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I - Liaisons dangereuses

Chapitre 33

Odessa

Hétéro
Ce fameux samedi soir, nous nous préparons chez moi. Marion porte un pantalon bleu foncé moulant qui met joliment en valeur son petit cul et en haut, elle a un chemisier à manches long d’un bleu plus clair accompagné d’une petite veste. Elle a agrémenté le tout d’un soutien-gorge qui remonte au maximum ses seins car elle a peur de passer pour une planche à pain à côté d’Odessa. Mais de toute façon, face à un 100D, beaucoup de femmes se trouveraient plates ! Elle a coiffé ses cheveux noirs en pétard, comme elle a l’habitude de le faire en ce moment, et s’est maquillée de manière très discrète, insistant sur le contour de ses yeux. Elle est très belle, simple et classe à la fois. De mon côté, style décontracté avec pantalon, chemise et veste de costume, sans chichis.
Nous partons, et une fois sur la route, je pressens que Marion n’est pas très à l’aise.
— Ça n’a pas l’air d’aller Marion ;— Hum... Si si, ça va ;— Tu stresses ?— Ben... Pas toi ?— Non, pas plus que ça. C’est qu’une femme et ça reste un être humain hein !— Certes, mais bon...— C’est quoi qui te fait stresser ? T’as peur de coucher avec ?— Non, c’est pas ça ;— Alors quoi ?— Tu vas te moquer de moi ;— Mais non ma puce, vas-y, dis-moi ;— Tu promets ?— Promis ! Dis-je en levant ma main droite ;— Bah on participe quand même au fait qu’elle trompe son mari quoi !
Je me retiens de rire afin de ne pas la froisser.
— Oui mais bon, c’est pas comme si on lui mettait le couteau sous la gorge hein ;— Peut-être, mais qui te dit que son mec va pas la faire suivre et s’en prendre à nous après ??— Oulaaaaah, tu pars loin là bébé !!— Ben quoi ? C’est possible hein, j’ai déjà lu des histoires sur internet où des personnes font suivre leur conjoint pour les prendre en flag’ !!
— Mais pourquoi tu veux qu’il s’en prenne à nous ?— Ben un mari jaloux qui pète un câble et trucide l’amant de sa femme, ça s’est déjà vu je te ferais dire !!— Tu regardes trop la télé ma belle ;— Mouais. Mais c’est pas très moral en tout cas ;— C’est vrai que déjà que t’es du genre à stresser quand tu pars d’un magasin sans rien acheter...— T’avais promis de pas te foutre de moi !!— Mais je me fous pas de toi Marion !
J’attrape sa main et la porte à ma bouche pour l’embrasser avant de la garder entre mes doigts.
— Allez, détends-toi, t’as qu’à te dire que c’est un simple repas entre amis, d’accord ?— Oui. Mais j’espère que ton prochain fantasme sera plus vertueux !! me dit-elle avant de me sourire ;— Un fantasme vertueux, ça risque d’être compliqué, mais je vais essayer ! Dis-je en lui rendant son sourire avant d’aller l’embrasser.
Une fois sur place, nous attendons Odessa à l’entrée du restaurant, elle m’a envoyé un message pour me dire qu’elle a pris un Uber il y a peu et elle ne devrait donc plus trop tarder.Un peu plus tard, une belle Mercedes s’arrête à quelques pas de nous. Un homme en costume en descend et va ouvrir la portière arrière.Odessa fait alors son apparition et elle est somptueuse, de beaux yeux marron clair en amande, des lèvres pulpeuses recouvertes d’un rouge à lèvres mat rouge foncé et une magnifique chevelure ondulée châtain très claire qui tombe jusqu’à ses coudes. Elle a une silhouette harmonieuse avec de belles hanches assez larges et de longues jambes gainées de bas clairs, et porte une sublime robe bordeaux qui va parfaitement avec son teint très légèrement hâlé et qui met superbement en valeur sa voluptueuse poitrine. Elle a le visage très doux et se dirige vers nous en nous gratifiant d’un sourire lumineux, elle me fait penser à une star sur le tapis rouge pendant le festival de Cannes.
— Wahou, un repas entre amis tu dis... Des amies comme ça, j’en ai pas perso, me chuchote Marion ;— Moi non plus, lui dis-je en serrant les lèvres ;— Bonjour, je suis Odessa, vous devez être Florian je suppose, Dit-elle de la même voix douce et chaude qu’au téléphone tout en me tendant la main ;— C’est ça, dis-je en la lui serrant doucement, Et voici Marion ;— Enchanté Marion, ravie de vous connaître !— Moi aussi, répond ma petite amie ;— Le trajet s’est bien passé ?— Oui, parfaitement bien, je vous remercie.— On y va ? Dis-je en indiquant l’entrée du restaurant.
