Nous arrivons rapidement chez moi, Jenny ayant eu le pied lourd sur l’accélérateur. Elle prend soin de se garer bien à l’écart afin d’éviter de se faire griller une nouvelle fois. Un gros quart d’heure après, l’interphone retentit, annonçant l’arrivée de Shama. Jenny est assise de manière décontracté sur le canapé, appuyée de côté contre le dossier, tournée vers la porte, avec les jambes croisées. Quelques secondes après, Shama frappe à la porte et je lui ouvre.Elle porte un petit top qui lui fait un décolleté monstrueux dévoilant une bonne partie de son opulente poitrine, les contours du soutien-gorge qu’elle porte en dessous se dessinant sur le tissu, ainsi qu’une petite veste amplement ouverte. Un jean bien moulant enserre ses jambes et met admirablement en relief son imposant fessier. Elle me sourit et je viens lui faire la bise avant de l’inviter à entrer. Dès qu’elle pénètre dans l’appart’, son regard se tourne vers le canapé et elle se fige en voyant Jenny, le sourire qu’elle affichait depuis que je lui avais ouvert s’est complètement effacé. Je referme la porte et elle se retourne vers moi, semblant attendre une réponse à une question qu’elle ne m’a pourtant pas posé. Je me contente de lui sourire et de lui dire de se mettre à l’aise avant d’aller m’asseoir sur une chaise haute, contre le bar, pile en face du canapé sur lequel se trouve toujours une Jenny souriante ne lâchant pas Shama des yeux. — Shama, dit sobrement Jenny ;— Bon….Bonjour Jenny, répond Shama d’une toute petite voix. Shama alterne son regard entre Jenny et moi, elle est clairement perturbée et ne sait quoi faire, restant parfaitement immobile. Jenny tapote de la main sur le canapé, invitant Shama à venir près d’elle. Après quelques secondes d’hésitation, celle-ci pose son sac à main et sa veste sur une chaise avant d’aller s’asseoir à portée de main de sa patronne.Jenny détaille Shama des yeux, portant un regard gourmand sur ses seins tendant le tissu de son haut. Shama est immobile, les mains entrelacées, elle a le regard bas, n’osant regarder ni Jenny, ni moi. — Alors comme ça, il paraît que t’es une petite maligne ? Dit Jenny en s’adressant à Shama. Shama relève doucement la tête et la tourne tout aussi lentement vers Jenny, finissant par la regarder. — Euh…. De…. De quoi tu parles ?— Nooooon Shama, s’il te plaît, ne joue pas à l’ignorante, on m’a assez fait le coup pour aujourd’hui, tu sais très bien de quoi je parle, dit Jenny sur un ton très doux tout en passant ses doigts dans la chevelure soyeuse de Shama. Celle-ci tourne son regard vers moi, et je me contente de hausser les sourcils tout en posant mes coudes sur le comptoir derrière moi. Cette situation commence à me plaire de plus en plus, le regard qu’a Jenny à l’endroit de Shama, je le connais parfaitement, c’est un regard remplit de gourmandise et débordant d’envie. Je suis sûr qu’en ce moment même, elle est en train de se demander par quelle partie du corps de Shama elle va commencer.Cette dernière n’est pas bête, et elle doit sans aucun doute savoir à quoi Jenny fait illusion. Elle semble tout à coup se détendre, comprenant pourquoi elle est là. — Ben disons que je suis observatrice, répond-elle sur un ton maintenant plus serein, je fais attention à tous les détails, ça me sert beaucoup dans mon travail ! Jenny sourit plus franchement, amusée par le nouvel aplomb de son employée.
— Et puis ce que j’ai vu l’autre jour est loin d’être un détail, rajoute Shama. Jenny et moi fronçons les sourcils, intrigués par cette remarque. — Et qu’est-ce que tu as vu ? Interroge Jenny ;— Vous deux, répond Shama en nous regardant, Jenny et moi, Dans le local de la photocopieuse. J’avais oublié mon chargeur de téléphone et je suis revenue le chercher. Jenny ouvre de grands yeux devant une Shama affichant à présent un petit sourire, satisfaite de son effet. Jenny tourne ensuite son visage vers moi en soupirant. — Quoi ? Dis-je, toujours accoudé au comptoir, Je te jure que je l’avais pas vu ! Toujours en soupirant, elle tourne de nouveau sa tête vers Shama avant de se pencher vers elle. — Et dis-moi, t’as aimé ce que tu as vu ? T’as aimé nous mater ?