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I - Liaisons dangereuses

Chapitre 8

ShaMa - introduction, soumission, contusions (2)

Hétéro
Ça fait quelques jours maintenant que je « travaille » pour essayer d’attirer l’attention de Shama, tout en essayant de rester un minimum subtil, le but n’étant pas qu’elle se pose des questions en se demandant pourquoi d’un coup je veux me rapprocher d’elle. J’essaie de discuter plus personnellement avec elle de temps en temps, au détour d’une discussion pro. Elle reste discrète, comme à son habitude, mais ne semble pas trouver mon comportement suspect. Elle me répond avec plaisir, elle sourit, elle rit même, donc pour l’instant, même si rien ne s’est encore passé, les premiers signes d’approche sont encourageants.J’attends le coup de pouce promis par Jenny pour m’aider dans ma tâche, mais pour l’instant, c’est le calme plat de son côté. On ne s’est plus vu depuis le restaurant, elle a beaucoup de travail, comme nous tous, donc je ne vais pas la relancer et j’en profite pour essayer de m’imaginer comment je vais m’y prendre. Jenny a l’air de croire en moi, j’avoue être bien moins confiant qu’elle, mais bon, je vais tâcher de mettre cette idée de côté et de faire ce qu’il faut. Jenny m’a fait découvrir des choses que je n’aurais jamais cru faire un jour, elle a une sorte de « grinta » en elle pour tout ce qui concerne le sexe, donc je vais lui faire confiance et croire, moi aussi, en mes capacités.Quelque temps après, alors que nous sommes en train de travailler, Jenny arrive au bureau et nous lance :
— Florian, Shama, allez m’attendre dans la salle de réunion, j’ai à vous parler.
Ça y est, elle s’est enfin décidée. Shama me regarde l’air étonné et interrogateur et je fais semblant de l’imiter, même si je sais parfaitement à quoi m’attendre :
— Qu’est-ce qu’elle nous veut ? Me demande-t-elle avec un soupçon d’inquiétude ;— Je ne sais pas du tout, on ne la voit pas beaucoup en ce moment donc bon, difficile à dire... Allons-y, on verra bien !!
Nous nous dirigeons vers la salle de réunion et nous installons l’un en face de l’autre à un bout de la longue table entourée de chaises. Jenny nous rejoint quelques instants plus tard, elle ferme la porte derrière elle et pose un dossier sur la table avant de s’asseoir.
— Bon, si je veux vous voir, c’est que vous êtes deux des plus anciens employés de la boîte et si vous êtes encore là, c’est que vous faites de l’excellent boulot. Comme vous avez sans doute dû vous en apercevoir, il y a de plus en plus de travail, des demandes de collaboration, j’en reçois tous les jours et je suis bien souvent obligée d’en refuser certaines, ce qui ne me plaît pas, mais je n’ai pas le choix, je préfère refuser qu’accepter sans être sûr de pouvoir fournir une qualité optimale à nos clients, une mauvaise réputation se fait beaucoup plus vite qu’une bonne, surtout dans notre domaine. Fred et moi nous occupons de recruter du monde mais ça prend du temps pour trouver les bonnes personnes donc en attendant, j’ai décidé de vous donner une promotion à tous les deux, eu égard au très bon boulot que vous faites depuis plus de trois ans. Je n’ai pas encore décidé de qui ferait quoi, et pour m’y aider, je vais vous donner un projet à étudier, à monter, à finaliser et à présenter au client par vous-même.
Je n’interviendrais à aucun moment, vous vous débrouillerez de A à Z.Shama et moi nous regardons et je lui adresse un petit sourire discret qu’elle me renvoie avec un air un peu plus étonné que le mien par ce que l’on vient d’apprendre. Jenny enchaîne :
— Je veux que vous travailliez ensemble, un travail d’équipe, on est d’accord ?— Oui !— Oui !— Très bien. Est-ce que vous avez des questions ?— On doit rendre le projet pour quand ? Demandai-je à Jenny ;— Tout ce qu’il y a à savoir est dans ce dossier. J’ai prévenu le client que je le confiais à deux de mes meilleurs éléments en qui j’ai toute confiance, donc ne me décevez pas !!
Sur ces mots, Jenny se lève et se dirige vers la porte. Avant de l’ouvrir, elle rajoute :
— Oh, et bien entendu, c’est en plus de votre travail habituel, cela va sans dire !!
Elle quitte la salle de réunion, nous laissant Shama et moi, face à face. Je me lève et viens m’asseoir juste à côté d’elle en attrapant le dossier. Je me rapproche autant que je peux, essayant de trouver le juste milieu afin que ce ne soit pas trop insistant. Son parfum est doux et très agréable, loin d’être entêtant, son haut ne met pas assez en valeur sa poitrine généreuse et on ne voit vraiment que l’extrême haut de ses seins et la démarcation qui va avec. Malgré tout, la protubérance importante de sa poitrine est très agréable et excitante à regarder.
— Wahou, et bien, je ne m’attendais pas à ça !! Me dit-elle ;— Oui, ça change de se faire gueuler dessus !! Ça prouve qu’elle n’est pas si terrible et qu’elle sait qu’on fait du bon boulot.
Shama feuillette le dossier et je mets soudain rapidement ma main sur la sienne pour l’empêcher de tourner une feuille, prétextant vouloir regarder quelque chose, m’approchant un peu plus du dossier et d’elle par la même occasion. Je sens que le contact de ma main avec la sienne l’a surprise, mais néanmoins, elle ne la retire pas, se contentant de ne pas bouger et de me laisser regarder ce que je veux.
— Désolé, dis-je en retirant ma main de la sienne et en me reculant pour la laisser continuer de parcourir le dossier ;— Pas de problèmes, me répond-elle avec un sourire. Bon, ça ne m’a pas l’air d’être bien complexe tout ça ;— Oui, c’est ce que je me disais, mais bon, on va quand même faire les choses carrées et ne laisser aucun détail de côté, c’est un test et il ne faut pas le louper !!— Oui, tu as raison ! Mais ça va être sacrément tendu avec tout le boulot qu’on a déjà...— C’est sûr, mais en étant bien organisés, on va s’en sortir, tu vas voir ! Ce que je te propose, c’est qu’on mange tous les deux ce midi au resto et qu’on voit comment on s’organise, qu’est-ce que tu en penses ?
