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I - Liaisons dangereuses

Chapitre 49

Prise en main aérienne

Hétéro
Cette soirée passée chez elle fut très intéressante sur plusieurs points, sexuellement bien entendu étant donné que nous avons passé toute la soirée ainsi qu’une bonne partie de la nuit à nous amuser, mais pas que. Avant cela, Jenny devait finir de préparer son sac et je me suis décidé à l’aider, ou tout du moins à participer, et ce faisant, nous avons partagé de belles tranches de rigolade.
L’important n’est pas l’origine de ces rires mais la manière très naturelle que l’on a eue de se comporter l’un envers l’autre. En d’autres circonstances, Jenny garde toujours une forme de réserve et de distance quand nous sommes avec du monde, même quand c’est Shama avec laquelle nous n’avons pourtant plus grand-chose à cacher ; elle peut être si différente, avoir une manière de se comporter très changeante d’un moment à l’autre, comme si un dilemme se jouait en elle avec d’un côté, son envie d’être autre chose que ma patronne ou même qu’un plan cul, et de l’autre, son souhait de garder une distance qu’elle semble s’imposer, comme si elle avait peur, en m’en demandant trop, de perdre la proximité qu’elle a avec moi ou simplement peur de me perdre en tant que collaborateur. Je me retrouve un peu dans ce raisonnement, d’où le fait que j’imagine tout ça.
Elle navigue entre deux eaux, mais pour cette soirée que nous avons passée ensemble, je l’ai vue comme une amie proche, et même plus que ça. Quand Jenny se lâche, elle est pétillante, adorable et très drôle, non pas qu’elle ne l’est jamais à d’autres moments, mais là, c’était sans ambages. Si seulement elle pouvait être toujours aussi claire dans ses intentions, ça faciliterait beaucoup de choses...
Le lendemain, direction l’aéroport avec de petits yeux vu la nuit courte et agitée que nous avons passée. Nous prenons un vol direct, ce qui est bien plus confortable que de devoir courir lors d’une escale ; nous décollons à l’heure pour un vol d’un peu plus de 8 heures et ne mettons clairement pas longtemps à nous endormir tant le manque de sommeil est pesant.
Je finis par émerger, lentement, bercé par le vrombissement étouffé des moteurs. Jenny est placée côté hublot, moi au milieu et une dame assez âgée côté couloir ; cette dernière est encore assoupie avec un masque sur les yeux. Devant moi, ma tablette est remontée et un plateau-repas est posé dessus.
— Ça y est, la marmotte sort de son trou ? Me dit Jenny qui est plongée dans la lecture d’un document.— Hum... Ouais... T’as pas dormi ? Lui dis-je en frottant mes yeux encore embrumés de sommeil.— Si, mais pas longtemps, j’arrive pas des masses à dormir dans un avion, trop de bruit et pas assez de place pour être à l’aise.
Ça, c’est pas faux, je suis un peu courbaturé d’être assis dans un espace aussi restreint depuis de longues heures. J’irais bien me dégourdir les jambes mais ma voisine dort profondément et j’ai quelques scrupules à la réveiller uniquement pour ça, je m’étire donc autant que je peux en attendant mieux.Je regarde le plateau-repas, pas hyper-appétissant mais sans doute bien suffisant pour faire passer un petit creux.
— Ça fait longtemps qu’il est là lui ? Demandai-je à Jenny en montrant le plateau.— Une heure à peu près, mais vu que c’est du froid, j’ai préféré pas te réveiller.— T’as bien fait. C’est bon ?— Ça va, mais je me suis quand même calée avec des M&M’s, il y en a encore si tu veux ; dit-elle en me montrant un paquet entamé bloqué dans un rangement devant elle.
