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I - Liaisons dangereuses

Chapitre 19

Jenny dans tous ses états (1)

Hétéro
Et c’est reparti comme en 40 (comme dirait l’autre) !!!Le coup de folie de Jenny, qui a débarqué chez moi comme une furie l’autre fois, lui a redonné toutes les vicieuses habitudes qu’elle avait avant que son frère ne la reprenne de volée. On se voit de nouveau assez souvent, elle recommence à me chercher au boulot, me lançant des regards et des petites remarques destinés à me faire bouillir, et ce même si son frère est dans les murs, comme si rien n’était arrivé. Tant mieux, ça prouve qu’elle n’est pas traumatisée et qu’elle n’a pas fait une remise en question trop extrême, et ça prouve aussi à quel point elle me fait confiance, ce qui aurait pu ne pas être le cas vu qu’elle a été trahi par Julien qui a divulgué les photos à Fred. Mais je suis ravi de voir qu’elle ne me met pas dans le même sac !Jenny m’a même reparlé de Shama, me demandant s’il y avait eu du nouveau avec elle. J’en avais presque oublié la petite séance musclée lors de laquelle elle m’a révélé tout savoir pour Jenny et moi, et je préfère, pour l’instant du moins, garder tout ça pour moi, même si je sais qu’il faudra bien, à un moment ou à un autre que je me décide à en informer Jenny, car si pour l’instant, Shama reste discrète, je suis quasiment certain qu’elle n’a pas oublié la promesse que je lui avais fait si elle gardait pour elle tout ce qu’elle savait. Elle va bien finir par réclamer son dû et il faudra que je sois en mesure de la payer comptant à ce moment-là...Plusieurs semaines ont passées et les quelques soirs où j’ai pu partir tôt du travail me semblent déjà bien loin, et me voilà de nouveau à faire du rab. À gros client, grosse préparation et multiples réunions, et c’est à la fin de l’une d’elles que nous nous retrouvons Jenny et moi, dans le bureau de cette dernière, pour faire un ultime débriefing. Malgré l’importance des débats, j’ai eu beaucoup de mal à me concentrer toute la journée, cela étant dû, en premier lieu, au fait que Jenny est vêtue d’un petit tailleur cintré bleu nuit de toute beauté, descendant à peu près à mi-cuisses, et qui épouse ses formes à la perfection, mais aussi au fait qu’hier, elle n’a pas arrêtée de me chercher, multipliant les petits gestes licencieux, comme le fait de me regarder en se léchant discrètement les lèvres ou en se les mordillant, faisant mine de réfléchir, jouant avec ses cheveux d’une manière exquise, se baissant lascivement devant moi pour ramasser quelque chose – c’est fou à quel point elle a pu être maladroite ce jour-là !! -, bref, elle a fait en sorte de me faire rissoler toute la journée car nous devions nous voir le soir même.
Sauf qu’au dernier moment, son frère l’a invité à manger chez lui et elle ne pouvait ni ne voulait refuser, ce que je comprends, mais ça ne l’a pas empêchée de continuer à me rendre fou ! Inutile de décrire dans quel état j’ai fini... Mon sous-vêtement était marqué des stigmates de l’excitation que j’ai ressenti toute la journée durant. J’avais une envie colossale de me soulager une fois chez moi, mais seule ma main aurait pu me venir en aide et je n’ai pas voulu céder à la facilité.
Donc, me voilà seul avec elle, avec cette excitation qui ne m’a pas lâché, surtout en la voyant vêtue comme elle l’est. Son cul est parfaitement dessiné et plus d’une fois j’ai eu envie de lui balancer une ou deux mains, mais je n’ai pas eu l’occasion de la journée tant celle-ci a été chargée et que nous n’étions quasiment jamais seuls. Tellement chargée que cette fois, Jenny n’a pas continuée son manège de la veille, elle est restée bien concentrée sur le boulot, mais pas moi, ou plutôt beaucoup moins...Je suis négligemment assis sur une chaise le long d’une table se trouvant dans son bureau, pendant qu’elle est absorbée par ce qu’elle est en train de faire, tapotant sur son pc portable et paraphant divers documents.