Au premier abord un peu étonnée, elle accepte rapidement ma proposition. Nous nous levons et retournons chacun à notre bureau. Un message de Jenny arrive sur mon téléphone :
— A toi de jouer maintenant, et ne traîne pas, j’ai envie d’elle !!! ;) — On va au resto ce midi avec Shama, peut-être qu’elle va me demander de la raccompagner à sa voiture...
De mon bureau, je peux la voir sourire à la réception de mon message, puis lever le regard vers moi et me faire un clin d’œil. Je lui rends la pareille et me replonge dans mon travail. Le midi venu, nous nous retrouvons, Shama et moi, dans un petit resto à proximité de la boîte. Nous parlons de travail une bonne partie du repas, faisant en sorte de nous répartir les tâches selon nos envies et nos compétences. La fin du repas approchant, je me décide à commencer à lui parler de choses plus personnelles :
— On va devoir cravacher mine de rien, ça fait une bonne charge de travail en plus !! C’est ton mec qui va être content de te voir ramener du boulot à la maison...— Oh, il n’est pas beaucoup là donc bon ;— Ah, il est commercial ?— Non, chauffeur routier, donc très souvent en déplacement.
En voilà une nouvelle qu’elle est bonne !! La théorie de Jenny peut se tenir après tout, elle se sent peut-être délaissée et frustrée comme elle l’avait supposé !!
— Ah d’accord, en effet. Pas trop dur d’être souvent seule ?— Bah, on finit par s’y habituer, mais il devrait être plus souvent là une fois qu’on sera marié.
Et voilà le deuxième effet Kiss-Cool... Elle a bien douché ma confiance là...
— Cool !! C’est prévu pour quand ?— Ohlala, je ne sais pas !!! Il a émis l’idée de se marier il y a quelques mois après une période difficile à son travail. Il m’avait balancé ça, arguant du fait que lorsqu’on sera marié, ça sera plus facile pour lui de lever le pied à son boulot, mais depuis, on n’en a plus reparlé;— Tu n’as donc pas eu droit à la demande de mariage en bonne et due forme, avec le genou au sol, la bague et tout le reste ?— Ahahahah, non, mon mec n’est pas ce qu’on pourrait appeler un romantique !!— Et toi, tu l’es ?— Bof, sans plus ;— Depuis combien de temps vous êtes ensemble ?— Un peu plus de quatre ans ;— Ah quand même, c’est pas mal !!— Oui, le temps passe vite !! Et toi, une copine ?
Tiens, elle s’intéresse à ma vie privée, c’est une bonne chose !!
— Non, rien de notable depuis pas mal de temps. Ma dernière relation sérieuse n’a pas été vraiment une franche réussite avec le recul, pas mal de frustration, du coup, j’ai décidé de prendre du temps pour moi et de m’amuser !!— D’accord ; me dit-elle en souriant et en fuyant mon regard.
Bon, ça va au final, la situation n’est pas si terrible !! Je n’ai pas vu d’étoiles dans ses yeux lorsqu’elle m’a parlé de ce mariage et de son couple, donc on n’est pas sur du définitif. C’est vrai qu’elle ne donne pas l’impression d’être hyper épanouie dans sa relation, comme elle en parle, on dirait presque plus une vie de colocation qu’une vie de couple.Je me décide à lui lancer un compliment, histoire de tester sa réaction :
— Tu n’avais pas les cheveux ondulés à une époque ?— Euuuh, oui, je les ai fait lisser il y a quelques semaines, pourquoi ? Me dit-elle l’air étonné en prenant une mèche de ses cheveux dans sa main pour la regarder ;— Non, je me disais juste que ça t’allait mieux les cheveux ondulés, je trouve que ça va mieux avec la forme de ton visage ;— Oh, et bien merci, c’est gentil... J’aime bien changer de coiffure de temps en temps en fait ;— Attention, je ne suis pas en train de dire que c’est moche les cheveux lisses, ça te va bien aussi, mais je trouve que les cheveux ondulés te mettent plus en valeur. Mais ce n’est que mon avis hein !!
Elle baisse un peu les yeux en lançant un petit rire quelque peu gêné, jouant avec la mèche de cheveux encore entre ses doigts.
— Qu’en pense ton mec ?— Il ne m’a jamais fait de remarques concernant ma coiffure, donc je ne sais pas ;— D’accord.
Voilà qui est pas mal, je fais d’une pierre deux coups en la complimentant et en glissant au passage un petit tacle indirect à son mec. Mais je ne veux pas insister plus sur les compliments, je ne veux pas qu’elle tombe amoureuse de moi après tout, je voulais juste la tester et je suis content de sa réaction. S’il est clair qu’elle était gênée, je pense qu’elle s’est aussi sentie flattée, donc c’est une bonne chose !!Les jours suivants, Shama et moi travaillons de concert à la réalisation du projet. Nous mangeons souvent ensemble le midi et discutons beaucoup, et ça nous arrive même de nous appeler au téléphone le soir quand nous voulons un renseignement sur un point précis. Je la trouve de plus en plus à l’aise avec moi au fur et à mesure, je m’amuse à faire parfois des allusions un peu coquine quand le sujet s’y prête, ça ne semble pas la troubler et elle rigole de bon cœur, n’hésitant pas de son côté à me suivre dans mes délires et à me tendre des perches, sachant pertinemment que ça me ferait réagir. Une certaine complicité s’est installée entre nous, chose confirmée par ce qu’est venu me dire un collègue, un jour au bureau :
— Dis-donc, ça va, tu t’amuses bien avec Shama ?— Comment ça je m’amuse bien ?— Ouais, ouais, c’est ça, fais l’innocent, on voit bien comment vous êtes ensemble, en train de vous taquiner de longue !!!— Mais qu’est-ce que tu racontes comme conneries ? Oui, on s’entend bien et il vaut mieux vu qu’on bosse ensemble, c’est toujours mieux de rigoler que de se faire la gueule hein !!— Et c’est toujours mieux de mater son cul et ses nichons aussi, n’est-ce pas ?— Ben quoi, comme si tu la matais jamais toi !! Je l’ai sous les yeux, je vais pas détourner le regard non plus !!— C’est sûr, mais quelque chose me dit que t’aimerais pas l’avoir que sous les yeux, pas vrai ??— Oh putain, t’es lourd là, allez, dégage, j’ai du boulot !!!