Galanterie oblige, je vais ouvrir la porte à mes deux femmes d’un soir. Marion passe en premier suivie de près par Odessa et mes yeux sont alors irrésistiblement attirés par sa chute de reins.Quel cul bon sang... Le genre de cul qui vous met instantanément le bas-ventre en ébullition, des fesses bien rondes et dodues, elles ressemblent d’ailleurs à celles de Shama mais paraissent bien plus fermes, ce que je compte bien vérifier plus tard dans la soirée. Le nombre de regards qui se tournent vers elle est impressionnant, majoritairement des regards masculins, il faut bien l’avouer. Odessa est perchée sur des talons hauts, ce qui fait qu’elle n’ait pas loin d’avoir la même taille que moi si on rajoute son mètre 72. Le contraste entre la taille et les formes plantureuses de notre invitée et le gabarit menu de ma chérie est saisissant. Je vois d’ailleurs que Marion est assez impressionnée par ce beau bébé, je m’approche donc d’elle et passe ma main dans son dos pour l’attirer à moi. Elle me regarde et me fait un petit sourire que je lui rends en la serrant un peu plus contre moi. Nous nous asseyons ensuite à table avec Marion à mes côtés, Odessa se plaçant face à nous.Il faut avouer que c’est une situation un peu inédite pour moi sachant que je n’ai jamais fait de rencontre grâce à un site de ce genre. Que dire ? Comment engager la conversation ? Il ne faudra pas trop compter sur Marion pour ça vu qu’elle n’est pas très à l’aise, quant à moi, je dois bien admettre qu’Odessa est plutôt intimidante, mais heureusement, elle est assez coutumière de ce genre de situation et elle prend bien vite les devants en nous posant beaucoup de questions sur Marion et moi. Elle semble vraiment s’intéresser à nous et elle nous écoute très attentivement sans avoir l’air de s’ennuyer. Elle est très naturelle, très simple et fait tout pour nous mettre à l’aise, et au fur et à mesure, je finis par être bien plus détendu, tout comme Marion qui commence aussi à tomber sous son charme. C’est une très belle femme, elle le sait, mais malgré tout, elle ne se comporte pas comme une femme fatale. Elle pourrait tout à fait jouer à la chaudasse ou même venir me caresser la jambe sous la table vu que la nappe qui la recouvre descend très bas, mais non, elle se contente de sourire et de rigoler quand il le faut, sans excès, ce qui suffit à nous séduire. En quelque sorte, elle respecte mon couple et ne cherche pas à nous chauffer plus qu’elle ne le fait déjà en étant elle-même.Odessa est née en Catalogne, d’un père français et d’une mère espagnole, où elle a habité pendant environ douze ans avant que le travail de son père, négociant dans l’agroalimentaire, ne l’envoie en Ukraine, dans la petite ville d’Odessa – d’où son pseudo –, ville qu’elle a adorée malgré le fait qu’elle n’y soit pas restée très longtemps, puis ensuite, direction la France. Elle est mariée à un célèbre avocat habitué aux affaires très médiatiques, ce qui lui permet d’avoir un très bon train de vie. Elle ne cache pas qu’elle aime le luxe, tout comme le sexe bien entendu, et elle tire un grand plaisir de coucher avec des gens qu’elle ne connaît pas, raison pour laquelle, de temps en temps, elle s’amuse avec des couples qu’elle rencontre uniquement pour ça. Plus le repas avance et plus nous sommes décontractés, ça se voit qu’elle a l’habitude de mettre les gens à l’aise et très vite, on ne la voit plus comme une inconnue mais comme une nouvelle amie.
Le repas se termine et nous partons avec ma voiture, Marion à mes côtés et Odessa derrière moi. La discussion commence alors à doucement dévier vers les choses sérieuses, elle nous demande si l’on souhaite que la soirée se déroule d’une manière bien précise ou si on préfère faire au feeling, la deuxième solution nous convenant mieux. Elle nous avoue que, selon les moments, elle peut être amenée à parler en espagnol pendant qu’elle fait l’amour, sans forcément le vouloir, donc elle nous prévient de ne pas nous inquiéter si ça devait arriver. Ça pourrait être sympa de voir ce que ça donne... L’atmosphère devient plus chaude et je me souviens alors de notre discussion au téléphone, de sa voix quand elle me parlait de sodomie notamment... Je suis excité et mon sang commence petit à petit à affluer vers mon sexe qui se réveille tranquillement à la mesure des images salaces qui traversent mon esprit.Nous arrivons assez vite chez moi et dès que nous pénétrons dans l’appartement, discrètement, j’active la première caméra grâce à une petite télécommande dans ma poche. Une petite lumière rouge sur cette dernière m’indique qu’elle a bien démarré. Je dis à notre invitée de se mettre à l’aise et vais ensuite dans ma chambre pour chercher les deux bouquets de fleurs et démarrer la seconde caméra. Je vérifie bien qu’aucune lumière ne viendra trahir sa présence avant de retourner dans le salon. Placé de manière à être dans le champ de la caméra, je tends son bouquet à Odessa qui l’accueille avec ravissement avant d’ouvrir l’enveloppe qui contient un petit mot générique que j’ai pris chez le fleuriste. Elle m’avoue qu’elle apprécie beaucoup mon geste mais qu’elle ne pourra pas rentrer chez elle avec afin de ne pas attirer l’attention de son mari, elle le laissera donc ici, ce qui fera deux bouquets pour Marion qui est elle aussi enchantée par ma petite attention. Je me suis fendu pour elle d’un petit mot doux personnalisé qui semble la toucher si j’en juge par le fait qu’en le lisant, elle arbore un large sourire en rougissant légèrement. Il faudra, à partir de maintenant, que je lui offre des fleurs de temps en temps histoire qu’elle ne se dise pas que je l’ai fait uniquement parce qu’on était avec une autre femme, mais ça ne me dérange pas car elle le mérite bien ! J’espère que mon petit subterfuge suffira à tromper Jenny, et puis merde après tout, si elle n’est pas contente, c’est pareil !!Marion et Odessa s’assoient sur le canapé pendant que je vais ouvrir une bouteille de champagne achetée pour l’occasion. Je nous sers à chacun une coupe et nous trinquons tous ensemble, puis je vais m’installer près du comptoir, précisément là où j’étais quand Jenny et Shama étaient chez moi l’autre fois. Marion est alors au centre de l’attention de notre invitée dont l’attitude devient tout à coup bien plus licencieuse.
