Au milieu de la nuit Tristan se réveille. Mélissa est toujours là sur lui et dort profondément. Dans le but de mieux dormir Tristan se lève délicatement, la prend dans ses bras et la couche dans son lit. Il va dans la sienne et se rendort à peine la tête posée sur l’oreiller. Le lendemain Tristan se réveille avant Mélissa et part faire des courses. A son retour, aux alentours de 11h, Tristan appréhendait de voir sa fille par rapport à ce qu’ils avaient fait. Même si c’était incroyablement bon il avait du mal à réaliser qu’il avait fait ça avec sa fille. Arrivé au seuil de la porte il l’entendait jouer du piano, reste un moment immobile en se demandant si elle allait le renier, faire comme si de rien était ou bien redoubler d’enthousiasme. La première idée le terrifiait, il prend une grande inspiration et ouvre la porte. T- Coucou Méli (pose les sacs de courses) M- (Elle s’arrête de jouer et se dirige vers son père avec un agréable sourire) Coucou papa. Elle l’embrasse sur la joue de la pointe des pieds et se blotti contre lui. Ils restent un moment enlacés puis Tristan enchaîne : T- Tu as bien dormi ? M- Merveilleusement, avec ce qu’on a fait hier je n’ai même pas senti le voyage du canapé au lit. T- (commence à ranger les courses et dit en plaisantant) Je t’aurais déposé sur le palier tu ne t’en serais pas rendu compte non plus. M- (S’assoit sur le tabouret de bar) Quand même pas ! Mais… J’aurais préféré me réveiller dans un autre lit… T- J’ai hésité mais on avait assez dérapé comme ça. M- (Semble tomber des nues) C…Comment ça ? Il est vrai qu’il s’est passé quelque chose de peu conventionnels mais ce n’était qu’un simple dérapage pour toi ? Sous le regard déçu de sa fille, Tristan la regarde et ressent à ce moment, une forte émotion. L’amour paternel et passionnel semblait avoir fusionné en un amour jamais ressenti auparavant, sa gorge se noue : T- Non loin de là, c’était terriblement bon mais quand je prends conscience que j’ai fait ça avec ma fille je me sens mal et me dégoûte… D’un autre côté ça m’excite beaucoup et me donne envie de recommencer… Ça ne te fait rien toi ? M- Pareil pour moi… C’était tellement fort que j’ai failli m’évanouir. Quand je pense à ce que chacun représente pour l’autre, d’un côté je pense que je suis folle et d’un autre côté je trouve ça excitant, non pas seulement sur le point sexuel, mais le fait que ça ne soit pas « normal » me fait comme une poussée d’adrénaline. Peut-être parce que c’est… Interdit… Ce dernier mot raisonna dans la tête de Tristan et le prononça en même temps qu’elle. Par un simple regard ils comprennent leur envie de refranchir cette interdiction avec hâte. Il contourne le bar, s’approche de sa fille pose ses mains sur ses cuisses, elle tend les bras au coup de son père puis s’embrassent. Ils s’embrassent avec passion, leurs langues s’entremêlent et plongent au plus profond de leurs bouches. Un puissant désir émane de ces baisés. A travers le peignoir rouge grenat que porte Méli il caresse ses cuisses et sa poitrine, puis il aventure sa main dans l’ouverture du peignoir pour caresser ses cuisses nues. En remontant sa main vers sa taille il s’aperçoit qu’elle est entièrement nue sous cet épais tissu. L’excitation augmente fortement, Méli écarte ses jambes permettant à son père d’accéder à son minou tout mouillé puis rapidement en vient à la masturber. Il glisse ses doigts dans sa fente, écarte ses lèvres, étale le jus pour lubrifier son bourgeon et continue. Entre deux baisés Méli pousse quelques gémissements, elle aussi veut participer, sa main droite joint immédiatement l’entre jambe de Tristan, presse sa queue à travers le jean et la frotte de haut en bas.Tristan enlève son t-shirt, déboutonne son pantalon et le descend aux chevilles pour libérer sa queue et l’offrir à sa fille. Mélissa la saisie en regardant son père avec son irrésistible pincement de lèvre. Pendant qu’elle le masturbe il défait la ceinture de son peignoir et dégage sa poitrine opulente, la caresse. D’un geste elle enlève ses bras des manches laissant tomber le peignoir de ses épaules. Ils sont maintenant face à face et se masturbent mutuellement entièrement nue en reprenant de fougueuse embrassades. Tristan quitte sa bouche pour descendre sur son coup puis sur ses seins qu’il n’avait pas encore goûté. Ses mains les saisissent, les pressent l’un contre l’autre, il les embrasse, les suces, lèche ses tétons, en prend un maximum en bouche et tourbillonne sa langue autour. C’est tellement bon ! Elle aussi adore ça ! Il retrouve le sexe de sa fille en suçant ses seins. Sa bouche descend au niveau de sa chatte trempée et entame un cunnilingus. Tristan boit tout son jus, a l’impression de déguster le meilleur fruit du monde. Cela dure pendant de longues et délicieuses minutes. Ensuite, Mélissa le cajole entre ses jambes et susurre : M- mmmmhhh j’ai envie de toi, te sentir à l’intérieur de moi…