Il s’en va en riant de bon cœur. Je ne peux m’empêcher de sourire intérieurement car, tout se passe pour le mieux avec Shama, tous les signaux sont au vert et je pense que c’est le moment ou jamais pour tenter une approche plus concrète. Le projet est quasiment bouclé, il ne reste plus qu’à fignoler des détails et à tout mettre en ordre, c’est l’occasion rêvée pour passer à l’étape suivante.Je vais voir Shama à son bureau :
— Dis Shama, vu qu’on a bientôt bouclé le dossier, je me disais que ça serait bien si on se voyait dans un cadre plus cool qu’au boulot et moins bruyant qu’au resto pour le finir, t’en dis quoi ?— Euh... Oui, si tu veux, tu voulais aller où ?— Et bien j’avais pensé à aller chez moi, ou chez toi si tu préfères ;— Euuuuuuh... Ben chez moi... Euuuuh, comment dire, c’est un peu compliqué, mon mec est beaucoup en déplacement mais ma belle-sœur est souvent là en ce moment, on risque d’être dérangé...— D’accord, on a qu’à aller chez moi alors, pas de belle-sœur à l’horizon de mon côté !!!
Je la sens hésitante, un peu gênée par ma proposition, elle semble ne pas savoir quoi répondre :
— Maintenant si tu préfères, on continue ici hein, pas de soucis ;— Non non, d’accord, tu veux faire ça quand ?— On est mardi, je me disais qu’on pouvait s’organiser ça vendredi après-midi. Je vais voir avec Jenny pour qu’on parte plus tôt cet après-midi-là, comme ça au moins, on attaque le week-end tranquille en sachant que tout est bouclé ;— Oui, c’est une bonne idée, pourquoi pas ;— Super !!! Je vais aller voir la patronne et je te tiens au courant ;— Ok !
Je la quitte, la laissant un peu déstabilisée par ma demande. Je file direct vers le bureau de Jenny et frappe à la porte déjà entrouverte. En me voyant, elle me fait signe d’entrer et de fermer la porte.
— Alors, tu en es où ? — Ça avance. Justement, à ce propos, il faudrait qu’on puisse partir plus tôt vendredi après-midi, on va aller chez moi pour finir le projet.
Ses yeux s’éclairent en même temps qu’un grand sourire illumine son visage.
— Super, t’as réussi !!!— Calme-toi Jenny, j’ai rien réussi du tout, elle vient juste chez moi, rien de plus !— Arrête, je suis certain que t’as une idée en tête !!— On verra bien le moment venu. C’est bon pour vendredi alors ?— Et comment que c’est bon !!!
Je sors du bureau de Jenny et vais annoncer la nouvelle à Shama.Nous sommes enfin vendredi, et en arrivant au boulot le matin, qu’elle n’est pas ma surprise de voir que Shama a changé de coiffure, de belles ondulations parcourant de nouveau ses longs cheveux. Mais ce n’est pas tout. Si, comme à son habitude, elle porte un pantalon, son haut quant à lui est bien plus moulant et échancré qu’à l’accoutumée. Rien de provoquant ou d’exubérant, mais c’est assez rare pour être souligné. Et du coup, je confirme que sa poitrine est diablement excitante quand elle est un minimum mise en valeur comme ça. Je n’ose imaginer ce que ça donnerait si elle portait des tenues bien plus aguichantes... Je commence à comprendre Jenny quand elle me dit que cette nana l’excite et qu’elle a quelque chose, je sens à mon tour mon désir pour elle prendre forme, et pas seulement dans ma tête... Je me mets à imaginer ma bite prendre place entre ses deux belles et grosses mamelles, et bon sang, qu’est-ce que c’est bandant d’avoir cette image en tête !!! Je commence à être de plus en plus serré dans mon boxer, je sens que la journée va être longue... Mais peut-être est-ce moi qui me fais des idées, peut-être a-t-elle changé de coiffure et s’est-elle habillée un peu plus sexy que d’habitude juste par hasard.
Je me suis tellement convaincu qu’il faut que je me la tape que peut-être que je vois des signes là où il n’y en a pas... On verra bien ce soir, d’ici là, je vais tenter de garder mon calme et d’éviter de trop la mater, chose que ne se gêne pas de faire mes collègues qui, eux aussi, ont bien remarqué sa tenue un peu plus inhabituelle.Bientôt 16h, nous décidons de partir avec Shama. Je me suis souvenu que Jenny m’avait dit qu’elle me trouvait sexy habillé en motard, donc je me suis appliqué à venir à moto, histoire d’en rajouter une couche, si tant est qu’elle y soit sensible. Elle me suit avec sa voiture et nous arrivons rapidement chez moi. Je l’invite à se mettre à l’aise et lui indique le canapé pour qu’elle s’assoie. De mon côté, je retire mon blouson, je porte en dessous un t-shirt type seconde peau, très moulant et assez léger, idéal pour rouler à moto pendant les beaux jours. Ce t-shirt me met assez bien en valeur même si je ne suis pas ce qu’on pourrait appeler un mec baraqué, mais j’ai néanmoins assez de pecs et d’abdos pour que le vêtement en fasse ressortir les contours. Je viens à mon tour m’asseoir près d’elle et nous commençons à nous plonger dans le dossier. Cette fois, je me rapproche beaucoup plus, aidé par le fait que la table étant plutôt basse, il faut se pencher un peu plus pour bien voir les documents.