— Alors Marion, Florian m’a dit que tu avais déjà eu des expériences avec des femmes ?— Oui, pendant pas mal d’années je n’ai eu de rapports qu’avec des femmes en effet ;— Oh, eh bien j’imagine que tu dois avoir une certaine expérience, dit Odessa tout en allant caresser les cheveux puis la joue de Marion ;— Une expérience moins grande que la vôtre j’imagine, répond cette dernière dont les joues commencent déjà à s’empourprer ;— Tu es très belle en tout cas ma chérie, j’aime beaucoup les femmes dans ton style, très discrète et avec de petites courbes comme les tiennes, dit Odessa en passant le bout de ses doigts sur la bosse que forme la poitrine de Marion à travers son chemisier, et loin de moi l’idée de penser que c’est un défaut, bien au contraire, j’aime beaucoup pouvoir caler deux petits seins au creux de mes mains.
Marion n’a pas l’air gênée ni offusquée par ce que vient de lui dire Odessa, elle semble plutôt hypnotisée par la voix lancinante qui coule comme du miel au creux de ses oreilles. Marion commence à doucement onduler comme si tout son corps répondait à l’appel de ces douces paroles, son regard est calé dans celui de sa compagne d’un soir, les mouvements de son corps suivent les caresses qu’elle lui prodigue. Toutes les deux ne s’occupent plus de moi, elles sont dans leur bulle et c’est diablement excitant d’être aux premières loges de ce spectacle érotique qui prend forme devant mes yeux. Inutile de dire que le léger afflux de sang que j’ai ressenti dans la voiture tout à l’heure s’est transformé en torrent et commence à faire de ma queue un bâton bien rigide. Malgré tout, je me force à ne pas la sortir pour le moment, je préfère admirer ce qu’il se passe plutôt que de risquer de gâcher cette belle harmonie, mon sexe aura bien le temps de prendre l’air tout à l’heure, j’en suis certain.Marion vient alors poser sa main sur la hanche d’Odessa avant de remonter rapidement vers sa voluptueuse poitrine, en caressant doucement les formes en suivant les contours de sa robe tout en se mordillant la lèvre inférieure. Odessa accueille ce contact en lui lançant un magnifique sourire tout en faisant glisser lentement le bout de sa langue entre ses lèvres, puis, elle se penche un peu plus vers ma douce et rapproche considérablement son visage du sien. Leurs mains respectives continuent à se caresser mutuellement mais le plus important se passe au niveau de leurs yeux. Elles ne dévient pas leur regard l’une de l’autre, je ressens une pression inattendue, comme si j’étais devant un film et que j’attendais qu’une scène importante se déroule, je sens la chaleur me monter à la tête, je respire le plus discrètement possible, et quand enfin Odessa vient écraser ses lèvres sur celles de Marion, je pousse un soupir de contentement. Sa bouche pulpeuse entoure entièrement les petites lèvres de Marion qui vient ensuite, à son tour, rendre le baiser qu’elle vient de recevoir. Puis leurs lèvres partent dans une danse douce et légère, juste leurs lèvres, pas encore leurs langues. Elles ont les yeux fermés et sont parfaitement synchronisées dans leurs mouvements. Je n’ai pas le souvenir d’avoir déjà ressenti autant de plaisir à voir deux femmes s’embrasser devant moi, cette scène-là a des accents de paradis tant la passion qui s’en dégage est prenante. Puis elles font entrer leurs langues dans le jeu, et le baiser se fait alors plus passionné, de petits soupirs provenant de Marion accompagnant le tout. Odessa vient délicatement enrober de ses mains le visage de Marion tout en continuant de l’embrasser avec un mélange de tendresse et de fougue parfaitement dosé. Après quelques instants d’un baiser fantastiquement érotique, Odessa recule son visage tout en gardant celui de ma belle entre ses mains. Cette dernière rouvre les yeux, son visage est écarlate et elle semble épuisée par l’intensité de ce qu’elle vient de vivre. Odessa lui sourit adorablement puis elle tourne son regard vers moi.