— Quelle journée de fou !! lançai-je à Jenny.— Tu l’as dit, et le truc, c’est que c’est même pas fini, répond-elle, toujours concentrée sur ce qu’elle fait ;— Booooh, ça va, avec tout ce qu’on s’est tapé aujourd’hui, le peu qu’il reste peut bien attendre demain, non ?— Ah non non non non, je veux que tout soit d’équerre dès ce soir !!! S’il y a un truc qui cloche, il faut que je le vois maintenant pour le régler, histoire de pas avoir à cavaler demain au dernier moment !!— Mais qu’est-ce que tu veux qui cloche ?? Tout le monde a passé la journée à tout décortiquer dans les moindres détails, on a tout vérifié et revérifié tous les deux plusieurs fois, je crois que c’est bon là non ?— Non c’est pas bon, je vérifie encore !! Je crois que t’as pas conscience à quel point ce dossier est important, là on se frotte à l’international et si on merde, ce sera une merde internationale !!— Je sais que c’est important mais tout ira bien, on n’est pas des bleus, c’est pas le premier dossier qu’on monte ;— C’est pas le premier mais ça pourrait très bien être le dernier si tout n’est pas parfait !!— Ça le sera Jenny, ne t’inquiètes pas. Allez, détends-toi un peu.
Jenny est toujours plongée dans le dossier et semble ne rien avoir entendu de ma dernière phrase.
— Pas le temps de me détendre pour le moment !! me lance-t-elle avant d’attraper un petit tas de feuille et de sortir du bureau ;— Où tu vas encore ?— Faire des photocopies, mais vas-y si tu veux, rentre chez toi ! Me crie-t-elle du couloir.

Je pousse un soupir de mécontentement, c’est hors de question que je parte d’ici comme ça, je ne passerais pas encore une soirée et une nuit avec cette excitation latente, il faut que j’arrive à la faire passer à autre chose !!Voyons voir... Le chantage ne marchera plus avec elle – et puis je n’ai pas non plus envie que ça ne devienne une habitude !! -, lui proposer l’idée directement, je m’expose à un « non » catégorique tant elle est absorbée par ce dossier, donc, il me reste quoi... Et si, simplement, je ne lui laissais pas le choix ? C’est plutôt périlleux tant elle n’aime pas être forcée à quoi que ce soit, mais je la connais, et il suffira que je fasse les gestes qu’il faut pour réveiller sa libido. Après tout, son petit jeu d’hier n’a pas dû avoir d’effets que sur moi, si elle a fait ça, c’est qu’elle avait envie elle aussi, et vu l’heure à laquelle elle a dû partir de chez son frère, elle n’a probablement pas, tout comme moi, assouvie ses envies. Oh et puis zut, pas le temps de tergiverser !!! Elle m’a chauffé hier, elle va à présent en récolter les fruits !!!Je me lève et me dirige vers le local où elle se trouve. C’est une petite pièce sans fenêtre où, outre la photocopieuse, se trouve aussi tout le petit matériel de bureau. J’approche à pas feutrés et y jette discrètement un coup d’œil, Jenny est dos à la porte, une main sur sa hanche et tapotant des doigts avec l’autre sur le côté de la photocopieuse. Les jambes légèrement écartées, elle est en appui sur celle de droite. Je passe quelques secondes à l’observer, le chignon de sa coiffure révélant son cou, sa veste cintrée suivant les courbes de son buste, sa jupe enrobant joliment son cul rebondi, accentué par la manière dont elle se tient actuellement, ses jambes enveloppées de bas noirs et légèrement transparents, et des talons hauts à la couleur assortie au tailleur ajoutant une touche de classe à cet ensemble sexy à souhait. Cette vue ne manque pas de m’exciter encore un peu plus, et à présent c’est moi qui me mordille les lèvres, m’imaginant la prendre sans ambages. Je porte la main à mon sexe à travers mon pantalon pour sentir que pour lui aussi, il est hors de question de rester tranquille ce soir !!