Elle finit par jeter ses cheveux de l’autre côté de sa tête afin d’éviter que ceux-ci ne me gênent, ce qui m’offre une vue plongeante sur son décolleté. Le creux se dessinant entre ses seins semble sans fin et je meurs d’envie d’aller le sonder par moi-même...
Nous compulsons le dossier, réglant les derniers détails qui avaient besoin de l’être ; je reste très proche de Shama, ma jambe collée à la sienne et nos corps, de manière générale, très près l’un de l’autre, ce qui ne semble pas la gêner car elle pourrait sans problème se décaler mais elle ne le fait pas. Lors des quelques moments de silence, quand nous lisons tous les deux, je peux entendre sa respiration, plus bruyante et rapide que la normale, et il me semble même apercevoir, lorsque je l’observe du coin de l’œil, qu’une légère rougeur se mélange à la couleur ambrée de ses joues. J’ai beau être en t-shirt, j’ai malgré tout très chaud, l’excitation de la situation et ma proximité directe avec Shama agissant de manière spectaculaire sur la température ambiante. Nous arrivons rapidement à la fin du dossier et malgré l’heure encore raisonnable de l’après-midi, je lui propose de fêter la fin de cette collaboration en ouvrant une bouteille de champagne qu’il me restait d’une soirée entre amis il y a quelque temps de ça, ce qu’elle accepte sans hésitation.
Je vais chercher la bouteille et deux verres puis viens me rasseoir tout près d’elle mais en laissant néanmoins une distance un peu plus importante que précédemment.
— Et bien voilà une bonne chose de faite !! Je pense qu’on a fait du bon boulot et que Jenny devrait être contente de nous, lui dis-je en remplissant nos verres ;— Oui, on va voir maintenant ce qu’elle nous réserve pour la suite !!— Oh que du bon, j’en suis sûr !! Lui dis-je en lui adressant un petit clin d’œil et même temps que je lui tends son verre.
Elle est loin de s’imaginer que cette réflexion de ma part n’a strictement rien à voir avec le travail...
— Trinquons à cette fructueuse collaboration !! Dis-je tout en levant mon verre ;— A notre collaboration !! Répond-elle gaiement.
Nous buvons tous deux, et si moi, je me contente d’une simple petite gorgée, Shama boit presque plus de la moitié de son verre en deux grandes gorgées. Elle le repose, son regard n’arrivant pas à se fixer sur quelque chose, que ce soit sur moi ou sur n’importe quoi d’autre. Elle n’est pas à l’aise, pas parce qu’elle ne sent pas bien mais plutôt, je pense, parce qu’elle aussi doit ressentir une certaine tension et qu’elle ne sait pas trop comment réagir. Allez, il faut que je passe à l’action, c’est le moment Flo !!J’attrape une mèche de ses cheveux entre mes doigts et lui dis :
— J’avais donc raison, ça te va vraiment mieux les cheveux ondulés. Elle baisse les yeux en lançant un petit rire :
— Oui, c’est vrai que je préfère aussi, me dit-elle en me regardant cette fois sans fuir mon regard ;— Donc tu es d’origine indienne, c’est ça ? Lui dis-je tout en reposant sa mèche de cheveux dans le creux de son épaule, en profitant pour me pencher un peu plus vers elle.— Oui, en effet ;— Et ton prénom à une signification ?— Ça va dépendre de l’interprétation, mais ça a un rapport avec le feu, les flammes ;— Tout un programme dis-moi !— Oui...
Elle reprend de nouveau son verre, vide ce qu’il reste de son contenu et le repose.
— C’est étonnant, avec une signification comme celle-là, je t’aurais imaginé être plus impulsive, plus sanguine, alors que tu es plutôt calme et réservée ;— Oui, j’imagine que je ne fais pas honneur à mon prénom...
J’approche alors doucement ma main de sa cuisse, l’effleurant de mes doigts tout en me penchant vers elle et en écartant quelques mèches de ses cheveux avec mon autre main.
— Non, quelque chose me dit que tu mérites sans aucun souci ton petit nom...
Après avoir prononcé cette phrase, j’approche ma bouche de son épaule, puis de la base de son cou, survolant sa peau de mes lèvres. Shama reste immobile, la tête légèrement penchée et ses yeux fixant ma main à présent bien appuyée sur sa cuisse. Ma bouche continue doucement son chemin, prenant la direction de ses seins, et alors que je m’apprête à enfin toucher du bout des lèvres cette poitrine qui me fait tant fantasmer depuis des jours, elle me repousse brusquement en me décochant une violente gifle et en s’écartant largement de moi. Je bascule presque contre le rebord du canapé, secoué par sa réaction à laquelle je ne m’attendais vraiment pas. Elle me regarde droit dans les yeux et la bouche entrouverte, respirant bruyamment, la peau de son visage ayant cette fois pour de bon un teint rougeoyant.
— Écoute Shama, je...
Je n’ai pas le temps de continuer ma phrase, qui aurait consisté en une suite d’excuses toutes plus pitoyables les unes que les autres, que Shama se précipite sur moi, écrasant ses lèvres sur les miennes et m’envoyant valser pour de bon contre le rebord du canapé. Heureusement, un coussin se trouvant là amortit le choc et me voilà avec Shama quasiment allongée sur moi, sa lourde poitrine étalée sur mon torse et sa langue pénétrant ma bouche sans préavis, entraînant la mienne dans une danse frénétique. Il me faut quelques secondes pour réagir à ses deux réactions antagoniques, et alors que je m’apprête à l’enlacer, elle se redresse à nouveau, interrompant son baiser et s’asseyant près de moi.
— Je... Je... Je suis désolé... Je... Je sais pas..., bredouille-t-elle en reprenant comme elle peut sa respiration.
