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I - Liaisons dangereuses

Chapitre 58

Dans la peau de Jenny #3 - Perdue

Hétéro
Lors du rendez-vous suivant, le gynécologue m’annonce que je suis au début de la cinquième semaine et que donc, la méthode médicamenteuse est adaptée. Il m’explique de nouveau comment ça va se passer et me demande de confirmer mon souhait d’arrêter ma grossesse en lui faisant une lettre de consentement.À partir de là, je vais devoir prendre deux salves de cachets, une en compagnie du gynéco et l’autre deux jours après, chez moi. Il m’a expliqué beaucoup de choses sur le déroulement de la procédure mais ce que j’ai surtout retenu, c’est que les prochains jours risquent d’être très difficiles. Au moment de prendre les premiers comprimés, j’avoue avoir ressenti une sensation de mal-être, non pas du fait de l’acte en lui-même car je ne fais pas partie des personnes qui pensent qu’arrêter une grossesse alors que l’embryon ne fait même pas la taille d’un ongle est une ignominie qui me fera aller tout droit en enfer, mais plutôt parce qu’à ce moment-là, j’ai repensé à ce que Shama m’a dit avant de sortir de mon bureau l’autre jour. Je me dis qu’elle a peut-être raison et que j’aurais dû en parler à Florian ; de toute façon maintenant, c’est trop tard, et je bois un grand verre d’eau avec la première partie du traitement.Le lendemain, je ressens une fatigue certaine à laquelle je m’attendais mais au niveau des autres symptômes possibles, pour l’instant, je suis plutôt tranquille – pourvu que ça dure ! – et de ce fait, je décide d’aller travailler comme si de rien n’était. Mon état de fatigue se remarque bien, malgré tout, ce qui me permet d’avoir une excuse toute trouvée pour de nouveau éconduire Florian qui s’inquiète du fait que je devrais déjà aller mieux ; je le rassure en lui disant que c’est mon traitement contre la gastro qui me fatigue et il semble s’en contenter, du moins pour le moment. Ça me gonfle de lui mentir car je vois bien qu’il s’inquiète pour moi ; il y a aussi le fait que passer du temps avec lui me manque mais le choix que j’ai fait implique de le tenir à l’écart donc je dois faire avec. Quant à Shama, elle a l’air assez discrète jusqu’à présent et elle paraît ne pas avoir été touchée plus que ça par mes paroles dures de l’autre fois.
Le deuxième jour, d’autres douleurs commencent à se faire sentir, plus violentes celles-ci, mais je serre les dents et continue à venir au bureau. L’avantage est que Florian a pris sa journée et n’est donc pas là, ce qui m’évite d’avoir – encore – à lui mentir. Shama vient me voir dans mon bureau en cours de journée pour me donner un document et avant de repartir, elle s’arrête à la porte.
— Je sais que tu veux que je te foute la paix mais je voulais te dire que j’espère que tout se passe bien pour ton avortement ; me dit-elle.
Elle attend sans doute un signe de ma part mais je reste silencieuse, le nez dans mes papiers.
— Bon, à plus tard ; rajoute-t-elle avant d’ouvrir la porte.— J’ai pris le premier cachet hier ; finis-je par lâcher avant qu’elle ne parte.
Elle rentre de nouveau dans le bureau et referme la porte.
— Tu as mal ?— Jusqu’à hier, ça allait à peu près mais là, ça devient plus difficile. J’ai l’impression qu’une moissonneuse-batteuse est en train de se promener dans mon ventre.
Shama vient s’asseoir en face de moi.
— Tu dois le prendre quand l’autre cachet ?— Demain matin.— Tu devrais rester chez toi demain. J’ai appelé mon ex belle-sœur et le gros des douleurs se passe lors du troisième jour.— Oui, je sais, mon gynéco m’a prévenu. Je verrais comment je suis demain, j’aviserais à ce moment-là.— D’accord. Si jamais tu as besoin, tu peux m’appeler.