J’engloutis donc rapidement mon repas avant d’imiter Jenny et de finir le paquet de friandises.Maintenant que j’ai le ventre – à peu près – rempli et que je suis bien réveillé, je me mets à regarder autour de moi. L’appareil a beau être plein, l’ambiance est calme malgré le fait que nous soyons en fin d’après-midi (heure française) ; sur un écran qui affiche l’évolution du trajet, je vois qu’il nous reste environ deux heures de vol.J’observe le personnel de bord qui va-et-vient dans l’allée centrale pour répondre aux sollicitations des passagers quand mon regard est attiré par une des hôtesses. C’est une belle et grande jeune femme avec une longue chevelure sombre ; elle porte la tenue réglementaire de la compagnie qui est la même que toutes ses collègues, à savoir un ensemble composé d’une chemise blanche que recouvre une veste couleur bleu nuit, le tout soigneusement fermé par des boutons dorés, un petit foulard se trouvant autour de son cou, quant à sa jupe, elle est de la même couleur que le haut et descend à peu près jusqu’aux genoux, ces jambes sont habillées de bas sombres. Tenue pas très glamour mais néanmoins, elle dessine bien les courbes de la demoiselle qui a des fesses bien rebondies et a l’air d’avoir une belle poitrine. Elle est vraiment très charmante, un visage harmonieux avec des lèvres assez fines recouvertes d’un rouge à lèvres légèrement brillant ; elle ressemble un peu à Jenny je trouve.
Son regard finit par croiser le mien et elle me sourit tout en venant vers moi, mon regard insistant à son endroit lui faisant sans doute penser que j’ai besoin d’un service.
— Avez-vous besoin de quelque chose Monsieur ? Me demande-t-elle tout bas en voyant ma voisine encore endormie.— Eh bien oui en fait, j’aimerais bien qu’on trouve un coin tranquille dans l’avion pour qu’on puisse faire l’amour vous et moi.
Bon, ça va, je blague, ça, c’est ce que je lui aurais bien dit mais au lieu de ça, je me contente de lui tendre mon plateau-repas vide.
— Souhaitez-vous autre chose ?— Oui, j’ai envie qu’on baise !
OK OK, j’ai aussi passé ça sous silence et ai répondu à sa question par la négative. Je la regarde s’éloigner en essayant comme je peux de la suivre le plus longtemps possible du regard, ne manquant pas une miette de son derrière qui roule joliment à chacun de ses pas.
— Tu veux une paire de jumelles peut-être ? Me dit Jenny en me regardant avec un air amusé.— Hein ? Heu... quoi ?
Elle se met à ricaner.
— Dis-le si t’as envie de te la faire.— Ben ça serait pas de refus en tout cas, elle me plaît bien ; elle te ressemble je trouve.— Ah bon ?— Ouais, tu trouves pas ?
Jenny observe l’hôtesse de loin.
— Mouais, bof, à part les cheveux, je trouve pas.— Ben moi oui.— Si tu le dis.
Je continue à regarder l’hôtesse mais un peu plus discrètement cette fois-ci, et je ne peux m’empêcher de faire carburer mon imagination à plein régime ; je me vois parfaitement la prendre en levrette, sa jupe enroulée autour de ses hanches, m’agrippant à sa longue chevelure alors que je fais claquer ma peau contre la sienne à chacune de mes ruades. Je l’imagine s’accrocher au comptoir sur lequel elle travaille à ce moment précis, couinant de plaisir avec les jambes bien écartées avant de finir par la faire se mettre à genoux pour lui jouir sur le visage et la laisser me nettoyer soigneusement la queue de sa langue que j’imagine soyeuse.Mes idées font leur chemin et finissent par réveiller mon sexe que je sens se tendre de plus en plus.
— Tu veux que j’aille t’arranger le coup ? Me lance Jenny en me voyant avec le regard vissé sur ma cible.— Si seulement c’était aussi simple.— Qui ne tente rien n’a rien tu sais.— Oui mais bon, on n’est pas dans un film porno là. Mais j’avoue que c’est tentant, d’autant plus que je l’ai jamais fait dans un avion.— Ah bon ?— Ouais. Et toi ?— Déjà fait oui.— Et alors, c’était bien ?— Sans plus. C’est sympa pour le délire de se dire qu’on a baisé à dix mille mètres d’altitude mais dans l’absolu, ça change pas grand-chose.— Tu l’as fait où, aux toilettes ?— Non, on est resté sur les sièges.— Mais comment vous avez fait pour pas vous faire griller ?— Concours de circonstances favorables. On était placé à la toute dernière rangée à l’arrière, l’avion était pas complètement plein et autour de nous, il n’y avait pas beaucoup de monde, en tout cas personne qui pouvait nous voir directement ; rajoute à ça qu’on était en pleine nuit et que la grosse majorité des gens dormait, du coup, ça simplifiait bien les choses.— Ben raconte un peu, quel genre de position on peut faire sur les sièges d’un avion ?— Oh ben pas cinquante, faut quand même rester discret histoire de pas attirer l’attention du personnel. Il m’a un peu caressé, ensuite je l’ai sucé et puis je me suis mis sur le côté pour qu’il me prenne par-derrière.— Juste cette position ?— Oui, c’est quasiment la seule qu’on peut faire en restant sur les sièges.— Tu pouvais pas t’asseoir sur lui ?— Trop flagrant, ma tête aurait largement dépassé et on se serait fait griller direct.— D’accord. Du coup-là, en pleine journée et avec le monde qu’il y a, c’est même pas en rêve.— Ah là non, impossible. Aux toilettes à la rigueur et encore, vu le ratio nombre de toilettes et nombre de passagers, c’est risqué.