Son haut s’est un peu étiré lorsqu’elle m’a sauté dessus et celui-ci laisse apparaître le haut de son soutien-gorge dépassant du tissu.Cette fois, c’est moi qui ne lui laisse pas finir sa phrase et qui me précipite sur elle, de manière bien moins brusque cependant, ce qui ne l’empêche pas de pousser un petit cri lorsque se sont mes lèvres qui viennent s’abattre sur les siennes. Mes mains parcourent son corps, caressant sa poitrine et sa cuisse, je continue de l’embrasser et de son côté, elle semble figée, ne bougeant quasiment pas, si ce n’est sa langue et ses lèvres, obligées de suivre mon baiser. Cela dure quelques secondes, puis elle finit par se détendre, comme si elle venait de trancher un dilemme intérieur, comme si elle venait de choisir entre « Non, il ne faut pas, ce n’est pas bien » et « vas-y, lâche-toi et profite ». Et vu son comportement, il n’est pas bien difficile de deviner quelle option elle a privilégiée !!Elle se met aussi à me caresser, passant une de ses mains dans mon cou pour appuyer encore plus le baiser et faisant courir l’autre sur mon torse. Elle vient alors prendre le contrôle de la situation, me faisant asseoir et venant me chevaucher. Elle enlève mon t-shirt et fait ensuite de même avec son haut, dévoilant ainsi à ma vue son impressionnante poitrine encore emprisonnée dans un soutien-gorge tout ce qu’il y a de plus classique, puis elle plonge son visage vers moi, m’embrassant le torse, le cou et me léchant le lobe de l’oreille, le mordillant même par moment, son bassin ondulant contre moi et donnant le coup de grâce à ma queue pour finir de la faire bander. Je l’enlace, la serrant contre moi et, tout en faisant courir mes mains dans son dos, je finis par attraper l’attache de son soutien-gorge pour m’atteler à la défaire. Celle-ci cède rapidement et je retire son soutif pour le jeter plus loin. Elle se redresse et ses majestueux obus enfin libérés trônent devant mes yeux ! Ils sont vraiment imposants par rapport à la taille modeste de Shama, ils débordent de son buste et descendent assez bas.
Ses tétons sont épais et le diamètre de ses aréoles parait étonnamment large. Je m’empresse de venir gober un de ses tétons, empalant mon visage dans sa poitrine voluptueuse, sa peau douce et chaude et ses seins moelleux à souhait sont un délice à déguster. J’alterne entre ses deux mamelles, ce qu’elle semble fortement apprécier si j’en juge par ses gémissements de plaisir lorsque ma langue joue avec ses tétons. Ses mains, d’abord en train de caresser mes cheveux, finissent par descendre plus bas afin de déboutonner mon pantalon, elle se décale un peu afin de se faciliter la tâche, me laissant toujours lui téter la poitrine. Elle s’appuie alors sur ses genoux et je soulève légèrement mes fesses pour lui permettre de faire descendre mon pantalon ainsi que mon sous-vêtement. Ma bite, prise en tension dans mon boxer, vient claquer contre moi lorsqu’elle est enfin libérée de sa prison de tissu, mon gland déjà bien humide venant maculer mon bas-ventre de mouille. Je l’imite, en déboutonnant aussi son pantalon, elle se lève et se met face à moi, retire rapidement son vêtement mais garde sa culotte, puis vient de nouveau me chevaucher.
Mon sexe est coincé entre mon bas ventre et son pubis qu’elle continue à onduler, le tissu de sa culotte grattant ma peau, mon visage emprisonné par ses seins, son buste complètement appuyé sur moi, elle gémit de sentir sa poitrine compressée, m’étouffant presque, ses ondulations se faisant de plus en plus rapide. D’une main, je viens attraper sa culotte par dessous sa cuisse pour essayer d’écarter le tissu et ainsi libérer sa chatte, que je sens déjà bien humide. Elle vient m’aider dans ma tâche et tire franchement le tissu, un petit bruit de déchirement se faisant alors entendre. Elle s’écarte un peu de moi pour libérer ma queue, se redresse sur ses genoux et je viens positionner mon gland entre ses nymphes. Elle s’assoit de nouveau sur moi, emprisonnant mon sexe entièrement en elle en un soupir commun, et elle se met à onduler son bassin d’avant en arrière en restant collée contre moi. Mon sexe est délicieusement entouré de chaleur et de moiteur, profondément calé en elle, ses seins écrasés contre mon torse, elle m’enlace franchement, continuant à parcourir mon cou et mon épaule de sa bouche, pinçant d’abord doucement ma peau de ses dents, puis plus franchement à certains moments, provoquant chez moi quelques rictus de douleur au milieu de ceux du plaisir que je peux ressentir.
Elle ondule toujours plus frénétiquement son bassin, toujours complètement collé à moi, respire et gémit de plus en plus bruyamment, puis soudain, elle pousse un long gémissement de jouissance en s’immobilisant complètement sur moi. Je peux sentir ses cuisses et tout son corps trembler, sa bouche laissant s’échapper une respiration saccadée au creux de mon épaule.
Bon, j’ai déjà fait jouir des femmes mais en général, ça demande un peu plus de temps, mais là, j’avoue être étonné : soit elle est dans un monstrueux état d’excitation, soit elle est vraiment très, très sensible. Il doit sans doute y avoir un petit peu des deux, et de la manière dont elle bougeait sur moi, elle devait sans doute bien se stimuler le clitoris. Elle serait donc très sensible de cette zone (en tout cas plus sensible que la moyenne) ? J’attends quelques secondes que les frémissements de son corps se calment, puis je décide d’aller vérifier ma théorie. Je la bascule et l’allonge, sa tête prenant place sur le coussin reposant sur le bras du canapé, j’enlève sa culotte et dévoile sa chatte. Elle est parfaitement épilée, ses petites lèvres bien gonflées débordent largement de son sexe entrouvert, l’intérieur joliment rosé de sa vulve tranchant avec l’aspect bien plus sombre du pourtour de son sexe, le tout trempé de la jouissance qu’elle venait de vivre. Je lève une de ses jambes pour la poser sur le dossier du canapé, l’autre venant s’appuyer sur le sol, puis je me précipite entre ses cuisses.