— C’est gentil Shama, merci. À propos je… je voulais m’excuser pour t’avoir envoyée péter l’autre fois.— T’en fais pas pour ça Jenny, tu débordais d’hormones et tu étais à fleur de peau, c’est normal.
Je ricane.
— T’es bien placée pour savoir que je n’ai pas besoin de déborder d’hormones pour envoyer chier tout le monde ! Lui dis-je.— C’est pas faux, mais on va dire que pour ce coup-là, tu avais une bonne raison.
Nous rigolons toutes les deux avant qu’une violente crampe d’estomac ne me fasse grimacer.
— Ton gynéco t’a donné des trucs pour calmer les douleurs ?— Oui, mais j’en ai déjà pris.
Je respire profondément pour tenter de faire passer ces élancements.
— Tu devrais appeler Florian pour tout lui dire maintenant que c’est fait.— Non, je ne me sens vraiment pas d’attaque pour me prendre la tête avec lui en ce moment.— Je suis sûre qu’il te prendra pas la tête, surtout en te voyant dans cet état, tu sais très bien qu’il n’est pas comme ça.— C’est une situation pas banale et j’en sais rien de comment il pourrait réagir.— Il s’inquiète Jenny, il est venu me voir plusieurs fois pour me parler de toi.— Qu’est-ce que tu lui as dit ?— Rien, mais je suis certaine que si tu lui dis tout, il fera en sorte de prendre soin de toi bien avant de penser à te faire une scène.— Peut-être, ou peut-être pas, j’en sais rien, mais j’ai pas envie de tenter le coup maintenant.
Je grimace une nouvelle fois à cause du bordel qui est en train de se dérouler dans mon corps.
— Rentre chez toi Jenny, va te reposer.— Ouais, je crois que je vais y aller, c’est calme de toute façon.— Tu veux que je vienne chez toi une fois que j’ai fini ?— Non ça va aller, merci.— T’es sûre ?— Oui oui. Promis, je t’appelle si j’ai besoin.— D’accord, n’hésite pas surtout.— Merci Shama, à plus.
Je prends mes affaires et rentre chez moi.J’avoue qu’un peu de compagnie pour m’aider à affronter ça ne me déplairait pas mais peut-être par fierté ou bien pour me punir de la gestion calamiteuse de cette situation, je me refuse à aller pleurer à qui que ce soit. Plus le temps passe et plus les douleurs s’amplifient, je passe une très mauvaise nuit, à tel point que le lendemain matin, je me demande si je vais prendre le second cachet.Allez, il faut en finir et je bois donc un grand verre d’eau cul sec pour accompagner le médoc ; je choisis la tranquillité et je reste chez moi car je ne suis clairement pas en état de faire grand-chose. Je préviens Shama que je ne viendrais pas et l’ai chargée de dire à Florian que je dois aller voir plusieurs clients toute la journée et que donc je ne passerais pas au bureau. Il m’envoie néanmoins un message pour me demander des nouvelles et je mens en lui disant que ça va bien mieux alors qu’au même moment, je suis percluse de douleurs. Je croise les doigts pour que le traitement soit efficace car sinon, je risque de devoir faire un petit stage à l’hôpital, ce que je veux éviter à tout prix.Durant les jours qui suivent, les douleurs se calment enfin et je peux à peu près reprendre une vie normale ; dans l’absolu, rien ne m’empêche de revoir Florian ou même de coucher avec lui mais la vérité est que toute cette histoire m’a clairement refroidie. Je ne ressens pas d’envie particulière, comme si le sexe était devenu un besoin facultatif alors qu’avant ça, il trustait régulièrement la première place du podium. Je me doute que ce doit être dans la tête que tout se joue mais je n’arrive pas à passer outre ; ma pensée actuelle s’articule ainsi : sexe – pénétration – jouissance – sperme – risque de grossesse – Florian – mensonge. C’est très con, je m’en rends compte, car le plaisir sexuel ne se limite pas à ça mais je n’arrive pas à penser à autre chose.Cette fois, je n’ai plus l’excuse de mon état de santé pour refuser ses avances et je suis obligée de prendre celle du travail en retard que j’ai accumulé lorsque j’étais malade pour l’esquiver. Il n’est pas bête, il sent bien qu’il y a quelque chose mais pour l’instant, il ne m’en parle pas ; ça me tue de devoir agir comme ça avec lui, deux émotions quasi antagoniques se livrent un combat sans merci dans ma tête, avec d’un côté, mon envie de passer du temps avec lui, et de l’autre, la peur qui me hante depuis cette foutue grossesse. Les nuits que je passe en ce moment sont assez agitées mais cette fois, ce n’est pas dû à des douleurs physiques.