Jenny récupère les photocopies faites, mets une nouvelle feuille sur la vitre et ferme le capot avant de lancer les copies, et c’est ce moment que je choisis pour m’approcher d’elle en catimini.
Je l’enlace, passant mes bras autour de son ventre tout en me collant contre elle. Elle sursaute à mon contact, poussant un cri de surprise.
— Florian !?! Mais qu’est-ce que tu fous ??— Je t’aide à te détendre, je suis sûr que ça te fera le plus grand bien !
Ses talons hauts font que je n’ai presque pas besoin de baisser la tête pour venir poser mes lèvres dans son cou. Je passe mes mains dans sa veste, caressant son ventre à travers son chemisier, des limites de sa jupe aux armatures de son soutien-gorge.
— Putain mais arrête, c’est pas le moment pour ça !! dit-elle d’un ton ferme tout en cherchant à se libérer de mon étreinte.
Elle prend appui de ses mains sur la photocopieuse et cambre brusquement ses hanches, essayant de me repousser, ce geste ne faisant qu’accentuer le contact sur ma queue et par la même l’excitation qui va avec. Je fais remonter une de mes mains, ne manquant pas de caresser ses seins au passage, avant de finir par englober un côté de son cou de mes doigts tout en continuant à embrasser l’autre.
— Putain mais... Arrête je te dis !!! T’as rien d’autre à penser qu’à ça avec ce qu’on a à faire ??— Depuis hier où t’as pas arrêté de me chauffer de la journée avant de me laisser en plan tu veux dire ? Non, effectivement, j’ai rien d’autre à penser !!— T’avais qu’à te branler comme je l’ai fait en rentrant, ça t’aurait calmé, espèce de taré !! Lâche-moi maintenant, lâche-moi ou je te jure que t’es viré !!!— Eh bien, quitte à être viré, autant en profiter une dernière fois !!! Désolé Jenny, mais tu es affreusement sexy fringuée comme ça, j’ai eu trop envie de toi toute la journée...
Je continue à la caresser, finissant par descendre au niveau de sa jupe, caressant d’abord son sexe par dessus le tissu avant de passer dessous. Je la caresse à travers sa lingerie, ce qui finit par lui arracher un petit soupir.
— Je vais te baiser Jenny, tu entends ? Je vais te baiser comme je me l’imagine depuis hier... Lui chuchotai-je au creux de l’oreille avant de replonger ma bouche dans son cou.
Elle continue à opposer une résistance qui est, cette fois, plus molle, se contentant à présent de lancer un « putain » de temps à autre et de maugréer en lâchant quelques jurons. Je sens que je commence à la faire lâcher prise, elle se laisse quasiment faire à présent, se contentant de serrer les cuisses sans excès, ce qui ne m’empêche nullement de continuer à faire courir mes doigts sur son sexe. Je lui enlève ensuite sa veste et commence à déboutonner son chemisier, elle bouge cette fois ses hanches de manière plus légère et moins brusque. Je ne l’enlace quasiment plus et pour autant, elle ne cherche pas à fuir. À partir de là, je sais que j’ai gagné, elle se laisse maintenant faire, et je compte bien en profiter !!!Je vire son chemisier et commence à descendre la petite fermeture de sa jupe. Elle s’est légèrement reculée, et la voilà à présent appuyée de ses mains sur la photocopieuse qui continue de cracher ses feuilles. Je baisse sa jupe et quel n’est pas mon plaisir de dévoiler un sublime porte-jarretelles et des dessous de couleur pourpre, sa culotte basse et transparente couvrant ses fesses, je peux admirer son cul sublimement habillé.
— Et tu comptais ne pas me faire admirer tout ça ?? Petite coquine va !! Lâchai-je avant de m’accroupir.