— On va se mettre à l’aise ? Me lance-t-elle de sa voix suave ;— Euuuuh, oui, dis-je après quelques secondes le temps de reprendre mes esprits, C’est par là.
Je lui indique le couloir ainsi que l’emplacement de la chambre et j’enlace Marion qui est comme sur un nuage, elle affiche déjà un sourire satisfait, comme si elle venait de vivre un orgasme foudroyant. Je suis presque jaloux d’Odessa car des baisers passionnés, nous en avons échangé un paquet avec Marion, mais jamais je ne l’ai mise dans un tel état. Cette femme dégage quelque chose de particulier, très intense, et on le ressent rien qu’en la regardant marcher en faisant rouler délicieusement son cul devant nous.Une fois dans la chambre, j’allume une lumière douce et tamisée en espérant secrètement qu’elle sera suffisante pour qu’on voie quelque chose sur la vidéo.
— Allonge-toi mon ange, j’arrive tout de suite, dit-elle à Marion en déposant un nouveau baiser sur ses lèvres.
Celle-ci s’exécute et rampe sur le lit avant de s’allonger sur le dos. Marion est installée et Odessa lui fait face, au bout du lit. Cette dernière me jette un regard en ramenant ses cheveux sur sa poitrine.
— Puis-je avoir un peu d’aide ? Me lance-t-elle.
Sans dire un mot, je viens me positionner derrière elle et je fais descendre lentement la fermeture éclair de sa robe. Je dégage le tissu de ses épaules et commence à faire glisser la robe le long de son corps en la retenant, en profitant pour faire courir mes mains sur ses courbes. Je sens alors sa main venir se placer au niveau de mon sexe pour se mettre à le masser.
— Hum, je vois que le baiser échangé tout à l’heure n’a pas eu d’effet que sur Marion et moi, me lance-t-elle en chuchotant ;— C’est le contraire qui aurait été étonnant, lui répondis-je en approchant ma bouche de son oreille.
Je finis par lâcher la robe puis je passe mes mains sur ses cuisses avant de remonter vers ses fesses. Elle a une peau de velours et un cul et des cuisses d’une fermeté impressionnante, nul doute qu’elle sait se maintenir en forme. Marion ne nous lâche pas des yeux, surtout Odessa à vrai dire, et encore plus depuis que j’ai dévoilé sa poitrine. Je peux voir qu’elle a les yeux fixés dessus et qu’elle apprécie grandement ce qu’elle voit si j’en juge par sa lèvre inférieure coincée entre ses dents. Odessa penche légèrement sa tête sur le côté pour m’offrir son cou et je viens alors me mettre à l’embrasser, goûtant la saveur de sa peau pendant que de son côté, elle continue de me masser la queue tout en faisant onduler subtilement ses hanches. Elle se colle un peu plus à moi et remplace sa main par son cul. Elle est toujours perchée sur ses talons et ses fesses sont donc piles au niveau de mon sexe, je ressens la fermeté de son derrière majestueux malaxer mon membre tendu au maximum. Je ne résiste pas à l’envie d’appuyer aussi le contact de mon côté et voilà que ma queue, bien droite et encore engoncée dans mes vêtements, se cale entre ses fesses. Je crève d’envie de la baiser, mais au moment où je comptais enfin me libérer de la tension qui règne dans mon boxer, Odessa se met à quatre pattes sur le lit et commence à avancer au-dessus de Marion jusqu’à arriver à son visage pour se mettre de nouveau à l’embrasser. Elle se cambre admirablement et j’ai son magnifique cul devant moi. Elle porte de la lingerie fine blanche, un string accompagné d’un superbe porte-jarretelles et d’une paire de bas clairs transparents. Je n’ai pas eu l’occasion d’admirer sa poitrine et son soutien-gorge mais nul doute que le spectacle devait être somptueux vu la manière dont Marion la dévorait du regard quand je lui ai retiré sa robe !Odessa déshabille lentement Marion, elle lui dégrafe son chemisier, bouton par bouton, et l’ouvre en grand avant de venir poser ses lèvres pulpeuses sur sa peau douce, appuyant ses baisers jusqu’à laisser une fine pellicule de salive qui brille à la lueur de la douce lumière qui baigne la chambre. Marion a une respiration saccadée, elle regarde Odessa s’occuper d’elle, elle savoure la chaleur de ses baisers et la douceur de ses caresses. Elle fait de même avec son pantalon, le déboutonnant avant de le faire coulisser le long de ses jambes puis remontant en les lui embrassant avec la même passion, effleurant de sa langue l’intérieur de ses petites cuisses avant d’aller recouvrir de ses lèvres la lingerie qui cache encore, mais plus pour très longtemps, l’intimité de Marion.Odessa finit par passer ses doigts sous le string de sa proie et la fait glisser sur elle jusqu’à l’enlever. Pour l’occasion, Marion s’est épilée totalement, ce que semble grandement apprécier Odessa qui se met à pousser un long ronronnement avant d’aller poser ses lèvres sur son petit abricot déjà copieusement humide. Je me suis légèrement décalé pour mieux voir la bouche et la langue d’Odessa s’activer tendrement sur le minou de ma petite amie qui se met à respirer de manière saccadée tout en la fixant d’un regard qui déborde de plaisir. Elle gémit de plus en plus à mesure que la langue qui visite sa chatte se fait de plus en plus intrusive, elle ferme les yeux en se trémoussant, poussant des soupirs de plus en plus sonores, les jambes à présent bien écartées tout en massant ses petits seins au travers de sa lingerie. Je connais Marion, elle n’est pas loin de jouir, il lui manque juste le coup de grâce, et comme si la belle Espagnole lisait dans mes pensées, elle vient faire entrer ses doigts dans la danse et pendant que sa langue s’active sur son petit bouton de plaisir, elle introduit deux de ses doigts en elle pour commencer à aller et venir, d’abord lentement, puis plus rapidement à mesure que les gémissements de Marion se font plus rapprochés. Cette dernière agrippe la chevelure dorée d’Odessa entre ses doigts crispés.
