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I - Liaisons dangereuses

Chapitre 47

L'étape

Hétéro
Le lendemain, Jenny a l’air de très bonne humeur, ce qui participe à détendre l’ambiance de tout le monde au boulot.Je repense à ma visite d’hier à Typhaine, je compte en informer Jenny, non pas de ce que sa belle-sœur a fait la concernant, mais de ma visite. Je ne veux plus lui cacher ce genre de chose, pas envie qu’il y ait de nouvelles tensions entre nous car je préfère largement quand elle est proche de moi. Comme si elle lisait dans mes pensées, elle vient me voir à mon bureau.
— Salut Flo, on mange ensemble ce midi ? J’ai un truc à t’annoncer.— Ben écoute oui, avec plaisir. Et puis ça tombe bien, j’ai aussi quelque chose à te dire.— Ah ? Bonne nouvelle ?— Ni bonne ni mauvaise, juste une nouvelle.— Tu veux pas m’en dire plus ?— Non grosse curieuse !
Jenny me fait les gros yeux.
— Grosse ?!? Dis donc, comment tu parles à ta patronne toi ?— Pardon Madame, désolé Madame !— Ahah, t’es con ! Allez, j’y vais, je dois aller voir Shama.— Fais gaffe hein, elle pourrait bien t’enfermer dans son bureau pour te séquestrer.— Ça me fait pas peur.— Coquine va !

Jenny me fait un clin d’œil avant de sortir de mon bureau.Le midi, nous voilà attablés au resto.
— Alors, c’est qu’est-ce que tu as à m’annoncer ? Lui demandai-je.— Non, toi d’abord. Vu que moi c’est plutôt une bonne nouvelle, selon ce que tu me dis, je déciderais ou non de t’en parler après coup !
— La vache, tu me mets une sacrée pression là !— Ahah ! Allez, crache ta pastille.— Bon, voilà, hier quand je suis parti un peu plus tôt l’aprèm, c’était pas pour des démarches administratives.— Un mensonge ? Tu démarres sur les chapeaux de roues dis donc ! Et c’était pour quelle raison alors ?— Je suis allé voir Typhaine.
Jenny se fige.
— Ah... euh, mais où ça, chez elle ?— Non, à son travail.— Ah OK, d’accord. Et c’était pour... lui parler de ce qu’elle a fait ?— Ouais. Je sais que j’avais dit que je m’en foutais mais avec le temps et le recul, je me suis dit qu’il fallait au moins que je marque le coup en allant parler de tout ça avec elle, histoire qu’elle ne se dise pas trop vite qu’elle peut tout se permettre.— D’accord, je comprends. Et alors, comment ça s’est passé ?— Elle a écouté ce que j’avais à dire, c’est déjà bien. Après, est-ce qu’elle en a tenu compte, ça...— Si c’est pas trop indiscret, elle t’a donné quoi comme raison pour justifier son geste ? Je te demande ça juste histoire de comparer avec ce qu’elle m’a dit.— Et bien en gros, elle a fait ça pour m’éviter de perdre du temps dans une histoire qui aurait fatalement fini par capoter.— Ouais, elle m’a dit à peu près la même chose. Au moins elle est cohérente dans ce qu’elle raconte, c’est déjà ça.— Oui. En tout cas, tout ça ne l’a pas fait dévier du projet qu’elle a par rapport à nous ;— Quel projet ?— Ben qu’on s’amuse tous les trois.— Ça, elle peut toujours se brosser ! C’est pas demain la veille que je lui toucherais un morceau de téton à elle ! La bise de politesse parce que j’ai pas le choix, c’est le seul contact qu’elle aura avec moi cette salope.— C’est ce que j’ai essayé de lui faire comprendre mais ça n’a pas eu l’air de l’inquiéter. Pour elle, le temps joue en sa faveur.— Elle doute de rien !— En effet, bien plus que tu ne le crois.— Pourquoi tu dis ça ?— Elle a voulu me faire le même coup qu’elle m’avait fait quand j’étais allé chez elle.— C’est-à-dire ?— Tu veux que je te fasse un dessin ?— Dans son bureau, carrément ?— Oh oui, c’est un détail ça ; et je pense qu’elle n’en est pas à son coup d’essai vu qu’apparemment, sa secrétaire la couvre bien.— Ah oui, la petite brunette là, comment elle s’appelle déjà ?— Clotilde.— C’est ça oui. Une fois, j’étais allée à son taf avec Fred et elle m’avait regardé comme si elle voulait me bouffer !— Ouais, je vois ce que tu veux dire, j’ai eu droit au même genre de regard.— Et donc ? J’espère que tu lui as bien cassé la rondelle au moins.— Je lui ai rien cassé du tout, je l’ai juste bien fait monter en température avec mes doigts et j’ai arrêté juste avant qu’elle ne jouisse.— C’est particulièrement cruel ça !— Je sais, c’était le but. Si je l’avais sauté, ça lui aurait donné raison sur toute la ligne. Bon, après je vais pas faire le mec froid hein, j’avais bien envie de me la taper mais je pouvais pas me le permettre sinon elle aurait gagné, encore.— La vache... T’as résisté à ma succube de belle-sœur ? Alors là chapeau, tu m’épates !— Ouais, j’avoue que sur ce coup, je suis assez fier de moi !— Du coup, tu te l’es mise derrière l’oreille pour le reste de la journée.— Ben ouais mais ce petit sacrifice valait le coup je pense.