— Oui, beaucoup…. Répond Shama, le regard plongé dans celui de Jenny ;— Ça t’a fait mouiller ?— Énormément….— Et tu t’es touchée en nous regardant baiser ? Demande Jenny en commençant à effleurer des doigts la poitrine de Shama. Shama répond en hochant doucement la tête, respirant plus fort et fixant toujours Jenny. Tout ça commence sérieusement à m’exciter car je suis en train de m’imaginer Shama, une main dans son pantalon, se caressant et se doigtant en me regardant troncher Jenny…. Ma queue commence tranquillement à se réveiller.Et dire qu’il y a à peine quelques heures de ça, la situation dans laquelle nous étions n’avait strictement rien de bandante…. — T’es qu’une vilaine petite voyeuse, dit Jenny en appuyant un peu plus ses caresses. Elle se met ensuite à passer ses doigts sous le tissu et le soutien-gorge pour lui caresser les seins. Enfin, caresser…. Elle vient lui pincer les tétons, la faisant frissonner et gémir. Jenny prend du plaisir à voir Shama déguster le traitement qu’elle subit, et elle commence à se mordre les lèvres tout en continuant à serrer les tétons entre ses doigts. — Petite salope…. Tu aimes quand je te pince les tétons ?— Han oui…. J’adore, continue…., répond Shama, haletante et les yeux à demi-fermés. Jenny se lève alors et fait le tour du canapé pour venir se placer derrière Shama. Elle attrape son haut et le lui retire. Les seins de Shama sont à moitié sortis de son soutif’, conséquence des premières caresses de Jenny. Cette dernière se penche et achève de faire sortir les obus de leur prison de lingerie. Sa tête quasiment collée à celle de Shama, Jenny se met à lui lécher le lobe de l’oreille tout en malaxant la poitrine entre ses mains, d’abord doucement puis plus fermement, se remettant à lui pincer les tétons avant d’agrémenter le tout de gifles faisant trembler ses seins. Shama encaisse sans broncher, de petits rictus de douleur accompagnant ses gémissements, ses mains agrippant le canapé de chaque côté d’elle, serrant ses doigts autour du tissu plus ou moins fort selon les traitements qu’elle subit. Jenny murmure à l’oreille de Shama, et si je ne peux entendre ce qu’elle lui dit, j’entends par contre parfaitement les mots qui sortent de la bouche de Shama entre deux soupirs. — Oui…. Oui…. Je suis une grosse salope, j’aime ça, continue, oui…. Une belle putain, continue…. La vision de voir Shama, les seins débordant de son soutif’ et en train de se faire flageller par Jenny est un pur délice qui finit d’achever la transformation de ma queue en une tige dure à souhait suppliante d’avoir plus de place. Je déboutonne mon pantalon et descends ma braguette, puis j’attrape ma bite et la sors. Mon gland est déjà humide et je me mets à me masturber sans décrocher mes yeux des deux coquines en face de moi. Jenny lève sa tête vers moi et me sourit en se mordant les lèvres. Après quelques instants à me regarder me branler, elle murmure à nouveau à l’oreille de Shama qui pose alors son regard sur moi. Me voyant la queue en main, elle pousse un nouveau gémissement. — Han, hmmmmm, je la veux…. Supplie Shama ;— Bouge pas de là sale pute, murmure Jenny un peu plus fort. Jenny me rejoint et se met dos à moi. Elle attrape ma queue d’une de ses mains, prenant le relais pour me branler, et de l’autre, elle écarte les cheveux de son dos, dévoilant la fermeture éclair de sa robe. Je la lui baisse jusqu’en bas et fais glisser sa robe au sol. Je ne résiste pas à l’envie de plonger ma bouche dans son cou pour l’embrasser tout en caressant sa peau douce, elle me caresse la tête en gémissant, frottant mon gland contre elle. Shama nous regarde, se trémoussant en se malaxant les seins, les serrant fortement entre ses doigts, puis Jenny décide de la rejoindre. De la voir marcher le plus sensuellement du monde avec la lingerie qu’elle porte relève de la folie tant elle est bandante !! Je n’ai qu’une envie, celle de lui sauter dessus pour la dévorer, mais ce projet, c’est elle qui le réserve à Shama — Mets-toi à genoux sur le canapé, dépêche-toi !! ordonne Jenny à Shama en lui décochant une petite gifle pour l’inciter à aller plus