— Oui... Oui... Oh oui putain, c’est bon... Oui... Oui... Continue, putain, J’en peux plus... Han... Han...
Marion se cambre en relevant son buste, maintenant toujours fermement le visage d’Odessa entre ses cuisses dont les caresses buccales et digitales se font de plus en plus rapides et appuyées, les bruits humides de ses doigts voyageant à travers la vulve trempée se faisant toujours plus rapprochés.
— OUI... OUI... HAN... C’EST BON... OUIIIIIII !!!! hurle Marion qui se rallonge en tombant comme une masse, le corps tétanisé par un orgasme puissant.
Mon cœur bat la chamade dans ma poitrine, c’est magnifique d’avoir pu assister à un orgasme de Marion en étant à l’écart. Elle est si belle à se trémousser de plaisir, voir son corps pris de soubresauts et entendre ses petits soupirs s’échapper du fond de sa gorge... C’était vraiment intense de voir ça de mon point de vue, même s’il est vrai que je préfère cent fois être aux manettes.J’ai terriblement chaud, je décide de tomber ma chemise et mon pantalon mais de garder mon boxer. Mon sexe dur comme du bois se dessine au travers du tissu sur lequel apparaît, au niveau de mon gland, une belle tache de mouille.Odessa est sacrément douée, elle a rapidement compris comment fonctionne Marion pour savoir quoi lui faire pour qu’elle jouisse et il ne lui a fallu que quelques minutes entre ses cuisses pour la faire décoller. Bon, c’est vrai que Marion est loin d’être la nana la plus difficile à faire jouir, mais c’est quand même une belle performance !! À présent, les caresses d’Odessa se font plus douces et légères, et lentement, elle remonte vers le visage de Marion en embrassant sa peau sur le chemin de sa bouche. Les deux femmes s’embrassent à nouveau tendrement puis Marion décide de prendre le dessus et elle fait rapidement basculer Odessa sur le dos, elle se met ensuite debout au-dessus d’elle et enlève son soutien-gorge. De son côté, la belle blonde décide de libérer elle aussi ses majestueux obus qui s’offrent enfin entièrement à nos regards. Elle a de larges aréoles rosées et de beaux tétons bien charnus que Marion vient bien vite prendre en bouche en s’asseyant, se mettant à téter avec insistance ces deux belles et grosses mamelles. Odessa lui caresse les cheveux en commençant à gémir.
— Sí, sí niña, couine Odessa dont l’accent espagnol commence à ressortir sous l’effet de son plaisir.
Marion alterne entre les deux seins tout en ondulant son bassin au niveau de la chatte d’Odessa, puis elle descend à son tour embrasser le sexe de la belle ibère à travers son string au début, et rapidement, elle lui retire son sous-vêtement pour pouvoir déguster librement ce qu’il cache. Odessa a de belles lèvres épaisses déjà bien entrouvertes et humides, Marion joue avec du bout de sa langue avant de se mettre à les aspirer entre ses lèvres, arrachant des soupirs approbateurs à Odessa qui se transforment bien vite en gémissements bien plus sonores quand Marion vient étirer de ses doigts la peau autour du clito pour le faire encore plus sortir avant d’aller le titiller avec le bout de sa langue. Odessa se cambre alors à son tour.
— Ooooooh, sí, sí, continúa, sí, ooooooh, es bueno niña, continúa.