Le fameux jour du verdict est là et c’est avec une pointe d’appréhension que je me rends chez mon gynéco avec le résultat de mes dernières analyses. Il les détaille puis, sans rien me dire, il me demande de m’allonger pour effectuer une vérification échographique ; une fois celle-ci faite, il me dit enfin que c’est bon, le traitement a bien fonctionné et l’œuf n’est plus là. Je pousse un grand ouf de soulagement intérieur, tout ça est maintenant terminé, physiquement du moins car dans ma tête, c’est toujours le bordel.Lorsque je pars de chez le toubib, une fois seule dans ma voiture, je ressens un mélange de colère et de frustration, colère contre moi-même et frustration d’avoir géré tout ça n’importe comment ; ma vision finit par devenir floue, à tel point que je suis obligée de me garer sur le bas-côté tant les larmes qui remplissent mes yeux et s’écoulent sur mes joues m’empêchent de voir correctement. Je ne les ai même pas senties venir, je pleure car je n’arrive pas à me sortir de la tête cette idée que j’ai fait n’importe quoi. J’ai toujours voulu tout contrôler, tout prévoir afin que, autant que possible, je ne sois jamais prise au dépourvu mais là, en ce moment, j’ai l’impression de perdre pied, comme si tout était en train de s’écrouler sans que je ne puisse faire quoi que ce soit pour l’empêcher.Il faut à tout prix que je me reprenne et je vais déjà commencer par remettre la main sur ce désir sexuel qui me fait cruellement défaut depuis quelques temps ; j’ai toujours attiré les hommes et je sais les satisfaire, tout comme je sais que j’aime le sexe, il faut que je retrouve tout ça ! J’attrape mon téléphone et fais défiler mes contacts, j’en ai beaucoup dont les noms ne me disent rien, ils datent, pour la plupart, de l’époque où j’enchaînais les plans culs, mais il y en a d’autres dont je me souviens et c’est par ceux-là que je vais commencer.J’appelle un certain Mathieu, si mes souvenirs sont bons, je m’étais pas mal amusée avec lui à une époque.
« Ouais Mathieu ? C’est Jenny, ça va ?…. Bien merci…. Oui je sais, ça fait longtemps mais j’ai été pas mal prise par le boulot…. Voilà…. Dis-moi, t’es dispo là ?…. Oui, maintenant…. D’après toi, c’est pour jouer aux échecs !…. Tu peux ?…. Super ! Renvois-moi ton adresse par message, je m’en souviens plus…. Allez, à tout de suite ! »
Une fois l’adresse reçue, j’y vais directement, bien décidée à me lâcher. J’arrive chez lui et dès que je le revois, je me souviens plus précisément des moments passés ensemble et pourquoi j’en garde un bon souvenir ; c’est un beau brun genre ténébreux, bien foutu et avec une queue qui a une forme juste parfaite à mon goût. Elle n’est pas forcément très grande mais elle est diablement épaisse. Ces souvenirs ne tardent pas à me donner envie de revoir sa belle bite et après quelques formules de politesse, je lui fais rapidement comprendre que je ne suis pas venue pour déblatérer pendant des plombes ; il le ressent parfaitement et ne tarde à plonger sa main dans ma culotte. De sentir ses doigts me caresser et me pénétrer me fait frissonner tant ça fait un bon moment que rien n’est passé par là. Je me déshabille rapidement et je m’assois sur son canapé, les cuisses bien écartées, afin qu’il s’occupe de mon minou avec sa bouche. L’entretien pileux de mon intimité est un peu passé à la trappe ces derniers temps et un petit tapis de poils se trouve en lieu et place de la peau toute lisse qui y était auparavant, ce qui n’a pas l’air de déranger Mathieu qui me déguste avec appétence en prenant bien soin de laper mon clito. Bien sûr, je ressens du plaisir grâce à sa langue et à ses doigts qui me visitent, mais ce n’est pas comme avant, il me manque un truc, comme si je voulais me lâcher mais que quelque chose me retenait.Je finis par aller m’occuper de lui, il est déjà passablement excité et sa bite ne met pas longtemps à bien durcir sous mes coups de langue ; je sais qu’il aime les pipes bien baveuses et les gorges profondes, je m’efforce donc de le contenter et j’aspire autant que je peux sa queue dans ma bouche, à grands renforts de bruits de succions qui sont rapidement rejoints par ses gémissements de contentement.