Elle pousse un long gémissement quand mes lèvres viennent emprisonner son clitoris pour commencer à jouer avec, je peux sentir son corps se crisper, son bassin semblant vouloir rentrer dans le canapé tant elle appuie dessus. Je viens insérer deux de mes doigts en elle et me met à les faire aller et venir tout en continuant à lui laper le clito. Elle gémit de plus en plus vite et de plus en plus fort pour finir de nouveau par jouir, son sexe baignant soudain dans un petit flot de jouissance, comme si l’on avait vidé un petit verre d’eau dessus. Je ne fais pas prier pour lécher cette offrande liquide mais je n’ai pas le temps d’en profiter autant que je le voudrais qu’elle me repousse et recouvre sa chatte de sa main en serrant ses cuisses pour m’en interdire l’accès. Ma main enduite de sa mouille, je viens attraper mon sexe tendu et l’imprègne de ce délicieux lubrifiant naturel qui vient se mélanger avec celui qui perle de mon gland. Je me masturbe comme ça pendant quelques secondes durant lesquelles elle écarte de nouveau ses jambes pour les remettre dans la même position qu’auparavant, sa chatte toujours recouverte de sa main.
Elle me regarde droit dans les yeux, la bouche entrouverte encore en train de reprendre sa respiration, puis, les doigts sur son sexe viennent s’écarter, entraînant avec eux ses lèvres, dévoilant complètement le bel intérieur rosé entrevu quelques instants avant et l’entrée de son vagin. Ma queue tendue en main, je viens la présenter à l’entrée de son antre et la prends d’une traite. Elle bascule sa tête en arrière et se mord la lèvre de plaisir alors que je commence à la pénétrer sur un bon rythme, faisant en sorte de bien utiliser toute la longueur de mon sexe, puis je me penche un peu plus vers elle en prenant appui de mes mains sur le canapé et me met à la pilonner plus durement, ce qui a pour effet de la faire gémir un peu plus fort et de lui faire redresser sa tête. Elle me fixe à présent, le visage tremblant sous mes coups de reins brutaux, son regard intense plongé dans le mien, un petit sourire se dessine sur sa bouche entrouverte, et elle me dit alors :
— Plus fort, plus fort, plus fort...
J’accède à sa demande et la martèle aussi fort que je peux, mon pubis claquant violemment entre ses cuisses.« Oui oui oui oui... » dit-elle toujours en me regardant, ses lèvres étirant encore son sourire qui devient presque démoniaque.Je sers le canapé de mes doigts pour me maintenir du mieux que je peux et faire en sorte d’appuyer sans cesse cette pénétration vraiment violente, puis soudain, elle me met une petite gifle, puis une seconde un peu plus forte et une troisième, encore plus forte. Elle ne cesse de me fixer, son sourire toujours imprimé sur son visage, ce ne sont pas des gifles de haine mais bien un moyen pour elle d’exprimer son plaisir, et au moment où elle allait me mettre une quatrième claque, j’attrape sa main, la bloque sur le canapé et viens entourer son cou de mon autre main, relevant légèrement son visage et appuyant juste assez pour immobiliser sa tête. Cela ne semble pas l’offusquer, au contraire même, elle continue de sourire et de me défier du regard, regard que je soutiens en continuant ma pénétration appuyée. Je serre légèrement mes doigts autour de son cou, ses gémissements plus saccadés, elle se mord les lèvres, la peau de son visage rougissant sous la pression de mes doigts, elle semble aimer être soumise et quelque peu maltraitée.
J’ignore encore pourquoi mais je décide d’en rajouter, histoire de voir jusqu’à quel point elle aime ça, et tout en continuant à la pénétrer et en gardant mes doigts autour de son cou, je me mets à gifler ses seins, à les empoigner, à les serrer, mettant de petites pichenettes sur ses tétons, venant aussi les pincer sans doute assez fort pour faire hurler de douleur la grande majorité des femmes. Mais pas elle. Au contraire même, elle semble vraiment aimer ça, ne cessant pas de lancer des gémissements de contentement à chacun de mes gestes tout sauf doux.La voir comme ça, prendre du plaisir sous ma contrainte en se faisant gifler et étrangler à tendance, à mon grand étonnement, à m’exciter. Je suis plutôt quelqu’un de doux à la base, pouvant exprimer un côté animal selon les baises, comme j’ai pu le faire avec Jenny et Denise, mais jamais ce genre de brutalité, et de la voir se soumettre à ce point à moi, d’y prendre du plaisir, me plaît vraiment, même plus, ça développe chez moi une envie de toujours plus en faire.
J’arrête ma pénétration et me retire d’elle :
— Alors t’aimes ça hein salope ??
Elle me sourit et me repousse brusquement d’une de ses jambes avant de les serrer et de les ramener vers elle, m’offrant une magnifique vue sur sa chatte et son cul. Je n’hésite pas une seconde et viens lui mettre une belle gifle sur les fesses, elle gémit bruyamment et je continue mon traitement, le bruit de mes mains giflant ses fesses et ses cuisses résonnant dans la pièce, ses gémissements suivant le bruit des claques. Sa peau se met rapidement à rougir et elle finit par écarter de nouveau ses jambes, un sourire zébrant toujours son visage. J’écarte bien ses cuisses et viens lui mettre une petite claque sur la chatte. Son sourire s’efface, laissant place à un mordillement de lèvres alors que je continue à martyriser son sexe. Je viens alors y mettre trois de mes doigts et coller ma main contre son pubis pour venir la bouger frénétiquement, la faisant brusquement gémir, puis crier de plus en plus fort à mesure que mon mouvement s’accélère. Elle me regarde, gémissant de manière continue en posant ses mains sur la mienne qui est en train de secouer son pubis.