Je ne sais pas si c’est voulu de sa part mais la manière qu’à Odessa de prononcer ces mots dans sa langue natale est furieusement excitante. Toujours en train de gémir sous les coups de langue de ma copine, elle se met à me regarder en se léchant les lèvres et en tendant son bras vers moi.Enfin, je peux rentrer dans le jeu et libérer ma queue qui n’en peut plus d’être enfermée. Je baisse mon boxer et elle en ressort parfaitement droite tant cette vive excitation que je ressens depuis tout à l’heure ne m’a pas quitté. Mon gland luisant de mouille, je me mets à genoux près de la tête d’Odessa qui vient empoigner ma bite dès que celle-ci est à portée de main, et elle se met alors à me sucer en y mettant une belle ardeur. Je sens immédiatement la chaleur de sa bouche m’entourer, elle me gratifie d’une fellation profonde et bien baveuse tant ma queue est trempée quand elle la ressort pour se mettre à me la lécher avant de reprendre sa masturbation buccale tout en malaxant ma paire bien ferme et remontée. Elle suce délicieusement bien et elle ne fait que conforter mon érection et même l’amplifier quand elle me masturbe rapidement en me suçotant le gland. Hummmmm, divin... Marion continue de s’occuper du minou de notre invitée en rajoutant quelques-uns de ses petits doigts fins, sa petite tête calée entre les deux cuisses généreuses et bien écartées d’Odessa qui me pompe toujours avec ferveur.Après quelques instants à déguster ce traitement, à force de voir Marion à quatre pattes entre les jambes de notre proie, son petit cul bien haut en train de se trémousser, il me vient la furieuse envie de le prendre en levrette. Je préfère aussi commencer par l’honorer elle histoire qu’elle ne prenne pas mal le fait que je commence par Odessa. Je vais me positionner derrière ma belle pour lui mettre quelques coups de langue sur le minou, coups de langue qui me servent plus à goûter sa saveur qu’à la lubrifier vu qu’elle est déjà trempée grâce au cunni tout elle a été victime tout à l’heure. Néanmoins, elle apprécie grandement de me sentir et se cambre un peu plus à mon contact. Je me mets en position et cale mon gland entre ses lèvres intimes, et lentement, je le regarde entrer en elle, ce qui lui arrache des gémissements supplémentaires alors qu’elle a toujours la bouche prise. Je commence à la pénétrer généreusement, ses couinements se mélangeant à ceux d’Odessa qui me regarde en train de baiser Marion en se léchant les lèvres et en malaxant sa belle poitrine. Cette baise est fantastique, j’ai vraiment une chance immense que d’avoir l’occasion de me taper de si belles déesses et au fond de moi, je ne peux m’empêcher de remercier Jenny d’avoir de nouveau fait preuve de perversité pour me pousser à faire ça. Avec la vision que j’ai à ce moment et toutes les divines sensations que je ressens, le sentiment d’avoir manipulé Marion pour en arriver là ne m’effleure même plus l’esprit.Je baise Marion sur un bon rythme, son petit cul vibrant sous mes coups de reins, Odessa ne me lâche pas du regard, elle semble se délecter de me voir buriner ma petite amie pendant qu’elle se fait visiter la vulve par une petite langue percée. Puis après quelques instants, elle me dit :
— Mon sac Florian s’il vous plaît...
Je tourne ma tête, son sac est posé sur la commode juste derrière moi. J’arrive à l’attraper du bout des doigts tout en restant au chaud dans la petite chatte serrée que je pénètre. Je le donne à Odessa qui fouille quelques secondes dedans avant d’en sortir un petit carré qu’elle me tend. C’est une capote, et le sourire qu’elle me lance en même temps veut bien sûr dire qu’elle ne me l’a pas donné pour rien.Je me retire de Marion et cette dernière se retourne vers moi pour m’embrasser à pleine bouche tout en me branlant. Elle prend alors la capote dans ma main, l’ouvre et la positionne sur mon gland avant de commencer à la dérouler jusqu’à la base de ma verge.
— Vas-y, baise-la bien, je te l’ai bien ouverte, me chuchote-t-elle à l’oreille avant de m’embrasser à nouveau.
Marion s’écarte et s’offre alors à ma vue la chatte bien charnue d’Odessa, prête à me recevoir, entourée de ses deux belles cuisses. Ses lèvres pendent bien et avant d’aller la prendre, passage obligé pour moi que d’aller goûter à sa saveur, et je ne regrette pas. Une bonne cyprine plus liquide que celle de Marion me coule dans la bouche, j’essore ses lèvres intimes pour en extraire tout le jus qui les recouvre, elle mouille tellement qu’elle a déjà bien imbibé le drap sur lequel elle est couchée. Impossible pour moi d’attendre plus longtemps pour fourrer cette chatte ibère, je me positionne entre ses cuisses et saisis ma verge gainée de son armure de latex pour aller tapoter son clito de mon gland. Odessa soupire de plus en plus, d’autant que Marion s’est mise à lui lécher les tétons. Le bruit de ma bite frappant sa chatte est le même que si je la tapotais dans une petite flaque d’eau tant son abricot est juteux, et après bien l’avoir caressée du bout de mon sexe, je le présente à l’entrée de sa vulve et la pénètre. Elle pousse un gémissement de contentement en me sentant en elle, ma queue a été comme aspirée par cette chatte goulue aux lèvres bien épaisses, lèvres qui glissent parfaitement sur le latex brillant qui entoure mon dard. Odessa reprend ses complaintes espagnoles, « más fuerte » me dit-elle plusieurs fois, entrecoupés de gémissements, et après avoir déchiffré son message, je m’appuie sur ses cuisses généreuses et me mets à la pilonner durement.