Je me mets à lui embrasser les cuisses, remontant vers son cul avant d’en faire de même avec ses fesses, les malaxant avec allant, la douceur de la lingerie mêlée à la chaleur de sa peau échauffant mes lèvres à chaque contact. Les bougonnements de Jenny se transforment en gémissements, elle a les jambes clairement écartées et se penche de plus en plus au-dessus de la photocopieuse. Aussi belle soit-elle, je finis malgré tout par descendre sa culotte pour dévoiler son fessier joliment encadré par les lanières de son porte-jarretelles. J’y dépose quelques baisers et y mets quelques coups de langue, mais j’en veux bien plus, je suis affamé, je crève d’envie de la dévorer, et c’est sans hésiter que j’écarte ses fesses pour y plonger ma bouche.Je sors ma langue pour venir lécher son sexe, aspirant sa peau au passage, mes mains écartant ses fesses au maximum pour laisser libre cours à ma gourmandise, faisant naviguer ma langue entre sa chatte, qui commence à être bien humide, et son anus. Elle semble grandement apprécier son traitement et elle ne me demande plus d’arrêter à présent, bien au contraire...
— Han putain, c’est trop bon, oui, comme ça, continue... Lâche-t-elle accrochée à la photocopieuse ;— Tiens donc, mademoiselle en redemande maintenant !! T’aime ça espèce de cochonne, pas vrai ? Dis-je en lâchant une petite gifle sur ses fesses ;— Oui, vas-y, bouffe-moi, continue, fais moi jouir avec ta langue...
Je me tais à présent, me concentrant sur la mission qu’elle vient de me donner, et c’est comme un boulimique que je me mets à dévorer son cul et sa chatte, ma langue la pénétrant le plus profondément possible, tournant en elle, visitant chaque recoin de son antre à présent inondée de plaisir. Mon visage est presque entièrement entre ses fesses, l’expression « se faire bouffer le cul » prenant ici tout son sens !! Je viens passer ma main de l’autre côté pour stimuler son clito, et c’est maintenant avec ma bouche entièrement collée à sa chatte, ma langue noyée en elle et deux de mes doigts massant son petit berlingot que je m’acharne à accélérer la cadence pour la faire jouir. Ses gémissements se font plus sonores, ses hanches vacillent et elle finit par jouir, me gratifiant d’un petit jet m’aspergeant en partie le visage. Les jambes tremblantes, elle est à moitié avachie sur la photocopieuse, continuant à gémir alors que de mon côté, je me relève, me léchant les lèvres avec appétence. Je m’efforce de me débrailler d’une main, l’autre lui caressant toujours les fesses, je ne veux pas couper le contact avec sa peau, la sentir trembler, voir sa jouissance perler en petites gouttelettes à l’intérieur de ses cuisses, l’entendre gémir, tout ça participe à démultiplier mon excitation !! Je finis par défaire ma ceinture, déboutonner mon pantalon et baisser tout ce qui séparent ma queue de l’extérieur.
Ma bite est déjà fièrement dressée, et c’est de la main humide des caresses prodiguées à Jenny que je viens l’attraper pour me mettre à me masturber. Je continue à m’occuper de ses fesses, agrippant sa peau entre mes doigts, les écartant, y mettant de petites claques soudaines qui ne manquent pas de la faire sursauter.
— T’en veux encore ?— Oui, oui vas-y... me répond Jenny entre deux soupirs.
Je m’approche et pose ma queue entre ses fesses, ce qui lui fait pousser un gémissement de satisfaction, se doutant bien qu’elle ne restera pas dans cette position très longtemps. Je vais défaire son chignon pour libérer sa chevelure et l’agripper. Je me penche vers elle en tirant sa tête vers l’arrière, ma bite toujours bien calée sur son cul, et je viens lui murmurer à l’oreille :
— Tu veux ma queue petite salope ? Tu veux que je te baise comme j’en ai envie depuis hier soir ?— Oui, baise-moi, donne-moi ta queue, je la veux en moi...— Vraiment ?— Oui, oui, je te veux...— Tu sais que t’es vraiment une belle petite chienne de m’avoir excité pour rien hier...— Oui, je sais, baise-moi Florian, baise-moi comme tu voudras, pour me faire pardonner, vas-y...