Je soupire, comme si je venais de louper une occasion avec cette hôtesse alors qu’il ne s’est rien passé entre nous.
— Par contre, il y a autre chose qui se tente ; me dit Jenny en regardant autour d’elle.— Quoi ?— Elle dort elle à côté ? Me demande-t-elle en chuchotant et en regardant ma voisine.— Euuuuh, ouais, pourquoi ?
Jenny déploie la tablette que j’avais rabattue après avoir donné mon plateau à l’hôtesse et me tend une petite couverture que l’on a à disposition.
— Qu’est-ce tu veux que je fasse avec ça ?— Mets-la sur tes cuisses.
Je dispose le plaid sur moi et Jenny le remonte un peu pour recouvrir ma braguette, puis elle passe sa main en dessous et commence à déboutonner mon pantalon.
— Mais, qu’est-ce que... Arrête, t’es folle ! Lançai-je à voix basse.— Shhhhhh, ferme-la un peu !
Je regarde tout autour de moi, personne ne nous observe ; notre voisine est toujours endormie et les personnes de l’autre côté de l’allée centrale dorment aussi ou sont concentrées sur leurs écrans avec des écouteurs vissés sur leurs oreilles. Jenny attrape alors ma queue déjà bien formée grâce au petit scénario que je me suis fait dans ma tête, juste avant.
— Ah ouais, je vois qu’elle te laisse pas indifférent en effet ; dit-elle en commençant à me masturber discrètement.— Je t’ai dit que je trouve qu’elle te ressemble ; lui dis-je en la regardant pour lui lancer un petit sourire.
Elle me le rend puis porte ses doigts à sa bouche pour y déposer de la salive avant de venir en enduire mon sexe.
— Alors mate-la et imagine qu’elle te suce ; me dit-elle à voix basse en s’approchant de moi.
Mon regard se fixe sur l’hôtesse et mon imagination se met de nouveau en marche alors que je vois dans mon esprit ma queue allant et venant entre ses fines lèvres, les caresses de Jenny amplifiant encore plus l’excitation que je peux ressentir à ce moment-là. Je soupire discrètement en essayant de rester le plus impassible possible, Jenny ne peut pas trop faire de mouvements amples mais ses gestes sont malgré tout délicieux ; elle vient parfois masser mon gland à l’intérieur de la paume de sa main avant de se remettre à me masturber, remettant régulièrement de la salive sur ses doigts pour garder mon membre le plus lubrifié possible afin qu’il continue de bien glisser au creux de sa main.
— Maintenant, imagine qu’elle écarte les cuisses devant toi et qu’elle t’ouvre bien sa chatte en te suppliant de la baiser. Tu as l’image ?— Ouais...— Alors baise-la, vas-y... me chuchote-t-elle.
Et je m’exécute, m’imaginant agrippé à ses cuisses en train de la sauter, les caresses de Jenny se font un peu plus rapides et prononcées ; je ne me préoccupe même plus de regarder autour de nous si quelqu’un a deviné ce qu’il est train de se passer sous cette couverture, j’ai les yeux bloqués sur cette hôtesse que je suis en train de prendre dans mes pensées. Je vois ses seins qu’elle m’offre en ouvrant son chemisier, j’imagine de beaux tétons bruns, durcis de plaisir et roulant sous mes doigts. Puis, Jenny rapproche encore son visage du mien et me chuchote presque au creux de l’oreille.
— Imagine maintenant qu’elle est assise sur toi, de dos, tu peux voir son cul monter et descendre sur ta queue. Elle a un beau cul ?— Hmmmmm, ouais, un beau cul bien rond et ferme...— Hmmmmm, écarte ses fesses pour admirer ta queue lui ramoner la chatte. Elle couine bien ?— Oui, elle est allongée sur mes jambes et elle cambre bien ses hanches...— Gifle-lui les fesses, vas-y.