— Oooooh ouais putain, c’est trop bon chérie, j’avais oublié à quel point tu suces bien ! Lâche-t-il entre deux soupirs de plaisir.
Je ne m’économise pas et son sexe devient très rapidement aussi raide qu’il peut l’être, bien droit et veiné ; je m’amuse quelques instants à donner de petits coups de langue sur son frein tout en le branlant et dans le même temps, à l’aide de mes doigts, j’agace mon clito afin d’accentuer mon excitation pour bien me faire mouiller.Une fois ma chatte bien humide, je le chevauche et me caresse un peu avec son gland avant de m’asseoir complètement sur lui. Nous poussons tous deux un long soupir alors que je me mets à sautiller sur lui ; la belle largeur de sa queue étire amplement mes lèvres intimes et je fais en sorte de déguster les sensations que je ressens. Enfin, les sensations… si je suis bel et bien excitée, on dirait que ce que je ressens est atténué, comme s’il y avait un filtre qui ne laissait passer qu’une infime partie de ce que je devrais ressentir. C’est moi qui contrôle la pénétration et je fais en sorte de faire les mouvements dont je sais qu’ils me donnent le plus de plaisir, mais là non, c’est différent. Mouvements lents ou rapides, courts ou amples, rien n’y fait ; par contre, Mathieu est aux anges et son plaisir à lui est vraiment présent.
— Mets-toi à genoux, j’ai envie de te prendre en levrette ; me dit-il après quelques instants à me lécher les tétons.
Sans un mot, je me lève et me mets à genoux sur le canapé, il s’introduit en moi et me gratifie de ruades rapides et appuyées qui, en temps normal, me feraient grimper aux rideaux, mais pas là. Je me mets à gémir pour la forme car je pourrais tout à fait rester silencieuse tant les sensations que je ressens sont en bernes, comme si j’étais anesthésiée. Je mouille bien et je suis excitée, signe que mon corps est en phase, mais je ne ressens rien, ou très peu, trop peu en tout cas pour me satisfaire. Ça fait très longtemps que je n’ai pas eu à simuler mon plaisir mais je suis contrainte de m’y remettre et mes gémissements feints me paraissent tellement faux que j’en ai presque honte ; Mathieu, lui, est si concentré sur sa levrette qu’il ne remarque rien. Même les quelques gifles qu’il me met de temps à autre sur les fesses me font à peine frémir ; je ne pensais pas avoir un jour à dire ça mais là, je m’ennuie, je m’ennuie en baisant avec quelqu’un qui sait pourtant y faire…Soudain, je suis tiré de mes pensées par les gémissements de Mathieu qui se font de plus en plus sonores et rapprochés.
— Han putain, j’vais jouir, j’vais bien te remplir, tu vas voir ! Me lance-t-il.