Jenny me regarde avec un petit sourire en coin, elle paraît réellement épatée par le fait que j’ai résisté à Typhaine, ce dont je suis tout aussi épaté qu’elle à vrai dire !
— Bon, est-ce que ce que je t’ai annoncé annule ce que toi tu as à me dire ?— Non non, du tout !— Ben je t’écoute alors.— T’as un passeport ?— Oui, je l’ai renouvelé y a quelques mois de ça d’ailleurs.— T’es allé où ?— Nulle part. Juste que je me suis dit que si jamais un jour j’avais l’occasion de partir au dernier moment, je serais pas obligé de refuser à cause de ça.— Très bon raisonnement. Il semble me souvenir que tu m’as dit l’autre fois que tu aimerais bien aller au Québec.— En effet.— Ben voilà, tu viens à Montréal avec moi !— Sérieux ? Avec toi et Fred ?— Et non, sans Fred. C’est justement parce que Fred peut pas venir que tu viens.— Qu’est-ce qui s’est passé ?— Il a été moins intelligent que toi car lui aussi devait renouveler son passeport sauf qu’il s’y est pris un peu trop tard et il y a un souci dans son dossier, du coup, il l’aura pas à temps pour le départ.— Ah ouais, pas cool.
Je dis ça avant de lancer un grand sourire. La simple idée de faire ce voyage avec Jenny dans un endroit que j’ai toujours voulu connaître me ravit au plus haut point !
— Alors, ça te dit ? Me demande-t-elle.— Et comment que ça me dit ! C’est quand le départ ?— Dans deux semaines. Mais je veux pas te forcer hein, si t’as pas envie t’es pas obligé, je peux tout aussi bien y aller seule.— Mais t’as rêvé ou quoi ?!? Montréal avec toi, c’est le pied !
Jenny baisse la tête en poussant un petit rire.
— Oui mais calme-toi hein, on y va pour le travail, c’est pas un voyage d’agrément, dit-elle comme pour calmer mes ardeurs.— Peu importe, ça le fait quand même ! Merci en tout cas, c’est cool d’avoir pensé à moi.— Ben t’es mon bras droit, c’est logique.— Ah donc c’est pas pour le plaisir de voyager avec moi ! Super, ça fait plaisir.— Bon, le temps que tu finisses de bouder, je vais régler l’addition moi, dit-elle en me lançant un clin d’œil.
Nous partons ensuite du resto et retournons à la voiture. Jenny a l’habitude de se garer dans un petit renfoncement bien à l’écart du resto, cela afin d’éviter au maximum les coups de portière.Elle déverrouille sa voiture à distance et, comme d’habitude lorsque l’on prend la sienne, je monte côté passager. Jenny monte aussi, mais vient se placer sur la banquette arrière.
— Qu’est-ce tu fous ? Dis-je en la voyant dans le rétroviseur.
Elle me lance un petit rictus amusé avant que je ne me retourne.
— Elle a dû être longue ta soirée hier, surtout après que l’autre pute t’ait chauffé, me dit-elle d’une voix particulièrement suave.
Jenny est assise au milieu de la banquette, les jambes croisées et les bras écartés des deux côtés d’elle, elle finit par tapoter de sa main sur le cuir beige ; je lui souris avant de descendre pour aller la rejoindre à l’arrière. À peine je prends place et ferme la portière que Jenny me saute au cou pour m’embrasser tout en m’enjambant.