Sans lui lâcher les cheveux, je me redresse et me décale d’elle juste ce qu’il faut pour venir positionner ma queue devant sa chatte, et c’est après l’avoir caresser avec mon gland que je la pénètre bien en profondeur, la faisant couiner de contentement. La tenant toujours par les cheveux, je me mets à la baiser avec entrain, mes doigts agrippés à son cul. Je la pilonne vigoureusement, faisant claquer ma peau contre la sienne, appuyant mes assauts, ses fesses vibrent sous mes coups de reins, je finis par lâcher ses cheveux et c’est sans la tenir que je la baise, me contentant d’agrémenter le tout par de petites gifles sur son cul, faisant frémir et rougir sa peau.Je ne saurais dire pourquoi mais j’ai envie de tester ses limites pour voir jusqu’où je peux aller avec elle. Je sais que notre relation a évolué, je sais qu’elle se confie plus et me fait plus confiance qu’avant, mais sexuellement, est-elle prête à accepter subir des choses qu’elle m’a clairement dit qu’elle n’accepterait pas ? Je ne compte pas lui faire encaisser la même chose que Shama, juste la brusquer un peu plus que d’habitude, voir si elle se laisse dominer. Elle m’a déjà laissé commencer à la sauter alors que si elle s’était rebellée plus vigoureusement, je l’aurais laissé tranquille, donc voilà déjà un bon début. Pour l’instant, les quelques gifles et insultes que je lui lance n’ont pas l’air de la déranger plus que ça...Je soulève sa jambe droite et mets son pied en appui sur une pile de ramette de papier posée au sol, j’agrippe sa cuisse fermement et accélère encore ma levrette, la faisant gémir de plus en plus.
— Oui, oui, oui, oui, oui, plus fort !!! me crie-t-elle ;— Petite chienne va, t’aime quand j’te baise comme ça, hein !!! Lui dis-je en continuant de claquer de temps à autre son fessier de mon autre main.
Je finis par me retirer d’elle et je l’attrape alors par les cheveux pour la relever. Elle se met face à moi et je viens écraser mes lèvres sur les siennes, calant mes doigts dans son sexe trempée.
— T’en veux encore salope ? Dis-je entre deux baisers.
Sur le coup, elle ne réagit pas et je me demande, l’espace d’un instant, si elle ne commence pas à mal le prendre. Totalement absorbé par la situation, je ne me préoccupe pas plus longtemps de ce détail et réitère ma question.
— T’en veux encore salope ?
Elle arrête de m’embrasser et me fait un petit signe positif de la tête, ses yeux plongés dans les miens. Son regard n’a rien d’énervé ou d’outré par rapport au fait que je l’ai traité de salope, il me paraît plutôt implorant que je continue à la prendre.
— Je vais continuer à baiser ta petite chatte de catin, mais avant, tu vas bien me pomper... lui dis-je dans un murmure.
Je me recule et c’est sans se faire prier qu’elle se baisse pour venir faire disparaître ma queue dans sa bouche. Elle me suce avec application, massant délicatement mes couilles bien gonflées et remontées. Je ferme les yeux pour savourer au maximum cette exquise sensation, ne manquant de marquer mon approbation en gémissant et en l’incitant à continuer, ne loupant pas une miette de chaque bruits de succions, d’aspiration et de déglutition dont me gratifie Jenny pendant qu’elle s’occupe de moi. Je finis par rouvrir les yeux et les baisser vers elle. À genoux, ses deux mains sont occupées sur moi et sa langue, hmmmm, sa langue que je peux voir parcourir mon sexe, rentrer dans sa bouche puis en ressortir, entourer mon gland, laper mes testicules... C’est un pur délice que de la voir et la sentir s’occuper de moi de la sorte !! Jenny me lance un regard pendant qu’elle continue à me sucer. Un regard ne ment pas, et celui qu’elle me lance alors que ma queue farcit sa bouche pue littéralement le sexe, impossible de ne pas avoir envie d’en vouloir davantage quand elle me regarde de la sorte.