Sans lui demander son avis, je le fais se retirer et je me retourne pour me mettre à le branler rapidement. Sur le coup étonné de ma volte-face, il se laisse néanmoins faire alors que mes gestes et mes coups de langue finissent par l’achever en lui faisant cracher de lourdes et épaisses giclées de sperme qui s’écrasent sur mon visage ; je continue à le lécher un peu en le branlant doucement.
— Pourquoi tu m’as pas laissé jouir en toi bébé ? Je croyais que ça ne te dérangeait pas ; me dit-il en reprenant son souffle.— Parce que je… je voulais une faciale. C’est un problème ?— Non non, du tout, mais j’aime bien remplir une bonne chatte bien chaude comme la tienne.— Et ben tant pis pour toi.
La vérité c’est que maintenant, j’ai une solide appréhension qu’on jouisse en moi malgré le fait que je prenne toujours la pilule. Pourtant, j’aime aussi la sensation de sentir du sperme bien chaud s’écouler en moi, mais même ça, je n’y arrive plus.
— Je peux aller à ta salle de bains ? Lui demandai-je en me levant.— Oui bien sûr, première à gauche.
Je me penche au-dessus du lavabo pour me débarrasser de sa semence qui larde mon visage, je ne ressens même pas l’envie de la goûter et je me sens même mal en me voyant dans cet état. Putain mais qu’est-ce qui m’arrive, c’est pas possible que je sois à ce point devenue insensible à toute forme de plaisir charnel ; je ne peux pas rester comme ça, il faut que j’arrive à me débloquer et il va donc falloir, pour ça, que je sorte l’artillerie lourde !Je sors de la salle de bains et retourne dans le salon pour me rhabiller, Mathieu est en sous-vêtement en train de servir à boire.
— Qu’est-ce que tu fais ? Me demande-t-il en me voyant faire.— Faut que j’y aille.— Déjà ? Mais on vient à peine de commencer chérie, tu veux pas qu’on boive un verre avant de remettre ça ?— Non, j’ai pas le temps, j’ai des choses à faire.— Ah, euh, d’accord. On se revoit quand ?— Je sais pas, je te rappelle dès que je peux.
J’attrape mon sac et sors de son appart’ en le saluant à peine. Une fois dans ma voiture, je suis en colère contre moi-même, contre mon corps qui ne sait plus me faire ressentir de plaisir et contre ma tête qui me laisse imperméable à toute forme de jouissance.
Durant toute la fin de journée ainsi que la soirée, je persiste et écume mon répertoire en appelant tous les mecs que je peux et qui sont dispos ; et quand ça n’a plus suffi, j’ai continué à enchaîner les plans cul comme un ivrogne enchaîne les bars, allumant tous les mecs à peu près potables que j’ai croisés, baisant n’importe où, sur la banquette d’une voiture, dans un garage, un parking de supermarché, etc.Trois ouvriers m’ont sifflée quand je passais près d’un chantier et ils n’en n’ont pas cru leurs yeux et leurs oreilles quand je leur ai montré mes seins et proposé de m’occuper d’eux ainsi que des autres membres de leur équipe. Ils m’ont d’abord baisée tous les trois en même temps, puis un par un, comme une chienne, la tête dans les outils d’une camionnette poussiéreuse, et voyant qu’ils avaient bel et bien touché le gros lot avec moi, ils ont rapidement appelé leurs collègues pour qu’ils profitent tous de l’aubaine de se vider les burnes et je n’ai pas protesté, bien au contraire, j’en voulais toujours plus ! Et bien j’ai été servie car non contente de rameuter tous les ouvriers du chantier, ils ont aussi appelé et invité leurs amis, ainsi que les amis de leurs amis, à venir leur prêter main forte.En même temps que je me faisais pénétrer et sodomiser avec vigueur, je pouvais entendre tous mes assaillants dire qu’ils étaient aux anges qu’une si bonne putain soit à leur disposition et ce n’est qu’après un long, très, très long moment, une fois qu’une multitude d’hommes me soit passée dessus, dont certains plusieurs fois, que j’ai plié