— J’ai envie de toi, chuchote-t-elle entre deux baisers passionnés.— Hmmmm, moi aussi ma belle.— Pas trop déçu que je sois pas rousse ?— Pas trop déçue que ça soit pas Fred qui t’accompagne à Montréal ?
Elle me sourit avant de commencer à déboutonner ma chemise tout en se remettant à m’embrasser. De mon côté, je fais de même avec son chemisier qui finit bien vite par dévoiler sa poitrine joliment habillée par un soutien-gorge noir en dentelle. J’embrasse le dessus de chacune de ses gorges avant qu’elle n’enlève son chemisier et qu’elle dégrafe son soutif, m’offrant ses seins dont je m’empresse d’aller sucer les tétons ; elle me caresse les cheveux en soupirant tout en se mettant à faire onduler ses hanches puis elle vient passer ses mains dans mon dos pendant que je m’attelle à déboutonner son pantalon. Une fois fait, elle vient s’asseoir à côté de moi pour enlever son vêtement le plus rapidement possible alors que je fais de même avec le mien, en profitant pour baisser en même temps mon sous-vêtement, libérant ainsi mon sexe déjà bien formé.Jenny fait en sorte de ne pas me lâcher du regard mais son pantalon étant très moulant, elle galère à l’enlever et je viens alors l’aider, ce qui finit par nous faire rire tous les deux tant nos gestes sont maladroits sous le coup de l’excitation qui nous attise. Son pantalon ainsi que sa culotte finissent par voler dans l’habitacle puis elle se précipite de nouveau sur moi pour m’embrasser à pleine bouche.Ma queue est coincée entre nos corps et le fait qu’elle ondule le sien me stimule grandement, si bien que je deviens très vite bien dur et, comme si elle attendait ça depuis des lustres, elle attrape mon sexe et positionne le sien juste au-dessus avant de s’asseoir sur moi. Nous poussons un soupir commun et la frénésie qui nous animait jusqu’à présent se calme maintenant que je suis profondément calé en elle.
— Hmmmmm, c’est trop bon, dit-elle à voix basse.
Nous sommes collés l’un à l’autre, on se regarde droit dans les yeux avec nos lèvres qui se frôlent, je sens sa respiration me caresser le visage et nos langues s’effleurent alors qu’elle ondule presque imperceptiblement ses hanches. On reste un moment comme ça, sans rien se dire, juste en se regardant, mes mains qui parcourent la peau de son dos la font frissonner ; puis, comme si un signal de départ venait d’être donné, on commence à s’embrasser fougueusement alors qu’elle se met à rouler du cul sur moi de manière bien plus rapide et appuyée.Le SUV se met à trembler sous l’effet de nos mouvements, nos gémissements remplissent l’habitacle, Jenny ne peut pas vraiment sautiller sur moi comme elle le voudrait à cause de la hauteur sous plafond limitée donc elle s’efforce de bien se cambrer pour me faire aller et venir en elle le plus amplement possible.Après s’être amusé un moment dans cette position, je m’allonge sur la banquette en mettant la tête comme je peux sur la poignée de la portière et Jenny se met dos à moi. Elle s’accroche à la poignée de maintien et je viens caresser son abricot de mon gland avant qu’elle ne finisse par engloutir à nouveau mon sexe. Bon sang, de voir son magnifique fessier s’agiter devant mes yeux est un pur délice ; elle maintient ma queue bien veinée en tension et à plusieurs reprises, celle-ci sort de son sexe pour venir claquer sur mon bas-ventre mais je ne tarde pas longtemps à la remettre bien profondément en elle. J’essaie comme je peux d’appuyer sa chevauchée en mettant de petits coups de reins mais il est assez difficile de faire beaucoup de mouvements, d’autant que j’ai tendance à glisser sur le cuir de la banquette. Je me mets à agripper ses fesses avant d’y mettre de petites gifles qui déclenchent de nouveaux gémissements de contentement de la part de Jenny.
— Han han han, oui, oui, c’est bon, vas-y, hmmmm...
Je continue à gratifier sa croupe de claques pas très puissantes mais néanmoins assez pour doucement colorer ses fesses ; elle se met alors à faire bouger rapidement ses hanches en se contentant de stimuler mon gland, ses mouvements me rendent fou d’autant qu’elle y rajoute son plus beau regard de vicieuse qu’elle me lance par-dessus son épaule tout en me souriant en se léchant les lèvres. J’en peux plus, j’ai trop envie de cracher.