— AAAAH, AAAAH, SIIIIIIII, ES BUENO, AAAAAH, crie-t-elle.
Je ne ralentis pas, les yeux fixés sur ma queue visitant une chatte qui me trempe toujours plus le bas-ventre à chaque fois que mon pubis entre en contact avec elle, quand soudain, j’entends que ses cris sont étouffés et je relève ma tête pour voir Marion qui est venue enjamber le visage et coller son sexe sur la bouche de l’Espagnole, sa langue entrant et sortant rapidement de sa vulve. C’est au tour de Marion de recommencer à chanter de plaisir, agrippée à la tête de lit. Je sors ma queue pour taper mon gland bien dur sur cette chatte bouillante et inondée avant de l’y remettre pour de nouveau la baiser avec force. Je suis guidé par une boulimie sexuelle qui m’ordonne de me pencher pour aller lécher le petit trou de ma belle que je vois se dilater et se resserrer à la mesure de ses ondulations sur le visage d’Odessa.
— Haaaan, haaaaaan, putain... C’est si bon, vas-y chéri !!! me dit-elle quand elle sent ma langue passer sur son anus.
Tout en continuant à baiser Odessa, je me mets à pénétrer l’anus de Marion de ma langue, ce qui, combiné à celle dans sa chatte, ne manque pas de rapidement la faire monter dans les tours, de plus en plus, pour que, au bout d’un moment, elle se mette à jouir. Odessa accueille le déferlement de la cyprine épaisse de Marion dans sa bouche en poussant de nouveau de vifs gémissements, elle-même se mettant à jouir à son tour. J’arrête ma pénétration et me mets debout au bout du lit, ma queue toujours fièrement dressée. Je reprends ma respiration en observant Marion onduler ses hanches plus calmement, toujours bien calée par la bouche occupée à déguster son nectar, elle reprend petit à petit ses esprits après sa seconde jouissance de la soirée.
Mes deux coquines viennent ensuite toutes les deux m’offrir leurs culs en se mettant côte à côte au bord du lit, deux croupes radicalement différentes me font alors face, l’une chétive mais bien ronde et l’autre voluptueuse et bien large. L’anus de l’Ibère est tout aussi lisse que celui de ma belle, et déjà bien dilaté grâce au plaisir qu’elle prend depuis tout à l’heure, je ne résiste pas à aller la goûter, trempant ma langue d’un trait dans son fondement arrosé depuis tout à l’heure par la cyprine de sa chatte. Elle gémit en me sentant lui prendre le cul de ma langue, j’écarte ses deux grosses fesses pour pouvoir appuyer toujours plus ma bouche autour de sa rosette et permettre à ma langue de l’enculer le plus possible. Étonnant qu’elle n’accepte pas de trop grosses queues par là car son anus me paraît largement adapté pour encaisser de belles sections, mais peu importe après tout, si elle me présente sa croupe, c’est qu’elle estime que j’ai la bonne taille pour la sodomiser, ce qui est le plus important !! Avant de remplacer ma langue par ma queue, je vais aussi gratifier Marion d’une feuille de rose, en profitant pour comparer les deux anus qui me sont offerts, et en toute logique, il est bien plus serré que celui d’Odessa même si en comparaison d’il y a quelques semaines, c’est le jour et la nuit. Il faut dire que depuis le jour où je l’ai sodomisé pour la première fois, à chacune de nos relations sexuelles, elle exige que je passe par là, ce qui fait que rapidement, son petit trou s’est considérablement assoupli. Après l’avoir léché quelques instants, je reviens me positionner derrière le cul le plus majestueux dont j’écarte bien les fesses. Je lâche un peu de salive sur l’anus que je prends soin d’étaler à l’aide de mon gland puis, lentement, j’appuie et la dilatation anale s’opère au son des couinements d’Odessa qui se font de plus en plus sonores à mesure que ma bite veinée avance en elle.
— Siiiiiii, oooooooh, siiiiiiiii, hmmmmmm, gémit-elle alors que je commence à l’enculer.
Son anus est très confortable, pas trop serré et bien chaud, c’est très agréable et pendant que je la sodomise, je vais caresser Marion de mes doigts, alternant entre sa vulve et son cul. Les deux femmes se roulent de belles pelles tout en gémissant sous mes assauts péniens et digitaux. Après un moment, j’arrête de prendre Odessa pour aller m’occuper de mon petit cul préféré. Je ne prends pas la peine d’enlever la capote pour Marion même si c’est vrai que je ne ressens pas le maximum de sensations que je pourrais ressentir si je n’en portais pas, mais je n’ai pas envie de perdre du temps à l’enlever et la remettre vu que je compte bien jongler entre les deux culs à ma disposition. Marion accueille mon membre en gémissant lourdement tant elle adore que je l’encule en levrette, et je m’applique à la pilonner durement, comme elle l’aime.
— HAN, HAN, OUI, OUI, OH... OH... PUTAIN, OUI, crie-t-elle en enfournant sa tête dans les draps.
