonge sa bouche entre ses lèvres, sa salive se mélange à son jus, il se régale. Méli pousse de plus long gémissements, elle se régale elle aussi. Tristan enfonce un doigt puis deux, fait des allers-retours, titille l’intérieur en appuyant vers le pubis. Les gémissements se transforment en cris ! Il sort ses doigts, plonge sa langue et l’étire pour aller le plus profond possible. Il pose ses mains sur ses fesses, les écartes pour faciliter la fouille humide, puis il ose quelque chose. Sa langue monte d’un cran. Du bout de la langue il titille son petit trou, approche son index, caresse le tour et fini par appuyer dessus en faisant des petits cercles. Mélissa lâche sa proie :
M- Mmmmmhhhh t’as trouvé mon point faible, ça j’adore. T- mmmh je continue alors M- Oui ne t’arrête surtout pas !
Il lui lèche l’anus à pleine langue et masturbe sa chatte en même temps. Mélissa branle son père frénétiquement, elle veut le faire jouir. Sa langue serpente sur le bout, le reprend en bouche et fait tourner sa langue autour de son gland tout en le branlant. « Ohhh ma chérie c’est divin ! » Il quitte un instant son cul pour apercevoir ce qu’elle fait. Dans la foulé il lui enfonce l’index dans son endroit favoris, fait des va et vient à différentes profondeurs, le sors et le rentre aussi tôt.
M- Ooohh c’est trop bon, je vais jouir dans 30 secondes si tu continues !!!
Il continue, elle le branle toujours autant et sent que ça monte, elle approche sa poitrine et tapote sa bite entre ses seins, la reprend en bouche et recommence son jeu de langue. Il n’en peut plus, ça monte, ça monte et pousse un puissant râle :
T- « aaaaaaarrrrrrggggg mmmhha chérie !! oui ! ouiiii !
Il enfonce son doigt entièrement dans son cul, elle place sa queue sur ses seins et les premiers jets de sperme chaud les éclaboussent. Elle la reprend vite en bouche pour qu’il y déverse tout le reste. Elle ralenti la cadence de la masturbation en le gardant en bouche comme pour apprécier le goût du liquide paternel. Des gémissements étouffés par sa queue se font entendre, Tristan lime son cul plus rapidement, lèche son minou, enfonce son majeur aux côtés de l’index et pousse loin au fond de sa cavité. Elle vient quasi-instantanément après cette profonde pénétration ! Elle avale le foutre, lâche le gros membre de sa bouche et joui fort :
M- Ouiiiiiii, haaaaa !!!!!
Une petite vague de mouille coule de son vagin, les cris diminuent en intensité, Tristan sort les doigts de son anus et lèche le tout. Chaque coup de langue lui provoque des spasmes. Elle se détend, reprend sa respiration et ses gémissements disparaissent. Tristan donne quelques baisés à l’intérieur de ses cuisses et sur ses fesses en la caressant. Ils restent un moment dans cette position. Elle donne un dernier baisé sur le sexe ramollissant, fait deux ou trois va et vient avec sa main pour y faire sortir les dernières goûtes de sperme, donne un coup de langue onctueux, enjambe son homme et se tourne à cheval face à lui. Elle semble conquise. Les mains posées sur son torse elle le regarde et dit :
M- C’était tellement bon ! T- oh oui ma chérie c’était très bon !Il lui caresse les cuisses en la contemplant : T- tu es tellement belle et tellement excitante, je crois que je n’arriverais plus à te résister. Par contre, tu mouilles vraiment beaucoup ! M- C’est ce qui arrive quand on m’excite beaucoup. (Elle regarde ses seins et voit le restant de sperme) Et toi t’avais vraiment besoin d’un soulagement !
Avec un doigt elle recueil du précieux liquide avant qu’il ne coule, suce son doigt puis elle étale tout le reste sur sa poitrine. Ses seins brillent de cette liqueur.
T- Tu es incroyable… M- En tout cas… ton sperme est délicieux, j’aime tout en toi.
Elle s’allonge sur lui et pose sa tête sur son torse. Tristan serre son corps nu entre ses bras musclés et protecteurs. Il l’embrasse à la base du crâne, prend son visage entre ses mains pour l’amener à son niveau. Leurs visages sont proches et se donne mutuellement des baisés un peu partout pour, au fur et à mesure, joindre leur lèvre timidement. Le regard est électrique. Simultanément ils s’échangent un doux baisé puis leurs lèvres finissent par s’emboîter. Ils s’embrassent passionnément, leurs langues s’entremêlent, il se passe quelque chose de très puissant que Tristan ressent au plus profond de lui. Après de longues et savoureuses minutes d’embrassade, sa magnifique fille déclare :
M- Tu sais pourquoi je t’aime tant ? Car tu es celui qui ne m’abandonnera jamais. Durant toutes ces années tu me l’as prouvé, tu es celui dont j’ai besoin pour vivre et être heureuse. T- (Ses yeux s’humidifient) Ce que tu dis me touche… vraiment… tu peux compter sur moi je ne t’abandonnerai jamais, pour rien au monde. Tu es trop précieuse à mes yeux.
Elle le regarde avec une émotion intense, jamais il n’avait vu un regard si dense. Il la sert fortement contre lui, prend la couverture à portée de mains et l’enveloppe autour d’elle. Enlacés ils finirent par s’endormir.
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