Je veux la baiser, encore, mais je veux voir son visage au moment où je la prendrais.Je m’allonge sur la moquette, Jenny retire son soutif et vient au-dessus de moi à quatre pattes, continuant de me lécher la queue quelques instants avant de remonter le long de mon corps. Elle se couche sur moi, embrassant et léchant ma peau, faisant rouler ses seins sur ma bite, je peux sentir ses tétons titiller mon gland, puis elle vient m’embrasser en faisant onduler ses hanches, son corps complètement collé au mien, je l’enlace, parcourant son dos, ses bras, ses hanches de mes doigts, agrippant fermement son cul. Je peux sentir sa chatte trempée frotter ma bite, sentir ses lèvres glisser sur mon gland... Je n’en peux plus, je veux la pénétrer, et comme si elle lisait dans mes pensées, elle se redresse et vient attraper mon sexe en surélevant son bassin, maintenant mon pieu bien droit, elle vient s’empaler dessus dans un soupir commun, puis elle commence à sautiller sur moi, d’abord doucement, puis plus franchement, utilisant toute la longueur de mon membre. Elle alterne en s’immobilisant sur moi, m’emprisonnant complètement en elle, puis se mettant à rouler délicieusement du cul, twerkant sur ma bite le tout en continuant à me lancer des regards débordant de lubricité, se léchant et se mordant les lèvres comme si elle allait se les dévorer.
— T’aimes ma queue petite chienne ? Lui demandai-je en la fixant.
Elle secoue doucement sa tête de haut en bas en souriant, marquant son approbation, et je l’attire vers moi en enroulant ma main autour de son cou. Elle s’appuie sur ses avant-bras des deux côtés de ma tête, son visage est à quelques centimètres de moi.
— Je vais te baiser à fond maintenant, tu veux ? Lui dis-je dans un murmure ;— Oui, baise-moi, vas-y, je veux te sentir te lâcher en moi...
J’attrape alors son cul de mes mains, je relève légèrement les hanches et je me mets à la pilonner le plus fort et rapidement possible, faisant claquer ma peau contre la sienne. Sa bouche frôlant la mienne, je peux sentir son souffle chaud s’accélérer et ses gémissements s’intensifier crescendo à mesure que je maintiens la virulence de ma pénétration. Je me remets à claquer son fessier. Jenny plonge son visage dans mon cou, criant toujours plus alors que je ne faiblis pas mes assauts, serrant les dents pour continuer le plus longtemps possible.
— OUI, OUI, OUI, OUI, PLUS FORT, VAS-Y !!! hurle-t-elle à mes oreilles.
De l’entendre à ce point crier et sentir vibrer son corps complètement collé à moi finit par me donner le coup de grâce, et c’est en ouvrant à mon tour en grand mes cordes vocales que je jouis puissamment en elle, m’immobilisant puis donnant de violents coups de reins en gémissant pour accompagner chacune de mes giclées. Mon corps est tendu, comme si tous mes muscles avaient été appelés à la rescousse pour accompagner cette puissante jouissance. Jenny accueille mon éjaculation avec une joie démonstrative, gémissant elle aussi avec éclat en sentant ma semence bouillante s’écoulant en elle, mes doigts crispés sur ses fesses, les serrant bien l’une à l’autre comme pour accentuer la pression autour de ma queue, chose que fait déjà Jenny de sa chatte avec laquelle elle s’occupe de bien essorer ma bite pour en faire ressortir toute la sève qu’elle peut en continuant soigneusement les va-et-vient.Mes muscles finissent par se détendre et je laisse alors tomber mes bras le long de mon corps. Jenny, quant à elle, s’écarte de moi et s’assoit dos au mur, à ma gauche, les genoux pliés. Nous reprenons tous deux notre respiration, mes yeux sont fixés au plafond. Puis, je tourne mon regard vers Jenny et lui fais un grand sourire. Elle tourne sa tête vers moi mais ne me sourit pas, pour autant, elle n’a pas l’air d’être énervée, elle a une attitude plutôt neutre à vrai dire. Je lui fais un petit clin d’œil et soudain, elle me décoche une gifle bien appuyée ! Sur le coup complètement étonné, je tourne à nouveau mon regard vers elle, elle ne s’est pas départie de son attitude, comme si elle n’avait pas bougé. Au bout de quelques secondes pendant lesquelles je la regarde avec un air hébété, je finis par éclater de rire, ce qui la fait soupirer en levant les yeux au ciel, dépitée par ma réaction. La main sur ma joue rougie, je continue à m’esclaffer.