Odessa lui caresse le dos tout en regardant son petit cul tremblant se faire salement baiser, se mordillant les lèvres d’excitation. Il faut dire que je ne m’économise pas, je sais que Marion peut encaisser tant elle adore que je la prenne de cette façon.
— Yo también mi amor, je veux aussi que tu m’encules comme ça, me dit Odessa en mixant délicieusement langue espagnole et française.
Il est vrai que je l’ai prise sur un petit rythme vu que je ne savais pas trop si elle aimait que celui-ci soit soutenu et appuyé, mais maintenant, j’ai la réponse. Je vais de nouveau me mettre derrière, elle écarte amplement ses fesses de ses mains et je lui prends le cul d’une traite, me mettant, à l’instar de Marion, à l’enculer avec force.
— OOOOOH, OOOOOOH, SIIIIIIIII...... Hurle-t-elle en serrant les draps de ses mains.
Je ne lui laisse aucun répit et de voir ce cul bien lourd trembler sous mes coups de butoir me donne une furieuse envie de jouir, je commence à voir la ligne d’arrivée se rapprocher à grands pas, pas d’autant plus grand que je m’acharne littéralement sur la croupe d’Odessa. Je trouve que ça serait du gâchis que de jouir au fond d’une capote, je me retire donc et enlève rapidement le bout de latex, Marion venant immédiatement me sucer le gland tout en me branlant vigoureusement. Entendant mes gémissements de plus en plus rapprochés et sentant ma queue se tendre un peu plus, elle continue à me branler en l’orientant vers le cul légèrement rougi que je pilonnais auparavant, puis de lourdes et épaisses giclées de sperme finissent par jaillir, lardant la peau d’Odessa de zébrures blanchâtres, mes râles profonds et sonores agrémentant chacun des soubresauts de mon sexe. Marion continue de me branler tout en caressant le cul maculé de sécrétions grâce à mon gland bien rouge et congestionné, étalant ma semence avant d’aller la lécher à même la peau. Je prends le relais, continuant à me masturber lentement en regardant Marion embrasser et passer sa langue sur la peau d’Odessa qui continue à doucement gémir tout en savourant la sensation chaude de ma jouissance marbrant sa belle peau bronzée. Odessa se redresse ensuite et vient embrasser passionnément Marion avec qui elle partage donc un peu de mon sperme.
Après ce premier acte – car non, il était impossible d’imaginer qu’on allait en rester là – nous nous sommes allongés tous les trois dans le lit après que je sois allé chercher la bouteille de champagne. C’était idyllique d’être entouré de ces deux beautés nues, collées à moi, le tout dans une ambiance pleine de luxure. On s’embrassait, tous les trois, puis Marion et Odessa, on se caressait, se versait du champagne à même la peau pour aller se le lécher. Entre nos sécrétions et le champagne, mes draps étaient trempés, mais peu importe, ça n’a pas empêché mes deux coquines de me prodiguer une fellation extraordinaire, notamment quand Odessa a rempli sa bouche de champagne avant de venir y mettre ma queue. Hummmmmm, de sentir sa langue accompagnée par les petits picotements des bulles était divin, le précieux liquide s’échappant de ses lèvres pour venir en imbiber mes couilles, ce qui donna l’occasion à Marion de venir me les gober. Elles ont joué avec ma queue un très long moment avant de me donner le coup de grâce et Odessa ne se fit pas prier d’en prendre une bonne lampée à même ma peau pour l’avaler aussi sec.Nous avons ensuite parlé un long moment, toujours enlacé dans les bras les uns des autres, Marion offrit aussi un de ses succulents massages à Odessa qui étaient aux anges. De voir ma petite amie nue chevauchant l’auguste derrière de l’Ibère tout en la massant était très sensuel, j’ai pris beaucoup de plaisir simplement en regardant.Elles ont ensuite pris, main dans la main, le chemin de la salle de bains et je ne me suis décidé à les rejoindre qu’au moment où j’ai commencé à entendre des gémissements couvrir le bruit de l’eau qui coulait. Je suis entré dans la douche au moment où Marion, accroupie, s’occuper de bouffer la chatte d’Odessa. On a de nouveau baisé, debout contre la cloison, en levrette, couchés, toutes les positions y sont passées, tout ça sous la fine pluie de la douche qui s’écrasait sur nos corps entremêlés, mettant temporairement de côté les règles primordiales en termes d’économie d’eau.Odessa est partie bien après une heure du matin et on sentait bien qu’elle ne s’est pas du tout forcée à rester, elle a pris un immense plaisir avec nous tout comme pour nous, ça a été au-delà de ce à quoi on pouvait s’attendre, c’est vraiment une nana fantastiquement belle et excitante.
Au final, le gage que m’a lancé Jenny et que je voyais comme un danger s’est soldé en une super expérience, je ne sais pas si, en me donnant cela à faire, elle s’était imaginé que je prendrais un pied aussi grand. Mais je ne manquerais pas de la remercier chaudement dès lundi en lui montrant la preuve de tout ça en vidéo !!Nous ne mîmes pas longtemps à nous endormir tant la fatigue nous est tombée dessus dès que l’excitation de la soirée a commencé à retomber.
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