vite. Shama s’exécute et Jenny lève sa jambe et pose son pied sur le dossier du canapé. Elle écarte sa lingerie et dévoile sa chatte, l’offrant à Shama. — Bouffe-moi la chatte maintenant, et fais ça bien salope !! Shama ne se fait pas prier et commence à dévorer le sexe de Jenny qui se met à gémir en sentant les lèvres et la langue de Shama s’activer sur son intimité. Jenny serre les cheveux de Shama entre ses doigts, appuyant encore plus le contact contre elle, l’étouffant presque.Ma bite est tendue comme un arc de voir une telle scène se dérouler sous mes yeux, Jenny me regardant me branler tout en se léchant les lèvres et en passant sa main dans ses cheveux. Je me masturbe, le regard collé à celui de Jenny, quand elle finit par me faire un signe de la tête, me montrant Shama, toujours à quatre pattes en train de la lécher. Je concentre alors mon regard sur Shama, son cul me fait face et se dandine délicieusement de gauche à droite. Il semble m’appeler, non, me conjurer de venir m’occuper de lui. Je souris à Jenny et viens me positionner derrière Shama qui, absorbée par ce qu’elle fait, ne m’a pas vu arriver. Je lève mon bras le plus haut possible et viens abattre avec violence ma main sur son cul. Celle-ci pousse un cri mêlant étonnement et douleur en tournant vivement sa tête vers moi. Jenny la tire par les cheveux. — Lèche-moi je t’ai dit, sale pute, t’occupe pas du reste !!! Jenny repositionne fermement la bouche de Shama sur sa chatte pendant que de mon côté, je continue à m’occuper de son cul, alternant douces caresses et belles gifles, lui déclenchant des gémissements étouffés par l’abricot qui occupe sa bouche. Au bout d’un moment, je décide d’enlever le pantalon de Shama, dévoilant son cul bien dodu, habillé d’un petit string et dont la peau mate est déjà rougi par le traitement qu’elle vient de subir. Je retire aussi sa pièce de lingerie, celle-ci étant si discrète qu’elle est totalement inutile, puis me place debout à côté d’elle. — Alors comme ça, tu nous espionnes ? Dis-je avant de la fesser ; Shama gémit, pleurnichant presque. Jenny la tire violemment par les cheveux. — Florian t’a posé une question, salope, réponds !! lui hurle-t-elle ;— T’es qu’une putain de voyeuse, n’est-ce pas ? Ajoutai-je tout en continuant à abattre ma main sur son cul ;— Oui, oui, je vous ai maté comme une putain en me caressant !! dit Shama en gémissant ;— Et t’as aimé quoi ?— Quand elle a jouit grâce à ta langue, quand…. Han…. Quand tu l’as baisé en levrette en lui giflant les fesses, Han….— Giflé comme ça ? Dis-je en faisant trembler tout son corps d’une claque magistrale ;— Aïe !!! Oui, comme ça…. Han…. Quand elle t’a sucé aussi, je veux te sucer, laisse-moi te sucer, je veux!!!— Tu prendras ce qu’on te donnera sale chienne !!! Je continue à la fesser, hypnotisé par son cul de plus en plus rouge encaissant mes gifles en tremblant, et ce n’est que le fait que ma main commence à devenir sensible qui me fait arrêter. Ma paume est rouge, mais largement moins que la peau de ses fesses, et je décide de venir passer ma main sur la chatte de Shama pour constater qu’elle est déjà copieusement humide. — Ça alors, dis-je en m’adressant à Jenny tout en lui montrant ma main imprégnée de cyprine, T’as vu comme elle mouille la salope ??— Hmmmmm, oui, t’aime ce qu’on te fait, hein espèce de catin ??— Oui, oui, j’aime, continuez !!! supplie Shama ;— Enfourne tout les doigts que tu peux dans sa grosse chatte !! me lance Jenny. Je commence à doigter Shama, d’abord avec deux doigts puis, à chaque aller-retour, j’en rajoute un jusqu’à finir par avoir mes quatre doigts calés en elle, allant et venant de plus en plus profondément, ma main dilatant toujours plus sa chatte. Je continue comme ça, faisant crier Shama sans arrêt, et elle finit par hurler en sentant ma main prendre place entièrement en elle jusqu’au poignet. Je me remets à lui fesser le cul tout en tournant ma main dans sa chatte, la faisant brailler de plus belle. Jenny me regarde en me souriant, excitée qu’elle est à me voir farfouiller dans l’antre bouillante et distendue de Shama. Pour la contenter, je retire ma main et