— Wahouu, la vache, t’as un sacré coup du droit dis donc !!! Et sinon, que me vaut l’honneur de cette tartine ??— T’es qu’un con Flo...— Pourquoi ? Arrête Jenny, viens pas me dire que t’en avais pas envie, je te croirais pas !!— Et bien non tu vois, j’en avais pas envie à la base !!— Si, t’en avais envie, t’y pensais juste pas, c’est tout ;— J’y pensais pas pour une bonne raison : le boulot !!— Mais t’en avais envie, dis pas le contraire Jenny.
Elle soupire puis baisse le regard entre ses cuisses. Les jambes écartées, elle caresse doucement sa chatte, touchant du bout du doigt un peu de sperme perlant sur ses lèvres. De mon côté, je souris en joignant mes mains sous ma tête pour, de nouveau, fixer le plafond. Je suis complètement détendu, satisfait de ce moment délicieux que je viens de passer.
— Et sinon, t’es sûr que t’as pas sauté Shama dernièrement ? Me demande-t-elle.
Je tourne le visage vers elle en essayant de garder un air neutre. Pourquoi me demande-t-elle ça ? Est-elle au courant de ce qu’il s’est passé dans le bureau de Shama, à quelques mètres de là ?
— Pourquoi tu me demandes ça ? Dis-je d’un ton le plus détaché possible ;— Ben les petits mots doux, les caresses... L’espace d’un instant, je me suis dit que tu me prenais pour elle !!— Aaaaah, ça... Non, du tout, j’ai pas revu Shama, et je savais très bien que tu n’étais pas elle !!— Et ça t’a pris comme ça, d’un coup ?— Ben je sais pas, j’ai trouvé que la situation s’y prêtait bien, c’est tout.
J’observe Jenny du coin de l’œil, elle est toujours en train de jouer tranquillement avec son minou, et après quelques secondes, je lui lance :
— Ça t’a dérangé ?
Elle relève son visage vers moi et réfléchit une poignée de secondes, les yeux dans le vague, avant de me répondre.
— Mmmm, non, pas forcément. C’est juste que tu m’avais pas habitué à ça, c’est tout ;— C’est pas faux. Maintenant, si tu préfères que la prochaine fois, je m’abstienne, tu peux me le dire hein ;— Non, ça va, venant de toi, ça ne me gêne pas.
Enfin, elle me gratifie d’un petit sourire que je ne manque pas de lui rendre. Dans le même temps, je viens poser ma main sur sa cuisse pour commencer à la caresser.
— Par contre, niveau gifle, vas-y mollo quand même hein, j’ai pas le même cul que Shama moi !!!— Ahahah, d’accord, la prochaine fois, je les appuierais moins, promis !— Mais c’est depuis que tu l’as sauté que tu te lâches comme ça ou c’est juste une facette de toi que tu gardais caché ?— Peut-être, je sais pas... Après y a sans doute aussi une question de feeling avec la nana qui rentre en jeu ;— Ravie que tu aies assez de feeling envers moi pour me traiter de salope !!
Je rigole et elle fait de même.
— Vraiment Jenny, tu l’as pas mal pris au moins ?— J’ai eu l’air de l’avoir mal pris ?— Sur le coup, non, mais tu aurais pu préférer laisser passer dans l’euphorie du moment ;— Non monsieur, quand quelque chose ne me plaît pas, je laisse pas passer, peu importe que je sois en train de baiser ou non !!— OK, me voilà rassuré !!
Toujours en train de lui caresser la cuisse, mon regard s’égare sur son porte-jarretelles.
— Dis-donc, il te va sacrément bien ce petit ensemble, je l’avais jamais vu !!— Han, ma culotte, où est-elle ??
Jenny se lève d’un bond pour aller ramasser sa culotte.
— Si tu me l’as esquinté, je t’arrache les couilles !!
Elle inspecte sa lingerie et finit par se détendre au bout de quelques secondes.