Elle se crispe, se tend, se tortille puis finit par lancer sa tête en arrière en repoussant cette fois ma main, libérant son sexe duquel s’échappe de nouveau un petit flot de liquide. Elle se recroqueville une nouvelle fois, tremblante de cette troisième jouissance en quelques minutes. Je ressens une excitation incroyable au fait de lui faire prendre un réel plaisir d’une manière pour moi si peu commune. Je lui mets une nouvelle claque sur les fesses et elle gémit avec un regard cette fois suppliant tout en se léchant les lèvres.Je me décide à me lever et me dirige vers son visage. Elle est toujours allongée avec sa tête posée sur le rebord du canapé, j’attrape ses cheveux et viens lui coller ma queue dans la bouche, entièrement, brusquement. Sa bouche se retrouve rapidement remplie, son nez venant appuyer à la base de mon sexe, ses yeux fermés se crispent, elle pousse des complaintes étouffées et tousse, de la salive venant s’échapper d’entre ma bite et ses lèvres. Je retire mon sexe aussi brusquement que je l’y ai mis, il est brillant de salive, de longs filets de bave dégoulinant de la bouche de Shama, elle se lèche les lèvres en me lançant un regard plein de désir, sa bouche toujours ouverte, elle attend que je me décide à de nouveau venir y mettre ma bite :
— Tu l’aimes ma queue ? Tu la veux encore ??
Elle me sourit cette fois et viens passer sa main entre mes jambes pour agripper ma fesse. Elle m’attrape la peau, serrant fortement ses doigts et me lacérant avec ses ongles. La douleur me fait tressaillir et je n’hésite pas une seconde à lui décocher à mon tour une belle gifle, puis une seconde, ma main maintenant toujours fermement ses cheveux, et sans attendre de voir l’effet que lui ont fait ces gifles, je viens lui mettre de nouveau ma queue dans la bouche :
— Tiens, bouffe sale pute !!!
Je suis totalement désinhibé par la situation, je suis une autre personne, c’est un autre moi qui est en train de la soumettre et de la martyriser, y prenant un plaisir immense. Elle aime aussi ça, gémissant et se laissant faire. Je lui prends la bouche comme je lui prenais la chatte quelques minutes auparavant, ma bite allant et venant, des bruits de déglutition et des hauts le cœur ponctuant cette brusque pénétration buccale. Je continue quelques instants puis lance sa tête vers le canapé en la tirant par les cheveux, ma queue sortant de sa bouche bouillante. Elle semble étourdie par ma chevauchée mais cela ne l’empêche pas de se caresser les seins, étalant la salive qui est venue couler dessus, elle comme moi reprenant notre respiration. Nonchalamment, elle se redresse et vient se mettre à genoux en prenant appui sur le dossier du canapé. Son cul porte les stigmates de mes mauvais traitements, des marques rouges dont certaines en forme de doigt zèbrent sa peau foncée. En voyant ça, et au lieu de me dire « la pauvre, elle a dû douiller », la première chose qui me vient à l’esprit est de continuer à colorer de rouge cette toile humaine.
Elle ondule doucement son cul qui, à l’image de ses seins, est d’une bonne taille, quoique moins impressionnant. Je repense à ce que m’a dit Jenny lorsqu’elle m’avait parlé de Shama au restaurant, me disant qu’elle mourrait d’envie de lui bouffer le cul, et bien c’est moi qui ai son cul devant les yeux, et un peu en son honneur, car c’est quand même grâce à elle que je suis en train de vivre cette expérience déconcertante, je me baisse pour aller passer ma langue sur ce cul majestueux qui trône devant moi. Je viens mordre doucement chacune de ses fesses, ses gémissements de contentement me poussant à accentuer mes coups de crocs jusqu’à lui laisser de belles traces, continuant ses lamentations, elle ne bouge cependant pas quand sa peau se fait violemment pincer entre mes dents. Cette nana a un seuil de résistance à la douleur et une propension à y trouver de l’excitation tout bonnement impressionnant. J’ai déjà vu des vidéos de ce type sur internet et je n’y ai jamais vraiment tiré de plaisir, mais être non seulement dans l’action et en plus être le bourreau est largement plus jouissif et excitant.
Après avoir mordu son cul presque jusqu’au sang, je viens passer ma langue sur sa chatte pour ensuite remonter en passant sur son anus. Celui-ci paraît bien serré mais je n’y accorde aucune importance et viens cracher dessus avant d’y mettre un de mes doigts. Elle pousse un cri en sentant mon doigt entrer en elle brusquement, commençant à sangloter en serrant les fesses, fesses que je prends soin de gifler de plus belle, déclenchant d’autres cris de sa part. Je retire mon doigt et viens prendre mon sexe encore suintant de la salive de Shama :
— Écarte ton cul maintenant !!
Pour seule réponse, je n’obtiens qu’un long gémissement sanglotant
— Écarte ton cul je te dis !!! Lui dis-je sur un ton intimant l’obéissance tout en lui tirant les cheveux en arrière et en claquant de nouveau son cul.
Elle continue à sangloter mais s’exécute, agrippant ses fesses meurtries de ses mains pour les écarter autant qu’elle peut. Je viens de nouveau cracher sur son petit trou avant de venir placer mes pieds de chaque côté d’elle sur le canapé, j’attrape ma bite et viens la placer devant son anus puis je commence à l’enculer, doucement mais sûrement. Ses cris redoublent d’intensité à mesure que ma queue prend place en elle, je ne la lui mets pas entièrement et commence les va-et-vient sur la première moitié de ma queue, ce qui suffit à la faire crier, des cris qui m’auraient fait stopper ma pénétration dans n’importe quelle autre situation, mais pas là, au contraire, je suis galvanisé par ses hurlements et par le fait qu’elle subisse mes assauts et mes traitements sans émettre aucune opposition corporelle. Elle crie sous les attaques de ma queue lui déchirant l’anus, je peux sentir à quel point elle enserre mon sexe, mais elle subit, elle ne bouge pas, continuant à écarter ses fesses. Lui tirant les cheveux toujours en arrière, je peux voir qu’elle a les yeux fermés, serrant ses paupières, son maquillage emporté par quelques larmes coulant du coin de ses yeux.