vient la lui présenter, elle se met à me lécher les doigts avec gourmandise, dégustant la saveur de Shama en me léchant la main entière. — Hmmmm, elle est trop bonne cette salope, je veux goûter à sa chatte !! s’écrie Jenny ;— Vas-y, je vais la baiser en même temps pour bien la faire mouiller !! J’attrape Shama par les cheveux et la relève ; Jenny, de son côté, retire son tanga et vient s’allonger sur le canapé, la tête vers moi. — Va lui bouffer la chatte, ordonnai-je à Shama. Cette dernière s’accroupit au-dessus de Jenny et toutes deux se mettent à se manger le sexe avec avidité. J’enlève mon pantalon ainsi que ma chemise en quatrième vitesse puis j’attrape ma queue, toujours aussi raide. Je me branle un moment, en profitant pour enduire mon gland de salive, même si je sais que c’est complètement inutile tant l’endroit où je vais bientôt l’enfourner est déjà trempé !!Les lèvres de Shama sont déjà bien entrouvertes de la visite de ma main, et c’est sans retenue aucune que je cale ma queue bien profondément en elle pour me mettre à la baiser. Sa chatte est ruisselante de cyprine et ma bite coulisse en elle parfaitement, ce qui ne manque pas de bien la faire gueuler, car entre ça et la langue de Jenny qui s’acharne sur son clito, elle devient complètement folle !! Je la pilonne de plus en plus fort en attrapant de mes deux mains son soutif’ toujours enroulé autour d’elle. Je peux sentir la langue de Jenny venir me lécher les couilles de temps en temps, et après avoir bien ramoné Shama, je me retire. Jenny s’empresse de venir gober ma queue, la suçant en poussant des gémissements de satisfaction tant ce qu’elle déguste la contente !! Pendant qu’elle me pompe, je me remets à gifler les fesses de Shama qui, de son côté, continue de dévorer le sexe de sa patronne. — Encule-là, vas-y, démonte-lui bien le cul !! me dit Jenny après avoir arrêté de me sucer. J’attrape mon sexe pendant que Jenny écarte bien les grosses fesses de Shama, m’offrant son anus en pâture. Je cale de nouveau ma queue dans la bouche de Jenny, la lui pénétrant quelques secondes pour qu’elle m’enduise bien de sa salive, puis je présente mon gland devant le petit trou de Shama et commence à l’élargir. Elle gémit de plus en plus de manière saccadée à mesure que ma bite disparaît en elle, et je fais de même en fermant les yeux en sentant mon sexe bien au chaud et serrée par son anus. Je commence à l’enculer et Jenny se remet à lui bouffer la chatte avec plus de vigueur vu que cette fois, elle peut en profiter sans que ma queue ne la gêne. Shama se remet à pousser de puissantes vocalises et, n’ayant plus la force de lécher Jenny, elle a la joue complètement collée à la cuisse de sa patronne, me fixant d’un regard brillant, ses yeux baignant dans les larmes, ce qui me fait me souvenir que ma main va mieux - et qu’en plus j’en ai deux -, du coup, je me remets à lui gifler les fesses tout en la pilonnant, les claquements de mon pubis sur son cul se mélangeant avec ceux de mes mains, et bientôt de celles de Jenny qui, elle aussi, se met à lui martyriser les cuisses tout en lui bouffant la chatte. Shama est comme possédée, ses yeux roulent dans leurs orbites et tout son corps se met à trembler sous le coup de l’explosion de sensations qu’elle endure, et elle finit par jouir puissamment en hurlant, s’écroulant littéralement sur Jenny et l’aspergeant d’un beau jet de mouille. Jenny s’étouffe presque mais profite de l’offrande en continuant de laper le résultat de la jouissance de Shama dont tout le corps est secoué de spasmes, parfois violents, parfois plus légers. Je sens moi aussi que je ne suis pas loin de jouir, mais je veux en garder sous la semelle pour honorer Jenny, je me retire donc de Shama et la repousse de Jenny, la faisant s’écrouler au sol, des tremblements l’agitant toujours. Jenny reprend son souffle, le visage brillant de la jouissance de Shama. Je ne résiste pas à l’envie d’aller l’embrasser et je me penche vers elle pour profiter de la saveur de Shama qui inonde encore sa bouche. Elle passe sa main dans mes cheveux de manière presque frénétique, gémissant de plaisir à mesure que nos