— Bon, ça va, y a rien ;— Eh ben, tu la kiffes cette culotte !!— Je kiffe l’ensemble, c’est un de mes préférés ;— Je t’ai jamais vu avec pourtant ;— Parce que quand je sais que je vais baiser, je le mets pas, justement pour éviter de le flinguer à cause d’un mauvais geste ;— Quel gâchis de pas en faire profiter les autres...— J’en profite moi, c’est le plus important !!
Elle enfile sa culotte et fait de même avec son soutien-gorge. Elle finit de se rhabiller entièrement alors que moi, je suis toujours allongé au sol.
— Tu vas rester couché à poil toute la nuit ou tu comptes te lever un jour ?— Bof, je sais pas, je suis à l’aise là !! Dis-je sur un ton ironique.
Je me lève à mon tour, me rhabillant aussi. Jenny s’est remise à faire ses photocopies.
— T’en as encore pour longtemps ?— Je sais pas, je veux vraiment finir ce soir. Mais rentre toi, vraiment, me dit-elle en tournant sa tête vers moi pour me sourire ;— T’es sûre ?— Oui vraiment, vas-y. Je finis les photocopies, je les classe, je range tout et je rentre chez moi ;— Tu veux pas que je t’aide ?— Non, je préfère faire ça moi-même, au moins je suis sûre que tout est nickel !— Ton côté un peu maniaque, c’est ça ?— Tout à fait !!— Bon, alors à demain !!— À demain, bonne soirée !
Je m’approche d’elle et l’embrasse tendrement dans le creux du cou. Je peux la sentir frémir sous mes lèvres. Elle sourit.
— À demain Jenny.
Je sors du local et à peine ai-je franchi la porte que Jenny me hèle.
— Ah, Flo, j’oubliais !— Oui ?
L’air un peu gênée, elle semble chercher ses mots.
— Comment dire... Mes parents voudraient te rencontrer, enfin surtout mon père à vrai dire ;— Me rencontrer ? Pourquoi ?— Rapport au travail. T’es un peu le numéro 3 de la boîte donc voilà, vu que mon père met un point d’honneur à suivre l’évolution de la société et ce qui s’y passe, c’est pour ça qu’il veut te voir. C’est Fred qui lui parle le plus souvent des diverses évolutions et changements, et il lui a parlé de toi, du coup, il souhaiterait faire ta connaissance ;— Ah. Ben OK, pourquoi pas. Et quand est-ce que tu veux que je les rencontre ?— Justement, quand j’ai vu Fred hier, il m’a dit que nos parents voulaient faire un nouveau repas pour fêter la naissance de ma nièce ;— Ah, ta belle-sœur a accouchée ?— Oui, il y a trois semaines à peu près ;— Tout le monde va bien ?— Oui merci, tout s’est bien passé ;— Moi je veux bien mais...— Mais quoi ?— Ben c’est plus ou moins familiale quand même ce genre de chose, je sais pas trop si j’aurais ma place ;— T’inquiète pas, on a déjà fait une grosse réunion de famille pour ça, là ça sera plus entre nous, en privé ;— Bon, d’accord alors ;— Ça te gêne pas ?— Non non, du tout, pas le moins du monde !— Vraiment ?— Vraiment !
Jenny me sourit.
— C’est censé se passer quand ?— Je te dirais quand on aura arrêté une date ;— Ça marche.
Je pars et rentre chez moi, bien moins tendu que je ne l’étais depuis hier, même si l’idée de rencontrer les parents de Jenny et Fred ne m’inspire guère. Le portrait que Jenny m’en a dépeint n’est pas forcément flatteur et je me pose la question de savoir jusqu’à quel point elle a été objective.Mais au-delà de ses parents, c’est le fait de peut-être revoir Typhaine qui me met le plus mal à l’aise. Je ne l’ai plus vu depuis que j’ai fait sa connaissance - et de quelle manière !!! - et la perspective d’être de nouveau en sa compagnie, entouré de toute sa famille, est quelque peu perturbant tant cette femme peut-être troublante et envoûtante.Inutile de me mettre martel en tête pour le moment, je n’y suis pas encore et d’ici là, j’aurais eu le temps de m’y préparer psychologiquement.
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