Tristan se redresse en embrassant son corps jusqu’à retrouver ses lèvres et la porte jusqu’au canapé. Il s’assoit tout en la portant, elle est maintenant à cheval sur lui. Avant de s’empaler, elle s’agenouille entre ses jambes et suce Tristan avec autant d’application que la veille, elle suce tellement bien ! Tristan l’encourage d’une main cramponnée à ses cheveux tandis que l’autre malaxe un de ses seins. La jeune fille alterne sa pipe endiablée avec des coups de langue dans toute la longueur de la tige partant parfois depuis ses testicules et remonte pomper le bout de son gland comme si elle voulait aspirer ce qu’il devait en sortir. Pour conclure Méli lance un regard embrasé et se repositionne sur son homme. Tristan dirige sa queue vers son entre en écartant le tout délicatement et s’introduit progressivement en elle. Cette première pénétration leur procure une immense vague de plaisir. Parfaitement installé, Tristan attrape à pleine main le cul de sa partenaire peu expérimentée en chevauchée afin de rythmer la cadence. Il commence par de lents va et vient en lui embrassant le coup, les seins et accélère. Les gémissements de Mélissa prouvent à quel point elle aime ça. Malgré la mouille abondante qui s’échappe, son jeune vagin est étroit ce qui procure de fortes sensations à Tristan et sent qu’il ne tiendra pas longtemps. Entre ses seins qui percutent son visage à chaque coup de reins, son vagin étroit, la tenue ferme de ses fesses, le parfum de ses cheveux et la vision majestueuse, Tristan est au bord de l’explosion. Tout en l’embrassant il lui écarte le cul et lui titille l’anus du bout de l’index. A ce moment elle s’empale entièrement sur sa queue, ondule du bassin, frotte sa chatte d’avant en arrière en cambrant, offrant son cul aux mains de son père et lui susurre à l’oreille : M- Met le moi au fond comme hier mmmmhhhhhhh… Tristan lubrifie son petit trou avec la mouille et y fait disparaître son majeur. Il l’enfonce tant qu’il peu pendant qu’elle s’active sur sa bite. Il bouge son doigt à l’intérieur lui donnant un énorme plaisir. Elle est plaquée contre lui, emprisonne sa tête entre ses seins, l’orgasme arrive, Tristan saisie fermement ses fesses et la pilonne violemment en gardant une partie de son doigt dans l’anus. Mélissa se contracte, elle est en train de jouir, son orgasme est encore plus fort qu’hier, Tristan continue de la limer sentant la jouissance arriver aussi. Il explose en s’enfoncent au fond de son vagin les mains encrées sur ses fesses, le visage appuyé contre ses seins ajoutant une sensation agréable et confortable. Il sent de nombreux jet de sperme remplir sa fille. La pression redescend, Tristan retire son doigt, caresse les fesses, le dos et jambes de sa muse chérie. Une certaine plénitude s’installe et ils restent un moment dans cette position. Le sexe de Tristan commence à prendre sa forme initiale, il le retire et embrasse Mélissa dans le coup en la caressant. Elle se redresse face à lui et d’une voix douce proche du chuchotement : M-…C’était trop bon… Ils se regardent se mettent à rire de plaisir, se serrant fortement l’un contre l’autre, Tristan ajoute : T- Par contre… Il faut vraiment que ça reste entre nous. Personne, je dis bien, personne ne doit savoir. M- Ne t’inquiètes pas, je ne suis pas folle à ce point ! Je ne veux pas te perdre et encore moins gâcher quelque chose d’aussi génial. T- Ce sera notre petit secret. M- Oui, notre éternel secret. Sur ces mots Tristan regarde l’heure : T- Déjà 12h30 ! Elle arrive à quelle heure Sabrina ? M- Vers 14h30 mais la connaissant ça sera plutôt vers 15h. Et toi tu parts à quelle heure ? T- Je ne sais pas, il doit me passer un coup de fil mais sûrement vers 14h/14h30. Pendant qu’il formule sa réponse Mélissa se lève et se précipite vers les wc pour évacuer ce que Tristan a versé en elle. M- (Au loin) Ça va, ça nous laisse de la marge. En tout cas on dirait que t’en a encore plus lâché qu’hier ! T- (Se rhabille et se dirige vers la salle de bain) C’est ce que j’ai cru ressentir, heureusement que je ne me suis pas retiré sinon t’en aurais eu de partout. M- (Le rejoint et d’un air coquin) mmmhh à essayer la prochaine fois ! T-Mais t’es une vraie coquine toi ! Ne t’inquiètes pas on aura l’occasion d’essayer de nombreuses choses. M- Je ne m’inquiète pas, au contraire. Elle termine sur un sourire, au moment où ils s’embrassent le téléphone sonne. T- Ça doit être Éric Après avoir téléphoné il entre dans la salle de bain pour y ranger des courses. Comme sa fille se douche, il regarde le petit miroir et dit : T- Si j’avais plus de temps je t’aurais bien rejoint sous la douche. M- Ah oui ? (Ouvre le rideau) alors vient, tu parts dans combien de temps ? T- Ne me tente pas ! Je parts dans moins d’une heure et il faut que je fasse à manger. Ayant terminé elle sort alors de la baignoire, Tristan l’enveloppe dans une serviette et ils s’embrassent langoureusement. Une nouvelle érection fait surface : T- Bon, je vais sortir de là avant que l’envie soit trop forte. Il lui donne un dernier baisé et s’en va préparer à manger. Une fois le déjeuner terminé, Tristan embrasse sa fille et s’en va rejoindre son vieil ami.