langues s’entremêlent, puis, comme si elle lisait dans mes pensées, elle me dit : — Prends-moi Florian, encule-moi comme tu viens de l’enculer…. Je lui souris et elle se relève. — Assieds-toi sale chienne, mets-toi là, et traîne pas !! Ordonne Jenny à Shama, lui montrant une extrémité du canapé. Pendant que Shama se hisse péniblement sur le canapé, encore sous le coup de sa jouissance, je me lèche un doigt et viens le passer entre les fesses de Jenny jusqu’à trouver son anus dans lequel je le glisse. Elle pousse un gloussement d’étonnement puis se met à gémir alors que je me mets à faire aller et venir mon doigt en elle. — Oui…. Oui…. C’est bon…. BOUGE-TOI SALOPE !!! Oui…. Continue t’arrêtes pas…., dit Jenny en criant des insultes à Shama entre ses gémissements de plaisir. Shama finit par se mettre en place et Jenny se dirige vers elle à quatre pattes. — T’as été trop lente petite catin, j’t’ai dit d’aller plus vite !! Dit Jenny à Shama tout en lui mettant de petites gifles sur la chatte. Shama pleurniche mais se laisse faire pendant que je me positionne derrière Jenny. J’enduis de nouveau ma queue de salive puis je pose mes deux mains sur chacune des fesses de Jenny et les écarte fermement. Je présente mon gland devant son anus et je me mets à l’enculer lentement. Jenny soupire de plaisir longuement, soupirs rapidement remplacés par des gémissements dès que je me mets à la pilonner. Je lui claque aussi le fessier, de manière moins brusque que Shama, mais assez pour qu’elle amplifie ses gémissements. Shama présente ses nichons à Jenny qui s’empressent de venir les lécher. — Regardez moi ces deux belles salopes qui aiment se faire enculer !! dis-je tout en pilonnant avec force la croupe de Jenny. Mes deux coquines gémissent de plaisir, Jenny de se faire enculer et Shama de se faire dévorer les seins par Jenny. L’appartement entier résonne de tous ses gémissements comme si une grande partouze avait lieu alors que nous ne sommes que trois.J’appuie encore plus ma sodomie jusqu’à ne plus en pouvoir puis je me retire et me précipite vers Shama. Je me branle furieusement et finis par jouir rapidement sur sa poitrine dans un râle tout aussi sonore que les cris de plaisir qu’elles lancent au moment où ma jouissance jaillit. Mon sperme s’écoule sur et entre les seins de Shama, Jenny ne se privant pas de venir y lécher ma semence pendant que Shama se penche pour faire de même avec mon gland, le suçotant délicieusement en aspirant les quelques gouttes de sperme qui continue à perler de ma queue. Jenny nettoie entièrement les seins de Shama, allant chercher jusqu’à la dernière trace de sperme, puis, les deux gourmandes se mettent à s’embrasser langoureusement, Jenny ne se privant pas de pincer les tétons humides de Shama pour le plus grand plaisir de cette dernière. Comme de bien entendu, Shama resta avec nous. Mon appartement avait des allures de lupanar à tendances SM, nous sommes restés nus, profitant de chaque occasion pour se donner du plaisir, pour humilier Shama et en profiter comme bon nous semblait, elle n’a été qu’une poupée entre nos mains. Jenny était comme une enfant qui a eu un nouveau jouet pour son anniversaire, tout ce qu’elle pouvait trouver dans l’appartement lui servait, d’une manière ou d’une autre, à supplicier Shama et cette belle salope aimait ça au plus haut point !! Pas une seule fois Jenny ne l’a appelée par son prénom, le remplaçant par des « salope, pute, chienne, catin, pouffiasse, pétasse » et j’en passe, des gifles et autres fessées fusèrent aussi. À aucun moment elle n’a protestée, même quand Jenny s’est mise en tête de prendre deux cuillères en bois dans la cuisine pour aller martyriser ses seins, les empreintes des ustensiles s’affichant clairement sur la peau de ses nichons. Ces mêmes cuillères se sont ensuite retrouvées à ramoner son cul et sa chatte pendant que je m’occupais à lui baiser la bouche, lui bouchant le nez afin de l’empêcher de reprendre sa respiration jusqu’à lui jouir au fond de la gorge. Elle toussa si fort que du sperme finit même par s’échapper de son nez quand je relâchai celui-ci.Outre ma queue et les cuillères