— Je vais jouir Jen’.
Elle se relève et se retourne d’une traite pour venir me sucer tout en me branlant. Je me redresse un peu pour avoir une position plus confortable et la voilà qui me masturbe rapidement avec la bouche ouverte, titillant de temps à autre mon gland du bout de sa langue.
— Ouais, ouais, vas-y, continue, putain, je... je...— Hmmmm, oui, lâche-toi chéri !
Je finis par lancer de vifs gémissements tout en éjaculant sur son visage, elle accueille chacune de mes giclées avec satisfaction en miaulant adorablement, ramenant mon sperme de ses doigts vers sa bouche tout en venant me sucer. Je la regarde faire en soupirant, le corps parfois agité de soubresauts de plaisir ; elle continue à me branler en me souriant puis elle vient récupérer du bout de son doigt un peu de sperme qui perle sur son front, mais au lieu de le porter à ses lèvres, elle me tend son doigt. Je la regarde en souriant puis je viens le prendre entièrement dans ma bouche, je le lèche en faisant tourner ma langue autour de celui-ci, le léger goût salé de mon foutre se faisant alors sentir. Jenny me regarde faire en se mordillant les lèvres alors que je continue à lui lécher le doigt tout en fixant ses yeux.
— Eh bien, t’as l’air d’aimer ça, me dit-elle.— Quand y en a un peu, ça va.
Elle me sourit avant de ramener encore un peu de sperme de sa peau vers sa bouche, puis elle vient vers moi pour m’embrasser ; je m’allonge de nouveau et elle se colle tout contre moi.On s’enlace comme ça de longues secondes en s’embrassant chaudement, partageant ensemble la légère saveur de mes sécrétions qui imprègne sa bouche.
— Shama aime beaucoup la saveur de mon sperme, tu valides de ton côté ?— Oui ça va, tu as bon goût.
Je lui souris et nous continuons à nous embrasser.
— Ça t’a pris comme ça de m’appeler Jen’ ?— Je t’ai appelé Jen’ ?
Elle hoche la tête.
— Ah, j’ai pas fait gaffe. Ça te gêne ?— Du tout, c’est juste que ça faisait très longtemps qu’on m’avait pas appelé comme ça.— Je suppose que c’est un surnom que tes parents ou ton frère te donnaient quand tu étais plus jeune, c’est ça ?— Non, ils m’ont toujours appelée Jenny ou Jennifer ; la seule personne qui m’a jamais appelé Jen’, c’est mon tout premier amour.— Ah, désolé si ça fait remonter de mauvais souvenirs.— Ils ne sont pas mauvais du tout, dit-elle en me souriant.— Donc ça pose pas de problèmes si jamais je t’appelle encore comme ça ?— Aucun problème.
On se regarde alors silencieusement, le bout de mes doigts effleurant lentement la peau de son dos ; nos yeux ne se lâchent pas d’une semelle et le temps semble alors être arrêté, suspendu, comme si nous étions seuls au monde à ce moment précis. Soudain, Jenny brise ce délicieux moment.
— Allez, faut pas traîner on va être à la bourre ! lance-t-elle en se redressant.— Euuuh, oui oui.
On se rhabille en silence avant de prendre place à l’avant. Jenny s’observe dans le rétro pour mettre de l’ordre dans sa tignasse et nettoyer les quelques traces encore présentes sur son visage.
— Tu veux que je prenne le volant pour que tu t’arranges comme tu veux ?— Non c’est bon, ça ira, j’irais vite fait aux toilettes quand on sera au boulot, me dit-elle avant de me sourire.
Sur la route, nous n’avons pas parlé de ce qu’on venait de faire, et puis pour dire quoi de toute manière ? Pas besoin de débriefer chacune de nos relations sexuelles. Jenny s’est contentée de parler de travail, détaillant un peu comment allait se passer ce voyage à Montréal.Ce moment qu’on a passé ensemble était différent des précédents, j’ai eu l’impression que quelque chose d’autre que l’aspect sexuel s’était passé mais Jenny a bien vite coupé court pour passer à autre chose ; un peu comme d’habitude au fond, même si ça a été plus long qu’à l’accoutumée.
J’attends cette escapade québécoise en sa compagnie avec impatience car là-bas, nous n’aurons pas besoin de nous cacher de nos collègues ou de son frère et j’ai hâte de voir comment ça va se passer entre nous.
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