bagage. J’ai fini par sortir de la camionnette avec les mains, les coudes et les genoux blessés d’être restée tant de temps à quatre pattes, tout comme mon dos et mes fesses, irrités par les frottements sur le sol gravillonneux de la cabine lorsqu’on me préférait couchée pour pouvoir profiter de ma poitrine ; je suis toute transpirante, la peau moite de sécrétions et du sperme dégoulinant de tous mes orifices. Je n’ai même pas eu la force ni la motivation de les empêcher de me remplir, je suis devenue ce dont ils n’ont cessé de me traiter en me ramonant, un garage à bites doublé d’une cuve à foutre, et c’est sans sourciller que je sentais cette chaleur séminale m’inonder jusqu’à me faire déborder, en croisant les doigts pour que cette fois, ma foutue pilule joue bien son rôle.Ma réticence du début de soirée à avaler le sperme n’a pas non plus fait long feu ; de toute façon, pas moyen d’y échapper quand on vous pince le nez en vous maintenant le visage avec une queue qui vous remplit le gosier et qui vous déverse son plaisir liquide au creux de la gorge. Ma bouche est devenue une station de nettoyage de verges ; je ne saurais dire combien j’en ai sucées, plusieurs dizaines, ça c’est sûr. Je n’en reviens pas moi-même de m’être dépravée à ce point, comme si j’étais soudain devenue une vulgaire catin de bas étages bonne qu’à se faire saillir par tout ce qui posséderait un phallus orné d’une paire de couilles.
J’ai vu défiler toute sorte de bites, des petites et des grosses, des fines et des épaisses, des imberbes et des poilues, blanches, métisses ou noires, elles sont passées l’une après l’autre, voire plusieurs en même temps, par mes trous, mais malgré ces mètres de queue qui ont visité et élargi tous mes orifices, malgré la monstrueuse quantité de foutre que j’ai avalée et dont j’ai été recouverte et remplie, je n’ai rien ressenti du tout. Ça ne m’a pas empêché de beugler comme une furie mais ces cris étaient surtout là pour contenter ces messieurs et leur faire croire que je prenais un pied immense à me faire troncher de la sorte. Toutes les fessées que j’ai reçues ont rendu la peau de mon cul écarlate, mon anus baille, ma chatte est rouge tant elle s’est faite limer et les muscles de ma mâchoire sont endoloris à force de me la déboîter pour sucer toutes les queues que j’ai eues devant moi, ça n’empêche pas que je n’ai rien éprouvé d’autre que des frémissements sans aucun intérêt.
Je rentre chez moi bien après minuit, épuisée physiquement comme mentalement, et je passe un très long moment dans la douche à me savonner à plusieurs reprises vu à quel point je me sens sale de m’être de nouveau laissée aller de la sorte, comme la fois où j’avais fait ce fameux gang-bang, sauf que là, j’étais seule, Florian n’était pas là. Plusieurs fois j’ai vu son numéro quand je passais en revue tous mes contacts mais à aucun moment je ne l’ai appelé, je ne voulais pas qu’il me voit comme ça, je ne voulais pas avoir à simuler avec lui, il ne mérite pas une nana qui n’est bonne qu’à se faire baiser de manière mécanique, comme un robot.Je sors de la douche et me regarde dans le miroir ; même là, je ne me reconnais plus. Je me dirige vers mon lit et me couche avant de me mettre à pleurer tant j’ai un sentiment de honte et de vide en moi, comme si j’avais tout perdu.Je suis devenue froide, j’ai perdu mon plaisir, mon envie et j’ai l’impression que plus rien ne sera jamais comme avant ; quant à Florian, je dois me sortir de la tête toute idée d’une quelconque forme de relation avec lui car je sens que, comme le reste, je l’ai perdu lui aussi.
Je ne le mérite pas, je ne le mérite plus après ce que je lui ai fait ; je me sens seule à un point que je n’avais jamais imaginé atteindre un jour.
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