en bois, une multitude d’objets ont pris place dans tout ses orifices, Jenny s’étant aussi grandement éclatée à la fister sans retenue, trouvant fascinant de voir à quel point sa chatte était béante et acceptait avec une extrême facilité des sections de belles tailles. Seul son anus s’est avéré bien moins accueillant, mais Jenny se promit qu’elle allait bien vite faire en sorte que cela change, fantasmant de lui caler en même temps une main dans sa chatte, et l’autre dans son cul ! Shama ne cessait de se faire baiser, frapper, humilier, insulter, son corps couvert de marques, ses trous dilatés, baignant dans les sécrétions, et pourtant, elle y prenait un plaisir immense en se laissant faire sans une seule fois n’émettre la moindre plainte. Même dans la douche, que nous avons bien sûr pris tous ensemble, elle n’avait pas droit à un répit, le pommeau de douche se chargeant de la laver bien en profondeur...Épuisés après tant d’intensité, nous avons fini par aller nous coucher, tous les trois, même si Jenny avait émis l’idée de faire dormir Shama par terre. J’ai insisté pour qu’elle dorme avec nous, je ne voulais pas me priver de passer la nuit entourée de deux bombasses !! Jenny m’accorda cette faveur pour mon plus grand plaisir, et c’est bien entendu totalement nus, que nous sommes allés au lit.Le lendemain matin, je suis le premier à me réveiller, et j’émerge doucement. Tout est silencieux, aucun bruit ne se fait entendre, ce qui tranche radicalement avec les hurlements de la veille. À ma gauche, Shama est sur le ventre, le visage à moitié sur mon bras et un de ses seins débordant d’en dessous d’elle, et à ma droite, Jenny est sur le dos, un de ses bras posé sur mon ventre et une de ses jambes par dessus les miennes. Je prends quelques secondes pour admirer ces deux beautés allongées à mes côtés, le cul de Shama forme une belle bosse et est encore bien coloré de ce qu’il a subit hier, les seins de Jenny, bien fermes et maintenus, montent et descendent doucement, suivant les mouvements de respiration de sa poitrine. Repenser à l’après-midi et la soirée de folie que l’on a passé hier ne manque pas de me stimuler. Ma bite est déjà à moitié formée, sûrement grâce à une érection matinale dont je suis coutumier. Avec précaution, je libère mon bras et viens commencer à effleurer l’intérieur de la cuisse de Jenny, guettant du coin de l’œil une réaction de sa part. Elle respire toujours calmement, les yeux fermés. Je remonte lentement le long de sa cuisse jusqu’à rentrer en contact avec son sexe que je caresse doucement du dos de mes doigts. Je suis le contour de ses lèvres, montant et descendant calmement. Je continue comme ça quelques instants, l’observant toujours, elle continue à dormir paisiblement. Je retourne ma main et viens progressivement plier mon majeur. Mon doigt se faufile entre ses lèvres et il finit par entrer en elle. Je n’y mets même pas la moitié et je commence à faire bouger mon doigt en elle, calmement, tranquillement, sans me presser…. Je la regarde toujours, et soudain, sa bouche se met à frémir, elle bouge doucement sa tête en faisant de légers mouvements avec ses lèvres, comme si elle tétait quelque chose, ses paupières tremblotent et elle se met à pousser de petits gémissements presque imperceptibles. Je continue mes mouvements sur le même rythme, son bras se met aussi à bouger lentement, puis ses yeux commencent à s’ouvrir avec peine, ses paupières ont l’air de peser des tonnes tant elles ont du mal à se lever, ses lèvres s’entrouvrent et Jenny finit par arriver à garder ses yeux à demi-ouverts, les faisant cligner comme pour se reposer de cet effort qui paraît tellement surhumain. Elle soupire profondément puis, une de ses mains vient effleurer la mienne et se mettre à la caresser. Sa tête finit par se tourner vers moi et elle me sourit, toujours embrumée de sommeil. Je lui rends son sourire et, maintenant qu’elle est réveillée et bien consciente, j’introduis totalement mon doigt en elle. Elle prend une grande inspiration en fermant les yeux, expirant en poussant de très légers gémissements alors que mon doigt s’occupe de réveiller