Dans mes pensées, je me vois lancer de petites claques sur son cul, claques qu’elle accueille en gémissant encore plus. Mon excitation monte d’un cran, les caresses de Jenny sont de plus en plus rapides, ma respiration se fait plus saccadée et mes doigts se crispent autour de mes cuisses.
— Jenny, je...— Oui, vas-y, recouvre-lui le cul de ton foutre bien chaud.
Je me tends encore puis j’agrippe la tablette en me penchant un peu et en retenant comme je peux mes gémissements alors que je sens ma jouissance jaillir.
— Hmmmmm, oui, lâche-toi ; me lance Jenny en continuant ses caresses.
Je ferme les yeux en baissant la tête, m’imaginant en parallèle le cul de l’hôtesse zébré des giclées de sperme qui jaillissent dans la main de ma branleuse du moment. Les gestes de Jenny se font plus lents et elle ne fait à présent qu’effleurer ma queue encore tendue.
— Putain, j’ai trop envie de te sucer pour te nettoyer ; lance-t-elle en regardant mon entrejambe toujours à l’abri de la couverture.— Ben vas-y.— Non, trop risqué.
Elle finit par retirer sa main, ses doigts sont maculés de sperme et elle ne se fait pas prier pour se les lécher discrètement, un par un, dégustant la semence qui les recouvre. De mon côté, je remets mon sexe en place en essayant d’être discret et reboutonne mon pantalon ; je n’ose pas enlever la couverture car j’ai éjaculé une belle dose et je dois en avoir partout sur le pantalon, sans parler de l’odeur de sperme qui ne va pas manquer de se faire sentir, surtout dans cet espace clos.
— Qu’est-ce tu fais ? Me demande Jenny en me voyant avec les mains posées sur la couverture comme si je cachais un trésor.— J’ose pas l’enlever, doit y avoir du sperme partout.— Mais non t’inquiète, j’ai tout pris dans ma main et j’en ai étalé une bonne partie sur ta peau.— Oui mais pour l’odeur ?— Bouge pas.
Jenny fouille dans son sac et en sort un tout petit flacon ; elle passe sous la couverture pour en vaporiser un peu.
— Voilà, ça devrait aller maintenant.
Je soulève lentement le tissu et en effet, je n’ai aucune trace sur le pantalon mais par contre, un peu de sperme se trouve sur la couverture que je finis par plier pour la poser au sol ; une légère odeur agréable arrive alors à mes narines, odeur que je reconnais très bien vu qu’il s’agit du parfum de Jenny.
— Je croyais qu’on avait pas le droit d’emmener un vapo à bord.— Des petits formats comme ça oui, on peut. J’en ai toujours sur moi quand je prends l’avion ou le train des fois que je sois entourée de personnes qui sentent un peu fort, histoire de masquer les odeurs.— Du coup maintenant, je sens un parfum de femme.— Ah ben c’est soit ça, soit le sperme, faudrait savoir ce que tu veux !— Je te taquine Jenny, merci ; dis-je en lui souriant. Et merci aussi pour ce petit moment agréable.— Mais de rien, j’aurais bien voulu en faire plus mais c’est trop risqué.— C’est pas grave, c’était déjà bien, on m’a jamais branlé dans un avion !— Ahah ! On verra au retour, le vol va se faire de nuit, on sera peut-être plus tranquille pour faire quelque chose d’un peu plus sérieux.— Désolé mais je ne peux pas te rendre la pareille là.— T’inquiète, on est bientôt arrivé et il va bien falloir qu’on teste la literie de la chambre ; me dit-elle me lançant un clin d’œil.— Ce sera avec plaisir !
En effet, ce petit intermède agréable a bien fait passer le temps et je vois qu’il ne reste plus qu’une petite heure avant notre arrivée.Ma voisine finit par se réveiller et elle relève immédiatement la bonne odeur du parfum qui nous entoure, ce qui a le don de nous faire sourire, Jenny et moi. Je profite de l’occasion pour me lever et me dégourdir les jambes ; je me rends aussi aux toilettes afin d’aller me nettoyer un peu. Sur le chemin, je passe tout près de la fameuse hôtesse que j’ai baisée dans mes pensées, je la frôle en passant derrière elle et je ne peux m’empêcher d’imaginer son cul recouvert de mon sperme.
Je souris en continuant mon chemin vers les toilettes, ravi de la délicieuse manière dont a commencé ce voyage.
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