Tout en continuant à l’enculer, je viens mettre ma langue dans sa bouche et commence à jouer avec la sienne. Elle continue à crier, ses complaintes résonnant dans ma bouche, puis elle vient attraper ma langue avec ses dents pour me la mordre assez fortement pour me faire frémir de douleur. Je retire ma langue de sa bouche et la vois sourire, contente d’elle de ce qu’elle vient de faire. Je me redresse alors en lui lançant :
— Salope, tu vas voir...
Je viens lui agripper fermement le cul pour me mettre à l’enculer cette fois-ci profondément et puissamment. Elle lâche ses fesses pour venir se maintenir au canapé tout en criant de plus belle, je me mets de nouveau à lui gifler les fesses tout en l’enculant aussi rapidement que je peux. Le canapé vibre et frappe le sol sous la violence de cette pénétration, elle ne cesse de hurler sans retenue à chacun de mes coups de reins et de mes gifles, son cul n’est plus qu’un ramassis de peau rougeâtre et zébrée de griffures et de marques de doigts.Je finis par me retirer en la faisant basculer brusquement pour la faire asseoir. Je me branle devant elle vigoureusement jusqu’à finir par jouir aussi puissamment que je viens de la baiser, mon sperme venant maculer sa poitrine et s’écrasant aussi sur son visage rougi et baigné de larmes. Elle ouvre la bouche et tire la langue, essayant d’attraper une giclée de sperme, mais n’y arrivant pas, elle finit par remonter sa poitrine vers sa bouche pour lécher mon foutre dégoulinant sur ses seins.Je m’assois sur la table basse, en face d’elle, les fesses sur le dossier encore posé dessus, haletant et transpirant. Les yeux fermés, Shama se lèche les seins, suçant ses tétons avec délectation. Je la regarde comme ça, me calmant et reprenant mes esprits petit à petit, je me rends compte au fur et à mesure de ce qu’il vient de se passer avec elle, de la violence et de l’intensité de cette baise, de la rapidité avec laquelle tout a fini par partir en sucette.Pourquoi ai-je réagi comme ça ? Pourquoi suis-je rentré aussi promptement dans ce jeu brutal alors qu’auparavant, la chose la plus violente que j’avais pu faire se résumait à une ou deux petites gifles mesurées sur les fesses d’une nana me chevauchant ? J’ai déjà entrevu ça avec Denise, quand je l’ai prise à la sortie de la douche, mais c’est sans commune mesure avec ce qu’il vient de se passer avec Shama. Elle finit par rouvrir les yeux, croisant mon regard. Comme la mienne, son attitude et l’expression de son visage a changé, on se regarde sans bruit, le silence qui règne est pesant et tranche radicalement avec les cris qui résonnaient quelques secondes auparavant. Je ne sais pas du tout quoi lui dire ; que c’était bien ? Que je la trouvais sexy ? Tout ça est d’une telle banalité à côté de ce qu’il vient de se passer... Le regard de Shama finit par être de nouveau évasif, elle regarde à côté d’elle et vers le sol, comme si elle se demandait, comme moi, ce qu’elle pouvait bien dire. Dans un sursaut de pudeur, qu’elle sait sans doute inutile au vu de ce qu’il s’est passé, mais qu’elle fait quand même - j’imagine pour essayer de se rassurer - elle couvre ses seins d’un de ses avant-bras, geste quasiment inefficace tant la grosseur de sa poitrine dépasse allègrement la petite taille de son membre, puis elle ramasse ses affaires gisant au sol avant de se lever et de se couvrir le sexe avec.
Elle me demande, fuyant toujours mon regard :
— Je peux aller dans ta salle de bain s’il te plaît ?— Oui bien sûr, dans le couloir, deuxième à droite.
Elle fait demi-tour et prend la direction indiquée. La peau de son visage est un peu empourprée des quelques gifles que je lui ai données, mais ce n’est rien à côté de son cul. Des marques de doigts, de main, des griffures, des marques de dents, le tout d’une couleur allant du rouge clair au rouge très foncé, j’ai mis ses fesses et une partie de ses cuisses dans un état...Merde, mais qu’est-ce qu’il m’a pris de lui faire ça ? Comment est-ce que j’ai bien pu déraper à ce point ? Et surtout, comment est-ce qu’elle a pu, elle, supporter ça et y trouver du plaisir ? Plusieurs choses m’échappent et je reste assis là, sur la table basse, nu, à chercher des réponses à mes questions. Shama finit par revenir, habillée. Elle vient ramasser son soutien-gorge que j’avais jeté quasiment au milieu de la pièce avant de récupérer son sac à main :
— Tu t’occupes d’amener le dossier lundi ? Me demande-t-elle.
Je me rends compte que j’ai encore les fesses posées dessus...
— Oui, pas de soucis, je m’en occupe ;— Ok, à lundi alors, bon week-end ;— A toi aussi.
Puis elle s’en va, me regardant à peine.Je me relève et récupère le dossier. Je vois sur la couverture une petite tache rouge, je me rends compte que c’est du sang qui vient sans doute du moment où Shama m’a agrippé la fesse, elle m’a donc enfoncé ses ongles jusqu’à me blesser... Je vais dans la salle de bain pour vérifier les dégâts et je vois que je me retrouve avec quatre belles traces d’ongles parfaitement alignées sur une de mes fesses, dont une suinte de sang, mais ce n’est pas tout, j’ai le visage rougi par ses quelques gifles avec, près de l’oreille, une belle éraflure de quelques centimètres, et ma langue porte les stigmates de la morsure qu’elle a subie, un léger goût de sang venant trahir le fait qu’elle n’y est pas allée de main morte quand elle m’a mordu.Je n’en reviens toujours pas de ce qu’il s’est passé avec Shama.Comment une femme aussi discrète et réservée peut-elle se transformer en une telle furie ?Et comment moi, je peux aussi tomber dans un tel déchaînement de brutalité sexuelle ?
Autant de questions, pour le moment sans réponse...
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