son intimité. Sa main toujours posée sur la mienne, elle suit les mouvements de celle-ci, et avec son autre main, elle vient attraper mon sexe pour se mettre à me branler lentement. Son corps se met à onduler sous mes caresses et elle se rapproche de moi au fur et à mesure, laissant de temps à autre échapper de petits gémissements plus sonores s’élevant au milieu du silence ambiant. Je finis par introduire un deuxième doigt en elle, puis rapidement un troisième, sa chatte s’humidifie de plus en plus et ses gémissements se font de plus en plus intenses. Jenny enserre la peau de mon épaule avec ses dents, me mordillant plus ou moins fortement au gré de mes mouvements en elle, les yeux fermés, savourant le délicieux réveil que je lui offre. J’accélère mes mouvements, les clapotis de sa chatte humide pénétrée par mes doigts se faisant entendre, je colle ma main contre elle et la remue pour lui stimuler le clito, elle gémit de plus en plus, respirant de manière saccadée, ses dents se resserrant un peu plus autour de ma peau, et au bout d’un moment, elle se met à jouir dans un petit cri, bref mais éclatant, tout en resserrant ses cuisses autour de ma main, qui maintenant ne bouge plus. Elle reprend sa respiration, cessant de me mordre l’épaule, quand soudain, je sens une main se poser sur ma cuisse et remonter jusqu’à mon sexe pour l’attraper. Occupée que j’étais à faire jouir Jenny, je n’ai pas vu que Shama s’est réveillée, sûrement à cause des gémissements, pourtant relativement discrets, de Jenny. Elle se met à me masturber en regardant ma queue, puis elle se décale petit à petit jusqu’à avoir sa tête près de mon sexe qu’elle se met à sucer avec délicatesse. Jenny, après avoir repris ses esprits de la jouissance qu’elle vient de vivre, rejoint Shama et l’imite, venant déguster elle aussi ma queue maintenant au garde à vous. Me voilà en train de me faire sucer par deux nanas qui savent parfaitement y faire, chacune s’occupant d’une partie de moi, à aucun moment elles ne se gênent, comme si elle étaient parfaitement synchronisées, l’une me léchant les couilles pendant que l’autre s’occupe de ma queue, calant toutes les deux leurs lèvres autour de mon gland pour l’entourer de leurs langues, langues finissant par se rencontrer, ce qui se transforme fatalement en baiser fougueux et passionné entre elles, toujours en train de me masturber à deux mains. Elles ne s’occupent pas de mes réactions, sachant pertinemment que ce qu’elles font ne peut que me contenter, et s’attellent à ne me laisser aucun répit, continuant à faire courir leurs bouches sur moi. J’agrippe les cheveux de Shama et la pousse à gober ma bite entière, maintenant sa tête tout contre moi, puis je la retire et viens faire de même avec Jenny. De sentir ma queue calée entièrement en elles et mon gland appuyer au fond de leur gorge est un pur délice !! Je fais ça plusieurs fois jusqu’à les lâcher, me contentant de les laisser me finir. Toutes deux gémissent de plaisir en dégustant mon dard, puis elles se mettent à me masturber en entourant ma queue de leurs lèvres et je me mets alors à bouger mon bassin comme si je les pénétrais. Cette sensation est fantastique et rapidement, je ne peux retenir ma jouissance qui finit par jaillir de mon gland complètement congestionné. Elles accueillent mon éjaculation avec allégresse, gobant ma queue veinée l’une après l’autre pour avoir chacune leur dose de sperme à savourer. Elles me lèchent à présent plus tranquillement avant de venir à nouveau s’embrasser durant un bon moment pendant lequel je ne les lâche pas du regard tant la scène qui se joue devant moi est magnifique !! C’est avec la même intensité que la veille que nous avons attaqué ce lundi férié, Shama jouant encore la salope de service avec un plaisir immodéré, pour notre plus grand bonheur !!Je viens de passer un des…, non, LE plus agréable week-end de toute ma vie, week-end où Jenny et moi serons passés par toutes les émotions, la colère, la rage, la haine, puis l’envie, le plaisir, la jouissance.Ce fut très intense, tant psychologiquement que physiquement, mais bordel, qu’est-ce que c’était bon !!!!
